Etrange paradoxe, le bio (donc culture soignée et non extensive) et le bio industriel, censé fournir à tout le monde des produits bio. C’est vrai que c’est curieux et d’ailleurs je doute que tout ce foisonnement de légumes et fruits soit bio à 100%. Mais comment faire pour fournir une demande sans cesse croissante et rester bio ? Non pas que je soutienne les pesticides, loin s’en faut, mais c’est un problème à étudier de près. D’autant que je ne fais pas confiance au grosses puissances agro-alimentaires, car dans ce genre de sphère ils sont dans la devise : « Pognon et pognon plus ».
Merci à l’auteur