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Rolly

Ingénieur depuis 1993, je suis devenu récemment correcteur.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/09/2009
  • Modérateur depuis le 13/03/2010
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Derniers commentaires



  • Rolly 24 avril 2013 08:06

    Tout cela ne nous dit pas s’il avait le gène... de la découverte du gène, par exemple, pour reprendre un paradoxe de mon ami Jacques Jaffelin (http://sociosomatique.com). Paix à son âme tout de même. Chapeau en tout cas pour les actions de Résistance.



  • Rolly 27 octobre 2011 11:03

    Pour réagir à la réponse d’al.terre.natif, je dirais que que la mainmise de fait des marchés et de la finance, de l’économie, sur le reste de la société soit le fait du hasard, ou bien (provienne) du fait que « les marchés sont vivants », constitués de personnes qui les actionnent, la mise en place de taxe(s) sur les transactions financières, surtout spéculatives, me semble, en effet, indiquée.

    Je ne vois pas pourquoi le fait que cet argent soit ou non « créé par les États », ce qui, selon vous, « n’est plus le cas depuis longtemps » (?) devrait y changer quoi que ce fût.

    Enfin, je pense bien que le fait de se renflouer, pour les pays, est une solution. Je ne pense pas, comme vous, qu’ils soient condamnés à emprunter ad vitam aeternam : un ménage, pour prendre une autre échelle de réflexion, préférera ne pas s’endetter par l’emprunt plutôt que de le faire, à la longue, notamment. Il doit en aller de même au niveau national, par exemple.



  • Rolly 27 octobre 2011 07:43

    J’ai lu avec attention cet article, ce billet, mais pas les réactions qui précèdent la mienne, à part une ou deux.

    Je voudrais dire que je partage l’idée qu’il n’est point besoin de chef, de leader, à un mouvement tel que celui dit des indignés, avec ou sans majuscule. Mais il faut rendre à César ce qui lui appartient, et reconnaître à Stéphane Hessel la paternité de son appel « Indignez-vous ! ». Cela peut s’arrêter là, en la matière.

    Pour ce qui est de la démocratie, directe ou représentative, je pense que le système représentatif a ses vertus : il permet une prise de décisions plus rapide, plus aisée et plus harmonieuse, tout en respectant, normalement, les avis des personnes représentées, autant que faire se peut. Une démocratie trop participative, trop directe, trop « bottom-up » risquerait de ralentir exagérément les prises de décision, de les rendre difficiles voire impossibles, même, tant la fragmentation des points de vue et le manque de cohérence d’ensemble, même si les minorités semblent plus et mieux représentées dans ce cas, seraient lourdes de conséquence. Mais le fait majoritaire, s’il s’impose aux avis minoritaires, doit respecter, dans l’idéal, les minorités. C’est aussi ce qu’on demande à un système représentatif, et qui n’est pas si souvent respecté, il faut bien l’admettre.

    Enfin, je voudrais dire que je ne pense pas qu’il y ait de sourd complot des plus nantis, des plus riches, des plus aisés, contre les plus pauvres, les moins favorisés, les sans-grade, pour ainsi dire. Je pense plutôt qu’il faut juguler la mainmise de fait des marchés et de la finance, de l’économie, sur le reste de la société. Il faut imposer (dans les deux sens du terme, puisqu’il s’agit d’argent). Imposer les flux financiers, dans le sens de les taxer assez fortement, de façon à ce que, au moins, les spéculations sur les cours boursiers aient des répercussions positives substantielles sur l’économie des Etats, et donc sur la population, par ce truchement. Il s’agirait là d’une redistribution des richesses qui me semblerait de bon aloi. J’ai, d’ailleurs, proposé qu’on instaure une T.V.A. financière (sur les flux financiers), ou qu’on l’étende, puisqu’elle semble exister déjà, en fait.

    Voilà mon grain de sel sur ces questions ô combien importantes, à mon sens.



  • Rolly 9 juillet 2011 10:53

    Article assez intéressant, même si je partage assez peu le positivisme béat alternant avec un pessimisme résigné qui balisent aussi le texte.

    Je suis assez sensibilisé aux questions d’intelligence artificielle et de sciences cognitives, notamment, ayant fait des études sur ces sujets jusqu’à préparer une thèse que je n’ai pas encore soutenue.

    Je m’intéresse notamment aux recherches de Douglas Hofstadter, qui flirtent, je dirais, avec ce qui est appelé dans l’article « IA forte ». En effet, ce chercheur américain (bien connu pour son ouvrage prix Pulitzer « Gödel, Escher, Bach : les Brins d’une Guirlande Eternelle ») propose des programmes informatiques « intelligents » qui utilisent le hasard auto-contrôlé par le système grâce à une notion de température, un réseau de concepts malléables et un ensemble d’agents semi-autonomes pour effectuer des recherches et inventer des solutions à des problèmes divers, qui vont de la quête de suites logiques à l’émergence de fontes de caractères en passant par la disposition de couverts sur une table de façon plus ou moins originale, par exemple.

    Je vous invite à réfléchir plus avant à toutes ces nouvelles idées et perspectives. Je ne sais plus trop ce qu’on trouve sur le web concernant Hofstadter et son équipe, peut-être pas grand-chose, mais c’est déjà ça. En tout cas, il convient pour ma part ni de tomber dans le négativisme obcur d’un « de toute façon, les machines vont nous dépasser », ce qui me semble un peu absurde et en même temps pas nouveau (le premier silex taillé nous « dépassait » déjà), ni dans l’optimisme éhonté (« les machines vont nous remplacer utilement et nous n’aurons plus rien à faire, quel repos !... »), car il faudra toujours faire des choix non prévus par les systèmes les plus sophistiqués, à mon sens (comme le rappelait quelqu’un, a priori, il faudra toujours voter, notamment et par exemple, pour ne prendre que cet exemple, donc).



  • Rolly 15 février 2011 11:11

    Vraiment très intéressant, comme souvent Michel Serres. Je ne sais pas trop ce qu’il a voulu dire par « il y a une sur-morale à inventer », à la fin, mais il songeait peut-être au « surmoi » freudien. En tout cas, si « aimez-vous les uns les autres » et « l’homme est un loup pour l’homme » sont un peu dépassés l’un et l’autre, il y a éventuellement une voie moyenne à trouver et à expérimenter, qui pourrait être « ne mords pas la main qui te nourrit » (si elle est de bon aloi), par exemple... !

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