En faisant la synthèse des commentaires, je constate que :
- la majorité des commentaires judéo-israéliens sont pro Israël.
- la majorité des commentaires arabo-musulmans sont propalestiniens.
On peut remarquer qu’ils sont plus nombreux non pas pour la justesse des causes, mais simplement parce qu’il ne faut jamais oublier que la planète a 1,5 milliards d’individus musulmans pour seulement 15 millions de juifs, soit un rapport de 100 contre 1. Une partie de l’explication du conflit provient des nombres et de l’impuissance depuis 100 ans pour les musulmans de défaire les juifs et de s’en débarrasser(et il n’y avait pas les américains en 1929 lors des massacres de juifs par les arabes, ou encore quand le Mufti de Jérusalem Husseini s’est affilié à Hitler pendant la 2ème guerre mondiale).
- une minorité des commentaires de non-juifs et non-arabo-musulmans sont pro arabes ou pro israéliens.
- une majorité des commentaires de non-juifs et non-arabo-musulmans sont anti-arabes ou anti-juifs :
comme si les palestiniens étaient utilisés pour assouvir des haines par procuration. A ceux-là, je dis que cette utilisation de ces pauvres palestiniens est honteuse, et qu’elle contribue à générer plus de victimes.
Alors qu’avec tout l’argent qui arrive à Gaza depuis 50 ans, et avec tout l’argent qui va arriver à Gaza prochainement, il serait judicieux de penser à une solution réelle et sérieuse pour que ces populations vivent bien et en paix. Manifestement, dans la bande de Gaza, c’est impossible.
Une piste : les enfants des rapatriés d’Algérie qui vivent en France métropolitaine n’ont pas d’envie de retourner en Algérie, pays qui leur est étranger, et vivent une vie favorable aujourd’hui en France.
L’Arabie Saoudite, qui est la terre sainte des arabo-musulmans, est immense, et a une densité très faible.
Alors que les rapatriés d’Algérie n’ont pas (ou très peu) été indemnisés, les palestiniens seront très fortement indemnisé notamment par les fonds souverains, provenant des pétrodollars, et qui rachètent en ce moment toute l’économie mondiale en crise.