J’hésite entre une naïveté pubère et de la propagande obamaniaque primaire. L’auteur fait-il la diffèrence entre les convenances diplomatiques de vitrine et l’arrière-cour surarmée, avec un Gates - encore lui - prêt à appuyer sur le bouton.
S’il y a tant de frou-frou, c’est que l’Iran est un gros morceau, protégé par la Chine et la Russie, sinon ça ferait des lustres que les états-unis auraient franchi la frontière irakienne. La future réthorique obamaniaque, on la voit venir à 10 km : "vous avez vu, j’ai été gentil avec l’Iran". Enfin bon, en tant que futur journaliste du système, on ne peut rien reprocher à l’auteur, c’est un bon petit soldat.