"Bref une bombe prête à exploser, qu’il faut absolument contrôler : si
elle pète, il faudra que ce soit au bon moment, histoire de semer la
terreur et le chaos, ce qui justifierait un état d’urgence et un état
policier, voire militaire… un joker, une carte précieuse en ces temps
difficiles."
Ca pètera pas, il y a encore de la marge. Après des décennies à vivre comme des moutons, tondus et parfois sacrifiés, ça n’a pas pété. Tant que les libertés sont retirées progessivement, une à une, et que la pièce pseudo-démocratie est jouée en boucle sur les canaux médiatiques, l’affaire est sous contrôle, tout va bien dans le meilleur des mondes...
Quand viendront les premières velleités de rebellion organisée il sera bien trop tard, le piège se referme déjà sur nous dans l’indifférence générale..