Ancien sidérurgiste de Lorraine dans les années 70,j’ai travaillé aux ateliers centraux à Hayange (aujourd’hui rasés) .Tous ce qui touche à mon premier métier me tiens à coeur,et je suis triste de voir encore un pan de l’économie local s’éfondrer ; toutefois je précise,contrairement à ce que j’ai entendu,et sauf erreur de ma part, qu’il ne s’agit pas de licenciements mais de mutations vers Florange et le Luxembourg ; n’oublions pas la sous-traitance qui elle va terriblement souffrir,en terme d’emplois. Je comprends aisément le traumatisme des ouvriers de Gandrange ,quitter un cadre de vie qu’ils aiment, changer de collègues de travail,partir un peu vers l’inconnu,ç’est très douloureux. Courage !