La mise à mort de la biodiversité virale par la vaccination demandée par une foule manipulée, inconsciente et ignorante des lois du vivant
Selon un sondage, 58% des français seraient favorables à la vaccination pour tous obligatoire. Nul doute que ces personnes ont été bien "informées" par les médias et le gouvernement, qui rabâchent depuis plus d'un an déjà que la vaccination est la seule sortie de crise, alors que cette approche a déjà laissé derrière elle des millions de morts avant qu'elle ne puisse même débuter, fin 2020, presqu'un an après le début de la pandémie. La biodiversité virale est pourtant la seule sortie de crise possible pour l'humanité, en favorisant la propagation de variants sélectionnés par notre système immunitaire et capables de prendre le dessus sur les autres variants présents dans l'écosystème humain. Néanmoins, la machine de propagande planétaire vaccinale dont l'objectif n'est que la destruction de cette biodiversité virale et l'éradication du virus, fait qu'aujourd'hui, une "foule meurtrie et haineuse contre le virus" - l'unique responsable de la situation, selon les médias et les gouvernements - souhaite la mise à mort du nouveau coronavirus et de tous ses variants grâce à l'arme de destruction massive de la biodiversité virale qu'est la vaccination pour tous.
« Plus de 4.000 variants du SARS-CoV-2 ont été identifiés à travers le monde », expliquent ainsi les services de santé britannique sur leur site internet. Et l'OMS d'ajouter : « La plupart n'a pas d'impact en termes de santé publique ». Tout dépend en effet des mutations qu'ils portent.
Futura Sciences, mars 2021
La vaccination ne fait pas de différence, elle cherche à éradiquer tous les variants du virus en circulation, même si ceux-ci peuvent être salutaires, de manière naturelle, dans le contrôle de la pandémie mondiale, en remplaçant les variants problématiques par des variants sans impact notoire sur la santé publique.
Aussi, l’unique raison de la folle campagne de vaccination actuelle, qui consiste en la vaccination de centaines de millions sinon de milliards d'êtres humains dans le monde, est non pas la dangerosité des nombreux variants du SARS-CoV-2, mais bien plutôt la mise "hors service" des hôpitaux par une minorité de la population, victime des maladies dégénératives causées par le mode de vie et d’alimentation moderne, et pour laquelle certains de ces variants ne sont que le catalyseur de problèmes métaboliques préexistants.
Bien que la France ait près de la moitié de sa population en surpoids, elle ne reconnaît même pas l'obésité comme une maladie chronique... Pas étonnant que ce pays soit l'un des plus touchés au monde en terme de mortalité, alors qu'avant la crise, le supposé modèle de "sécurité sociale" de ce pays était vanté partout dans le monde comme un modèle de réussite... Un modèle plus ou moins égalitaire assurant l'accès aux soins, peut-être... un modèle de réussite médicale, clairement non.
En fait, les institutions de santé publique ne veulent pas lutter contre la pandémie de maladies chroniques et d’obésité responsable de l'état de fait actuel, dont la plupart n'existaient même pas au début du XXe siècle avant l'industrialisation de l'agriculture, au moins pas dans les proportions actuelles. Ces institutions ne souhaitent pas, en effet, remettre en question le mode de vie et de développement dominant. Elles veulent seulement, avec l’appui des politiciens en place, continuer dans la même direction, en cachant les vrais problèmes sanitaires et environnementaux sous le tapis, à l'aide d'une vaccination obligatoire, notamment en ce qui concerne les adultes, possiblement étendue aux enfants.
Ô combien pratique, cette campagne de vaccination pour tous permettrait à court terme de désengorger les hôpitaux sans avoir à traiter les causes sous-jacentes des problèmes de santé publique que sont, depuis voilà un peu plus d'un siècle, l'apparition des maladies dégénératives en Occident, facteurs de risque COVID, et leur propagation dans le monde par des biais économiques et l'uniformisation du mode de vie occidental basé sur une croissance aggressive à l'échelle planétaire.
Ne rien changer et continuer comme avant, malgré notre responsabilité dans l’apparition de cette crise, est le credo des politiciens et institutions actuelles. La fascination qu’exerce la technoscience et la corruption financière qui y est associée font également illusion pour une majorité de la population, qui pense qu'une pandémie, problème premièrement écologique, peut se résoudre par un vaccin créé in vitro dans une boîte de pétri.
Les institutions de santé publique font ainsi entrer le message dans la tête de la population, à grand renfort de communication médiatique répétitive, que la fin de la pandémie est égale à la fin de la circulation des virus qui y sont associés, que les virus sont les responsables directs de la paralysie de la société, qu'ils sont l'ennemi public numéro 1.
C’est donc tout naturellement une mise à mort publique du virus qui est demandée par la "foule haineuse" avec l’aide de la vaccination, le virus étant le coupable idéal et tout trouvé pour les problèmes que nous connaissons aujourd'hui... Sa tête est alors mise à prix et rien n'est trop cher pour tuer cet ennemi. Des milliards et des milliards d'investissements sont engagés dans la recherche pharmaceutique et particulièrement vaccinale : une vraie poule aux oeufs d'or que cette chasse aux virus... avec l'aide grâcieuse des contribuables.
En fait, la fin de la pandémie nécessite non pas une éradication du virus, mais une circulation du virus dans une forme sélectionnée par notre système immunitaire, c’est-à-dire, la circulation de variants que l’organisme humain a naturellement sélectionné au contact du virus, permettant l'établissement d'une immunité naturelle efficace et durable.
La biodiversité virale, qui est attaquée par la vaccination actuelle, est une des clés de la sortie de crise. Cette sortie de crise pour l’espèce humaine ne viendra pas des pays occidentaux qui auront été largement vaccinés, mais plus probablement des pays moins vaccinés, dans lesquels la circulation de variants sélectionnés par notre système immunitaire permettra le remplacement des variants problématiques de manière naturelle.
Les vaccinés seront toujours à risque du fait de la précarité de leur protection, de leur dépendance aux vaccins, et de leur mode de vie, qui les rend sujets à la maladie. Aussi, même si les vaccins sont capables de faire illusion à court terme, à grand renfort de propagande gouvernementale et médiatique, les pays largement vaccinés connaîtront vraisemblablement plus de difficultés à plus ou moins long terme, comparativement aux pays moins vaccinés, tandis que la solution à la pandémie mondiale de maladies chroniques qui ne date pas de 2019 n'est clairement pas dans la vaccination, mais dans la recherche de modes de vie, d'alimentation et de développements plus sains pour tous sur la planète.
Image : Diagramme phylogénétique témoignant de la biodiversité du nouveau coronavirus (source)
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