Article où l’on voit l’auteur ramer, ramer, ramer pour nous expliquer que, dans l’affaire Sarkozy-Villepin, Marin a une conviction intime et que c’est elle qui prévaut en toute occasion, même celle-là.
Au passage, je salue l’indépendance des juges du siège. Si le président-au-croc-de-boucher rempile, ils ont fusillé leur carrière. Et je les félicite pour cela. Il est rassurant de savoir que de tels juges existent.
Et puis, cerise sur le gâteau (d’anniversaire), rendre public un tel jugement le 28 janvier, quel pied-de-nez. Bravo !