Je ne suis pas certain que les écolos soient à l’origine de ce système, pourtant exact.
Je pense que c’est une nouvelle forme de récupération d’une « opportunité » par les bureaucrates/technocrates/hauts fonctionnaires/énarques comme d’habitude.
Quelque soit le problème, pollution, pauvreté, manque de logement social, sécurité routière, émissions de CO2, insécurité, délocalisations, etc... la procédure est TOUJOURS la même :
1 - conditionnement de la populace par la culpabilisation généralisée la plus vaste possible pour faire accepter la suite... une préparation psychologique aux mesures finales...
2 - textes de lois votés pour montrer que l’on s’occupe du problème même si des lois existaient déjà, ceci créant un fratras innommable de textes qui s’empilent et parfois se contredisent pour mieux venir un peu plus encombrer les tribunaux ... pour le bonheur des avocats et autres experts... tout en dissuadant le commun des mortels de toute résistance du fait de l’impossibilité de comprendre quoi que ce soit... et des délais de réactivité des tribunaux encombrés...
3 - mesures coercitives, financières surtout, qui permettront de financer essentiellement la créations de plus en plus de « machins » bureaucratiques, onéreux tonneaux des Danaïdes, puits sans fonds, permettant de placer les nouvelles promotions annuelles des usines énarchiques non délocalisables celles-ci (hors de la France, personne n’en veut... allez savoir pourquoi...) sans jamais régler le fond du problème, pourtant à l’origine de leur existence, car le passage des machins nettoie totalement les finances récoltées, les machins ne tardant pas, par ailleurs, à être en manque de moyens financiers, ce qui justifiera ensuite l’accroissement annuel régulier des mesures coercitives pour venir abonder à leurs besoins toujours croissants.
L’écologie est un nouveau prétexte à la mode, comme l’ISR, pour recommencer la même chose et continuer à nourrir des cohortes de bureaucrates/technocrates/hauts fonctionnaires/énarques, origine et cause de tous les problèmes que nous connaissons aujourd’hui en France.
Mais aucun des problèmes posé ne sera résolu, un nouveau groupe de pression indéboulonable sera né et exigera lui aussi sa part du gâteau des taxes et sa croissance annuelle.
Rien de nouveau sous le soleil de France.
Francis BACON avait écris : « celui qui n’appliquera pas de nouveaux remèdes doit s’attendre à de nouveaux maux ; car le temps est le plus grand des innovateurs »
Pour les bureaucrates/énarques français c’est devenu : n’appliquons surtout aucun nouveau remède, cela permet de créer de nouveaux maux qui sont autant d’opportunité pour créer des nouvelles structures (machins) que nous dirigerons et dans lesquels nous pourrons placer les nouveaux arrivants des usines énarchiques le tout financé par la populace que nous aurons bien conditionné et culpabilisé préalablement.
CQFD