Le tour de passe-passe de Jean-Luc Mélenchon
Hier comme des centaines de milliers de Français, j’ai regardé Jean-Luc Mélenchon s’adonner à un exercice qu’il maîtrise bien : la tribune politique. Celui-ci fut interrogé par Natacha Polony sur deux questions clés de la démocratie et des solutions envisageables pour sortir de la Crise.
La première était celle de savoir si le clivage droite-gauche n’était pas en réalité dépassé par les vrais enjeux du monde moderne que sont la mondialisation, ou plus précisément les effets du mondialisme que la construction européenne exacerbe. À ce titre, Pierre Hillard décrit parfaitement les contours de ce bouleversement.
Celui-ci a répondu par l’affirmative en reconnaissant la désuétude de cette opposition bipartite dont il a fait tout au long de sa carrière son cheval de bataille au nom de la Gauche. De Gaulle reconnaissait déjà en son temps que ce clivage n’existait plus et que « le drame de la France c’est que la droite n’est plus nationale et que la gauche n’est plus populaire ». Cette différenciation semble alors n'être qu'une bataille fallacieuse permettant à la caste politico-médiatique de mieux berner le peuple.
Ce nouveau positionnement de Jean-Luc Mélenchon, qui n’a cessé de combattre la Droite jusqu’à appeler ses électeurs à voter sans négociation pour François Hollande au deuxième tour des élections présidentielles– 38 minutes après la proclamation des résultats du premier tour – uniquement pour battre Nicolas Sarkozy, est une avancée considérable pour décrypter la scène politique.
Puis, il a constaté dans son argumentation que François Hollande mène la même politique que Nicolas Sarkozy. Cet aveu d’échec s’illustre en grande partie par le vote du TSCG qui enferme la France dans l’austérité la plus inique alors que les effets de cette politique sont dévastateurs. Les exemples grec, portugais et espagnol en attestent largement. En somme, c’est une victoire à la Pyrrhus.
Jean-Luc Mélenchon a ensuite reconnu que la monnaie commune était à la source de tous les maux de la France en termes de désindustrialisation par la concurrence déloyale que celle-ci entraîne notamment à l’égard des Etats-Unis. En ce sens, Monsieur Gallois, ancien co-président d’EADS reconnaissait que le problème central de compétitivité était l’euro lorsqu’il était à la tête de cette entreprise. Natacha Polony s’est alors empressée de lui demander pourquoi fallait-il rester dans l’euro car il serait impossible de se mettre d'accord avec les autres États
Là où le tour de passe-passe est pour ainsi dire, fabuleusement mensonger, c’est lorsque Monsieur Mélenchon – nommé Merluchon par certains qui considèrent que son indignation est proche de celle d’une baudruche – a affirmé haut et fort que la France, étant la deuxième puissance économique européenne et la 5ème mondiale, peut changer l’Europe et imposer sa vision.
Quelle ineptie, quelle tromperie, quel affabulateur !
En effet, toutes les personnes qui se sont intéressées au sujet savent que la France ne détient qu’un seul commissaire sur vingt-sept à la Commission européenne et seulement 10% des sièges au Parlement européen. Dans ces conditions, comment est-il possible de faire voter notre politique ? Disons la vérité : nous ne pouvons pas imposer notre modèle à l’Allemagne, à la Pologne, à la Roumanie et aux autres pays qui voient les choses autrement, ce serait alors de l’impérialisme que les Etats-Unis pratiquent sans vergogne. C’est donc la politique du moins-disant qui s’applique et la France se retrouve prise au piège du stratagème des chaînes (L’art de la Guerre, Sun Tzu) duquel l’Union européenne est une fascinante application.
Enfin, Robert Mundell, prix Nobel d’économie, a parfaitement expliqué le fonctionnement d’une zone géographique regroupant plusieurs Etats et disposant d’une même monnaie au travers de la théorie des zones monétaires optimales. Pour résoudre les chocs asymétriques, issus des différences de politiques socio-économiques nationales, il faut en particulier que les travailleurs soient très mobiles, et que des transferts de fonds structurels considérables se réalisent.
Ainsi, est-il raisonnable de penser que pour faire fonctionner l’euro, les Grecs et les Portugais doivent émigrer massivement en Allemagne et en Roumanie ? A priori, cela est impossible. Faut-il avoir fait H.E.C et l’E.N.A pour comprendre que les Allemands et les Néerlandais ne veulent plus payer pour résorber le déficit grec, italien et espagnol ? Vraisemblablement, non.
Par voie de conséquence, la seule solution pour résoudre cette quadrature du cercle est donc bien de sortir de l’euro et au plus vite. En effet, Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie considère que « les pays qui sortiront les premiers de la zone euro s’en sortiront le mieux ».
Néanmoins, aucune procédure ne prévoit la sortie de l’euro et Jacques Attali précise à ce propos « On a soigneusement oublié d’écrire l’article qui permet de sortir » alors que Yves Thibault de Silguy, ancien commissaire européen des affaires économiques et financières disait de l’euro que c’est « une autoroute sans sortie ». Alors nous devons sortir sereinement de l’Union européenne en application de l’article 50 du TUE comme l’explique François Asselineau.
In fine, l’on comprend mieux ici pourquoi Friedrich Nietzsche affirmait que « le diable est dans les détails ».
Lien d’actualité : http://www.france2.fr/emissions/on-nest-pas-couche/diffusions/24-11-2012_12929
90 réactions à cet article
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baudruchon, baudruchon, baudruchon,
c’est comme patrick sébastien, un mauvais immitateur qui se fait des couilles en or avec les beaufs, le putching-ball de marine, la voiture-balaie de flamby-
ni plus ni moins qu’un électeur baudruchonesque
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Ah ! Vous êtes un électeur Thatcher ? Voilà le premier gros problème et dire qu’il y a des millions d’individualistes arrogants comme vous, cela donne la nausée...
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De l’Ecossaise, hilare...
Mais monsieur, ceci est une insulte.
Ce n’est en aucun cas un argumentaire.....
Micka FRENCH sur le Web...
http://mickafrench.unblog.fr -
la secte Baudruchon sur Agoravox vit dans un monde fantasmé ( où par exemple Marseille est le modèle de chance de la diversité pour la France..) détaché de la réalité.
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Un énieme article insipide de copié collé légèrement transformé du blog Mélenchon.
Y’a mot d’ordre du polit bureau de noyer les médias Internet de copié collé de la lettre du parti totalitaire aujourd’hui.Assez pitoyable propagande !-
Je crois qu’il essaie de faire le plus de « moins » possible, faut bien être le meilleur quelque part.
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je crois que sparagus a trois ou quatre commentaire type et qu’il fait un copier coller suivant les cas...
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Spartacus, apparemment tu n’as pas lu l’article - ou en tout cas pas jusqu’au bout -, sans quoi tu aurais compris qu’il n’encense pas Mélenchon, mais au contraire qu’il montre son enfumage concernant « l’autre Europe » qu’il prétend pouvoir imposer, alors qu’il en est incapable.
Cela ne peut donc en aucun cas être un copier/coller du PG, et en aucun cas une propagande.
Il y a beaucoup plus de chance que Xavier MONIOT-LUNDY soit militant ou sympathisant de François Asselineau, dont il emprunte en partie, dans l’article, son analyse et son argumentaire (le principe des chaîne de Sun Tsu).
En réagissant au quart de tour dès que tu vois le nom de Mélenchon, tu te décrédibilises. Dommage.
Cordialement,
Morpheus -
@ Demosthème, je suis d’accord avec vous sur le fond de votre réaction, pas sur la forme.
Elle entretient l’animosité que cherchait (inconsciemment) l’auteur.L’auteur ne regarde que la partie de Mélenchon qui lui déplaît pour en faire un article contre Mélenchon.
@L’auteur : toute personne a ses qualités et ses défauts, Mélenchon comme les autres.
Depuis plus d’un an et demi, j’ai pris la peine de beaucoup l’observer et je pense qu’il vaut beaucoup mieux que la caricature que vous en faite qui a le mérite d’énerver ceux qui parmi ses supporters n’ont pas encore compris les principes de la non-violence.
Je leur suggère d’ailleurs de lire ou écouter Eckhard Tolle. -
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Démosthène, c’est vous qui ne connaissez pas les Traités européens !
Quel rapport entre l’euro et la dette ? Si nous sortons de l’UE, nous sortons automatiquement de l’euro. Nous pouvons faire un audit , puis un référendum et refuser, comme les Islandais de rembourser la totalité de cette dette.
En voulant rester obstinément dans l’ UE, Mélenchon nous enlève cette possibilité.
Ce sont les articles 63 et 32 du Traité de Fonctionnement de l’ UE qui organise la libre circulation des capitaux nous impose le libre échange intégral, d’où les délocalisations.
En refusant de sortir de l’ UE et de l’euro, Mélenchon laisse ces textes s’appliquer, et le saccage continuer.
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Romain Desbois 27 novembre 2012 07:35D’où les délocalisations ? 80% des échanges de la France se font avec la Zone Euro !!!!!
De plus la balance du commerce extérieur a toujours été truquées par toutes les subventions données par l’Etat. Egalement la garantie de la Coface fait que les entreprises qui exportent sont remboursées avec le pognon des contribuables lorsque elles ne rentrent pas dans leurs frais ou en cas de litiges ou d’impayés.
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Démosthène,
Je vous conseille de lire cet article, sur l’ Argentine, pays indépendant qui a envoyé balader le FMI et ses créanciers :« Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques » Libération 19 Février 2012.
Il s’agit d’un entretien avec Roberto Lavagna, ancien Ministre des Finances d’ Argentine en 2002. Pour sortir de la dette, il faut être un pays INDÉPENDANT.
La zone euro est constituée de 17 pays, pas de 27.
Et vous confondez indépendance et nationalisme.Ce que propose le FDG n’est qu’une 36e mouture « d’une autre Europe » que l’on nous sert depuis 30 ans.
Il va falloir vous habituer à ce que des gens de Gauche veuillent sortir de ce piège européen.
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J’ai deux questions pour vous Démosthène :
Que pensez vous des pays qui sous prétexte d’être de grandes puissances économiques, imposent leurs vues sur d’autres pays ? Etes vous favorable au totalitarisme ? Y’a t’il en vous une certaine affection pour l’impérialisme Américain, le régime Nazi ou encore la magnifique expérience Soviétique ?
Prenez réellement le temps de méditer à cette question avant de répondre et ensuite, au nom du fait que la France EST la cinquième puissance économique, expliquez moi pourquoi nous devrions imposer nos choix politiques internes à toute l’Europe ?
Seconde question :
Si je vous lie correctement, vous ne dénoncez le libre échange que lorsqu’il vient de l’extérieur de l’Union Européenne. Soit.
Questions :
Le marché libre au sein de l’Union Européenne coûte combien en emplois perdus en France ?
Un 40 T qui roule sur 1200 Km pour livrer depuis la Pologne, des conserves de champignons que nous savons produire en France en quantité et qualité suffisante, ça coûte combien en pétrole gaspillé ?Dernière question subsidiaire :
Je suis un sympathisant de l’U.P.R concernant les questions de Souveraineté, et un sympathisant du Front de Gauche concernant les questions écologiques. Je n’apprécie ni Asselineau, ni Mélenchon du point de vue des personnes, mais je ne me focalise que sur l’aspect rationnel des programmes.Quant à vous, Mélenchon est il votre Dieu ?
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@marco facho’ Quand à créer un mondialisme en Europe...’vous confondez tout.Il ya d’un côté le modèle de la mondialisation capitaliste avec domination ethnique des occidentaux, mieux connu sous le sobriquet de Nouvel Ordre Mondial. Il est défendu par l’Extrême Droite américaine (les copains de Marine Le Pen ), et inspiré par le grand Reich de l’Extrême Droite allemande :Ce projet de nouvel ordre mondial, basé sur le Capitalisme et la domination de la race blanche était celui défendu par Ordre Nouveau, gropuscule créateur du Front National (Ordre Nouveau <=> Nouvel Ordre, incroyable hein ?)De l’autre côté, il y a le modèle de l’Internationale Socialiste, avec coopération des régions et des conseils populaires. Ce modèle est développé aujourd’hui par les pays Sud Américain sous l’impulsion de Chavez (le copain à Mélenchon), et prend la forme de l’ALBA et de sa monnaie commune le SUCRE :Comme on le voit en Amérique du Sud, c’est ce modèle qui permet aux Nations et aux Régions d’assurer leur indépendance et de préserver leur culture face au développement du Capitalisme. -
Premier article sur agvx pour casser du Mélenchon : il y a beaucoup à faire encore. Déjà, il faut un peu plus de rigueur : le prix Nobel d’économie n’existe pas, les seuls prix Nobel sont ceux que Mr Nobel a créés, de son temps.
Ensuite, prétendre que comme la France n’a qu’un seul commissaire européen et 10% des sièges au Parlement européen, elle ne peut pas faire voter sa politique témoigne d’une méconnaissance totale de la vie politique. Avec ce genre de raisonnement bidon, on ne peut rien faire car on est tout seul, etc, etc...
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Marco ferrouge,
Marine le Pen, pour élargir son recrutement, pioche dans les programmes et les références de tout le monde. Si on l’écoute, elle est marxiste !
Elle est surtout menteuse. Elle dit à longueur de temps qu’il faut sortir de l’euro, mais sur le seul document officiel, sa profession de foi aux présidentielles, elle a écrit :
« la souveraineté, par la remise à plat des Traités ».A aucun moment dans le document, elle ne parle de sortir de l’UE, ni de l’euro.
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C’est « remise à plat » que vous ne comprenez pas, Camomille ? -
@Francesca2 : remise à plat des traités ? Sachant qu’un nouveau traité doit-être obligatoirement ratifié par la totalité des 28 états membres, Il suffit qu’un seul état ne soit pas d’accord pour que ce nouveau traité proposé par la France parte au panier...
PS : au passage vous reconnaissez donc que le FN ne veut pas sortir de l’UE... merci. -
méchanlon avant tout = anti- fn (hénin ) = anti- france/français (discourt de marseille ) : point barre . rien de cohérent en dehors de ça !
=don quichotte du fascisme , sancho panza du N.O.M.=comique troupier
méchanlon va brasser du vent pendant 5 ans pour mieux rabattre ps en 2017 !
pour le M.E.S. pétition ou pas IL N’Y A PAS EU DE REFERENDUM le ps était d’accord avec sarko sur Lisbonne ,la Libye ,.... le N.O.M. .....etc....
pas besoin de dire non plus que chez les méchalon on est francs maçons depuis 3 générations . cette confrérie ou l’on entre par piston et qui sert avant tout a se pistonner ,s’entr’aider (passer avant les autres ) dans tous les domaine : politique ,administration ,justice au niveau national mais aussi international ! il n’est pas question pour lui de trahir ses frères à qui il doit tant tout , mais accomplir au contraire la mission qu’ils lui ont confié : saboter la nation au profit du mondialisme !
si gouverner c’est prévoir méchanlon est particulièrement aveugle/traitre qui n’a rien vu (étant aux loges ) du virage au mondialo-capitalisme du ps en 1983 !
-qui croie pouvoir socialiser l’europe de l’intérieur alors qu’il n’a pu le faire du ps et à du le quitter !
- qui même quand il voie les couilles a du mal à dire que c’est un mâle , dit qu’il a des doutes et se désiste sans condition préventivement pour le ps !
au peuple : il vaut mieux avoir ses ennemis en face que des traitres dans son dos !
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à parkway
vos arguments de poids chiche ne trompent personne.à vous lire vous n’avez pas l’air de savoir ce qu’est un argument !
les arguments de mélanchon trompent les gogos ,
l’avenir me donnera raison ! vous pariez ? -
L’Islande a fait défaut sur sa dette illégitime, a rebâti une Constitution et a organisé différemment le système bancaire en nationalisant les banques. Aujourd’hui, ce pays s’en sort bien mieux que toutes les autres nations d’Europe.
Tout cela est impossible si nous restons dans l’U.E car les traités européens organisent :
1) la désindustrialisation et la destruction de l’agriculture française au nom de la concurrence internationale et du libre-échange
2) le démantèlement des services publics
3) le contrôle des banques privées sur le financement de l’État.
Cela vous a peut-être échappé.-
« L’Islande a fait défaut sur sa dette illégitime, a rebâti une Constitution et a organisé différemment le système bancaire en nationalisant les banques. Aujourd’hui, ce pays s’en sort bien mieux que toutes les autres nations d’Europe. »
L’ Islande a une kyrielle de procès au cul car les ayants droits de cette dette n’entendent pas renoncer à cet argent. Inutile de préciser que la défense va avoir du mal à justifier le non-remboursement de la dette.La constitution islandaise 2,0 ?Pour entrer en vigueur automatiquement, le référendum devait réunir plus de la moitié du corps électoral.49 % de participation.C’est donc l’ althing qui vote son application en dernier ressort. Et devinez quoi ? l’ althing actuel est contre ce projet de constitution. Et les sondages actuels montrent que la droite islandaise au pouvoir a totues les chances d’ être reconduite en 2013. -
Bonjour, Zouloufrançais.
Outre ce qu’a écrit Mmarvinbear sur l’Althing (le parlement islandais), et qui semble exact, je crains qu’en voulant bien faire, vous ne participiez, Zouloufrançais, à l’enfumage.
Qui peut croire un instant que ce qui est vrai en Islande, tout petit pays de 350 000 habitants - soit la taille de... la métropole nantaise - est transposable dans un pays de 65 millions d’habitants ?
Evidemment personne de sérieux. Ce que l’Islande a pu faire, et qui n’est pas terminé car, comme le souligne Mmarvinbear, des recours ont été engagés, serait totalement inimaginable en France car notre pays serait aussitôt agressé par les puissances financières et désavoué par l’ensemble des autres pays de l’Union.
Affirmer le contraire est sans doute bon pour le moral, mais relève du fantasme ! -
@ Fergus
Et s’il reste dans l’UE s’il n’obtempère pas de la même façon, il sera également agressé et désavoué par les puissances financière :
- voir les remontrances de l’Allemagne et de Schlaube
- les attaques depuis la City, The Econnomist en tête
- les agences de notations...Il est sûr que vouloir sortir le pays de la mise en coupe réglés par la classe dominante va engendrer une certaine opposition, y compris à l’intérieur (voir le MEDEF, les pigeons, les médias actuellement)... De toute façon cette lutte qui n’est pas perdu d’avance est mille fois préférable au pillage et à la destruction qui est la seule alternative. Ceux qui vivent sont ceux qui luttent.
Alors oui l’Islande n’est sans doute pas le modèle idéal. Existe-t’il d’ailleurs ?
Ce qui est certain c’est que si elle avait été comme la grece dans l’euro et l’UE (comme la france), elle n’aurait aucune chance d’échapper à la bonne gouvernance par la Troika au service des marchés financier.
Si on veut préserver notre modèle social, un semblant de démocratie, la république, il est urgent de sortir de l’UE. Et cela donnera la possibilité au peuple de s’exprimer et d’impulser la politique progressiste qui est nécessaire pour le bien commun.Pour résister à cette opo
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Bonjour Mmarvin, Fergus,
Je suis un peu d’accord avec votre analyse, à quelques différences d’appréciation près. Il est vrai que les créanciers de l’Islande ne lâcheront pas l’affaire, toutefois c’est les états (Angleterre et Pays-bas) qui ont en fait instantanément repris la douloureuse, ce qui fait que au final tout cela pourra se passer d’état à état dans un calme relatif. Comparativement, l’Argentine est actuellement embêté, mais principalement par un fond privé, qui en fait agit sur ordre de Washington car ils pensent que le pays devient un peu trop rouge à leur goût.Mais c’est le paradoxe succulent : Alors que effectivement on peut se permettre de poursuivre une Argentine ou une Islande récalcitrante, on pourrait difficilement agir de la sorte avec une France qui reste encore à ce jour la 5ème économie du monde, une puissance nucléaire qui plus est. Notre position en Europe est réellement une clé, et même si une renégociation de dette nous promets quelques mois très agités, nous avons tout pour passer le cap in fine. C’est un jeu à qui peut se passer le plus longtemps de l’autre, et à ce jeu là, la France par la diversité de ses ressources internes est particulièrement avantagée.Donc même si je partage l’avis que l’Islande est difficilement comparable à la France, je croit que justement nous avons encore plus d’atout en main pour passer un tel cap.Si vous devez 1000 € à votre banquier, vous êtes dans la merde. Si vous lui devez 100 millions, c’est lui qui l’est. -
Bonjour, Taktak et Wesson.
Personnellement, je serais plutôt d’avis que la France tente ce coup de force car agresser notre pays en retour risquerait fort d’envoyer les agresseurs également dans le mur. Pour cette même raison, je pense que Hollande a tort de ne pas adopter une attitude plus rigide avec Merkel. Nous verrons bien ce qui se passera lorsque sera abordé le volet bancaire de la politique gouvernementale, mais je ne suis pas très optimiste.
Je voulais simplement souligner que prendre l’Islande pour modèle n’a strictement aucn sens, eu égard à la taille de ce pays, à peine plus peuplé qu’un petit département. -
Bonjour Mmarvinbear,
Vous dîtes que l’Islande a des procès au cul suite à l’annulation de la dette. Peut être, mais je n’ai rien trouvé de tel.
Serait-il possible d’avoir un lien (ou plusieurs) ?
Au passage, ce n’est pas parce que l’Islande a des procès qu’elle va les perdre.
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Romain Desbois 27 novembre 2012 07:27Faut arrêter avec les conneries à la Jovanovic ou à la Soral.
L’Islande et sa dette illégitime.Illégitime ?
Qui a accepté les banques anglaises sur son territoire et qui a bien profité du système avant la crise des supprime, si ce n’est les Islandais ?Et après vous les faîtes passer pour des Robin des Bois ? Pour les défenseurs des peuples opprimés par les banksters dont vous êtes tous complices en étant leurs clients ?
Révolutionnaires du dimanche, Papiers à Che !!!!! Petits bourgeois qui vous vous amusez à vous prendre pour des indignés qui arrêtez les manifs et les grèves dès que les vacances scolaires commencent.
Même pas des « réwebutionnets »
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« Vous dîtes que l’Islande a des procès au cul suite à l’annulation de la dette. Peut être, mais je n’ai rien trouvé de tel. Serait-il possible d’avoir un lien (ou plusieurs) ? »
Icesave est une banque de dépôt qui offrait des livrets d’épargne à des taux attractif, étant adossée aux banques islandaises qui jouaient du système financier pour proposer des taux défiant toute concurrence ( allez résister à une offre à 7 % ! ).Làs, quand la bise fut venue et que les banques islandaises firent faillite, elles furent nationalisées. Le gouvernement islandais annonça un gel provisoire des avoirs de Icesave, ce qui sema la panique parmi les épargnants anglais et néerlandais. Quand le gouvernement islandais confirma au gouvernement anglais que les islandais seraient servis en premier et que les fonds ne suffiraient peut-être pas pour rembourser anglais et hollandais, Londres appliqua une loi afin de geler les avoirs d’ Icesave sur le territoire britannique.Afin d’éviter la panique bancaire, Londres usa de son propre fonds de soutiens afin de dédommager ses ressortissants en lieu et place des islandais. Avant de présenter la note à l’Islande.C’ est cette dette que les islandais ont refusé de rembourser par référendum, à deux reprises.On peut d’ors et déjà s’interroger sur la morale scandinave. Après tout, il s’agissait d’une caisse d’épargne et ce ne sont pas des corporations multinationales et tentaculaires qui demandaient à faire valoir leurs droits, mais des gens comme vous et moi. Passons.Depuis, l’ Islande a d’ors et déjà remboursé un tiers de la somme mais le pays doit faire face à ses obligations et à l’ EFTA : http://www.eftasurv.int/press—publications/press-releases/internal-market/nr/1560La procédure semble toujours en cours. -
D’accord, ça parle de « compensation », il ne s’agit pas de la totalité, et c’est une demande visiblement.
Mouais. Si les lois sont bien foutues, il n’y a aucune raison qu’ils en voient la couleur.
Si l’état décide de régir sur la dette en la supprimant via une série de loi, je ne vois pas trop qui pourrait remettre cela en question.
A moins de croire que le marché est un truc divin contre lequel on ne peut rien faire, ce qui est loin d’être le cas.
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« Si l’état décide de régir sur la dette en la supprimant via une série de loi, je ne vois pas trop qui pourrait remettre cela en question. »
Tout le monde en fait. Aucun Etat ne peut vivre seul désormais, tous les flux financiers et commerciaux sont entrecroisés.Si l’ Islande avait l’idée saugrenue de vouloir jouer avec l’ardoise magique, nul doute que le pays ne pourrait plus se financer sur les marchés internationaux, et le pays sombrerait dnas la faillite.Faire appel à l’économie intérieure ?Ah ! L’islandais est, avec l’anglais, l’européen le plus endetté du continent !Le gouvernement islandais sait que sa Couronne ne survit que par le bon vouloir de ses créanciers, qui ne veulent pas perdre leurs billes. Pour le pays, il ne reste que deux alternatives : l’ Euro, ou comme le préconisent d’autre politiques du coin le dollar canadien.On est loin de la défense de la monnaie comme symbole national ! -
marvinbear
On dirait que vous êtes obsédé par la nécessité de rembourser et que sinon, vous vous réjouissez de la mort de l’Islande.En tout cas, je vous signale qu’en Amérique latine, un certain nombre de pays ont mis la finance mondiale au pas et que cela réussit plutôt bien à la majorité de leurs peuples. Mais peut-être que le peuple, ça ne vous intéresse pas ? -
« Tout le monde en fait. Aucun Etat ne peut vivre seul désormais, tous les flux financiers et commerciaux sont entrecroisés. »
Et puis ?
Ce n’est pas bien grave, d’autres marchés peuvent se trouver.
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« On dirait que vous êtes obsédé par la nécessité de rembourser et que sinon, vous vous réjouissez de la mort de l’Islande. »
N’est-il pas moral de rembourser un emprunt contracté ?Après tout, ce n’était pas votre argent, juste celui de quelqu’un d’autre qui vous l’a avancé pour que vous puissiez acheter le bien qui vous était nécessaire et que vous n’auriez pu avoir que 5 10 ou 20 ans après si vous n’aviez pas signé le papier. -
Pensez vous que l’attitude des banquiers concernés est très « morale » ? Marcher dans la main dans la main avec des agences de notation pour « forcer » des emprunts ? Incruster des « anciens » employés comme Draghi dans les structures démocratiques ? Influencer le fonctionnement d’un pays alors que les banques ne sont pas citoyennes des pays qu’elles ingèrent ?
Je pense qu’il y a un moment où le dindon de la farce pique à son tour ses tortionnaires...
Tant pis pour les banques, ce n’est pas comme si elles n’avaient pas déjà récupérer des intérêts des intérêts des intérêts des intérêts et qu’elles allaient être ruinées à cause de ça...
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JLM est une marionnette et un tartufe.........
Un menteur qui a trahis ses électeurs..........Et il a payé chers, aux dernières élections, ses pirouettes en appellant au vote socialiste.....circulez il y a rien à voir...-
Circulez juluch, vous n’avez rien compris ! Une fois que les résultats du 1er tour les ont mis sur la touche, l’appel à voter contre Sarko au 2ème tour était devenu plus important que le reste ! La preuve, le Front de Gauche n’ont à l’heure actuelle aucune place au sein du gouvernement car il n’y a eut aucun arrangement avec le Parti socialiste depuis le début ! Le fait de ne pas voter tout court aurait permis à Sarko de passer, si ça avait été le cas notre pays aurait définitivement sombré lentement mais surement dans un désastre chaotique sans nom !
Allez donc baver sur des choses que vous connaissez !http://www.dailymotion.com/video/xv6vel_j-l-melenchon-c-politique-france-5_news
Regardez donc cette vidéo de l’émission C/Polique sur France 5 du 18 novembre dernier, le tout du début à la fin, restez objectif si vous le pouvez et ensuite racontez d’autres conneries, ça sera déjà mieux !
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Tiens........un troll.................mal poli en plus..........tsss !!
Que va dire Jean Luc que de tels individus puisse voter pour lui......Remarquez, qui se se ressemblent s’assemblent......Tout à l’heure vous allez me faire croire que la décullotée qu’a pris la marionnette aux élections est une victoire.........Ha ! Ha ! Ha !Il s’est fait drôlement mouché le Gnafron....................sans parler des déçus de ses voltes faces..................Il aurait mieux fait d’appeler à voter blanc ............... même pas.......faux cul jusqu’au bout !!Et vous allez me faire la leçon..........................pauvre de nous. -
...................................................................... ..................................................... Je fais comme @ juluch
je remplace les arguments par des pointillés,c’est moins fatiguant... !!
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Tout à fait !!
Toujours éviter les fatigues inutiles.............................................................. .............................................. ...................................................................... ..................................................................... !!! -
Sortir de l’euro sans sortir du capitalisme n’a aucun intérêt... Selon Sapir lui-même, qui a créé un plan de sortie de l’euro dont s’inspire toute l’extrême droite, cela reviendrait à pouvoir dévaluer cette monnaie trop forte pour l’économie ce qui amènerait la dette à être réévaluée tout comme les importations... Il dit aussi que pour rester « compétitifs » il faudrait dévaluer la monnaie à peu près tous les 18 mois....
On sait que les dévaluations successives n’apportent jamais rien de bon aux salariés et aux classes populaires....Par conséquent sortir de l’euro sans sortir du capitalisme est une fumisterie qui ne peut qu’amener au pouvoir des politiciens « nationalistes » porteurs de ce projet sans intérêt pour les masses de travailleurs de ce pays....
Une sortie « légale » de l’UE et de l’Euro n’est pas prêt d’être à l’ordre du jour quand on sait l’état des forces qui s’en revendiquent....Par contre si les peuples se fâchent en Europe la question se posera différemment....
Admettons qu’un peuple européen isolé se soulève et prenne le pouvoir. Dans ce cas pour lui les Traités européens ne sont plus que chiffons de papier....Sa première tâche sera d’exproprier toutes les banques et leurs gros actionnaires. Donc il s’assurera du monopole du Crédit et il refusera de rembourser la dette aux capitalistes qui la détiennent....Puis il entamera toute une série de socialisations d’entreprises....
C’est loin d’être le plan des Asselineau, Le Pen et autres adversaires de l’Europe pour qui un simple repli nationaliste soignerait nos maux...
Et si par bonheur la crise amenait toute une série de pays européen à se soulever et à prendre le pouvoir alors c’est à l’échelle de l’Europe que pourront se faire l’expropriation des banques, l’annulation de la dette et la socialisation des entreprises.. C’est évidemment la meilleure solution pour les travailleurs des pays soulevés..
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Vous amalgamez la sortie du carcan européen est les thèses nationalistes. C’est bien dommage.
À propos des aspects économiques, dans le programme de l’UPR dirigée par François Asselineau, il est proposé de modifier profondément le capitalisme néolibéral que vous dénoncez à juste titre par notamment :
- La ré-attribution à la Banque de France son rôle normal de financement de l’État et des collectivités territoriales (en particulier le retour au prêt à taux zéro pour les investissements publics).
- Le contrôle des flux de capitaux pour arrêter l’évasion fiscale internationale et pour rendre inopérants le contrôle des agences de notations et le rôle tenu par les banques et les fonds de pension.
- La nationalisation et l’interdiction de la privatisation des services publics stratégiques (eau, énergie, santé, éducation, transports, etc...).
- La mise en place d’un référendum sur la gestion de la dette publique.
- Le développement de l’actionnariat salarié pour faire émerger une économie dirigée par des entreprises coopératives (SCOP, etc...).
- La modification substantielle et par la loi du partage de la valeur ajoutée entre capital et travail.Il y a plein d’autres mesures. Mais il faut bien comprendre que pour modifier le capitalisme il faut préalablement sortir des traités européens qui sont juridiquement au-dessus des lois françaises (cf : pyramide de Kelsen).
À vous de juger...
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Dans tous les cas de figure la sortie, la dénonciation des Traités européens est indispensable... Et c’est bien ce que j’ai écrit...."les Traités européens ne seront plus que chiffons de papier...." devant un ou des peuples soulevés....
D’autre part nous ne souhaitons pas simplement « modifier » le capitalisme, comme vous le dites, mais l’éradiquer en totalité pour instaurer une société d’égalité sociale et de partage égalitaire des richesses produites...
Il ne s’agit pas que de nationaliser certains secteurs en laissant de vastes pans de l’économie aux mains de la mafia capitaliste mais d’aller vers l’appropriation collective des moyens de production et d’échange dans leur ensemble.....En commençant par la socialisation de toutes les banques (y compris la banque centrale) sans indemnités ni rachat aux gros actionnaires....
Puis en refusant de rembourser la dette aux capitalistes qui la détiennent....Ainsi la création monétaire et le crédit seront entre les mains et au service des travailleurs... Et ce quelle que soit l’échelle.... européenne si possible...sinon seulement nationale dans un premier temps ....
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"Mais il faut bien comprendre que pour modifier le capitalisme il faut préalablement sortir des traités européens qui sont juridiquement au-dessus des lois françaises«
Je crois que vous pointez là le point essentiel : l’UE - et sa monaie - l’euro est par construction un outil de domination de la classe dominante (l’oligarchie, le fameux »ils" de mélenchon, la bourgeoisie, ou tout simplement la classe capitaliste pour ceux qui n’ont pas peur d’utiliser les mots justes) sur les différentes classes populaires nationales (le prolétariat quoi...). Par construction donc l’UE est totalitaire et l’euro est sans doute aucun son outil le plus efficace pour détruire les conquêtes sociales et augmenter les profits. L’UE c’est l’outil des capitalistes pour conduire la lutte des classes en europe.
Partant de là que l’on affirme sa volonté de voire rétablie la pleine et entière souveraineté du peuple chère au Républicains, ou le désir de voir mis à bas l’exploitation des travailleurs par le capital, il est incontestable qu’il est nécessaire de sortir de l’UE. Non, une autre europe n’est pas possible. Du moins sans sortir de l’UE et de l’euro, par la porte de gauche il va sans dire...(la porte d’extrème droite est une voie sans issue qui reste dans l’euro : la souveraineté monétaire reste piétiné par une monnaie commune avec les capitalistes allemand, et la domination de classe demeurerait : le peuple restant exploité, enchainé par les divisions xénophobes déshonorantes et criminelles des travailleurs, haine xénophobe qui ne peut conduire qu’à détruire ce qui fait la nation)
Si un républicain conséquent ne peut nier que la souveraineté du peuple passe essentiellement par la remise en cause de rapport de production qui font que le pouvoir est confisqué par ceux qui possèdent les moyens de production, il faut également qu’à gauche on reconnaisse que le périmètre de la Nation peut recouper comme c’est le cas actuellement celui de la lutte des classes. Dans ces conditions, il est indispensable pour défendre la classe ouvrière de défendre la Nation et réciproquement. Ce qui signifie qu’il faut constater l’identité entre nation et classe laborieuse, ce qui passe bien évidemment par la défense des intérets du prolétariats. Il n’est donc pas question ici de vanter un illusoire et trompeur ni-droite ni-gauche, pas plus que d’attendre qu’un peuple européen, transcendant les clivages et différences hérités de l’histoire émerge pour conduire une révolution européenne.
Il est urgent de reconquérir la souveraineté populaire de la Nation sur des bases de classe, avec une union des républicains et des progressistes, à la façon du CNR.
UNE REFLEXION POLITIQUE du PRCF SUR LES CONDITIONS DE LA MISE EN PLACE D’UN NOUVEAU C.N.R.
http://www.m-pep.org/spip.php?article3118
Et à l’attention des ceux qui ferait l’erreur de croire que le FN est un parti qui défend le peuple : lisez bien le programme du FN, point de sortie de l’UE et point de véritable sortie de l’euro non plus.... que des discours. EN revanche, la taxation des travailleurs pour maximiser le profit des patrons y est décrite en détail. Bref, le FN a choisit son camps celui de l’oligarchie et donc de la mondialisation capitaliste qu’il se refuse à dénoncer préférant s’attaquer à un soit disant mondialisme qui lui permet de ne désigner que les immigrés comme bouc émissaire de tout et d’épargner ses commanditaires - patrons actionnaires et banquiers, média ; la classe dominante en un mot - qui voit dans l’extrème droite comme il l’ont toujours fait l’allié objectif et le recours contre les exigences légitimes des travailleurs
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jaja, un pays indépendant peut faire un audit de la dette, puis un referendum et refuser de payer la totalité de cette dette illégitime. C’est ce que propose Asselineau et que se garde bien de proposer l’extrême droite.
Sortir de l’ UE et de l’euro serait alors synonyme de BAISSE de la dette et non pas AUGMENTATION de la dette !!!
Quant à votre refus d’agir légalement, c’est mauvais signe pour la démocratie.
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Ce que ne comprennent pas les gens d’Asselineau, c’est que ce n’est pas un texte que nous dénonçons comme illégitime qui va nous empêcher de mettre en place nos politiques au niveau national.
Ils ne comprennent pas que les lois quand on les trouve mauvaises on les change. Si notre peuple décide que telles ou telles dispositions des traités européens vont contre l’intérêt général, alors ils ne peuvent rien faire, c’est le peuple qui est le souverain.
Le peuple peut donc tout changer, que ce soit la constitution, que ce soit les traités européens, que ce soit les lois, et ce peu importe ce qu’ont décidé et les règles qu’ont mis en place les gouvernements précédents.Ce sont les volontés humaines qui régissent nos sociétés, ce ne sont pas des bouts de papiers. Un bout de papier n’a de valeur que si on lui accorde nous même.
Le front de gauche défend une orientation différente de l’UE actuelle, il ne veut ni quitter l’UE ni l’Euro, pourquoi ne pourrions nous pas changer de politiques ?
L’orientation de l’UE tout comme l’orientation de la France, sont le résultat de rapports de force politiques. Si la France bascule à gauche et prône une réorientation de l’union européenne, le rapport de force, actuellement principalement composé de l’Allemagne et de la France, bascule totalement, il se rééquilibre.
On ne peut pas savoir comment cela évoluera.
Mais faire croire que rien ne changera c’est vraiment pas crédible. -
En réalité, le fond du problème est économique et institutionnel. Les institutions de Bruxelles sont contrôlées par les lobbies qui représentent les intérêts financiers des grandes banques et autres multinationales. C’est le fonctionnement même des institutions européennes qui est en cause.
D’autre part, il existe une incohérence dans la typologie des décisions prises par ces organes européens car chaque État n’est pas d’accord sur la politique fiscale, économique, sociale, environnementale, etc... C’est donc souvent le compromis du moins-disant qui est accepté au détriment des intérêts de notre pays qui est le plus protecteur. D’autres États ne veulent pas appliquer notre politique sociale et économique. Par exemple, la France ne peut pas imposer le S.M.I.C dans les autres pays, ni le même niveau de prélèvement obligatoire et encore moins une taxation identique. Les mêmes raisonnements sont à appliquer concernant notre industrie et notre agriculture qui sont concurrencées par d’autres pays membres. La protection sociale étant plus faible, le coût du travail l’est aussi et donc il est bien plus simple de nous faire concurrence sans que la France puisse protéger son système par des droits de douane par exemple.
Ensuite, il faut bien comprendre le rôle que joue l’euro. Une monnaie est le socle de l’économie. Elle doit nécessairement adaptée à la compétitivité intrinsèque du pays dans lequel elle circule pour favoriser le plein-emploi et l’équilibre de la balance commerciale. Le problème majeur réside dans le fait que la valeur de la monnaie, l’utilisation qui en est faîte (dévaluation, réévaluation) constitue le coeur du programme économique d’un pays.
Aujourd’hui, les balances commerciales des pays sont pour la plupart déficitaires (sauf pour l’Allemagne, car l’euro est adapté à leur économie) et cela aggrave considérablement leur situation. Par exemple, pour la Grèce comme pour la France, l’Espagne, l’Italie et le Portugal, ces pays ne peuvent retrouver un équilibre de leur balance commerciale avec l’euro surévalué et inadapté à leur économie. Ainsi, nous sommes de plus en plus déstabilisés et contraints de « couper dans les budgets » et de voir notre pays décliner (chômage de masse, désindustrialisation, baisse des salaires, baisse des retraites, etc...).
Une autre clef de compréhension, est le taux d’intérêt directeur. La gestion de ce taux par la banque centrale est fondamentale pour faire tourner l’économie correctement par rapport au taux d’endettement, à la croissance et à l’inflation d’un pays déterminé.
Aujourd’hui, le rôle de la BCE qui est indépendante des États, est inscrit dans les traités. Son seul et unique but est la maîtrise de l’inflation. Or, c’est un non-sens économique car comme je vous l’ai expliqué, le rôle de la banque centrale s’adapte en fonction de la situation et des évolutions de l’économie d’un pays.
La politique de la BCE est donc lacunaire, mais également incohérente car les 17 États membres de la zone euro ont tous des économies différentes et requièrent une gestion différente de la monnaie.
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La bonne vieille escroquerie de « l’Europe sociale » en gros. Bodruchon avoue avec naïveté y avoir cru 20 ans. C’est beau la clairvoyance en politique.
Vous voulez des gens qui n’y ont jamais cru et disaient depuis 20 ans qu’on allait dans le mur ? Les gens du FN.C’est pas en imitant le prolo ( enfin sa vision du prolo, comme quand il fait exprès de faire des fautes de Français, on se souvient de son « l’islam ne s’attrape pas par le manger » par exemple ) qu’on oubliera ça.-
Soit vous n’avez rien compris soit vous le faites exprès... En tout cas, si vous avez 1 heure à prendre pour vous INFORMER de ce que disent certaines personnes regardez donc cette émission sur France 5 de mi-novembre, au milieu il s’exprime justement au sujet de l’Europe actuelle et son explication n’a rien à voir avec votre « Europe Sociale ».
http://www.dailymotion.com/video/xv6vel_j-l-melenchon-c-politique-france-5_news
Et pas la peine de troller avec votre Front National !
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Le FN est pour une monnaie commune qui ressemble bigremment à l’Euro. Et n’est pas pour la sortie de l’UE (C’est où dans son programme).
Par contre pour payer la dette et exploiter les travailleurs en baissant les salaires, démolir la protection sociale, la retraite, le droit du travail, l’éducation là, y a de la constance au FN
En prime maintenant, le FN est ouvert à l’affirmation des communautarisme régionalistes, le tout pour faire la léche au bloc identitaire.
Le FN c’est une escroquerie pour le peuple
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Daniel D2,
Le problème, c’est que le FN n’a aucunement l’intention de sortir de l’ UE et de l’euro.
Sur sa profession de foi aux dernières élections (seul document officiel) Marine le Pen écrivait :« RECOUVRIR NOTRE SOUVERAINETÉ NATIONALE PAR LA REMISE A PLAT DES TRAITES EUROPÉENS. » Remettre à plat les Traités, ce n’est pas en sortir.
Officiellement elle écrit autre chose que ce qu’elle raconte . Vous prenez vos rêves pour la réalité.
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Héhé... Ptet qu’avec le FN au pouvoir, le bon salarié bien réac aura le privilège de se faire exploiter par un liberal bien français plutot qu’étranger !
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non, j’ai bien lu le programme présidentiel du FN
et j’ai bien entendu louis Alliot. Pas la peine de m’insulter.après c’est sûr qu’il faut aller dans la profondeur des pages du programme du FN pour trouver la supercherie. Mais encore faut il faire l’effort de savoir pour quoi on vote exactement quand on vote Le Pen
Quant au fait que le FN ne défende pas la Nation, ben oui c’est un fait. le Fn est surtout un parti qui défend l’exploitation des travailleurs, le maintien de « l’ordre » économique et social inégalitaire, le tout en s’appuyant sur une politique xénophobe de division de la Nation. Donc non, le Fn n’est pas vraiment nationaliste.... Ou plutot si, au sens réactionnaire du terme, ce nationalisme que n’aurait pas renié un Thiers ou Pétain.
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Eurasie 26 novembre 2012 14:07Je reproche à Mélenchon ... ne pas être Marchais ...
se faire couillonner par les libéraux à soutenir que « l’immigration est une chance » alors que ça nous coute une fortune, ça nous pousse vers les américains et ça fout la merde dans les banlieues.
Seulement 93% de celle ci est incontrôlable, vu les traités européens (codécision et droit international)
On est juste colonisés (pas par les immigrés qui comme au 19ème sont des paumés mais par les anglo-saxons financiers)
« En raison de la présence en France de 4,5 millions de travailleurs immigrés et de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes..... La cote d’alerte est atteinte, c’est pourquoi nous disons, il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine....Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions.....Les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder....La charge d’aide sociale nécessaire pour les familles immigrées plongées dans la misère devient insupportable pour les communes. » Georges Marchais, Montigny-les-Corneilles, 20/02/1991 avant de se faire éjecter par les bobos
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Il n’y aura pas de sauveur providentiel, pas plus Mélenchon qu’un autre. Cependant les propositions du programme du front de gauche « l’humain d’abord » sont toujours d’actualités.
L’avez-vous lu et qu’en pensez-vous ?
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« Par voie de conséquence, la seule solution pour résoudre cette quadrature du cercle est donc bien de sortir de l’euro et au plus vite. »
Faux. L’ Euro a au contraire permis aux économies européennes de résister aux diverses crises monétaires qui ont secoué les bourses il y a une dizaine d’années.Le problème ne vient pas de la « force » de l’ Euro, mais de la faiblesse du dollar et du yuan.« Le dollar est NOTRE monnaie et VOTRE problème. »Jamais cette phrase n’a été si vraie. Elle illustre le jeu des gouvernements américains qui sous-évaleunt leur monnaie afin de protéger leur marché intérieur. La contrepartie étant que l’économie américaine est désormais très fortement endettée. Il n’est pas excessif de dire que désormais, la politique monétaire et économique américaine se fait désormais à Pékin, la Chine possédant la majorité des dettes américaines via les Bons du trésor émis par Washington.Sérieusement, vous pensez qu’un retour au Franc changerait les choses ? Vous avez oublié combien la monnaie nationale n’a jamais pu rivaliser avec le dollar ?Vous avez oublié que l’économie française était pénalisée par la chèreté des importations ? Et produire sur place ne changera pas les choses car nous n’avons pas les ressources minérales suffisantes pour l’affranchir des importations.Vous vous voyez comme un défenseur de la France et des français, mais vous n’ en êtes que les fossoyeurs.-
"L’ by CouponDropDown">Euro a au contraire permis aux économies européennes de résister aux diverses crises monétaires qui ont secoué les bourses il y a une dizaine d’années.
Le problème ne vient pas de la « force » de l’ Euro, mais de la faiblesse du dollar et du yuan.« que de raccourcis !!
votre savoir monétaire laisse à désirer ...une séance de rattrapage s’impose.
il y a moult sites , blogs en tout genre , qui traite de ce sujet et en particulier du déséquilibre des balances commerciales dont la cause est l’euro .....allez parler de la »force" de l’euro aux grecs !!
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L’euro est surévalué de 30% pour notre économie, mais sous-évalué d’autant pour les Allemands que cette situation autorise à exporter avec plus de facilités.
Si nous revenions au franc, nous pourrions dévaluer. Avec l’ euro, c’est impossible.
Nous pourrions aussi faire un audit de la dette, et refuser de rembourser. Dans l’UE c’est impossible. -
« L’euro est surévalué de 30% pour notre économie, mais sous-évalué d’autant pour les Allemands que cette situation autorise à exporter avec plus de facilités. »
Comme la France et l’ Allemagne ont la même monnaie, il est inepte de comparer les exportations sur ce point là.Ce qui fait que les allemands exportent plus que nous, c’est que leurs entreprises ont une culture mondialiste que les français n’ont pas. Le moindre PDG de PME allemand parlera anglais avec facilité alors que le français renâclera à parler autrement que dans sa langue.Ce que les allemands ont en plus, ce sont des produits de qualité globalement supérieure, un tissus de PME et de PMI bien plus important que le notre car les politiques et les industriels français ont privilégié les grands groupes industriels au détriment des sociétés de taille intermédiaire.C’est ce qui facilite aussi le retour à l’emploi en Allemagne. On a plus de chances de trouver un poste parmi dix entreprises de petite taille que dans deux ou trois grosses.On peut aussi parler du rôle important des syndicats allemands, qui axent leurs actes sur les intérêts des travailleurs quand les chefs de centrales françaises ne se font connaître qu’à la veille des élections syndicales et n’agissent que pour le renouvellement de leurs mandats. -
vous vous méprenez, il n’a rien reconnu, il le dit depuis longtemps
et vous n’avez rien compris sur la puissance de la France
si nous changeons de politiques croyez bien que nous aurons une crise majeure au sein de l’europe, et ce changement se ferat avec nous ou nous le ferons tout seul
mais le pire n’est jamais sur-
"En effet, toutes les personnes qui se sont intéressées au sujet savent que la France ne détient qu’un seul commissaire sur vingt-sept à la Commission européenne et seulement 10% des sièges au Parlement européen" mais quel raisonnement nul !!!
On s’en fiche complètement de la commission européenne, elle n’est pas élue donc pas légitime (comme le FMI d’ailleurs).
Ce qui importe c’est le rapport de force, on ne fait pas l’UE sans la France, la deuxième économie du continent. Vous croyez franchement que les chef d’Etats de l’UE se passeraient du marché français, alors que nous sommes bientôt les plus nombreux, le plus grand nombre de consommateurs ?
Même dans le monde on ne fait rien sans la France, la France possède le 2ème territoire maritime devant la Chine, 900 millions de francophones dans 75 pays, le droit de véto à l’ONU que nous partageons avec 4 autres seulement, la France à lancé plus de 50 % des satellites commerciaux avec Arianespace, créé Airbus, le TGV recordman de vitesse....
On s’en tape de Barroso...-
Il y a quelques heures, j’échangeais sur la complainte de nos compatriotes, et bien Cyril07, vous ne faites pas partie des « gens » qui pleurent et je vous en félicite chaleureusement !
Nous avons pleins de raisons de nous réjouir : le verre est plein à 90% ! -
Je ne sais pas pourquoi, j’ai un petit faible pour les ardèchois !
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cyril 07, alors soyez logique, nous n’avons pas besoin de l’ Union européenne ! Sortons-en !
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N’en déplaise aux Soraliens, Fneux et accoquinés, il y a beaucoup de monde pour penser comme Mélenchon que l’Union Européenne est essentielle de même que la monnaie unique ! Mais une vrai union européenne citoyenne ! Aucun gouvernement social ne peut tenir s’il est seul en europe ! Mais une europe sociale est possible d’autant plus que le continent représente 25% de la richesse mondiale ! Nous serions indépendant sur la plupart de nos besoins ce qui est impossible pour la seule France !
Mais bon tout ceci est certainement de l’utopie ! J’ai suffisamment taquiné du militant FN pour affirmer que leur xenophobie est bien moins grande que leur fatalisme !
Quand à cette histoire de nombre de commissaires européens, je m’en fiche bien ! Moi j’aurais bien aimé que Mélenchon passe à la présidentielle histoire de voir si la voix de la France aurait été entendue ! Ceux qui critiquent sans tenter le coup n’ont pas de leçons à donner !
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« J’ai suffisamment taquiné du militant FN pour affirmer que leur xenophobie est bien moins grande que leur fatalisme ! »
Parfaitement d’accord ! ils sont aussi des personnes charmantes quand on veut regarder du bon côté. -
Bah ouaip, on en a tous un ou deux dans la famille !! Rajoute à cela tous ceux qu’on croise sur internet qui nous font regulièrement la demonstration de leurs arguments fumeux !!
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kingfausto,
Cela ne vous dérangerait pas de laisser les peuples européens décider de ce qu’ils veulent pour leur avenir ? De quel droit vous vous permettez de parler à leur place ?Occupez - vous de faire le socialisme en France, si nous réussissons, ne vous inquiétez pas, les autres peuples le verront.
ça suffit de toutes ces idéologies qui veulent imposer aux peuples « leur way of life » , sans leur demander leur avis !!
Rappelez- vous Rockefeller : « Je suis internationaliste, et j’en suis fier ! » On voit le résultat, alors proposez des solutions pour votre pays, et n’imposez pas aux autres quoi que ce soit.
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Voyons mon Pilou Pilou,
Je ne pensais pas qu’un commentaire posté sur agoravox correspondait à un ordre de ma part envers les peuples européens ! Merci de me le rappeler !
Les peuples européens décident comme des grands et pour le moment, ils sont toujours en majorité pour la droite liberale ou les socio liberaux... Bien entendu dans la plupart de ces pays, l’extreme droite est là pour rammener les moutons au troupeau et les médias, comme en France, prennent les vrais gens de gauche pour des clowns !
Et pour info, ça n’a ptet pas de rapport, mais dans tous ces pays, peu de pauvres semblent noter l’injustice du salaire des footballeurs qu’ils adorent !Imposer un « way of life » ?? C’est vrai que la propagande liberale bat son plein pour les 2 bagnoles à crédit, l’écran plat dans chaque piece et la création de besoins inutiles au détriment des besoins primaires. Mais cette accusation ne touche pas le FdG et les partis freres des autres pays puisque la ligne du parti est la prise de conscience écologique et humaine qui dit qu’on ne peut plus continuer à produire n’importe quoi n’importe comment sous pretexte de créer de l’emploi à tout prix ! Cf gaz de Schiste !
Ooh bien sur c’est de l’utopie, car rien ne bouge et aucun pays ne suivra la France si elle se lançait dans cette voie... Comme en 1789 non ? Aah oui pardon, amis conspi, c’est vrai que la révolution française ne fut qu’un complot des bourgeois franc maçons pour récuperer les parts de marché de la noblesse et du clergé ! Le fait qu’il y ait eut les droits de l’homme et le suffrage « à peu près » universel à la place du droit divin, c’est juste un détail de l’histoire comme dirait un vieil acteur de chez vous !
Mais bon, on va tous crever et ce serait ptet pas si mal d’élire l’extreme droite une bonne fois pour toutes que ça aille plus vite !!
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Une autre Europe... Cela fait plus de trente ans que les partis majoritaires qui nous trompent nous vendent une « autre Europe » comme slogan électoral.
Comprendre que les peuples se déterminent librement et qu’ils n’ont pas tous les mêmes revendications - eu égard à leur histoire, leur culture et leur vision du monde - permet de rapidement savoir pourquoi l’autre Europe ne peut pas fonctionner, sauf par la compromission d’intérêts nationaux divergents. Et la France y perd plus qu’elle n’y gagne. C’est un constat et non pas une opinion.
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Et vous, vous voulez une autre France ?
A mon avis, vous réduisez la surface, tout en continuant le même jeu des bergers qui conduisent le troupeau, avec de bons chiens de garde ?Mais il est clair que le slogan « changeons d’Europe » a fait son temps, il a bien dupé (on ne change pas une technique qui marche) et qu’ils nous l’ont mis bien profond.
C’est à chacun de nous de changer, pas au voisin,ni à la commune,ni au département,ni au pays, ni au continent etc...
Que veut-on ?
la paix ? (je pense que, dans les paroles, peu de gens sont contre) alors échangeons d’abord avec nos voisins, entre internautes, pacifiquement sans rendre les autres responsables de nos propres insatisfactions. -
Après tout les faits je ne comprends que l’on continue à suivre ce Pseudo-Gauche, le PCF encore Oui - l’histoire nationale aidant, mais Merluch, en 82 son étiquette : social-traitre (il a co-signé les privatisations), ensuite Maastrich et le libéraliste aujourd’hui citoyen traitre. Pourquoi ne milite t il pas pour l’annulation du traité de Lisbonne. Ce que le peuple a fait seul le peuple peut le défaire !!!!
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bonjour
pas trés soc et trop dans le moule. C’est mal fondé de lui demander avec une politique libéral capitalistique de mener une politique socialiste, quand il parle d’inverser le cap il pense à la mobilisation des moyens économiques par le peuple et non au noyé de la commission de Bruxelles.
http://ddacoudre.over-blog.com/article-l-impasse-du-pouvoir-2-112750206.html
cordialement.-
Bonjour,
Vous essayez d’analyser les choses, donc je veux bien ne pas vous faire le procès d’intention de malhonnêteté intellectuelle, et considérer que les oublis de votre article sont causés par un manque d’information. Quelques compléments, donc.
Oui, nous pensons au Front de Gauche que l’Europe est un outil indispensable à la construction d’une politique alternative à la mondialisation libérale et financière. Franchement, si la France n’arrive déja pas à changer l’Europe ; que changera-t’elle toute seule au niveau mondial ? En cela, Mélenchon est cohérent avec lui même : il a d’abord voté Maastricht, croyant que ce n’était qu’une première étape vers l’Europe sociale... puis il a fini par devoir se rendre à l’évidence de traité en traité que cela n’arriverait pas dans les conditions actuelles, et par s’impliquer dans le non en 2005, puis à rompre avec le PS par la suite.
Nous faisons le pari que si un pays comme la France (un des deux piliers de l’Europe) se décide à faire entendre un discours radicalement différent, ça ne pourra rester lettre morte. Mais la stratégie pour y arriver est importante.
A la différence de Hollande et autres socialistes de pacotille qui l’ont précédé dans les autres pays (Papandréou, Zapatero et consorts), l’idée n’est pas d’aller quémander le droit de ceci ou cela, mais de commencer par désobéir à tous ces traités qui nous enferment dans une politique que nous ne voulons pas.
La première étape (annoncée maintes fois pendant la campagne), est de faire la liste des directives européennes auxquelles nous n’obéirions plus, parce qu’étant en contradiction avec le programme pour lequel le peuple nous aura(it) élu, et d’informer les instances européennes que nous ne les appliquerons plus d’orénavant (ils peuvent évidemment toujours attendre les éventuelles amendes qu’ils se décideraient à nous infliger, bien sur).La seconde, de proposer une autre dynamique (entre autre réforme de la BCE pour qu’elle prête directement aux Etats, ce qui est le socle de la fin de la spéculation, puis nouveau shéma de développement basé sur la coopération entre les peuples au lieu de la compétitivité/compétition : je ne détaille pas, lisez le programme et réécoutez les discours qui en parlent, voire lisez le bouquin de J. Genereux : « Nous on peut ! »).
La désobéissance aux traités n’entraine pas la sortie de l’Europe, ni de l’Euro (comme vous le savez, les règles pour y entrer sont très précises, mais pour en sortir, elles n’existent pas). Par contre, si notre dynamique ne recueille pas l’unanimité (je ne rêve pas), il est possible, dans le cadre des traités de mettre en place des collaborations renforcées entre quelques pays qui le souhaitent sur des points précis. Ca peut permettre de construire un petit noyau qui grandit petit à petit.
Je ne rêve pas, mais je pense qu’un discours qui bannit les politiques d’austérité de la Troïka, porté par la France, ne manquera pas de faire des émules dans les peuples de nombre d’autres pays, à commencer par la Grêce, l’Espagne, voire l’Italie, par exemple, et par créer un effet d’entrainement, rien que par le fait que d’un seul coup, il n’y aura plus de parole unique sur le continent.Quand je vous entends parler de l’impérialisme que serait le fait « d’imposer » une autre politique, je suis très surpris, car l’attitude du gouvernement allemand aujourd’hui, dans ce cas, vous appelez ça comment ? L’idée pour nous n’est pas d’imposer, mais de proposer une autre voie à creuser, dont les autres peuvent s’emparer s’ils le souhaitent.
Maintenant, si tout cela venait finalement à échouer, il serait encore largement temps de décider de quitter la zone Euro et l’Europe, puisque nous aurons tenté jusqu’au bout toutes les possibilités. Pendant la campagne, cela a été quelque fois évoqué (certes du bout des lèvres, car il faut espérer ne pas en arriver là, parce que, dans ce cas, je ne donne pas cher de notre peau, et jene vois pas comment nous pourrions résister à touts ceux dans le monde qui n’attendent qu’un signe de faiblesse de notre part pour nous imposer une politique bien pire que celle que nous vivons aujourd’hui.
En espérant avoir amener des éléments qui puissent faire avancer votre réflexion. Même si je comprends votre rancoeur face à l’Europe d’aujourd’hui, il ne faut pas se tromper de cible et insulter ceux qui ont la même vision que vous de l’Europe (présente et « idéale »), mais qui ont décidé qu’il n’était pas question de l’abandonner aux forces de la finance sans livrer le combat avant.
Enfin, moi, ce que j’en dis...
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Vous voyez bien que nous ne pouvons pas changer l’Europe de l’intérieur. Cela fait plusieurs dizaines d’années que nous sommes engagés sur cette voie et pourtant les résultats attestent que cela ne fonctionne pas. Il suffit de regarder comment les institutions européennes traitent les États comme la Grèce, le Portugal et l’Espagne.
Pour changer réellement les choses, nous devons nous porter en exemple en suivant une politique qui nous appartient. Les pays voisins suivront si telle est leur volonté. S’agissant des coopérations, il est évidemment nécessaire d’en mettre en place, mais sans passer par la technocratie bruxelloise.Vous dîtes qu’il faut désobéir aux traités européens. Cependant, cet agissement est lourd de conséquence en terme diplomatique. Il faut bien comprendre que lorsque vous êtes engagé dans un contrat et que vous décidez de ne pas respecter les obligations qui en découlent, vos cocontractants sont en droit de faire de même. En réalité, la diplomatie exige que les États respectent le droit international.
Selon vous, il convient dans un premier temps de lister les directives auxquelles la France aura décider de ne plus se soumettre. Vous omettez néanmoins plusieurs aspects fondamentaux parmi lesquels le droit communautaire est composé de plusieurs niveaux de législation :
- le droit primaire : Ce sont les traités européens qui ont une valeur supérieure à la loi française. Ceux-ci instaurent notamment le libre-échange mondial sans contreparties qui entraîne les délocalisations, la désindustrialisation et la destruction de notre agriculture, le démantèlement des services publics par la mise en concurrence avec les entreprises privées, l’interdiction faite aux États de se financer par leur propre banque centrale, la monnaie unique inadaptée à l’hétérogénéité des économies nationales, etc...
- le droit dérivé : Ce sont les règlements européens décidés à Bruxelles qui sont d’application directe. Et les directives européennes qui sont des textes votés au Parlement européen pour lesquelles les États membres doivent appliquer une transposition en droit national en étant libre sur les moyens à utiliser pour atteindre un objectif défini.Aujourd’hui, entre 60% à 80% des lois françaises sont des simples transpositions de directives ou de jurisprudence communautaire.
Le droit communautaire est dans son ensemble de valeur supérieure au droit français (cf : pyramide de Kelsen). Ainsi, un gouvernement dit de droite ou de gauche, ne peut mener uniquement la politique qui est décidée à Bruxelles. Les marges de manœuvre sont inexistantes car les compétences transférées aux institutions européennes sont extrêmement nombreuses (cf : compétences partagées, compétences exclusives et compétences d’appui). Elles décident de la politique économique, sociale, environnementale, industrielle, commerciale, agricole, fiscale et maintenant budgétaire (via le fameux MES complété par le TSCG).
Vous dîtes en second lieu, qu’il faudra proposer une « autre dynamique ». Sachez néanmoins que les pays membres de l’U.E n’ont pas tous les mêmes visions de ce que doit être le rôle central de la B.C.E et de la gestion de la monnaie qui est le socle fondamental de l’économie. Les Allemands veulent un euro fort et une inflation inexistante pour satisfaire leurs exigences de compétitivité et de vision économique. Cependant, la France requiert une monnaie plus faible et une inflation plus importante. Comment se mettre d’accord ? C’est mathématiquement impossible. Les votes à la B.C.E se font à la majorité et les grands banquiers qui contrôlent cette institution indépendante des États sont tous pour le maintien du statu quo des marchés financiers et du système bancaire actuel.
Encore une fois, si nous souhaitons « proposer une autre voie » il faut montrer l’exemple par la mise en place d’une politique exemplaire qui donnera envie aux autres pays. Mais ce n’est pas dans le cadre des institutions européennes, dominées par les lobbies et les compromis divergents que cela est envisageable. Force est de constater que les Grecs, les Portugais, les Espagnols et les Italiens en font les frais un peu plus chaque jour.
J’espère avoir répondu clairement à vos interrogations, toutes aussi légitimes les unes que les autres.
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mouton noir,
J’ai bien compris vos explications, changer l’UE de l’intérieur.Pour changer les Traités ou les statuts de la BCE, il faut que les 27 états soient d’accord :
article IV-443,3 : « Un seul état peut s’opposer à toute modification. »
Mélenchon est député européen et il ne le sait pas ?
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A l’ ump on se fait le remake des douzes saloparts ,bon dieu quel cinoche ,helas ce n’est pas un film, de voir tous ses salopards discourir et montrer sans vergogne qu’ils ont les memes pratiques que la mafia ,dixit fillon , et le pustch de cope pour le pouvoir ,hum ça sans la corse ,avec à la clé peut etre quelques disparitions du style boulin et de bien d’autres comme par hazard a droite . ça ressemble aussi étrangement aux luttes sans merci des arabo juif roumain ,et des tudors en gb ont assasisne sans laisser de preuve ,le fric fait le reste ,ainsi va l’ histoire !
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« Faut-il avoir fait H.E.C et l’E.N.A pour comprendre que les Allemands et les Néerlandais ne veulent plus payer pour résorber le déficit grec, italien et espagnol ? »
Peut être pas mais c’est un énarque qui vous l’a fait savoir et plutôt que d’emprunter sa rhétorique vous feriez peut-être mieux de penser par vous même .Et pourtant elle tourne comme dirait l’autre .-
Faux. J’écrivais en 2010 à ce sujet bien avant de découvrir Asselineau. Bonne soirée !
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Cependant vous avez raison sur un point : François Asselineau est un énarque qui ose dire la vérité à propos de l’U.E et tente depuis maintenant 5 ans de la partager avec les Français.
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Et bien sur , comme François Asselineau , il faut vous croire sur parole .Et bien moi je serai curieux de lire ce que vous écriviez en 2010 , c’est possible ?
Autrement non , je n’ai jamais dit qu’il disait la vérité .Quand à votre rhétorique elle est 100 % asselinienne , relisez-vous , c’est du mimétisme. -
Une théorie n’appartient à personne et je ne me cache pas d’être engagé auprès de François Asselineau. Cependant cet article est issu d’une mure réflexion que j’ai pu avoir en lisant plusieurs auteurs d’économie, d’histoire et de politique et en la confrontant avec les acquis obtenus par mon expérience de la vie et l’enseignement du droit. Je suis titulaire d’un master de droit fiscal, chef d’entreprise et animé par la volonté de parler politique depuis fort longtemps. Je ne vous ferais pas le plaisir de vous indiquer quelle est l’adresse de mon blog car vous trouverez toujours à redire pour critiquer bêtement et tenter vilement de cracher votre venin.
Votre jalousie n’a de vice que pour vous et vous vous en faites un bien pitre défenseur.
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Mélenchon, quel formidable tribun !!
Au point que certains de ses interlocuteurs ne savent même plus ce qu’ils voulaient prouver.
L’art oratoire ne remplace pas les compétences, et je remarque la propension de ce leader à proposer les coopératives comme solution aux problèmes économiques.
Est-il sérieux ?
Une coopérative a deux ou trois ans d’existence, c’est prouvé dans les chiffres.
Ou elle disparaît, ou elle tombe aux mains des « coopérateurs » les plus malins, des requins qui laisseront des miettes à leurs copains.
Il faut arrêter de balancer des idées irréalistes.
Comme l’autre, le monsieur attali, qui prédit des années noires à l’allemagne, parce que les fridolines ne font plus assez d’enfants.
Faux problème, madame angèle claquera dans ses doigts, et il y a plein d’immigrés bosseurs qui se bousculeront au portillon pour venir bosser chez elle.
J’ai dit « bosser ».-
Eh ben voilà !
Encore un article entier et ses dizaines de réactions à ne mentionner à aucun moment le principe du Glass Steagall, cette paroi étanche entre l’économie réelle, physique et l’économie spéculative, prédatrice de la première, cause première de l’état de déflagration que vont subir les pays transatlantiques.
Ne pas payer la partie spéculative, illégitime, de la dette, à l’instar de l’Islande, de l’Argentine, mais surtout de l’Amérique de Roosevelt qui montra la voie à suivre pour éviter le fascisme financier en 1933, fait partie du Glass Steagall act original ( 1933-1999 pour les USA et 1945-1984 pour l’équivalent en France ). Cette loi consistant à couper les banques en deux, est le premier combat à mener contre « l’empire »
Bien sûr que, en restant au sein de l’Europe et de cette constitution, on ne peut rien attendre, cependant Asselineau, le FN, ou Meluche se font à mes yeux tous complices de ce système, dans le sens où aucun, ne représente un danger véritable pour la grosse bêbête ... Pourquoi ? Parce que, en omettant soigneusement d’ébranler le dogme du « too big to fail », càd en refusant de placer au tout premier plan la lutte pour cette séparation stricte des banques, ( et la mise en faillite contrôlée des banques casino ), aucun ne s’extrait de la logique et de la loi du renard dans le poulailler.
Vous me direz, maintenant qu’on s’est pris le TSCG dans le cul, il n’y a plus d’échéances urgentes obligeant à comprendre ; J) on a le temps, à moins que le feu ne nous rattrape au Moyen Orient …
Mais, il va bien falloir un jour ou l’autre qu’on se penche sur les leviers économiques ouvrant l’accès à un niveau de vie convenable et en quoi, pourquoi, bien des « réformes » ne peuvent pas marcher. Il faut taper juste, et sans concession, dès le départ.
Le principe du GSA, parce qu’il tarit le système oligarchique de sa fausse monnaie, le castre intrinsèquement, lui retire son pouvoir malthusien de freiner son développement, et appelle son pendant : un système de crédit productif public, cette vraie monnaie sera au service, on dira de « l’accueil des générations à venir » et non d’une logique monétariste ( exactement l’inverse du FMI, quoi ! )
Ce système, prévoyant la ré-appropriation de l’émission de monnaie, est un principe fondateur de la constitution … US ! (art1-8) Euh … ça, je ne suis pas certain, malheureusement, qu’Asselineau en fasse la pub ^^
Devant ce récurrent manque de réactions à cette idée que le principe du GSA est LE NŒUD A DENOUER, j’en viens à me dire que personne n’accepte d’intégrer le point de départ, qui est une évidence chez les Larouche, Cheminade ( mais aussi chez Cheikh Imra Hosein et bien d’autres, ayant parfois des approches très différentes ) :
Que, petit un, les banques sont en faillite virtuelles, et qu’il n’y a pas de petit deux si on ne commence pas par mettre une grosse capote (GSA) sur la partie vitale du système irriguant l’économie , qu’il y ait sortie de l’Europe, de l’Euro, ou pas !
C’est : métastases et Titanic ou le coup de hache du Glass Steagall, sinon c’est faire semblant !
Dîtes le à celui qui reçut votre suffrage ce joli mois de mai 2012 !
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thepouet,
Sur la monnaie, puisque ce sujet vous intéresse, vous devriez regarder la vidéo d’ Asselineau sur le site de l’ UPR, « La tragédie de l’euro ».Cela vous éviterait de confondre l’ UPR avec l’extrême droite qui demande « une remise à plat des Traités », comme tous les partis, comme Mélenchon par exemple.
L’UPR est le seul a demander la sortie de l’ UE, de l’euro et de l’ OTAN.
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la France... la France... la France... gnagnagna... mais gnagna dangeureux !
la France qui a torturé en Indo, en Afrique, la France des marchands de canons, ou d’avions de chasses (des potes à la méluche, voire Dassault), la France des nationalistes, roses, mais nationalos quand même ! la France des socio-hypocrites, qui hurlaient à l’Union sacrée en 1914 ! qui faisaient tirer sur les mineurs en 47, qui envoyaient le contingent en Algérie en 58. Les mêmes discours, new-look même pas, les mêmes salades patriotardes nationalistes empoisonnées.La France : ou la boîte à entourlouper le prolo, la boîboîte made in grande et médiocre bourgeoisie française.La méluche, ou les vieux discours déroulédeux mâtinés Mollet Mitterrand.Car il y a des travailleurs de France qui se sentent infiniment plus proches des plombiers polonais, africains et allemands que de la bourgeoisie française (est ses loufiats de droite... et de gauche).-
Eurasie 27 novembre 2012 20:12« Requiem pour un empire défunt », l’histoire de la destruction de l’Autriche-Hongrie soutenu par la franc-maçonnerie décrite par Fejtö (juif).
La super mafia planétaire formate les peuples. L’uniformisation et la batardisation sont ses armes, car la Globalisation néolibérale nécessite un multiculturalisme préalable atomisant les résistances des peuples. Des populations battues comme des jeux de cartes, dans une bétonnière Duflot, ça donne un mortier solidaire de chateau de sable, à la merci d’un coup de pied de l’Empire et sous le joug des Seigneurs de la Finance.
Et Mélenchon s’y emploie avec sa « chance pour la France » ... truelle de Bouygues, Peugeot (avant qu’il délocalise ...) et Vinci.
vidéo du Grand Remplacement (50% de naissances extra UE en 2040)
OCDE, les deux tiers des immigrés arrivant en France ont un niveau d’éducation inférieur au premier cycle des collèges, contre 30% seulement pour la Grande-Bretagne et 22% pour les Etats-Unis. En 2005, il n’y a eu que 11.500 cartes de séjours délivrées au titre de l’emploi, soit 7% des flux.
Payer pour les colonies de main d’oeuvre pauvre des capitalistes extra-territoriaux, avec son loyer ou son emprunt, ses impôts etc ...
Bétonner son pays avec des implantations coloniales Duflot et en plus payer pour ça ...
En 15 ans :
Immobilier en Allemagne -24%
Immobilier au Japon -22%
Payer avec son loyer ou son emprunt, ses impôts etc ...
Surface bétonnée, +19% en 10 ans, atteignant 22%.
L’alibi n’est plus l’éducation républicaine civilisant des sous-races (J. Ferry 1885) mais l’anti-racisme mondialiste tout aussi hypocrite !
http://www.rts.ch/archives/tv/cultu... (l’historien Guillemin) L’arnaque des radicaux socialistes alliés aux capitalistes
2 fois plus d’enfants, salaire 2 fois inférieur en moyenne, environ 3 fois plus nombreux à recevoir des allocations chômage (sauf le chinois), 3,8 fois plus représentés parmi les bénéficiaires du RMI, en moyenne 2,5 fois plus dépendants des aides au logement, nécessitant le financement d’un grand bétonnage, de plein de prisons et de plein de police, plombant l’enseignement ...
"Il faut imposer le métissage partout. L’idée de pays ethniquement purs est une survivance du XIXe siècle. Le IIIe millénaire verra la victoire du métissage. Les peuples non mélangés appartiennent aux idées périmées du XIXème siècle. Pour passer au XXIème siècle, il ne doit plus exister que des états multi-ethniques" Wesley Clarke
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Eurasie 29 novembre 2012 09:45« Nous voulons que chaque citoyen porte une responsabilité politique et refusons que quelques rares fonctionnaires politiques ou diplomates décident du sort de la grande majorité des citoyens. La foi dans la toute-puissance de l’État a malheureusement une longue tradition et continue à marquer de son sceau la pensée de politiciens européens, chez les socialistes de tous les partis. C’est pourquoi nous souhaitons ne pas nous intégrer à l’UE et à ses instances, quelles que soient les sympathies que nous puissions avoir pour ces pays et les habitants de ce continent. L’idée d’une UE organisée de manière centralisée et bureaucratique « du haut vers le bas » plaît aux socialistes et socio-démocrates. Le mot magique dangereux est en l’occurrence « l’harmonisation ». Les socialistes souhaitent que la politique et l’administration décident de tout à un niveau le plus élevé possible et qu’ils décident par conséquent partout de la même façon. Ils souhaitent adhérer au plus vite à l’UE. Nous souhaitons en revanche que les décisions soient prises à un niveau le plus bas possible. C’est pourquoi nous nous battons pour une Suisse qui reste fidèle à elle-même et à ses valeurs que sont la liberté, l’indépendance, la démocratie directe et le fédéralisme. »
— Christoph Blocher UDC
Bodruchon a truelle de Bouygues, et Duflot la bétonnière.
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