Quelque part, je comprends ton point de vue, Hedj. Le problème est que, à l’heure actuelle, un pays n’a en gros que deux possibilités : subir la mondialisation (ce que, tu en conviendras, n’est certainement pas fabuleux pour les citoyens), soit y participer. Et pour participer, il faut rentrer dans ce jeu de guerre. Au tout au moins, apprendre à anticiper pour éviter les écueils. Il est très difficile de faire comprendre ça aux entreprises françaises et c’est bien dommage. Elles prennent conscience de la nécessité de l’Intelligence Economique et de la « guerre » (je n’aime pas ce mot !) Economique souvent lorsqu’il est déjà trop tard et que la crise est là.