Navré que vous y ayez vu un prosélytisme pour la religion et le retour de sa morale. Je m’interroge en fait à la fin de l’article sur un certain vide laissé par les religions, un manque de sens, un vide à combler. Une morale qui serait devenu une morale de la consommation. Et être athée n’empêche pas de s’interroger sur l’importance qu’ont eu les religions.
Je ne suis pas d’accord avec vous lorsque vous dites que la morale est relative à la personne. Elle ne vaut certes qu’individuellement mais universellement. En pratique, il y a des morales différentes selon les époques, les mœurs, l’éducation, le milieu social. Mais plus par déficit de connaissance.