bonjour l’auteur,
vous parlez d’avis de tempête, mais il s’agit plutôt d’un ouragan qui se prépare. Tout d’abord il est inutile de tourner autour du pot : Les grecs ne rembourseront pas leur dette, ce que les gouvernements européens savent parfaitement.
D’où la manœuvre du FESF, qui n’est rien d’autre qu’’une structure de défaisance financée par le public. Et le plus beau, c’est que ce FESF est une entité privée domicilié au Luxembourg, qui dans les fait n’a pas vraiment l’obligation d’utiliser les fonds que on lui prête au sauvetage des pays en difficulté. Pour le dire différemment, le pognon public alloué au FESF aurait de forte chances de se retrouvé spéculé sur les marchés financiers. un must !
mais revenons à nos moutons, les grecs, qui en ont un peu marre de se faire tondre. Une fois qu’ils auront constaté qu’ils n’ont plus rien, ils n’auront que deux alternatives : soit imprimer eux-même des euros en se passant de l’autorisation de Bruxelles - ce qui forcerait les Allemands à revenir au Mark, soit eux-même sortir de l’Euro et se remettre à imprimer des drachmes - ce qui donnerait la même idées aux autres candidats au FESF.
Bref, quel qu’en soit l’issue, l’euro en temps que monnaie unique est mort. Et ça arrivera le temps de dessaouler !