Le problème dans cette affaire comme dans d’autres est toujours le même, c’est celui qui fait que l’on passe trop facilement de l’égalité à l’égalitarisme.
La norme est tant de jours, et si madame Dati souhaite en prendre moins c’est son choix, librement consenti que je sache.
Certes l’exemple n’est pas forcement génial et il y a dans ce retour de l’excès. Mais qui connait un peu la politique de près sait qu’elle est faite d’excès, par des personnes aux caractères souvent excessifs.
Alors franchement ceux qui s’attardent là dessus pour nous dire leurs désaccords et leur peur de voir le droit des femmes revu et corrigé selon une "jurisprudence Dati" le fond par pure démagogie.