Bonne lecture, Chanteclerc : personnellement, Chomsky me reste en travers. A vous de découvrir pourquoi. Dans son délire d’américain bon teint « le premier amendement », et son affirmation de laisser tout dire, il se trompe. Ça, c’est dans une utopie démocratique où tout le monde se respecte. C’est loin d’être le cas ici : vous n’imaginez pas les tombereaux de merde qu’éradique la modération. Je reçois en tant que rédacteur tous les posts adressés : je ne vous souhaite pas pareilles saloperies journalières. Il y a vraiment ici des tarés. Je ne vois pas autre appellation possible.