Selon un bon ami apiculteur, voilà plus de dix ans que les apiculteurs professionnels dénoncent certains produits et engrais et qu’ils étudient leurs méfaits.
Mais le gouvernement a systématiquement nié ces études, cherchant une anomalie génétique ou autre perte de temps.
Pour ce faire, le gouvernement arguait sur des études réalisés dans des conditions non réalistes : les produits incriminés n’étaient testés que sur des abeilles adultes et très résistantes. Alors qu’en fait, ce sont surtout les larves d’abeilles qui meurent ou naissent avec du handicap, d’où une forte mortalité. Finalement rien que du bon sens aux portes de l’évidence.
Aujourd’hui les officiels gouvernementaux commencent à prendre en compte les réflexions et études des apiculteurs, mais ils n’ont à ce jour pris aucune décision positive et notable pour inverser la tendance actuelle, en raison de la pression des lobbys agricoles (Monsanto en tête).