Le geste de Dieudonné ne méritait qu’un haussement d’épaules, voire un éclat de rire si une bigoterie insupportable n’entourait pas les questions relatives aux persécutions antijuives pendant le second conflit mondial. Ces gens qui hurlent au sacrilège et crachent leur haine me font penser à la vieille duègne jouée par Alice Sapritch dans la Folie des Grandeurs. Mais en beaucoup moins comique...