Bien qu’étant convaincu de la réalité du réchauffement climatique -j’aimerais bien qu’on me prouve que je me trompe-, je ne peux qu’admettre que les pressions « scientifiques » que dénonce l’auteur de cet article sont tous ce qu’il y a de plus courantes. C’est ainsi que pour obtenir un financement de recherche, il est toujours préférable de maquiller son sujet sous un thème porteur, tel que cancer, génétique, ou autre discipline à la mode.
Donc, en ce qui concerne le réchauffement climatique, il est non seulement normal, mais souhaitable qu’on laisse les chercheurs travailler en paix dans la direction qu’ils ont choisie, pourvu qu’eux-mêmes ne soient pas financés par des multinationales soucieuses de maquiller les faits à leur avantage, ce qui ne semble pas le cas ici.
Pour le reste, ce n’est pas sur une canicule ou d’un cyclone de plus qu’il faut se baser, mais sur des mesures régulières et concordantes de la température terrestre globale. Et ça, il en faudra beaucoup pour convaincre les tenants d’un réchauffement planétaire, mais, encore une fois... pourvu que nous ayons tort !