Bon, je prends note du nom de l’auteur de l’article et me renseignerai quant à sa bibliographie !
En un même élan louangeur, j’imprime l’article, clair, précis, très bien exprimé et surtout... ô combien clairvoyant !
Les écolos de maintenant sont les restes indigestes de ces babas-cool jouisseurs, tartufes en diable, et fainéants comme pas deux de naguère.
Pas étonnant que de pareils clowns qui, à l’époque me faisaient tant et tant marrer -car s’imaginant que d’écouter du rock en boucle comme de fumer joint sur joint vous classait parmi les rebelles- soient encore aujourd’hui prêts à tout pour suivre le troupeau de leurs égaux bêlants, le petit poing en l’air et parfois -ô blasphème- le chant révolutionnaire en bouche.
Puis naturellement ces pitres sont-ils passés du libertarisme au libéralisme tout en conservant les avantages de l’ancien système si commodes pour se confondre et revendiquer le second : « Je consomme, je profite, ceci par épicurisme, par philosophie, voire bouddhisme... et je te tutoies dans l’entreprise ! »
Ces types sont à vomir !
Cohn Bendit est l’exemplaire abruti symbolisant ces têtes à claques, ancien jouisseur sur petits enfants promu désormais grand destructeur de toutes les valeurs... y a-t-il un sniper dans la salle ?
Alors, quand je vois les mêmes, alter mondialistes en appelant à la gouvernance mondiale -car souhaitant un monde sans frontières-, et écolos réclamant des mesures de plus en plus liberticides -au motif de préserver une nature dont ils ont une peur farouche-, j’ai envie de frapper ces crétins qui n’ont jamais penser plus loin que ce nombril, centre de leur monde -lui-même auto centré.
Ce genre d’idiots qui s’offusquent d’une tauromachie pourtant noble, et si peu du boeuf massacré à l’abattoir... ou vont se régaler de sushi au thon rouge : ici véritable désastre -réellement écolo celui-là- que subit le poisson en question.
Oui, on aura réellement besoin de bras et de cerveaux !... car on est très, mais très mal barrés !
A ce rythme, sûr qu’à l’avenir on ne va pas se marrer.
Quant à ces crétins d’écolos, comme tout collabos, ils auront à ce moment-là sûrement rejoint quelques milices de la bien-pensance grassement payées -pour pouvoir jouir de ce qui reste- en contrôlant le quidam dans la rue, le verbalisant s’il fume -pour son bien !-, le taxant s’il parle trop fort -pour le bien commun-, et que de pitreries encore.
Le propre du tartufe est de s’adapter à n’importe quel système, pourvu qu’il trouve à jouir !
Cher Orwell, ton « 1984 » nous vient à grands pas !... et pourtant tu nous avez prévenus !
Quelle bêtise crasse ont les gens, maître George !