La liberté
d’expression et de caricatures étant un fondement de la démocratie, il
est surprenant d’entendre des déclarations d’intention de poursuites
judiciaires pour blasphème contre l’organe de presse qui a reproduit
les caricatures de Mahomet.
La LICRA rappelle que le blasphème n’est pas un délit au pays de Voltaire.
La
liberté de critique ou de caricature des dogmes religieux et des
idéologies doit être défendue et préservée comme un bien précieux.
De plus, la LICRA
met en garde contre les tentatives de manipulations qui ne profitent
qu’aux extrémistes de tous bords et de toutes croyances, cette affaire
ayant été sciemment gonflée et exploitée plus de quatre mois après la
première publication des dessins incriminé
comme c’est curieux ces principes à géométrie variable notre ami dieudonné serait il un paria ?
http://www.labanlieuesexprime.org/article.php3?id_article=3335