C’est une très bonne question.
Les enfants qui sont sollicités dans ce domaine sont très intéressés.
Quand ils ne le sont pas, les questions qu’ils se posent nous y ramènent .
L’école leur parait plus proche et l’enseignant devient un autre...
Je pense qu’il y aurait beaucoup à dire.
Aujourd’hui, ’on’ empêche l’école de fonctionner ; les programmes inadaptés sont suivis d’une gestion destructrice des personnels et cette dernière entraine une démotivation importante, un ras le bol, une incompréhension et la mise en place progressive d’un cadre rigide. C’est terriblement contre - productif mais les chiffres des tableaux d’évaluation qui sortiront des tuyaux du ministère diront peut-êre le contraire, tout dépend de leur intelligente utilisation. On peut se contenter de critères comme le taux de redoublement, vous voyez.....
Dans ce cadre de travail, il est facile de construire un apprentissage des décimaux, c’est au programme, c’est structuré, on peut évaluer, le temps le permet....
Le dialogue, l’interrogation, l’échange sur des thèmes de nature philosophique deviennent comme beaucoup de choses aujourd’hui ’ d’inutiles bouffe temps ’. Hélas,mille fois hélas.
L’élève est devenu un réservoir à remplir et on voudrait faire de l’enseignant un ouvrier spécialisé capable de gérer au plus près le bon remplissage. Effectivement, il n’y a plus besoin de formation !!!