A ce compte-là il aurait fallu arrêter Boris Vian qui promettait à sa belle Gudule un canon à patates dans sa chanson « La complainte du progrès ». Sarbacanes, lance-boulettes, et simples élastiques seraient devenus des armes dangereuses dans les mains des potaches ?
Qu’en est-il des canons à conneries si répandus autour de nous ?