Bonjour Mr Blondel,
ravi que vous interveniez pour répondre à celui que vous nommez pertinemment un « Fouquier Tinville de circonstance »
Je ne prendrai pas partie de savoir qui a tort dans cette affaire, je n’ai pas les éléments et je ne voudrais pas grossir les rangs de ceux qui parlent sans savoir.
Mais je me réjouis de souligner que nous constatons régulièrement ici que Paul Villach a, comment dit-on, « ses têtes ». Et ce sont bien évidemment des têtes que l’on voit plutôt à gauche, et mieux encore.
Je crois que notre habitude de la prose de Paul Villach nous permet de répondre de gaieté de coeur, oui à une au moins une de ces trois questions que vous posez, sinon toutes, je cite :
« Pourquoi un article quasi réquisitoire, une opposition systématique aux syndicats de salariés ? Une opposition à une organisation syndicale ? ou tout simplement la méconnaissance des dossiers ? »