bonjour catherine
j’ai également entendu cette info, assez surprenante. le travail d’un journaliste est de rapporter une observation, rapporter un fait lié à une pratique policière discriminatoire, n’est pas s’en porter solidaire, sinon il ne nous reste plus qu’à fermer notre gueule.
sur le deuxième point que j’ignorais, il ne peut pas dire qu’un employeur à le droit d’exercer une discrimination, l’expression est tendancieuse. tout individus a la liberté qu’il tient de ce qu’il est de transgresser la loi, il le fait à ses risques et péril, et nous savons les changements qui en découlent parfois. mais en l’espèce, il faut savoir si du fait de sa qualité de chroniqueur, il avait affirmé ou non ce droit pour l’employeur comme une indication à suivre, il faut qu’il y ait l’intention de déroger à la loi à tord ou raison pour être répréhensible.
sinon là aussi il faut se coller les lèvres.
il est bien évident et je m’en plains souvent que les faiseurs d’opinions développent trop souvent des buzz ou des polémiques plus que des analyses d’événements, et qu’a ce titre il sont tenu à une auto censure pour se conformer à la loi ou à disposer librement de leur conviction et de leur verbe au risque d’être punissable, c’est aussi un choix.
cordialement.