« C’est important aussi parce que nos réflexions pourraient nous amener à déclarer à nos petits-enfants que nous ne créerons pas davantage de postes de travail - dans le monde entier - car depuis la fin du XIXe siècle, nous avons consacré une part importante de nos énergies à remplacer le travailleur par la machine ; que demain, nous n’allons pas abandonner ce que tout le monde reconnaît comme le progrès. »
A mon avis, le progrès et les machines ne sont pas ici en cause. Une génération qui dit à ses petits enfants qu’il n’y a pas assez de travail pour eux serait une génération égoïste et hypocrite ! Ce qui est en cause, c’est ce que cette génération a fait du droit du travail et de l’enseignement, un enseignement qui doit être adapté aux transformations de la société pour que les jeunes puissent s’insérer dans le monde du travail.