À vrai dire, je confonds le salon international de l’agriculture et le musée Grévin car dans les deux cas, seul le public crée le mouvement.
Si ce salon est censé être une vitrine légale et le pouls du monde agricole, on peut se dire que celui-ci est malade de son caractère unique qui l’isole plus qu’il ne l’immunise.
Derrière une corporation, il y a des hommes et leurs revendications – que l’on rend pittoresques pour satisfaire le folklore et le rôle de chacun – qui sont si proches des maux de l’Homo urbain que l’on peut s’interroger sur la définition contemporaine des Hommes de la terre.
http://souklaye.wordpress.com/2009/02/21/adieu-veaux-vaches-cochons-et-agriculteurs/