à l’auteur,
Votre hypothèse - car il s’agit bien d’une simple hypothèse - paraît crédible, mais apparemment elle ne réflète pas exactement l’imbroglio du conflit.
Les territoires israëliens et palestiniens constituent en quelque sorte un ring de boxe sur lequel combattent (à armes inégales mais à pouvoirs équivalents) deux camps différents par l’entremise de gladiateurs-ambassadeurs.
Les clés de cet affrontement qui n’en finit plus ne sont pas, qu’on le veuille ou non, entre les mains des isralëliens ni dans celles des palestiniens. Dans un camp comme dans l’autre, les chefs supposés ne sont que des marionnettes avec lesquelles jouent, plus ou moins bien, les occidentaux d’une part, et les arabo-musulmans et « islamistes radicaux » d’autre part.
Tant que ces deux camps ne se seront pas mis d’accord, par le canal de leurs principaux dirigeants, il n’y aura pas de paix dans la région.
Alors Abbas ou Netanyaou, laissez-moi rire.
Au sujet du premier nommé, ne croyz-vous pas que vous poussez le boucon un peu loin en le traitant d’imposteur. N’était-il pas parmi les négociateurs du traité d’Oslo ?