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Accueil du site > Tribune Libre > L’IAC flingue le GIEC !

L’IAC flingue le GIEC !

Évitons aux climats-sceptiques de ce réjouir trop vite et aux partisans du réchauffement entropique de craindre le pire. L’article au titre volontairement provocateur " Réchauffement climatique, le Giec flingué par l’IAC " publié sur le blog : Homme libre de la Tribune de Genève ne reflète pas les intentions réelles ni les objectifs de cet organisme. L’IAC n’a pas pour ambition de remettre en cause les conclusions du GIEC. Il a juste été missionné pour passer au crible la gestion interne et les problèmes de communication du Groupement International. A la façon des fameuses think tank, l’IAC a tout bonnement élaborée de meilleurs méthodes pour faire admettre le message d’un cataclysme climatique imminent, Sujet prioritaire des préoccupations de l’establishment Onusien.

Soulignons qu’il n’est pas fait mystère des commanditaires de l’étude ni des objectifs dévolus à l’IAC pour l’organisation de réunions d’experts. Ceux-ci sont mentionnés dans l’introduction du Rapport. Ils ont été mandatés par les Nations Unies et le GIEC en personne. Leur rôle ; examiner les processus et les procédures de cette dernière afin d’émettre des recommandations permettant d’améliorer la nature autoritaire de ses rapports (GIEC ou IPCC pour les anglophones). Je site : « In response to some sustained criticism and a heightened level of public scrutiny of the Fourth. Assessment Report, the United Nations and IPCC asked the InterAcademy Council (IAC) to assemble a committee to review the processes and procedures of the IPCC and make recommendations for change that would enhance the authoritative nature of the IPCC reports »

Oser supposer que l’IAC pourrait s’opposer au processus des Nations Unies à faire passer son message de menace climatique dus à l’activité humaine serait une pure utopie. Elle reste la priorité du moment. Beaucoup trop d’enjeux sont d’ores et déjà engagés. Les milieux d’affaires et les multinationales ont lancé la machine économique et énormément investi dans ce secteur d’avenir pour permettre une remise en question.

Témoin privilégié de la décrédibilisation du GIEC, l’ONU devait reprendre le contrôle de la situation et reconquérir l’opinion mondiale. C’est le rôle qui fut attribué au comité réunit par l’IAC. Leurs conclusions sont les suivantes : Étudier un remaniement des structures, supprimer autant que possible les conflits d’intérêts trop évidents, élaborer une statégie de communication commune et unitaire ; tels sont les résultats salutaires de l’analyse pour réchauffer l’image ternie du GIEC.

Existe-t-il des Dogmes dans les résultats et les publications du GIEC ?

C’est une question raisonnable qu’il est légitime de se poser en observant la manière dont à toujours été traité le sujet. Ignorer systématiquement les observations contradictoires est sans aucun doute la forme la plus évidente d’un dogmatisme. Surtout quand ces rejets sont systématiquement ramenés à des railleries ou à des accusations de manoeuvres du lobbying pétrolier. Car a l’étude du sujet on revient vite à la raison. Pros et Opposants ont des intérêts financiers communs dans les deux camps. Ce sont les mêmes individus qui spéculent sur les deux terrains. En prévision de la raréfaction des énergies fossiles, ils mettent aux point leur avenir. Sans réchauffement, plus d’écologie climatique financière possible. Comment permettre à un intervenant comme le professeur Vincent Courtillot d’expliquer que le soleil est certainement plus important dans les causes du réchauffement climatique que l’activité humaine ? S’ouvrir à la contradiction signerait la fin de tous nouveaux sommet climatique de type Copenhague et fermerait à jamais les négociations sur cette géniale idée du pollueur payeur.

Manne du XXI ème siècle, l’écologie climatique devient l’alternative économique indispensable à la fin prévisible et annoncée de l’aire pétrolière. Son avantage est de canaliser toutes les bonnes volontés humanistes de notre planète. Le discourt hier rayé des verts devient aujourd’hui un porte drapeau d’une politique économique à double visage. Entre altruisme affiché et nouvelle boulimie financière sous jacente, Il faut préserver l’idéologie pour le discours populiste.

Y a-t-il personnage plus altruiste qu’Al Gore ? Se faisant promoteur du combat contre le CO2 aux Etats-Unies ; il s’offrait une légitimité en 2007 avec un Prix Nobel de la Paix qu‘il partageait conjointement avec le Giec. Ses détracteurs lui reprochent un enrichissement personnel. Monnayant chaque intervention à plus de 100 000 Dollars son business conseil et ses négoces de certificats d’émissions de CO2 lui on permis de décupler sa fortune. Difficilement estimable à cause des diversifications de placements, quand elle était tomber à 2 millions après l’échec électoral contre Bush ; elle s’élèverait aujourd’hui certainement à plus de 100. Allègre l’estimant même à plus de 600 millions. Pour résumé son dévouement inconditionnel je vous livre ici une de ses Citations : Al Gore sur le GIM et le KPCB «  Ensemble, nous possédons une connaissance professionnelle de cet enjeu multidimensionnel urgent et nous sommes déterminés à aider les dirigeants d’entreprises et chefs de gouvernement à élaborer des solutions durables plus rapidement. » ).

Savourons en résumé cette dernière prescription de l’IAC : « établir qui doit parler au nom du GIEC, et comment le faire en restant dans les frontières des rapports et des mandats du GIEC", » souligne le communiqué. Je vous en offre une traduction plus directe : Trouver de meilleurs communicants qui sauront grâce à leur verve et leur charisme convaincre les plus sceptiques. Sachez focaliser sur des événements accréditants les conclusions pré établies. Vous êtes payé (mandaté) pour le profit de vos donneurs d’ordres les Nations Unies ne les décevez plus.

Tout est dit. Aucun changement de direction n’est demandé dans l’action messianique du GIEC par les rapporteurs de l‘IAC. Ils se sont cantonnés à un recadrage, une remise dans les marques, voir infliger une légère tancée pour manque de performance et de crédibilité.

 
Esotemyst

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43 réactions à cet article    


  • Lisa SION 2 Lisa SION 2 7 septembre 2010 10:05

    Bonjour,

    " Les milieux d’affaires et les multinationales ont lancé la machine économique et énormément investi dans ce secteur d’avenir pour permettre une remise en question. " ce sont eux qui ont lancé le programme des Chemtrails dont on dit que « tout leur est prétexte à renforcer leur pouvoir sur le monde, au risque évidemment d’accélérer par leurs compétitions internes la survenue des catastrophes écologiques et humaines que l’on connait. C’est ainsi, au delà de l’exemple des pollutions pétrolières un temps à l’affiche, il faut souligner la façon dont ils profitent de la crise environnementale pour mettre en place des solutions de géoingénierie parfaitement hasardeuses et dangereuses. Elles seront présentées comme devant lutter contre le réchauffement climatique et relever de l’initiative commerciale ( « market driven » ). Mais ce seront les citoyens du monde entier qui en supporteront les coûts, avant d’en faire les frais. »

    Sans l’avis ni l’accord des populations et sans les financements d’Etats concernés, ces travaux consistant à balancer des aérosols dans l’atmosphère par une flotte d’avions suspecte pour voiler les rayons solaires avant qu’ils ne pénètrent dans celui ci, sont pécuniairement peu rentables. Comment trouver l’argent : http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/le-contrat-des-avions-79214&nbsp ; 


    • Voltaire Voltaire 7 septembre 2010 11:39

      Article de particulièrement mauvaise foi, comme souvent sur ce sujet.
      Il convient sans doute au lecteur d’aller chercher la vérité à sa source, c’est à dire en lisant le rapport de l’IAC, ou au moins ses conclusions...
      Comme ce rapport est en anglais, en voici les quelques éléments de conclusions majeurs :
      L’IAC souligne le succès du GIEC globalement, établi grâce aux milliers d’experts impliqués, mais idenfifie deux aspects majeurs qui doivent être améliorés.

      Le premier rassemble une série de recommandations sur ce que l’on peut appeler la gouvernance du GIEC : management, communication, transparence etc... Il s’agit de critiques classiques concernant une structure internationale de taille importante, dont à la fois la taille et le rôle ont cru de façon importante en quelques années. Comme souvent, les mécanismes de gestion de cet organisme n’ont pas suivi, d’où quelques ratés qui ont fait la une des journaux.

      Le second est à mon avis le plus important : il faut savoir que les travaux du GIC ont deux phases différentes : l’une est l’oeuvre des scientifiques, qui s’efforcent de présenter une image de consensus de l’état des observations et évolutions du climat avec les modèles actuels, et de l’évolution probable de la situation dans les années futures en fonction de ces données. L’autre est l’ouvre des gouvernements (le GIEC est dépendant de l’ONU, et donc une agence intergouvernementale), qui valident et moulinent ce consensus scientifique en un texte acceptable par tous, comportant des recommandations d’actions. en raison de la nécessité de trouver ce consensus « politiquement acceptable », les avis du GIEC sont souvent exprimés en des termes suffisament peu précis pour être ensuite considérés comme « hautement probables ». A juste titre, l’IAC recommande de mettre fin à cette dilution des conclusions et à fournir au contraire des éléments plus tranchés accompagnés de véritables analyses statistiques de probabilité d’occurence.

      Scientifiquement, cette recommandation a tous son sens, et permetrait d’éviter des malentendus de termes trop agues énoncés de façon péremptoire. Mais cette suggestion se heurte à uun eccueil majeur : dnas leur immense majorité, les citoyens, les journalistes et les politiques ne sont pas capables d’interpréter la signification de probabilités. On retrouve ce problème pour toutes les catastrophes naturelles : quel politique sait interpréter ce que signifie concrètement un risque de tremblement de terre de magnitude 7 de 50% dans les deux siècles prochain pour un lieu donné ? Comment traduire ce risque probabiliste en action concrète ?

      On comprend donc mieux la nécessaire professionnalisation de la communication des conclusions du GIEC : traduire en langage compréhensible des probabilités scientifiques est toujours un défi. Lorsque les enjeux sont aussi importants que dans ce cas du changement climatique, la pédagogie nécessaire devient une affaire d’état...


      • jeanpierrecanot jeanpierrecanot 7 septembre 2010 11:57

        SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !

        On ne cesse de nous expliquer que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».

        Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.

        Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.

        Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.

        « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?

        Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?

        Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.

        On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.

        Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».

        C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.

        Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.

        Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir sur les facteurs qui gouvernent le climat.

        Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur le rôle illusoire de l’Homme sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement auquel de plus en plus d’entre nous et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons rien.

        N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.

         


        • chria chria 7 septembre 2010 13:16

          "Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste."
          Renseignez-vous avant de faire de la mauvaise philosophie. Les scientifiques pratiquent constamment le doute de Descartes alors que les sceptiques ne font d’insérer du doute dans la démarche scientifique et les actions politiques.
          Quand au consensus dont vous parlez il n’a rien à voir avec ce que vous décrivez, c’est juste que la grande majorité des recherches actuelles vont dans le sens d’un réchauffement climatique d’origine anthropique. Cela n’est pas politique mais un fait. Il existe bien sûr des incerttitudes et celles-ci sont complétement présentées dans les rapports.
          Si vous faites des analyses sur ce que vous lisez dans les journaux, pas étonnant que ce soit à côté de la plaque.

          Bref avant de tirer des conclusion en analysant deux mots, faut bosser et étudier.

          Au fait quels sont vos grands scientifiques consensuo-sceptiques ?
          Et puis pourquoi s’adapter si les scientifiques racontent n’importe quoi ? Y’a réchauffement ou non ?
          Et puis est-ce dangereux de dire qu’il a de grandes chances que ce soit les humains qui avec leur émission de GES provoque le réchauffement actuel et que celui-ci pourrait augmenter si rien est fait pour les réduire ?

          Si science sans conscience n’est que ruine de l’âme, alors déblatérer sans connaître, c’est quoi ?


        • pissefroid pissefroid 7 septembre 2010 12:44

          L’étude de l’évolution du climat doit être laissé aux mains des scientifiques.

          Le GIEC est un organisme politique, et ces rapports sont des rapports politiques.

          Voir à ce sujet la manière dont les rapports du GIEC sont élaborés :
          http://www.ipcc.ch/organization_giec_fr.htm

          Tout ce qui est dit sur la responsabilité humaine fait partie d’une décision politique du GIEC et ne peut donc pas être pris en compte sur le plan scientifique.


          • chria chria 7 septembre 2010 13:18

            pissefroid, vous avec l’esprit tordu, ou peut-être torturé.
            L’influence des GES sur le climat est donc un point de vue politique ?
            Hihi


          • LE CHAT LE CHAT 7 septembre 2010 13:31

            @chria

            oui ! une occasion de faire du business de plus pour la clique du NWO !


          • chria chria 7 septembre 2010 13:38

            Il y a des occasions partout pour se faire du fric mais ce n’est pas cela qui a engendré le problème du RCA.
            Faut pas se gourer entre la cause et l’effet


          • Alain94360 8 septembre 2010 11:57

            C’est la thèse de Drieu Godefridi dans son livre « le Giec est mort, vive la science ».

            Contrairement à des gens comme Benoit Rittaud ou Viencent Courtillot il ne parle pas vraiement de la science ou des mesures, mais comme l’IAC (et un peu Benoit Rittaud dans ses chapitre concernant l’épistémologie, et Courtillot dans certaines remarque) il critique le processus lui même...
            c’est très acide, mais très argumenté (on est loin des argumentation cro-magnon de certains).

            Il va plus loin que l’IAC car il affirme que c’est la structure et l’essence même du GIEC qui sont malsaines. C’est une sorte de parlement des scientifique, qui à la façon d’auguste renan « jeune » propose une solution « scientiste » au malheurs du monde. mais Godefridi explique bien que la politique corromp la science quand on les mélange.
            En plus, et Rittaud le dit bien, le travail de scientifique doit rester loin des enjeux et se contenter d’observer. c’est dur a accepter, comme pour un médecin de catastrophe de se contenter pendant 1 minute de compter les type de blessés (règle du médecin de catastrophe) au lieu de les secourir.
            ca n’empêche pas les politique de bosser derrière, mais le scientifique doit mesurer, tester ses modèles, discuter des controverses sans urgence, et bâtir un socle de science réfutable mais pour le moment solide... car ce qui n’est pas réfutable est faux (en fait sans réalité, pire).

            Le plus suprenant, c’est que les 3 enquetes de blachiement dont j’ai entendu parler, dont l’IAC ont été menées par des proches du GIEC avec leur assentiement.
            mais celle de l’IAC a réussi, malgré la consanguinité, à rester critique... il faut que ce soit grave. et en fait ce rapport constrate ce que le climate-gate a mis au jours. ?..

            conflit d’intérêt, blocage organisé des critiques, comité de revues sous contrôle ou sous menance, blocage des données, instruction à chaureg, affirmations avancées comme solide, sans la moindre preuve ni crédibilité...
            si on relit le rappor de l’IAC avec un esprit critique, c’est sanglant. mais ca n’"arrive pas en france.

            le plus négatif étrangement vient du monde (il fait partie des 2-3 versions différentes qui circulent dans la presse officielle)
            http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/09/01/le-giec-petit-meurtre-entre-amis_1405321_3232.html

            mais on est loine de ce que certains avancent comme les commentateurs de cet article soviétique
            http://lesinfosvertes.hautetfort.com/archive/2010/08/30/climat-un-rapport-conclut-a-la-necessite-d-un-rapport-en-pro.html


          • chria chria 10 septembre 2010 15:12

            La science est l’otage d’une guéguerre idéologique entre libéraux et écolo. Pitoyable.


          • dup 7 septembre 2010 14:19

            voilà un travail très bien fait sur les questions d’environnement . Nous avons besoin de vrais chiffres , le reste nous pouvons déduire nous même

            http://www.bafu.admin.ch/publikationen/publikation/01548/index.html?lang=fr&download=NHzLpZig7t,lnp6I0NTU042l2Z6ln1ae2IZn4Z2qZpnO2Yuq2Z6gpJCGeIJ8gGym162dpY bUzd,Gpd6emK2Oz9aGodetmqaN19XI2IdvoaCVZ,s-.pdf




              • joletaxi 7 septembre 2010 16:40

                Ca va être dur dur de remonter la pente.

                c’était pourtant bien parti,à voir la compte en banque de AlGoor.
                Et puis patatras, deux bons hivers consécutifs, ça rafraîchit.
                Il y a bien sur les affidés de la première heure qui viennent nous servir le petit catéchisme bien pensant, les milliers(pourquoi pas les millions ?) de scientifiques du monde entier,le consensus,quelques petites erreurs, sans importance,etc.
                Risible et pathétique.
                Et de voir les grands pontes prendre des airs de Nostradamus, pour dire que les derniers évènements climatiques n’ont rien à voir avec le RCA, mais, on ne sait jamais...par ici la bonne soupe.
                A lire vos commentaires, je me dis que Woerth,c’est le nouvel abbé Pierre.
                Aucune, mais alors aucune des prévisions contenues dans les rapports de GIEC n’ont connu le moindre début de réalisation.
                Quant au consensus de milliers de scientifiques, je crois savoir que la partie I des rapports sont le fait de tout au plus 80 chercheurs, dont le fameux Man, ce qui tout à coup est déjà beaucoup moins universel.
                Les effets réels eux sont bien là, des taxes à n’en plus finir, dont on ne sait où elles aboutissent(cf le dernier scandale des certificats carbones et de CFC) des éoliennes qui brassent du vent, et quelques oiseaux de passage, à nos frais bien entendu, sans aucune utilité prouvée, des agro-carburants qui provoquent de bien réelles émeutes de la faim, la liste est longue comme un jour sans fin.
                A vos poches, nos sauveurs ont besoin de notre pognon pour nous dire comment nous en passer.


                • chria chria 7 septembre 2010 17:11

                  La science au service des riches et des puissants, des écolos et des taxeurs, des curés et des croyants, et contre le bon peuple.
                  Et tout ça en moins de 20 lignes.
                  Joli !
                  J’attends ta synthèse en moins de 5 lignes.
                  Handicap : ne parler ni de taxe, ni écologie, ni complot, ni religion. Mais de science, tu te souviens ce truc là ?


                • rastapopulo rastapopulo 7 septembre 2010 21:37

                  M’enfin la science se plante, surtout dans le domaine du très précis comme une période de 200 ans !!!

                  C’est vraiment stupide de ne pas admettre une seconde qu’il y une possibilité de se planter.

                  En plus, ce ne sont que des arguments encouragé par une « agence » qui a comme statut d’étudier le réchauffement anthropique (véridique). Il n’a donc jamais été question de débattre. JAMAIS.

                  Je veux bien admettre qu’il y des arguments qui poussent à croire à la suprématie du CO2 sur tout ce qui influence mais le manque de recul est criant et les 10 prochaines années ne vont que prouvé qu’avoir gommer les périodes de refroidissement faisait croire à une similitude entre CO2 et Réchauffement. Avec les 10 ans qui viennet et la période du Big Freeze nous auront déjà 2 périodes qui pourveront le contraire si vous ne les gommer pas pour encore retarder l’échéance de l’analyse.


                • chria chria 8 septembre 2010 14:10

                  Mais de quoi parlez-vous ? Quel période de refroidissement ?


                • Clem 7 septembre 2010 17:04

                  Bon article.
                  La dé-construction de la Farce est en route. Il est temps.


                  • rastapopulo rastapopulo 7 septembre 2010 21:38

                    Je trouvais justement que l’article était bien neutre dans le bon sens du terme.


                  • joletaxi 7 septembre 2010 17:55

                    @Chria


                    ne parler ni de taxe, ni écologie, ni complot, ni religion. Mais de science, tu te souviens ce truc là ?

                    On aurait aimé que le GIEC se cantonne à la sciences, du moins si l’on peut parler de sciences en climatologie, tant ce domaine est sujet à toutes les dérives.
                    Mais je suis toujours demandeur :
                    -une courbe incontestable des t° paléo par exemple ?
                    -une courbe incontestable de t° instrumentales ?
                    -une courbe incontestable des variations de niveau des océans(j’évite à dessin l’emploi de « montée »)
                    -une courbe incontestable des t° de ces océans(McIntyre commence justement à s’intéresser à la question, on risque d’avoir des surprises)
                    -une démonstration incontestable de l’effet de serre(la NASA a abandonné le petit schéma de Tremberth, on se demande pourquoi ?) 
                    - une théorie incontestable des rétroactions, de l’effet des nuages, de la circulation thermohaline,de l’absence du hotspot sous les tropiques, etc...

                    Le jour où, ne fusse que sur les mesures, il y aura un début de consensus, on reparlera sciences,mais cela risque de prendre un peu de temps, le MetOffice va juste s’appliquer à reconstituer la banque de données des historiques de t° instrumentales,fort opportunément « perdues » par le CRU, pour tenter d’arriver à ce fameux consensus.(Ils parlent de 3 ans minimum, et d’avoir recours au public ! justement ce qu’a fait Mr Anthony Watt,qui conclut à l’état déplorable des stations de mesure)

                    Bref, ne le prenez pas de haut sur la sciences, vous n’avez pas les munitions pour. 



                    • chria chria 7 septembre 2010 19:01

                      De toute façon il y aura quelqu’un pour contester puisque par nature la science qui étudie un système complexe naturel comme le climat ne pourra, à l’heure actuelle et encore pendant longtemps, pas fournir de loi « exacte ». On doit se contenter de ce qu’on a et c’est comme ça, pas la peine de jouer à la vierge effarouchée.
                      Il faut du temps alors prenons le. Que les mesures politiques ne plaisent pas je le comprend aisément, mais qu’on se servent de ces mesures pour discréditer l’avancée des recherches c’est un coup bas qui ne glorifie pas celui qui le fait puisque même si rien ne dit à 100% que le RCA est dans sa forme actuelle une vérité scientifique il existe encore moins de chance que les émissions de GES soient sans conséquence, qu’elles soient bonnes ou mauvaises pour la société.
                      Le faisceau de présomption est bien plus convergent et c’est pourquoi il y a plus de scientifiques qui s’acharnent à contruire des connaissances que que pseudo-scientifiques qui s’amusent à les déconstruire sans jamais produire de travaux contradictoires.
                      C’est qu’une question de logique, mais visiblement les aspects politiques illuminent le côté obscure de votre cerveau.


                      • Esotemyst 7 septembre 2010 21:25

                        «  il existe encore moins de chance que les émissions de GES soient sans conséquence, qu’elles soient bonnes ou mauvaises pour la société. »

                        Je ne rentrerais pas dans le détail ce serais long et hors sujet.
                        L’homme n’a que très peut d’influence sur les GES . Faut il rappeler que la vapeur d’eau sous ses différentes formes représente à elle seule 72 % des émissions ? ajoutez le méthane naturel des vastes zones marécageuses, les émissions des volcans etc...

                        Quelle pourcentage pour les émissions du à l’activité humaines ? infime

                        Je tenais également à préciser que je soutiens les efforts d’une gestion contrôlée de nos ressources mais pas sur fond de spéculation .


                      • rastapopulo rastapopulo 7 septembre 2010 21:42

                        De toute façon il y aura quelqu’un pour contester puisque par nature la science qui étudie un système complexe naturel comme le climat ne pourra, à l’heure actuelle et encore pendant longtemps, pas fournir de loi « exacte ».

                        Tiens, tiens redescendu sur terre grâce au septique ? Faudrait les remercier un jour.


                      • chria chria 8 septembre 2010 10:56

                        Pourcentage ?

                        Et le PRG ça vous dit rien ? 

                      • joletaxi 7 septembre 2010 19:29

                        « mais visiblement les aspects politiques illuminent le côté obscur de votre cerveau. »


                        Ne vous laissez pas emporter par le côté « illuminé » de votre cerveau.

                        « Le faisceau de présomptions est bien plus convergent » 

                        Des présomptions ! et vous me parlez sciences ?Quand je passe sur un pont, ou que je m’assieds dans un avion, j’ai besoin d’un peu plus que des présomptions, mais chacun est libre de ses choix.
                        Je ne sais pas si vous avez suivi les dernières petites expériences de Spencer ?Un débat extrêmement enrichissant s’en est suivi,et les opinions sont parties dans tous les sens,preuve s’il en est que même la base, l’effet de serre, est loin d’avoir convaincu.
                        Il est d’ailleurs curieux qu’un « climatologue » de ce calibre pose des questions aussi simplistes,provoquant des réponses tous azimuts,moi je croyais que sur ce point là au moins, il y avait « consensus » ?

                        Figurez-vous qu’il y a réchauffement climatique depuis... 150 ans,et que je m’en accommode très bien.Je pencherais même pour un ou deux degrés de plus, comme au moyen-âge,ou à l’époque romaine. je me verrais bien en toge assistant à la fonte du dernier iceberg.

                        • rastapopulo rastapopulo 7 septembre 2010 21:41

                          Je ne sais pas si vous avez suivi les dernières petites expériences de Spencer ?Un débat extrêmement enrichissant s’en est suivi,et les opinions sont parties dans tous les sens,preuve s’il en est que même la base, l’effet de serre, est loin d’avoir convaincu.

                          Si il y a un lien précis, faire suivre svp


                        • chria chria 8 septembre 2010 10:58

                          Arrêtez avec votre mauvaise foi on est pas dans les sciences de l’ingénieur. 

                          Quant à votre accommodation cela ne regarde que vous et ne change rien au problème. 

                        • chria chria 8 septembre 2010 11:53

                          Mais pourquoi j’essaye de raisonner avec des gars qui pensent que l’analyse d’un fan de new-age, d’ésotérisme et de complot sur un sujet complexe vaut plus que l’énorme travail fourni par toutes une ribambelles de scientifiques depuis des dizaines d’années ?
                          Faut être dingue ! smiley


                          • Clem 8 septembre 2010 15:38

                            Tu n’as pas l’air bien au courant de ce qu’est ce fameux consensus scientifique. :)


                          • chria chria 8 septembre 2010 16:44

                            La science avance dans le débat constructif et la science climatique n’échappe pas à la règle.
                            Après le travail du Giec c’est autre chose. Si on demande aux chercheurs ce qu’ils pensent de la théorie du RCA, si elle semble réaliste et s’il existe d’autres théories alternatives, et bien ils répondent en donnant leur avis. Si une majorité de ces chercheurs approuvent le diagnostic et bien on peut appeler cela un consensus. La question du RCA étant loin d’être réglée, le fait de brandir ce consensus comme preuve que le RCA n’existe pas parce que la science n’avance pas par consensus est une pure manipulation médiatique.
                            Et vous êtes tombé dans le panneau.
                            Parce que toute façon, à l’heure actuelle, si on prend en compte les critiques scientifiques formulées sur le RCA et qu’on refasse toute la théorie, et bien devinez quoi, la théorie restera valide. Parce que le climat est un système complexe, et ce n’est pas le consensus qui dira si le RCA est « vrai » ou « faux ». Les éléments les plus valides ne font que tous aller dans le même sens. C’est qu’une question de logique.
                            La suite : la négation, bien sûr. La science est fausse, les observations sont fausses, il y a eu manipulation, complot, etc.
                            Heureusement que la « pensée unique » n’est pas celle des sceptiques de base, parce que sinon on vivrait vraiment dans une dictature.
                            Et puis un jour il faudrait arrêter de radoter. Les sceptiques ont pu exprimé leur doute, ils ont été largement entendu. Et c’est pas ça, à part dans l’opinion public, qui a fait changer les choses au niveau scientifique. En plus les scientifiques connaissent les limites de leur travaux. Ils n’ont pas besoin que des personnes extérieures leur apprennent leur métier. Vous radotez peut-être parce que votre esprit n’est plus capable de faire la part des choses, que chaque réflexion de votre part commence par « le RCA c’est de la connerie de toute façon » sans jamais essayer de comprendre comment marche un système complexe et comment la perception humaine de ce phénomène est si particulière. Je le redis, on est pas dans les sciences de l’ingénieur.
                            Si vous êtes un apôtre de la vérité et de la liberté, demandez pourquoi les sceptiques assument leur mauvaise foi et leur idéologie comme on peut le lire sur skyfal (que je connais bien) ? C’est facile de critiquer sans cesse mais j’ai pu me rendre compte que 99.99% des sceptiques ne savent faire que cela (voir ma première phrase). Et la recherche n’avance pas comme cela, heureusement, sinon on serait toujours à l’âge de pierre (et encore).


                          • Clem 8 septembre 2010 17:04

                            Tu n’as pas bien compris, apparemment, que ce consensus est très relatif et s’étiole chaque mois un peu plus. smiley

                            "demandez pourquoi les sceptiques assument leur mauvaise foi et leur idéologie comme on peut le lire sur skyfal (que je connais bien) ?« 
                            Serais-tu capable de nous montrer un ou plusieurs exemples pour appuyer ce qui tu dis ?

                             »C’est facile de critiquer sans cesse mais j’ai pu me rendre compte que 99.99% des sceptiques ne savent faire que cela"
                            Es-tu au courant de toutes les publications scientifiques qui réfutent le RCA ?

                            Tu as un discours militant. Un discours qui marchait encore il y a 2 ans. (J’avoue m’être fait berner jusque là, jusqu’à ce que je creuse la question.)
                            Ca ne marche plus aujourd’hui.


                            • chria chria 9 septembre 2010 09:44

                              Non c’est toi qui ne comprend pas que ce consensus ne concerne pas les scientifiques qui bossent sur le climat. Ce « consensus » concerne ce que l’on a appelé la pensée unique, qui est avant tout une vision dogmatique propagée par les écolos et les journalistes.

                              Sur skyfal il suffit d’aller suivre quelques discussions pour se rendre compte. Des erreurs peuvent être dites, repérées par certains mais jamais démenties : à partir du moment où cela permet de critiquer « la farce », même si c’est du grand n’importe quoi ou des erreurs flagrandes, on prend avec plaisir. On est dans l’idéologie pas dans l’honnêteté. J’étais sceptique avant mais j’ai été dégouté de la mauvaise foi générale des intervenants sceptiques et je me suis rendu compte qu’ils sont dans un combat politique et non dans une démarche scientifique.

                              Concernant les études elles ne remettent PAS en cause le RCA. Elles y apportent des précisions, des nuances, mais aucune étude scientifique à ce jour réfutant le RCA comme tu dis n’a été validé. Encore une fois vous ne voulez pas comprendre la nature de l’objet.

                              Creuse encore et encore et tu comprendras que la voie dans laquelle tu t’engages est un voile de fumée intellectuelle, et pire, une attaque idéologique contre une approche scientifique d’un problème complexe. Je le redis, les mesures politiques visant à réduire les émissions peuvent être discutables. Mais ce n’est pas une raison pour faire croire aux gens que même la science qui est derrière est fausse. Même des intégristes religieux n’auraient pas fait mieux pour obscurcir le débat tel que les sceptiques le font.


                              • Waldgänger 9 septembre 2010 09:57

                                Et bien vous parlez d’or sur la question, c’est un plaisir de voir toutes ces idées clairement exposées et argumentées.


                              • Clem 9 septembre 2010 12:01

                                Et donc, ou sont tes arguments et tes exemples ?
                                Toujours rien.


                              • chria chria 9 septembre 2010 14:32

                                Pour me justifier sur quoi ? La manipulation des sceptiques ?
                                Tglobale, maximum médiéval, relation carotte-CO2, etc. A chaque fois on se base sur du vent et on transforme la réalité.
                                Un exemple  :
                                « Le RCA c’est bidon puisqu’il faisait plus chaud vers l’an mille qu’aujourd’hui, et qu’il n’y avait pas de GES à cette époque. »
                                C’est tout bête non ?


                                • Esotemyst 9 septembre 2010 17:58

                                  « Le RCA c’est bidon puisqu’il faisait plus chaud vers l’an mille qu’aujourd’hui, et qu’il n’y avait pas de GES à cette époque. »

                                  C’est quoi ce Non Sens ?
                                  Rassurez moi cette affirmation n’est pas de vous ?
                                  Si c’est un exemple que vous avez relevé ; il est temps faire un tri dans les sources que vous consultés. Les GES ne nous ont pas attendue pour recouvrir notre planète d’une protection indispensable (tout est question de densité évidemment). 


                                • chria chria 10 septembre 2010 09:42

                                  Non c’est juste un raisonnement sceptique bidon qu’on voit parfois trainer sur le net (clem voulait un exemple, mais des comme ça on en trouve à la pelle).
                                  Mais je suis allé trop vite effectivement : j’aurais du rajouter « de ges anthropiques ».


                                  • Clem 10 septembre 2010 15:25

                                    Ça n’est pas ce que disent les sceptiques. (donc, soit tu es de mauvaise foi, soit tu es mal renseigné)
                                    Je vais t’expliquer au cas ou... donc :
                                    - Le GIEC explique que le réchauffement qu’il y a eu jusqu’en 2000 est sans précédent, en montrant une courbe qui démarre après l’optimum médiéval (ça a été bien choisi n’est-ce pas ?)
                                    - Là dessus les sceptiques expliquent que non ce réchauffement n’est absolument pas sans précédent et montrent ce qui s’est passé juste avant que ne commence la courbe en question (mais pas seulement).
                                    Alors, qu’en pense-tu ? Ou se trouve donc la mauvaise foi ? smiley
                                    Aurais-tu d’autres exemples ? (pense tout de même à vérifier en donnant éventuellement un lien précis, cela t’évitera de passer pour un bétasouille.)


                                  • chria chria 10 septembre 2010 16:58

                                    Alors l’histoire du « sans précédent » ça a déjà été réactualisé. Ca peut arriver de dire des conneries. D’ailleurs à l’époque ça m’avait bien énervé ce sans précédent. Un abus de langage tout au plus maintenant avec le recul.

                                    Mais de toute façon, cela ne remet absolument pas en cause la théorie actuelle, d’autant plus qu’à l’époque il n’y avait pas de GES anthropique, donc c’est incomparable.

                                    L’histoire de l’optimum c’est de la poudre aux yeux balancée aux crédules.

                                    Etc, etc...


                                    • Clem 10 septembre 2010 17:23

                                      « Alors l’histoire du »sans précédent« ça a déjà été réactualisé. »
                                      Ah tiens donc, le GIEC aurait reconnu s’être trompé sur ce point ? Aurais-tu, par hasard, un lien sérieux pour prouver ceci ? Nous attendons impatiemment.

                                      « à l’époque il n’y avait pas de GES anthropique »
                                      Oui, tu as raison, ceci prouve que le climat n’a jamais eu besoin de l’homme pour évoluer, et surtout pour être plus chaud.

                                      Et sinon, toujours pas d’autres exemples étayés  ?


                                    • Esotemyst 10 septembre 2010 19:35

                                      Je pense qu’il est temps de passer à des références un peu sérieuses.
                                      Je vous propose de visionner une conférence de Vincent Courtillot sus-cité dans mon article. Loin des illuminés Vincent Courtillot est Docteur ès sciences, professeur de géophysique à l’université Paris-Diderot. Titulaire de la chaire de paléomagnétisme et géodynamique de l’Institut universitaire de France et directeur de l’Institut de physique du globe de Paris. Il a enseigné à Stanford, à l’université de Californie à Santa Barbara et au Caltech.
                                      En trois parties :
                                      http://www.dailymotion.com/video/xb97ws_le-rechauffement-climatique-v-court_news 
                                      http://www.dailymotion.com/video/xb97i5_le-rechauffement-climatique-v-court_news 
                                      http://www.dailymotion.com/video/xb978p_le-rechauffement-climatique-v-court_news 
                                      La science n’est pas un dogme , elle doit être discuté honêtement


                                    • chria chria 10 septembre 2010 21:34

                                      « Oui, tu as raison, ceci prouve que le climat n’a jamais eu besoin de l’homme pour évoluer, et surtout pour être plus chaud. »
                                      No comment


                                      • BuxtonH 19 septembre 2010 08:18

                                        « Évitons aux climats-sceptiques de ce réjouir trop vite et aux partisans du réchauffement entropique […] »  Jeu de mots sur entropique / anthropique ?

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