Notre société va mal, c’est vrai, et cela me rappelle la fable "les animaux malades de la peste". Du plus fort d’entre eux jusqu’au plus petit, tous ont su se justifier, à part l’âne, le plus humble dans l’affaire.
A cette image, je préfère opposer celle des "bourgeois de Calais" sommés de se présenter en cul de chemise aux anglais afin de leur remettre les clefs de la ville. Je pense qu’on devrait pendre les milliardaires les plus riches et distribuer leurs fortunes, aussi longtemps qu’un miséreux aura faim ou soif sur cette terre.
Une solution plus sage serait d’augmenter les impôts des plus riches. En somme, de faire tout le contraire de ce qui s’est fait jusque là. Mais comme ce sont les plus riches qui sont au pouvoir, il faut renverser cet ordre : c’est seulement une question de rapport de force. Rendez-vous le 19 mars.
Evidemment, Hirsh est chargé de mettre en oeuvre une politique de discrimination positive qui ne dit pas son nom mais qui a pour objet de donner du grain à moudre aux chargés de com de la présidence.