Le temps est-il une dimension qu’il faut finir de détruire ?
Je veux tout, tout de suite. Plus les distances s’effondrent, moins nous acceptons d’attendre...

Avec la théorie des cordes, tout est devenu encore plus compliqué : il y aurait 7 dimensions cachées (voir « Les sept dimensions cachées de notre univers ») ; au moment du big-bang, les 4 dimensions de notre univers – les 3 spatiales et la temporelle – se seraient déroulées ; rien ne dit que nos 4 dimensions ne soient pas enroulées avec un rayon de courbure immense…
Troublant et perturbant à penser au quotidien, non ?
Apparemment, aucun lien avec notre vie quotidienne et avec le management des entreprises.
Oui, bien sûr. Quoique…
Depuis la découverte de l’énergie et du moteur à explosion, l’espace physique s’est progressivement comme contracté. Il n’y a pas si longtemps, quitter son village était le début de l’exil, et on mourrait à une encablure de là où on était né. Tout voyage était une aventure ; changer de continent, une exception. Aujourd’hui les développements du transport aérien, des trains à grande vitesse et des infrastructures routières ont tout bouleversé. On ne parle plus en kilomètres mais en temps : Lyon n’est plus à 450 km de Paris, mais à deux heures (voir la carte ci-jointe). Tiens, on retrouve cette ambivalence entre espace et temps…
Depuis 20 ans, et surtout depuis 10 ans, les technologies de l’information sont venues dynamiter l’espace et supprimer les distances : les kilomètres n’existent plus ; je peux parler à mon « voisin numérique » sans même savoir où il est – d’ailleurs la première question posée au téléphone est maintenant : « Tu es où ? » –. L’espace physique s’est comme effondré sur lui-même, comme si nous n’occupions tous plus qu’un seul point, un seul lieu. Nous sommes tous synchrones. Inutile de demander à son correspondant : « Tu es quand ? », car tout se passe en direct. Avant, sur une lettre, il fallait spécifier la date à laquelle elle avait été écrite.
A cet effondrement de la distance, à cette synchronicité de la communication, répond en écho une demande de voir le temps s’accélérer : nous supportons de moins en moins d’attendre ; nous acceptons de moins en moins que ce qui est immédiatement accessible virtuellement ne le soit pas physiquement ; nous confondons agitation et mouvement réel.
Cette évolution, je la constate tous les jours dans les entreprises. Plus elles deviennent globales – c’est-à-dire plus l’espace physique s’effondre et tend à devenir un point –, plus elles ont un rapport « maladif » au temps : tout est urgent ; toute personne qui ne court pas et n’est pas débordée est suspecte (voir « Si agitation rimait avec efficacité, toutes les entreprises seraient performantes ») ; même en réunion, on doit lire ses mails et y répondre ; seul le présent et le court terme comptent…
C’est bien simple, alors que, jusqu’à ces dernières années, une grande partie de mon métier de consultant était de chercher à accélérer les processus et les changements, il est maintenant de chercher à les ralentir et à faire prendre conscience de l’inutilité de cette agitation (voir « Courir en rond sur un stade ne fait pas vraiment avancer un sujet ! ») !
Et ce n’est pas prêt de s’améliorer quand je vois se développer tous les produits financiers qui visent à tout anticiper et à contracter encore davantage l’espace-temps : du prêt simple aux produits d’arbitrage ; des bourses d’actions aux marchés de « futures »… Nous voulons tout, tout de suite.
Finalement le déroulement réel du temps se doit d’être tel qu’il a été prévu et vendu à de multiples reprises : sinon, c’est le crash !
La crise actuelle est un peu comme un trou noir de notre espace-temps économique, comme une déchirure par laquelle s’enfuient nos espérances.
Nous rêvons d’un temps construit à l’avance et qui ne serait que le déroulé de nos anticipations. Nous avons bien réussi à remodeler l’espace physique à coup d’autoroutes, d’aéroports et de fibre optique. Alors pourquoi pas le temps ?
Finalement, Einstein et tous les théoriciens des cordes avaient encore plus raison qu’ils ne l’imaginaient : le temps est une dimension qu’il faut finir de détruire !
Mais est-ce le meilleur des mondes ?
56 réactions à cet article
-
Pourquoi perdre son temps à gagner sa vie......
-
-
Seriez pas un brin masochiste vous ?
-
Le probleme avec les scientifiques c’est qu’ils font d’une theorie une valeur absolu. Einstein n’a emis qu’une theorie sur la relativité qui s’avere fausse au final, mais comme la science est pris dans le Dogme des scientifiques qui sont dans leurs delires limite religieuse venerant Einstein, alors pas touche.
Maintenant nous allons passer aux choses serieuses, le Temps. Je vais etre clair, le Temps n’existe pas, ce n’est qu’une intepretation de notre Cerveau pour pouvoir se situé dans l’espace.
Par exemple, sa nous arrive tous de voir le temps defilé plus vite quand nous nous amusons et duré une eternité quand nous nous ennuyons, mieu encore, quand nous dormons 8 heures, nous n’avons pas vu le temps passé. Le Cerveau interprete une donnée pour se situé dans l’espace. La ou Einstein avait tord etait de consideré l’espace temps, alors qu’en fait il n’y a que l’espace.
Toute espece animal ou vegetal crée son propre temps, il y a l’age aussi, un enfant verra le temps passé tres lentement, alors que l’adulte verra le temps defilé tres rapidement.
Faire une theorie sur le fonctionnement de l’univers en se basant uniquement sur des données biologiques sera fausse car sa ne restera que de l’interpretation et rien d’autre.
La definition meme d’autres dimensions mise a part les 3 est fausses, car se sont des reperes que le cerveau crée et interprete pour se deplacé dans l’espace, dans ce cas la, le facteur peut devenir la 4 eme dimension dans le sens ou le cerveau s’en sert comme un indicateur de l’emplacement dans l’espace.
Je tenais a precisé ces quelques points qui semble occulté soit par negligence mais surtout par manque d’intelligence de nos scientifiques qui malgré leurs diplomes, ils n’ont pas l’intelligence necessaire pour comprendre l’elementaire.
-
Pallas : ça a l’air intéressant ce que vous racontez, mais je n’y comprends rien. Pourriez vous le reposter après l’avoir relu au moins une fois et en corrigeant par la même occasion les fautes d’orthographe, qui rendent votre contribution si peu lisible ?
-
A pallas :
vous écrivez :« Je tenais a precisé ces quelques points qui semble occulté soit par negligence mais surtout par manque d’intelligence de nos scientifiques qui malgré leurs diplomes, ils n’ont pas l’intelligence necessaire pour comprendre l’elementaire. ».
je dirais en commentaire, que la notion d’’intelligence à l’image du temps est toute relative. Et que vous me parraissez assez afirmatif quant à l’évalution des capacité des scientifique qui travaillent à ce sujet.
Vous auriez aussi pu écrire tous des cons sauf moi, s’eut été plus court mais aussi clair.
Pourrions nous savoir dans quel domaine vous exercez afin que nous puissions nous rendre compte de votre haut niveau d’intelligence.
Pour conclure, ce n’est pas parce que vous n’êtes pas d’accord avec quelqu’un, que forcement celui-ci est un idiot dépourvu d’intélligence. -
Le temps est bien entendu une invention humaine. Pallas a bien raison de dire qu’il n’y a en fait qu’espace. Le concept de temps s’est construit peu à peu sur l’observation des mouvements cycliques (soleil, étoiles).
Pour les présocratiques, il n’y avait pas à proprement parler de passé tel que le passé historique, et un antécédent logique n’était pas pris pour un antécédent temporel.
Il y avait des cycles qui revenaient et, de façon concomitante, des faits accomplis (notre passé qui était leur présent) et des faits inaccomplis (notre futur qui était aussi leur présent).
Ce n’est que lorsque l’on est passé à une représentation linéaire du temps (on déroule le cycle annuel comme on fait rouler une roue de vélo sur une route où elle laisse une trace) que l’avant et l’après sont apparus et que tout un mode de pensée a disparu.
On a divisé le cycle du mouvement observable (année, jours) en subdivisions pratiques (mois, heures, minutes, secondes) et cumulables (une année ne repart plus « à zéro » au bout d’un cycle mais vient s’ajouter à des années qu’on numérote : on entre dans la datation).
Décompte et mesure, objets mathématiques, voilà ce qu’est notre temps...Pour aller plus loin sur la pensée présocratique : « modernité de la logique archaïque » de Roland Tournaire, éditions L’Harmattan
-
« Je tenais a precisé ces quelques points qui semble occulté soit par negligence mais surtout par manque d’intelligence de nos scientifiques qui malgré leurs diplomes, ils n’ont pas l’intelligence necessaire pour comprendre l’elementaire. »
Tout le monde peut se tromper mais là, c’est dur à lire.
« Je tenais à preciser ces quelques points qui semblent occultés soit par négligence mais surtout par manque d’intelligence de nos scientifiques qui malgré leurs diplômes, n’ont pas l’intelligence nécessaire pour comprendre l’élémentaire. »
10 fautes en 3 lignes. Vous n’avez pas eu assez de temps pour écrire ? C’est vrai que si vous n’y croyez pas, ceci explique cela.
-
Merci pour cette poetique comparaison entre le monde de l’economie monétaire et le monde physique. Malheureusement, la comparaison butte sur une différence assez insurmontable : le monde physique étant naturellement eqilibré et de ce fait, prévisible, tandis que l’economie monetaire repose essentiellement sur des croyances. La logique qui y prévaut n’est donc pas mathématique, mais biologique ; de ce fait, toute prévision comporte son lot d’incertitudes.
-
non le monde physique n’est pas non plus prévisible : il y a trop de paramètres, trop d’interférences (notamment dues à toutes les « perturbations » provoqués par les organismes vivants). Sur ce sujet, voir les livres sur la théorie du chaos (notamment « Dieu joue-t-il aux dés » de Stewart) et sur l’évolution (notamment ceux d’Edelman par exemple).
J’ai moi-même pas mal écrit d’articles sur ce sujet (voir sur mon blog les articles regroupés sous les tags évolution ou désordre).
L’économie n’est qu’un morceau de ce monde dans lequel nous vivons, un des éléments les plus perturbés et donc les moins prévisibles il est vrai ! -
Si le monde physique n’était pas prévisible, on n’aurait jamais pu envoyer une fusée dans l’espace, ni fabriquer un ordinateur. L’economie est une religion, et de ce fait contraire à la science. Elle n’existe que par un consensus, de plus en précaire d’ailleurs. En effet, les valeurs composant ce consensus sont en train de permuter, la dématérialisation croissante l’entraîne dans un seisme qui n’a pas fini de secouer nos habitudes.
-
le monde physique est localement prévisible, ce qui permet les percées dont vous parlez. Mais se propagent très vite des phénomènes chaotiques non modélisables et prévisibles. Ce qui d’ailleurs oblige à piloter les trajectoires des fusées tout au long de leur trajectoire.
Quant à l’économie, je vous accorde que le plus souvent il s’agit d’une religion incantatoire (je vais d’ailleurs commencer à partir de demain sur mon blog un « saga » préhistorique qui cherche à montrer en s’amusant comme peut fonctionner notre monde économique. Je l’ai proposé sur AV mais je ne sais pas si elle sera reprise).
Mais l’économie peut aussi être une « science » qui cherche à modéliser le fonctionnement des interactions humaines. Et là, on touche un domaine dans lequel l’impact des systèmes vivants (les hommes en l’occurrence) est tel, que la prévision devient quasi impossible, car les phénomènes sont très rapidement aléatoires.
Donc personnellement (mais je ne suis pas le seul !), je vois plus une continuité allant de phénomènes « simples » comme la trajectoire d’une flèche ou d’une fusée que l’on sait calculer jusqu’à des phénomènes infinimement complexes et donc non modélisables. On a par exemple en position intermédiaire la météo que l’on arrive à cerner jusqu’à 4 jours (et encore...), mais qui ne pourra jamais dépasser cet horizon -
La science est encore très loin de comprendre le fonctionnement d’une seule cellule vivante - le « repliage » des protéines et la marche d’une nano-usine qu’est un ribosome. Alors que l’humain est composé de milliards de cellules. Prétendre une modélisation « scientifique » du comportement humain, ou encore celui d’une société, relève aujourd’hui d’un pur phantasme. La complexité d’un tel système dépasse, et de loin, l’intelligence humaine. Les données introduites dans un tél système seront forcement soumis zux criteres culturels, qui aujpurd’hui evoluent à la vitesse de la loi de Moore, vu que la culture est véhiculé par des réseaux eléctroniques. Bref, la pertinence des prévisions émis par une modelisation sociale est encore moins grande que celle des prévisions metéo, les faits l’attestent.
-
Nous sommes d’accord, c’est très exactement ce que je voulais dire en parlant de continuité et en mettant le fonctionnement des systèmes humains au maximum de la complexité.
Effectivement il est illusoire de vouloir prévoir. Ce que l’on peut simplement - et c’est déjà très difficile - c’est répérer les phénomènes émergents -
-
-
Pour conclure, vous ne pouvez pas detruire quelque chose qui n’existe pas, le temps n’existe pas, donc il n’est pas possible de le detuire.
-
Non, le temps n’est pas seulement une affaire de perception personnelle (il est exact que l’on ne ressent pas le temps toujours de la même façon, mais c’est une affaire d’interprétation de notre cerveau, qui interprète le temps comme le reste - son, couleur, odeur... ).
La dernière théorie des cordes montre que notre univers aurait 11 dimensions :
- 4 sont « déroulées » : 3 spatiales + 1 temporelle
- 7 enroulées dont certaines sont peut-être temporelle
Désolé donc de vous contredire... mais je ne me fais que l’écho de ces scientifiques dont vous refusez de prendre en compte leurs travaux -
Cette théorie des cordes est loin de faire l’unanimité et il existe d’autres théories concurrentes, toutes aussi valables puisqu’aucune d’entre elles n’a encore été illustré de preuves définitives.
Il est notamment reproché à cette théorie d’être particuliérement tiré par les cheveux et complexe (ce qui fait dire à certains que cela ressemble à un immense empilement d’hypothèses et de suppositions destinées à expliquer toutes les anomalies, contradictions et paradoxes soulevés par le dogme scientifique actuel (relativité, physique quantique...) mais que ça n’est rien d’autre qu’une construction mentale imaginaire). -
Effectivement, c’est loin d’être une certitude, mais je trouve ce monde des cordes très « poétique » et mon article n’est pas sur les derniers développements scientifiques
-
@ Pallas,
Vous avez raison, le passé, le présent, le futur sont intimement liés. Le temps est l’invention de l’homme pour pouvoir décortiquer les cycles. Dans ce domaine, les sciences dures veulent à toutes fins avoir le dernier mot ; on ne peut les blâmer d’un certain côté, chacun se rassure comme il le peut ; eux, ont besoin de quantifier. Mais, tout est-il si simple ou si compliqué ? Il est vrai qu’Einstein a mis en avant une autre dimension mais qu’en est-il des autres, de l’échelle de cordes et ses 12 dimensions. Beaucoup de phénomènes non expliqués semblent superposer les laps de temps en un même endroit, alors vouloir quantifier le temps en minutes, heures et autres n’est ce pas une tentative de vouloir domestiquer ce qui ne peut l’être réellement. -
Bonjour,
Je me suis inscrits afin de repondre aux posts relativement faux de Pallas.
dire que le temps n’existe pas en se basant sur la perception qu’on en a (cérébrale) est assez contradictoire : nous nous souvenons du passé, non du
futur, ce qui nous donne le sentiment d’un temps qui passe au fur et à mesure que nos
souvenirs augmentent.Ensuite le temps manipulé tel qu’il est par les physiciens n’est pas une notion unique et claire : en fait on distingue différrentes fleches du temps notamment :
thermodynamique : entropie grandissante
psychologique : passé/futur
cosmologique : expansion de l’univers
astrophysique : impossible de sortir d’un trou noir
quantique : successionil s’agit de modelisations différrentes du temps
les equations fondamentales de la physique sont invariantes lorsqu’on renverse la direction du temps
le qiuestionnement actuel de la physique est d’expliquer pourquoi a partir des evenements microscopiques reversibles notre perception macroscopique du temps choisit une direction particulière.ceci n’est plus observé a l’echelle quantique...
-
Samir, il faut arreter avec les theories divers, meme celle des cordes, elles ne sont fondées sur rien, c’est de la pure imagination, je pourrai faire la theories des elephants rose qui volent et pour le demontré je ferai une simulation mathematique.
Le temps a la base est le moyen qu’utilise le cerveau pour se situer dans l’espace c’est tout. Evidemment que nous ne pouvons pas voir le futur, mais il est tout a fait logique de conservé le passé en memoire.
Le temps ne fonctionne que sur nous, car nous pensons qu’il existe, le fait de vieillir ou de grandir, sa n’a pas de rapport avec le temps, sa n’a de rapport que la division cellulaire et le renouvellement des cellules.
Autre exemple, comment mesuré l’emplacement d’un objet ? avec le temps, c’est une donnée primordiale pour situé un objet ou bien se situé soit meme..
l’idée que rien existe mais que tout est simplement une interpretation du cerveau je peut comprendre qu’il est difficile de l’imaginé, mais pourtout cela est vrai.
Les odeurs, le son, la couleur, le touché, la vision des formes, tout cela est une interpretation du cerveau et rien d’autre, ce que l’ont pensent etre de couleur Bleu n’est qu’une interpretation de notre cerveau et de l’outil qui est l’oeil qui l’analyse tel qu’elle.
Par exemple, les scientifiques disent que rien ne peut depassé la vitesse de la lumiere, mais nous n’avons pas la possibilité de voir au dela de la vitesse de la lumiere, notre technologie a cette limite, nos sens captent la lumiere, mais nous ne pouvons pas voir un objet se deplaçant a la lumiere, si nous etions dans le vide de l’espace, un objet se déplaçant legerement au dessus de la vitesse de la lumiere, d’une part nous ne pourrons pas le detecté et non plus le voir, est ce que le phenomene de la matiere a cette vitesse change ? est ce qu’il y aurait un bang dans l’atmosphere ou pas si cette objet se deplaçai sur terre ?
Pour l’auteur, nous ne savons pas comment fonctionne la gravité, nous ne savons pas comment les ondes se transmettent dans l’espace, alors que se sont des choses physiques visibles. Nous avons une limite physique de part nos sens t’interpreté l’univers.
-
à Pallas,
« Les odeurs, le son, la couleur, le touché, la vision des formes, tout cela est une interprétation du cerveau et rien d’autre, ce que l’ont pensent etre de couleur Bleu n’est qu’une interprétation de notre cerveau et de l’outil qui est l’oeil qui l’analyse tel qu’elle. »
Les odeurs sont constitués de molécules
le son est en fait un train d’onde qui font vibrer les marteaux aux sein de vos oreilles
ce que notre oeil perçoit et aussi constitué d’onde, à chaque couleur correspond une longueur d’onde lumineuse.
Les exemples dont vous vous servez sont tout a fait quantifiable et indiscutables.Ce sont les associations des sentiments à ces différents paramètres qui sont discutables.
Durant votre éduction primaire on vous a appris les couleurs, les formes, enfin les bases afin que vous puissiez comprendre le monde qui vous entoure et vous exprimer simplement afin de vous faire comprendre.
Par contre pour ce qui est de la suite de l’enseignement de ces bases, à mon avis vous les avez soit oubliées, soit jamais acquises.
Aussi je vous suggère de vous renseigner avant de confondre des éléments quantifiables et mesurables avec des sentiments et des impressions. -
comment quelque chose qui n’existe pas peut il avoir des caracteristiques propres a différrentes echelles ?
par exemple la fleche du temps psychologique pointe dans un direction : du passé vers le futur ??
comment quelque chose qui n’existe pas peut il etre asymetrique ? je vous le demande ?
-
@Pallas
Vous mélangez un peu tout : il est urgent que vous repassiez par la case « formation ».
1. Nous savons beaucoup plus de choses que vous pensez. Notamment on a aujourd’hui des explications solides pour tout ce qui est la gravité et les ondes. La théorie des cordes n’est pas une « fumisterie », mais une théorie intéressante qui semble répondre aux problèmes de compatibilité posés entre la relativité générale et la mécanique quantique.
2. Vous devriez vous document sur les neurosciences et le fonctionnement du cerveau. Ceci vous aiderait à comprendre comment, à partir de phénomènes réels (comme le temps, les couleurs, les sons...), nous construisons des interprétations à partir desquelles nous élaborons nos stratégies de vie et d’action.
3. La « fléche » du temps, ou le caractère irréversible des évolutions est « exliqué » notamment par les mathématiques du chaos et les bifurcations. En simplfiant à l’extrême, voilà une caricature du raisonnement : quand un système est face à 2 chemins possibles, il va choisir aléatoirement l’un ou l’autre, sans que cela puisse être prévu. Ce choix conditionne l’évolution future. Si l’évolution était réversible, on pourrait remonter avant ce choix, mais rien alors ne dirait que l’évolution se ferait sur le même embranchement, ce qui est impossible. -
Nous savons beaucoup plus de choses que vous pensez. Notamment on a aujourd’hui des explications solides pour tout ce qui est la gravité et les ondes
Ca c’est probablement un peu trop affirmatif. Aujourd’hui de nombreuses anomaliles observées dans l’espace sont expliqués par la présence de matière « noire » ou « sombre » mais jusqu’à présent toutes les tentatives de les démasquer ont échoué. Et de plus en plus de scientifiques se mettent à douter de la loi de la gravité. Non pas que la loi de la gravité telle qu’on la connait est fausse bien entendu mais peut-être qu’il existe des paramètres supplémentaires que nous n’avons pas encore saisis (car à notre niveau d’observation, ces paramètres sont peut-être constants ou insignifiants).
Pour les ondes aussi, la difficulté à relier la physique macro et quantique prouve que nous n’avons probablement pas encore complétement appréhendé la nature des ondes entre autre choses.
Bref, la science a considérablement progressé ce dernier sièce mais il ne faudrait surtout pas croire que nous sommes au sommet. Il y a bien plus de choses que nous ignorons et que nous sommes incapables d’expliquer que l’inverse et sans nul doute nombre de nos dogmes d’aujourd’hui seront chahutés par les découvertes de demain. -
Samir : "le questionnement actuel de la physique est d’expliquer pourquoi a partir des evenements microscopiques reversibles notre perception macroscopique du temps choisit une direction particulière."
C’est simple. La vie est lévogyre.
-
comment doit se comprendre le terme levogyre appliqué à la vie ?
-
Tous les acides aminés faisant fonctionner une cellule vivantes sont lévogyres. La vie est un produit de chiralité, une selection de molecules à la base, ce qui lui donne un sens.
-
Le temps n’épargne pas ce qu’on a fait sans lui
François Fayolle (1774 - 1852)-
Samir et Vincent, les outils dont nous nous servons pour justifier quelque chose, tel que la longueur sont copié par rapports a notre propres sens.
Nos sens, ainsi que celui des animaux et des vegetaux se sont développé uniquement pour notre monde, la Terre, parcontre, elles devient obsoletes pour comprendre l’univers.
Pour piegé les sens, la vue plus exactement, il y a des petits jeux visuels qui sont souvent mis dans des livres et expliqué scientifiquement, nous avons tous jouer a ces petits jeux d’illusions optiques auquel notre cerveau est piegé.
Avant de chercher a comprendre le fonctionnement de l’univers, il faut deja definir la base meme de nous, la limite de notre comprehension physique de l’univers, nous avons une vision limité de notre propre univers, car nous interpretons tous. Les objets par exemple, sont essentiellement composé de vide a l’echelle atomique, mais nous voyon l’objet dans son integralité.
J’ai une autre interrogation, la gravité fonctionne meme a l’echelle moleculaire, sachant que la gravité de la Terre est plus forte que la notre individuel, pourquoi a l’echelle atomique nous nous faisons pas absorbé par la planete elle meme ?.
Si nous admettons que tout ce qui nous entoure n’est qu’une interpretation, alors dans se cas nous pourrons veritablement partir a la decouverte de l’univers lui meme, la theorie d’Einstein sur l’espace temps, sur le fait d’atteindre la vitesse de la lumiere qui fige le temps, se genres de choses sont fausses, Galillée par exemple a interpreté des evenements, il a fait un travail rigoureux, les grecs aussi a l’epoque l’ont fait, parcontre Einstein a fondée des theories fondée sur aucunes réalités physique mais uniquement basé sur son imagination, en le sacralysant comme une sorte de prophete de la science ou tout ce qu’il dit est valeur absolu bloque le progres et la comprehension. Au lieu de dire Theorie d’Einstein, il faudrait dire Absolu d’Einstein.
-
notre propre limitation à accéder à l’information dans sa totalité est formulée par exemple en phsyqiue quantique par le principe d’incertitude d’heisenberg jusque la vous ne dites rien de nouveau.
En ce qui concerne la gravité il faut vous rappeler que les quatres forces fondamentales de l’univers n’ont pas la meme influence selon l’echelle envisagée au niveau moleculaire les interactions nucleaires fortes et faibles prennent le pas sur la rgavitation
-
Hum, sans vouloir être désagréable et parce que c’est vendredi soir, je dirais :
Jean Claude Vandame sort de ce corps.... -
"Terre est plus forte que la notre individuel, pourquoi a l’echelle atomique nous nous faisons pas absorbé par la planete elle meme ?"
Parce que la gravité est la plus faible des forces d’intéraction fondamentales. Lisez Wikipedia, instruisez-vous.
-
La désynchronisation du temps humain et du temps technologique est engagée dans l’histoire de l’humanité. Être ici et là au même instant fait-il de nous des mutants ?
Paul Virilio par sa réflexion et ses écrits a démontré que l’Histoire contemporaine est fille de la vitesse. Sa prophétie de l’Accident Intégral, produit de l’instantanéité dans le monde global, n’a-t-elle pas déjà eu son préambule dans le bogue de l’an 2000 ?De façon inédite, cette histoire fulgurante portée par la pensée de Paul Virilio se confronte à la réflexion de philosophes, d’acteurs politiques, d’artistes et de journalistes internationaux comme RIFKIN, NOUVEL, YUNUS, BENDER, KLEIN, BILAL….
Paul Virilio : Penser la vitesse film de Stéphane Paoli 2008, 90’
« Vous aviez rêvé d’ubiquité, Internet l’a rendue possible. La vitesse de la mise en réseau planétaire interroge notre vie quotidienne dans tous ses aspects, économique, culturel, politique. Résistera-t-elle au temps réel de l’électronique ? »
En savoir plus sur le film : Par ici.-
@Reinette
Merci pour ces informations très complémentaires de mon propos.
Je vais aller voir le film -
geko 12 juin 2009 18:58Commentaire lumineux Reinette !
En ce moment je resynchronise tout les soirs dans mon potager en mettant les mains dans la terre ! !
« le temps est une dimension qu’il faut finir de détruire » Cela induit que nous sommes immortels !
-
@Geko
De mon côté je m’occupe de mes chênes... cela réapprend la réalité du temps et des ryhtmes -
geko 13 juin 2009 14:44J’ai remarqué que cela permet aussi un recentrage|équilibrage des énergies ! J’espère que vous en profitez pour capter ces énergies !
-
Samir, les quatres forces de l’univers ? il y en a peut etre d’autres, ou peut etre que celle que nous pensons etre les quatres forces veritables moteur de l’univers sont fausses, a l’echelle de l’univers tout ce que l’ont voient n’existe plus depuis des millions d’années, la nous parlons de distance des etoiles et de notre capacité a capté la lumiere par le biai de nos yeux.
Nous ne pouvons interpreté l’univers qu’a la vitesse maximum de la lumiere, nous avons aussi une limite pour la taille des objets, de l’infiniment grand ou l’infiniment petit. le sens que revet « l’infiniment » est de l’inconnu.
A notre vision des choses nous devrions dire taille inconnu de grandeur de l’univers si celle ci a une taille ?.
Les trous noirs Samir, oui je me suis posé beaucoup de questions la dessus, la seule reponse est que nous ne savons rien la dessus non plus, qu’est ce que sait ?, je ne sais pas.
Pour ma part il y a tellements d’inconnues, tellement d’interpretation de fondée l’univers, que sa soit le dogme de la theorie d’Einstein, ou la Religion, il n’y a jamais personne qui n’a dit, « je ne sais pas ». Si je prend l’exemple de Galillée, il y a Newtown aussi, mais je pourrai rajouté les savant de l’empire ottoman, les savants grecs de l’antiquité, ou bien aller carrement a l’age de la prehistoire ou La Mathematique fu crée, ces individues ont effectué un travail extremement rigoureux, ils ont interpreté un evenement et ils ont chercher a comprendre comment il fonctionnait. par exemple Nextown et Galillée, explique Mathematiquement le « Comment » et non le « Pourquoi ».
-
@Pallas
La théorie des cordes et les mathématiques du chaos apportent des éléments d’explication sur les trous noirs... mais pour accéder à ces explications, il faut pouvoir suivre des raisonnements physiques et mathématiques très complexes.
Commencer par vous documenter sur les phénomènes de base (toutes les réponses apportées par Vincent et Samir sont pertinentes -
Pallas, il me semble que Socrate à dit (le philosophe pas le génial footbaleur brésilien des année 80) :
tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien, tandis que les autres croient savoir et ne savent rien.
c’est en substance ce que vous tentez de nous expliquer,seulement à son époque Socrate avait un peu moins de connaissances et surtout beaucoup moins de moyens et d’outils pour tenter de prouver certain phénomènes.
Aujourd’hui nous en savons beaucoup plus mais en fait pas tant que ça par rapport à une éventuelle connaissance absolue.
Vous tentez d’opposer un vision philosophique du temps et de la matière ,qu’il me semble vous défendez à une vision plus terre à terre physique et mathèmatique et de ses conséquences sur l’humain qui est l’objet me semble-t-il de cet article.
Enfin il me semble que votre discours prend quelques aspects sectaires, mais n’en ayant pas de preuve formelle, je vous dirais simplement et si ce n’est pas le cas, prenez garde vous êtes mûr pour signer chez un gourou quelconque. -
Bon article.
Il me semble que la base le temps qui passe c’est-à-dire la seconde est définie depuis la fin des années soixante par un nombre d’oscillations provoquées sur un atome de césium 133 par un rayon lumineux.
Aussi depuis très une période très longue nos ancêtres et nous n’avons eu de cesse de tenter de maîtriser ce temps qui passe inexorablement.
Nous avons tout d’abord appris à le mesurer de plus en plus précisément au fur et à mesure que nos connaissances ont évolué et je dirais dans le même temps nous avons voulu remplir cet espace de mieux en mieux défini et de moins en moins aléatoire le plus possible en contactant au maximum les tâches que nous avions à effectuer.
Au paravent nous vivions au rythme des saisons et du soleil, c’est toujours le cas d’ailleurs mais ces deux là ont perdu considérablement en influences comme vous le faisiez remarquer à la mesure de nos découvertes et exploration géographique.Notre monde n’a cessé d’accélérer, peut-être à l’image de l’expansion de l’univers, en tout cas le carburant principal et nécessaire à ces désirs accélération est l’argent à mon sens, toujours plus.
Aujourd’hui, la raréfaction de l’un de ses deux facteurs entraîne le ralentissement de l’autre.
Qui du temps ou de l’argent à manqué en premier dans la situation que nous vivons actuellement, je n’en sais rien, mais toujours est-il que la perte d’un des deux modifie considérablement notre vision du monde.
A l’image d’une machine en surchauffe, nous avons besoin de refroidir le système avant que celui-ci ne se grippe et nécessite de considérables dépenses de temps, d’énergie et donc d’argent avant de repartir.
Et pour refroidir un machine nous devons accepter que celle-ci tourne moins vite et donc génère moins de rendement sous peine de la détruire totalement.
Le hic dans tous ça c’est que notre voisin ayant une machine qui produit la même chose que nous, voyant de la fumée sortir de notre machine se dit lui, tient j’ai encore un peu de ressource donc je vais accélérer ma machine histoire de tordre le coup de mon voisin.
Donc quand il y a de la fumée qui sort de ma machine je mets un gros ventilateur dessus afin de la dissiper de telle sorte que mon voisin ne la voit pas et surtout je dis que tous va bien.
Tous ça pour quoi ?
Pour obtenir toujours plus, plus vite et avant les autres un produit dont nous n’avons pas une absolue nécessité.
Mais bon on ne va pas refaire le débat relatif à la pyramide de Maslow et ses applications marketing.-
Merci tout d’abord sur votre commentaire sur mon article.
Pour ce qui est de la crise actuelle, je ne parlerais pas de surchauffe, mais d’erreur d’anticipation. Tous les systèmes économiques - et d’abord le système financier - cherchent à gommer le temps et à avoir immédiatement ce que l’on gagnera dans le futur (je relie cela à la contraction de l’espace : je veux tout là où je suis et maintenant).
A partir de là, il y a une course pour faire que le futur soit celui que l’on a prévu. Or ceci est impossible, car les évolutions sont imprévisibles.
Face à ces décalages, on construit de nouvelles anticipations dont le gain doit compenser l’écart entre le prévu et le réalisé. On tend donc l’élastique un cran plus loin...
ET un jour il casse...
Alors notre « univers » se déchire : le futur n’est pas ce qui est prévu, donc il y a une discontinuité du temps (entre le prévu et le réel). Et - mais ce n’est évidemment qu’une image -, les ressources s’effondrent dans cette déchirure, ou plutôt ces anticipations redeviennent ce qu’elles ont en fait toujours été des hypothèses et non des certitudes, et là en l’occurrence fausses et donc sans valeur... -
Vincent ce que vous dites est de l’ordre de la provocation, rien qu’en precisant de qu’elle Socrate vous voulez parlez, pour repondre a votre premiere affirmation, je ne savais pas qu’il y avait un footballeur dans les années 80 se prénomant Socrate, en matiere de Football, vous vous y connaissez mieu que moi, donc la précision de qu’elle Socrate vous vouliez me faire part est deja un lapsus d’un enervant.
Maintenant le coté philosophique de la chose, oui la vous avez raisons, j’ecoute les philosophes sur la radio France Culture et j’ecoute le brillant Albert Jacquard, donc en cela vous avez touché juste, la philosophie, tout comme la Mathematique est un fondement essentiel pour comprendre l’univers et l’interpretrer.
Pour conclure Vincent, en fin de votre commentaire vous parlez de Gourou, si mon esprit est ancrée dans la philosophie je ne peut pas etre croyant en un dogme quelconque, le constat est que mon esprit ne peut pas aller dans une analyse d’un evenement en fondant son Pourquoi par une une cause d’ordre non naturel mais plutot surnaturel.
Robert Blanche, je sais ou en est la recherche scientifique, la Theorie des Cordes, la Theorie du chaos, ne sont que des Theories car elles ne sont pas prouvé, Galillée a Prouver L’héliocentrisme.
Il faut faire la difference entre Theorie et absolue, et toutes les interpretations actuel de l’univers sont de l’ordre d’une interpretation, et cette interpretation est fondée sur l’interpretation d’Einstein de l’univers et de son fonctionnement ce qui fait que nous ne savons pas plus de choses que Galillée, Newton et Copernic.
-
@Pallas
A propos d’interprétation erronée, mon nom est « Branche » et non pas « Blanche » ! -
Philosophie et sciences ne font guère bon ménage de nos jours...
D’où mauvaise foi et dogmatisme.
La philosophie cherche la vérité quand la science construit des théories.
La science actuelle a peur de l’infini, même lorsqu’elle prétend l’étudier. La preuve c’est qu’elle le met en cage intellectuelle : elle le modélise. -
>Alors pourquoi pas le temps ?
Oui, mais ne serait-il pas judicieux de commencer à répondre à votre question avant de procéder ?
Ainsi, certains ont décrétés la vacance des religions, avant de découvrir qu’elles répondaient à un besoin fondamental qu’il n’avait pas les moyens de satisfaire autrement qu’en construisant un esclavage encore plus déshumanisant ...
Alors, tuez donc le temps, mais soyez sage, contentez vous du votre !
-
Ninour, ne t’inquiete pas, les scientifiques actuels sont perdues dans leurs propres dogmes, ils sont amener a se confronter a la realité, ils sont arrivé au point de dire que ce qu’ils voient n’existe pas, la creation de la matiere noire par exemple et sur cette matiere noire, ils ont rajouté une une autre maniere noire, ils ont rajouté des dimensions, des cordes cosmiques, a se niveau la, je prefere croire en Dieu, c’est plus simple. Autant qu’il n’est pas possible d’infirmé ou de confirmé l’existence de Dieu, autant qu’il est facile d’infirmé toutes les nouvelles theories voulant englobé l’univers.
Les scientifiques actuels sont pris en plein paradoxe, car ils ne sont pas philosophe, leurs esprits est trop basé sur le calcul et la recherche de la gloire, ils ne veulent pas apprendre, ils veulent etre reconnu, c’est ridicule. Thales, Pythagore, n’ont pas decouvert leurs calculs mathematiques par besoin de reconnaissance, mais uniquement par necessité.
Prendre le temps dans le domaine de l’informatique et des reseaux est interessant, mais, l’information peut voyagé a la vitesse de la lumiere, sa ne changera en rien le temps qu’il nous faudra l’analysé et la comprendre, l’outil ne fait pas le maitre, et l’informatique et les reseaux globaux aussi puissants ils, ne sont rien d’autres que des outils, comme le Stylo et le Papier.
Nous sommes en pleine crise economique, ecologique, mais la c’est moin dit, nous sommes en pleines crise scientifique, le dogme qu’ont crée les scientifiques sur la theorie de l’univers par exemple, ne permettant pas la recherche sur le developpement.
Le probleme des scientifiques est simple, ils adulent Einstein alors qu’il n’a rien inventé, il n’a fait que reprendre les travaux d’autres chercheurs, c’est tout, les vrais decouvreurs sur l’atome, sont Pierre et Marie Curie qui en sont mort du a l’irradiation.
Il est evident que la decouverte du calcul simple E=MC2 aurait ete decouvert par un autre dans les quelques années qui auraient suivi, car les scientifiques de l’epoque y etaient.
-
King Bounty 13 juin 2009 08:31Pour affirmer que l economie est une science , faut etre bien plus débile encore que les savants sur lesquels on medit !
l economie ce sont des recettes de grand mere qui ne fonctionnent pas .
ce n est pas cette « science » qui nous sortira de la merde dans laquelle le monde est plongé !!
ça tourne de plus en plus a la secte asinus asinum fricat agora tox
c’est fou le nombre d esprit superieurs ici , a en savoir bien plus que l ensemble des scientifiques du monde entier !
mais qu attendez vous pour quitter ce média et exposer votre génie a la face du monde !!!-
l’Ã(C)conomie cherche à Ãatre une science, en ce sens qu’elle vise à suivre une dÃ(C)marche scientifique. Mais comme son cchamp d’application - la sociÃ(C)tÃ(C) humaine - est « infiniment » complexe et trÃ..s largement alÃ(C)atoire et imprÃ(C)visible, elle n’arrive effectivement pas à grand chose !
-
L’humanité gémit, à demi écrasée sous le poids des progrès qu’elle a faits. Elle ne sait pas assez que son avenir dépend d’elle.
Henri Bergson
Les Deux Sources de la morale et de la religion
P.U.F.
Pour H. Bergson, élève doué pour les mathématiques aux dires de ses professeurs, mais qui leurs préféra la philosophie ; « la conscience (état de conscience individuelle ou collective) serait un trait d’union, une sorte de pont jeté (au présent) entre le passé et l’avenir. La conscience humaine (ce qui se fait avec science au sens connaissance et non méthode) serait donc liée à la temporalité humaine : d’où l’importance de la temporalité humaine !
Dans le même ordre d’idée : est-ce que l’inconscience ou plus exactement l’absence de conscience de notre moderne société technoscientiste, celle de l’action pour l’action, de l’efficacité pour l’efficacité, celle du sujet sans objet et de l’objet sans sujet, qui confond cause et conséquences, fin et moyen, ne serait pas précisément un mur scientiste construit entre les choses, les disciplines, entre passé et présent ? Entre un passé non assumé, voire occulté et même nié, et un présent qui ne se justifie que par rapport à l’avenir, par la prospective, comme une sorte de fuite en avant schizophrénique qui fait que, l’histoire des hommes étant têtue, nous répétons toujours les mêmes erreurs incapables que nous sommes de tirer des enseignements de nos erreurs passées !
Le temps est dialectique disait Plotin (205-270) ; autrement dit, le temps humain, la temporalité humaine, sauf à les négliger, ce que nous faisons savamment, délibérément et même académiquement, participe de l’intelligence humaine !
Il nous faut faire la part des choses : celui du temps humains et de la temporalité humaine qui ont fait la conscience humaine, et celui du temps de la science e de la technique ! Tuer le temps humain et le remplacer par celui de la science et de la technique c’est tuer l’humain et à petit feu nous tuons le peu d’humain qui est en nous !-
Il y a un aspect du temps bien concret qui devient une marchandise avec une plus value intéressante car il n ’y a pas besoin d’investissement.
La poste veut faire payer un supplément au tarif normal aux entreprises pour distribuer le courrier entre 9h et 11h du matin. Cet espace temps devient plus cher, pourquoi ?
Est-ce que cela va de soi ?
La S N C F avec les tarifs du T G V fait de même.
Le temps pour certains est une notion qui rapporte et engendre des bénéfices sonnants et trébuchants et pour d’autres c’est une perte de pouvoir d’achat, même de pouvoir sur leur propre vie puisque leur temps est rythmé par les besoins économiques.
Je ne suis pas philosophe mais cet aspect là de la question est loin d’être abstrait sur la vie des individus au quotidien, la classe dominante (philosophe à sa façon) sait parfaitement en retirer des bénéfices.
Pour s’occuper de l’intemporalité de l’humanité il faut du temps, temps qui manque cruellement aux individus de plus en plus nombreux en situation de survie.-
Nous sommes dans une société voleuse de temps.
Aujourd’hui le grand luxe s’est prendre le temps de vivre et laisser les autres courir.
La crise est une chance pour remettre en question notre temps de consommation de production de travail de loisir de famille.
Nous percevons le temps de façon élastique loin de la mécanique de l’horloge.
La diminution des temps de communications de transport de production créer une agitation souvent inefficace et stérile. Les personnes les plus efficaces dans le travail sont celles qui prennent le temps de bien faire.-
Et des4 saisons, ma petite marchande !
Des fraises et des asperges à Noël ?
Du foie gras à Pâques et à la Trinité.
Des soldes toute l’Année...Qui est responsable de ce déphasage ? Que le consommateur ?
Ah ! Parmentier l’officier de Santé avec ses carrés de patates aux Sablons à Sarkoville ....
des fois pour de grandes causes il faut roueries et subterfuges.Economie de temps dites vous ? Mon idée lumineuse de vendredi dernier : commander les « gros achats » par le net et me les faire livrer at home.
Coût _ participation y disent 1oo balles
Qui fixe ce prix ? Une superbe initiative écolo-sociétale ? Que réservée aux beaux quartiers ?Médecin aux Urgences un certain temps. La seule médico_chirurgicale c’est le coup de couteau profond au niveau de l’hypochondre gauche : la rate qui éclate.
Soit l’organisme s’ « atomise » dans les 2o minutes et c’est foutu d’avance. Statistiquement, un médecin est sur les lieux dans les 6 minutes 3o suivant la fin de l’appel au centre du Samu.
La logistique est cadrée.
Des moyens :
En premier lieu des femmes et des hommes formés, bien encadrés avec un salaire plus que décent. Les policliniques et « consultations externes » sont les terrains de stage d’apprentis médecin du monde entier aux statuts si précaires.... La honte ! Un mieux : nous autres 36 h de gardes et contre-visite du Patron du service après 5 h de repos.
Deux scéances « thérapeutiques » à titre grâcieux tous les mois.Un quadrillage espace_temps de ces centres « héliportés » en tenant compte des structures hospitalières des états voisins. Régulièrement il y a homicide involontaire, coup et blessures dans la banlieue ouest de Bâle, parce qu’administrativement il faut évacuer sur Colmar ou Strasbourg....
E_commerce, télétravail ... on freine.
Il faut des aires de stockage délocalisées ; Et puis ces autoroutes, ces voies de fer, de mer de fleuves vides....Autre facteur temps : la rétention technologique. Les LED... on nous proposait de l’oscilloscope alors que ...
Idem les soubressauts du Dos aux Windows aux Vista .... Une vaste fumisterie. Que d’heures et de nuits .... ok pour le privé. Mais notre administration et ses chers fonctionnaires ?Aaaaaah ! faudrait une « bonne guerre » - déjà que nous sommes trop nombreux pas vrai Robert ? pour faire sauter ces verrous du « temps »
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON