L’homme aux pensées si lourdes -Carlier- soutient Morano en un livre : la belle affaire !
Morano est une sotte aux ordres d’un crétin.
Le pire en cette démocrature est bel et bien l’humiliation de devoir marcher au pas, couvert de ridicule.
Aucune idéologie chez nos gouvernants, aucune réflexion.
Le doigt sur la couture du pantalon ... des enfants qui jouent les grands.
On supprime le bruit de fond de tous leurs beaux discours, et l’on se trouve face à un silence veritigineux.
De fait, Nietzsche avait raison : l’ére du nihil est advenue... quant au surhomme, on peut dire qu’il se fait sacrément attendre !