Bonjour l’auteur et bienvenue,
je ne réagis pas sur le fond, mais plutôt sur la forme.
c’est toujours un plaisir de voir débarquer ici un journaliste de la presse accréditée venir pleurnicher sur ses déboires avec ses collègues et sa direction.
Ainsi donc la « liberté » dont se gargarise le Directeur de Marianne ne va pas jusqu’a la laisser s’exprimer dans ses propres colonnes, et pour répondre à ce que vous qualifiez de calomnie, vous ne pouvez donc le faire que sur Internet.
Cette petite histoire fort navrante est à transmettre donc à tous ces journaleux stigmatisant Internet à longeur de papier, et venant s’y réfugier dès que cela tourne mal pour eux. Tout ceci montre clairement ou il se situe, le dernier espace de liberté (et pour combien de temps encore ???)