@l’auteur,
Comme à chaque fois que l’on parle d’ Israel, de la Palestine et des Etats-Unis, le débat devient brûlant.
vous écrivez :
« Mais, de l’autre côté, les électeurs américains ne sauront comprendre, et encore moins approuver, que le président Obama s’en prenne à un allié comme Israël sans faire preuve de fermeté à l’égard d’un adversaire comme l’Iran
Conclusion : ou bien la brouille entre les Etats-Unis et Israël marque le prélude à une action musclée des Etats-Unis en Iran, ou bien cette brouille risque de se retourner en 2012 contre l’actuel président des Etats-Unis. »
Alors comme cela, le sort des élections américaines se joue uniquement sur la qualité des relations entre les US et Israel ?
Avec 20% de chomage (réel, 10% officiel), et toujours en hausse, avec la destruction permanente des outils industriels de leur pays, vous pensez que les américains sont à ce point passionnés de politique extérieure que, dans les files d’attentes de « pôle emploi » local, dans les bureaux ou est palpable la tension qui précède une « restructuration », dans les banlieues de Détroit qui s’apparente à des quartiers fantômes, dans Kansas city ou 29 des 61 écoles vont fermer, dans New York qui va fermer 62 casernes de pompiers, etc... les citoyens vont pénaliser Obama....parce qu’il est en léger froid avec Israel ?
A croire, ou a vouloir nous faire croire que les Américains soient plus préocupés par le sort d’ Israel que par le leur, vous les faites passer pour des débiles profonds, ce qui fait de votre article une monument de bêtise ...et d’ Americanophobie.