Pour sauver les retraites, sacrifions une partie des vieux !
![](http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L300xH238/panneau-vieux-eded1.jpg)
Le débat sur la retraite fait l’objet de tout un baratin syndical et gouvernemental. Bien évidemment, les responsables syndicaux défendent les avantages de ceux qu’ils représentent, autrement dit, une part mineure des travailleurs. Quant au gouvernement, il tente d’éviter la faillite du système, une faillite inéluctable si rien n’est fait. Mais pour faire accepter la chose, il faut se targuer de bon sens et servir un bla bla du genre les travailleurs vont devoir travailler plus. Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas de travail, pas assez pour que la plupart aient un taux plein et encore moins si on veut reculer l’âge du départ.
On l’aura compris. L’assiette des cotisations étant fixée par l’emploi total, et cet emploi étant maintenant limité, avec de faibles marges évolutives, la seule et unique solution, c’est non pas de faire travailler les gens plus longtemps, car personne ne veut des seniors, mais de réduire le nombre d’ayant droit à la retraite. Ainsi, en réduisant la répartition, on peut maintenir des retraites convenables et obtenir un équilibre des comptes. Quand il y a trop de prétendants à la retraite, la répartition tend à réduire le montant. Réduisons alors les prétendants, telle est la solution vers laquelle s’orientent les gouvernements européens.
Prenons le cas d’un travailleur ayant cotisé 40 ans. A 60 ans, il risque d’être licencié, à moins qu’il ne l’ait déjà été. Si l’âge de la retraite est reculé à 65 ans, alors il n’aura aucun revenu pour vivre, excepté le RSA. Les Conseil généraux apprécieront ! Imaginons que ce retraité soit célibataire, locataire, il n’aura que 50 ou 100 euros par mois pour vivre. Le système qui se met en place constitue un sacrifice que la société se prépare à consentir. Mais après tout, cette « Shoah économique » ne se compare pas avec Auschwitz. Vont pas nous faire chier, ces vieux, ils n’ont qu’à aller aux Restos du cœur pour bouffer. Ils n’ont pas besoin de s’acheter des vêtements pour être élégants, ils ne sortiront pas de chez eux, et regarderont la télé pour se distraire. C’est ce qu’on appelle la modernité. Des millions de vieux vont être sacrifiés. Enfin, tout n’est pas si sombre, à 65 ans, le vieux au RSA peut toucher sa retraite et si elle est trop faible, il aura au moins le minimum vieillesse, s’il vit encore, ce qui fait 50% d’augmentation par rapport au RSA. Ce sacrifice est anthropologiquement explicable. L’homme a appris à détourner le regard. Mais rien n’autorise à penser que ce sacrifice est une fatalité. C’est en vérité un choix. Mais pour faire croire qu’il n’y a pas d’autres choix, les autorités ne font pas d’effort intellectuel pour penser une alternative crédible, pas plus que les intellectuels.
Il n’y a pas de fatalité. Dans retraites par répartition, il y a répartition. Il suffit de changer la répartition, plus que l’assiette. L’obstacle ce n’est pas le calcul économique mais l’homme. Rien de nouveau. Vous pouvez dormir à nouveau, pardon de vous avoir interrompus.
49 réactions à cet article
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Vieux pieu
euh voeu vieux
pardon pieu voeu
disons j’ veux r’ tourner au pieu
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Plein de bon sens Haddock.
Encore une histoire de Shoa qui me donne envie de dormir.
Qu’il est doux, plein de jeunesse, le sommeil du vieux !
Bonne nuit. -
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SOLEIL VERT !(le roman, le film ? à la rigueur...)
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oui sacrifions les vieux, mais dès la naissance !
Entendu hier sur la 5 dans l’émission de Calvi : avant l’age légal de la retraite était plus élevé que l’espérance de vie des ouvriers... Est-ce qu’on veut nous reproposer ?-
bj33 18 février 2010 12:01C’est vrai que je n’ai pas compris pourquoi on vaccine les vieux contre la grippe gratos, au contraire, on devrait leur interdire la vaccination, les soins préventifs en tout genre, leur interdire le port de la ceinture de sécurité.
Personnellement, bien qu’ayant 57 ans, je m’en fous : plus de boulot, pas de mutuelle, ni de voiture, je ne risque pas grand chose
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Personnellement, je suis pour la décimation : liquider 1 vieux sur 10 tous les ans par tirage au sort. Applicable pour les plus de 65 ans.
Agé de 62 ans, cela me laisse encore trois belles années avant de risquer d’être victime du sort. A toutes fins uitles, je vais commencer à m’éclater au cas où... -
Le débat sur la retraite fait l’objet de tout un baratin syndical et gouvernemental. Bien évidemment, les responsables syndicaux défendent les avantages de ceux qu’ils représentent, autrement dit, une part mineure des travailleurs. (... )
Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas de travail, pas assez pour que la plupart aient un taux plein et encore moins si on veut reculer l’âge du départ. l’auteur
à l’auteur, salut
pour la majorité des employeurs (surtout les grosses boîtes) un salarié est jeune jusqu’à 30 ans et devient vieux à partir 35 ans ;
5 années donc, qu’on se le dise ! -
Mais c’est déjà en cours, avec la diminution drastique du personnel et du matériel dans les hôpitaux, les vieux ne vont plus pouvoir s’accrocher longtemps. Je crois que je vais investir dans les pompes funèbres.
On critique toujours Sarko, il cause, il cause, mais il ne fait rien. C’est tout faux, il est vachement efficace. Dans ce problème, il nous montre toute son efficacité, d’une pierre il faut deux coup : diminuer les frais médicaux et renvoyer les vieux plus rapidement au néant (je ne crois pas plus au paradis qu’à l’enfer).
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Slogans, mensonges et propagandes, font courber les têtes et empêchent de réagir face à la peur collective installée par les « experts » :
Ces sommes proviennent de la cour des comptes 2009
- le budget général vieillesse est de 250 milliards
- les cotisations 240 milliards
il ne manquent QUE 10 MILLIARDS alors que les restos ont engrangé 3 milliards, les banques...j’vous dit pas, les exonérations par ci, les dettes par là, etc, etc, etc...LA DROITE SAIT GÉRER, ELLE !!!
En 2002, la dette publique était de 1000 milliards et aujourd’hui, en 2010, 8 ans après une « judicieuse » gestion... elle est de 2000 milliards avec cette droite qui, dit-on, gère en « bon père de famille », « remplie les caisses » alors que la gauche, budgétivore, « gaspille » toujours sans compter, « incapables » sont-ils accusés, air connu !DEUXIÈME COUCHE !!!
A la fin du gouvernement Balladur et à cause notamment à son ancien ministre du budget - Nicolas Sarkozy - la dette a explosé de plus de 2000 milliards de Francs alors !
Il ne faut pas écouter les Goebbels actuels, les néolibéraux veulent fourguer les assurances privées en démolissant l’actuel système dont il est hasardeux de vouloir établir des statistiques futures aussi fiables que les pronostics du PMU ! -
C’est la dernière année de vie qui coûte la plus cher, paraît-il
Qu’on la supprime, c’est pas difficileOn veut nous faire peur avec le problème des retraites
Normal, Mr Bébéar attend ses clients...
Mais on n’envisage pas toutes les solutions
La Suède a fait d’autres choix"Le rapport du Conseil d’Orientation des Retraites en 2001, illustrait très clairement les options essentielles offertes à notre régime des retraites
___Première option : ne pas augmenter les cotisations retraites et ne pas diminuer le montant des retraites. Dans ce cas, il fallait augmenter de 9 ans la durée de cotisation.__Deuxième option : ne pas augmenter les cotisations retraites et ne pas allonger la durée des cotisations. Dans ce cas, le montant moyen des retraites diminuerait de 78 % à 43 % du salaire net. Soit pour un salaire net de 1 200 euros, une retraite de 516 euros et non plus de 936 euros.
__Troisième option : ne pas allonger la durée de cotisation, ne pas baisser le montant des retraites mais augmenter de 15 points le montant des cotisations retraites entre 2003 et 2040.
Jamais la troisième de ces options n’a fait l’objet du moindre débat public alors que c’est de loin la solution la plus acceptable pour la grande majorité de la population. 15 points d’augmentation en un peu moins de 40 ans, cela représente 0,37 point d’augmentation des cotisations retraites par an pendant 40 ans. A raison d’une augmentation de 0,25 point pour les cotisations patronales et de 0,12 point pour la part salariale des cotisations retraites, qui pourrait prétendre que cette solution n’est pas préférable à un allongement de 9 ans de la durée de cotisation ou à une baisse de 25 points du montant des retraites ?
___C’est la discussion et la prise en compte de cette troisième option qu’il faut imposer au Medef et au Gouvernement."__Sans compter qu’il est possible de diversifier les sources de financement.-
Comment faites-vous pour augmenter de 9 ans la durée de cotisation quand 75% des plus de 55 ans n’ont pas de travail en France ?
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C’est bien gentil mais vous n’expliquez rien. Pourtant, en tant que scientifique vous devriez avoir fait depuis longtemps le calcul suivant.
Hypothèses simplificatrices
1-Tout le monde a le même salaire
2-Le salaire disponible est constant pendant la vie active et égal à la retraite versée
3-La seule charge sociale (patronale et employée) est la cotisation retraite.Régime par répartition
On travaille en gros 40 ans (de 20 à 60) puis on est payé à ne rien faire pendant 20 ans (de 60 à 80). Question à deux balles. Quel doit être le taux de prélèvement pour financer une telle largesse ? Réponse : 33% de (salaire brut + charge patronale) ce qui est inacceptable.Régime par capitalisation
Pendant 40 ans la « cotisation retraite » s’appelle maintenant un « versement mensuel » sur un carnet d’épargne à intérêts composés au taux de 3% hors inflation. Quel doit être le taux de versement pour financer une telle largesse ? Réponse : 16%. Cette solution est également irréalisable car les prix triplant en 30 ans, un placement 3% au dessus de l’inflation pendant 60 ans reste introuvable.La discussion sur le choix du régime est donc un attrape-nigaud. Le schéma est une pyramide de Ponzi qui ne tient qu’avec une augmentation constante et conséquente du nombre de parieurs. Le système juste ne peut pas exister. Il faudrait favoriser des zones de subsistance où les gens pourraient vivre en autarcie avec un minimum d’apport extérieur. Par exemple, les vieux paysans n’ont pas eu besoin de retraite pour vivre comme ils pouvaient jusqu’à leur mort. C’est vrai que dans un deux pièces au 10eme étage d’un immeuble du centre ville l’auto-subsistance devient problématique.
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salut Internaute, t’as mis le doigt sur le fond du problème.
Mais il y a quand même une solution partielle (du moins pour les propriétaires), même si elle peut paraitre immorale : mettre en viager leur capital immobilier à l’intention du système de retraite même, c’est à dire de l’État et lui seul.
C’est d’ailleurs une opportunité pour l’État (donc tout le monde) de renflouer les caisses par la génération même qui a gonflé la dette.
Pour les nom proprio, faudra leur trouver un surnom à la Tanguy et leur offrir un lopin de terre pour le potager.
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0,9 milliard d’€ du regime general > les commerçants
0,4 M d’€ > artisans
4,2 M d’€ W> agriculteurs
5,5 M d’€ + de la moitié du deficit du regime general sert à renflouer les autres regimes ,en quel
honneur ?
a part les traiter de fainéants profiteurs !!que font ces 3 categories pour les salariés
chomeurs ?
en 1995 cotisations vieilesse patronale= cotisations salariés
actuellement -5% pour les entreprises...+ 5% pour les salariés ...pourquoi ?
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Pour info, à lire dans La CroixEn deux ans, le nombre de personnes âgées sollicitant l’aide des organisations caritatives a nettement augmenté. La fragilité du système de retraite et la multiplication des situations de dépendance n’incitent guère à l’optimisme
Longtemps, elles sont restées « invisibles ». Les personnes âgées, par fierté, préféraient souffrir en silence ou, tout simplement, ne ressentaient pas le besoin de pousser la porte des organisations caritatives. Mais à en croire Didier Piard, le directeur de l’action sociale à la Croix-Rouge, « quelque chose a craqué »
Une enquête menée l’été dernier auprès de quarante délégations montre que les retraités représentent aujourd’hui environ 15% des personnes venant solliciter une aide alimentaire ou un soutien financier pour régler un loyer, une facture d’électricité ou de gaz. « Un pourcentage qui, en deux ans, a plus que triplé », souligne-t-il. Ce constat n’a rien d’isolé. Au Secours catholique, qui vient de présenter un indicateur pour mesurer les effets de la crise, les personnes âgées grossissent le nombre des « nouveaux venus ».
Le Secours populaire, pour sa part, compte désormais dans les publics qu’il suit 10% de personnes qui ont une retraite pour principale source de revenus. « Généralement, nous rencontrons ces personnes lors d’une distribution d’aide alimentaire, raconte une responsable. Puis, à force de discussions, nous nous rendons compte qu’elles sont confrontées à de multiples difficultés. Parfois, elles n’ont plus de famille ou quasiment plus de contact avec leurs enfants. »
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D’autre part, avant de quitter le perchoir de l’Assemblée nationale, Jean-Louis Debré a fait voter une loi pour que désormais, un député non réélu touche pendant 60 mois (au lieu de 6 mois) son indemnité nette mensuelle de 5 178 euros. Tous les groupes politiques, UMP, PS, UDF et PCF Ont voté pour… !! A l’issue des 5 ans, les députés non réélus percevront à vie 20% du traitement soit 1 390 euros par mois…
Le gouvernement et sa majorité ont aligné tous les régimes spéciaux de retraite (EDF,SNCF, etc…)sur le droit commun. Le premier ministre avait parlé d’équité sociale et équilibre économique, mais les députés ont oublié leur propre caisse qui est pourtant très, très spéciale (comme celle des Sénateurs d’ailleurs…). En effet, les cotisations des députés valent double durant leurs quinze premières années de mandat.
Il leur suffit donc de passer 22,5 années sur les bancs du Palais Bourbon pour cumuler leurs 40 annuités de cotisations avant de partir à la retraite tranquillement. Un privilège exceptionnel qui mettrait tous les régimes de retraites en faillite s’il était généralisé à l’ensemble des salariés et fonctionnaires. La caisse de pensions des députés est dans le rouge, mais apparemment tout le monde s’en fout. Le bouquin parle t’il de celle des Sénateurs… ?!
Attention, car dans ces conditions, même si le FN a baissé électoralement (C’est Sarko qui les a récupérés…), le discours "Tous pourris" s’entend toujours dans la rue, au troquet, en famille…
Car si on parlait des avantages des ministres et secrétaires d’état français (voiture de fonction avec chauffeur, logement de fonction), en fait ça reviendrait à confirmer que notre république est bien bananière… !
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voire mon post au dessus et vous verrez que ce ne sont ni la fonction publique ni les cheminotsqui pompent le regime general ... !!
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Romain Desbois 20 février 2010 13:00Oui mettons tout à plat actias, sans oublier pour ceux aussi que tu payes comme les paysans , les artisans et les sportifs pro exonérés de charges sociales (Droit à l’Image Collectif).
Les cheminots cotisent plus pour leur retraite que dans le privé. Ils cotisent 1% de solidarité pour le chômage.
alors ok mettons les choses à plat, et je suis sûr que certaisn vont faire la grimace.
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Résumé de l’opera... !Le modèle de vie français est démodé.. ! Ni tous naissent en berceau d’or,pour cela,la Douce France doit reinventer la struture social et regarder ceux que ont moins chance...
Enfin,sera difficile mais,ou prennent déjà l’initiative de changer tout,ou il paraitra un « Robin Wood » et fera le service de tirer des riches et donner aux pauvres...-
Hello,
Qu’on parle de retraité, d’étudiant, de chômeur, de rentier ou d’handicapés, le problème reste le même : on a plus besoin de faire travailler tout le monde pour subvenir aux besoins de tout le monde.
Et plus on créera des machines performantes et les infrastructures qui vont avec, moins on aura besoin de travail.Après tout, quel besoin a-t-on de faire la distinction entre :
-celui qui travaille pas parce qu’il a pas l’age (et qui bénéficiera de réductions « -25 ans »)
-celui qui travaille pas parce qu’il a plus l’age (qui touche sa retraite)
-celui qui travaille pas parce qu’il « possède » (qui touche ses rentes)
-celui qui travaille pas parce qu’on a préféré confier le peu de travail à un type censément plus performant (qui touchera RSA/RMI, allocation logement, chômage ou autre....)
-celui qui travaille pas parce qu’il peut pas (qui touchera une allocation invalidité + ...)Au niveau individuel, on peut parler d’une forme de « justice » (qui fluctuera bien sûr selon le point de vue du locuteur), mais pour un système qui fonctionne, il suffit juste de faire bosser assez de bras pour nourrir tous les estomacs.
C’est pour ça que parler de « danger sur les retraites » alors qu’il y a autant de chômage et que la plupart des annonces que je vois concernent des commerciaux et pas des producteurs, c’est malsain.
A la limite, la seule question qui serait intéressante de trancher,c’est « Quel niveau de vie est acceptable pour un inactif ? ». Crever de faim ou de froid me parait un peu moyenageux et inutile (et dangereux socialement). Gavé de fois gras devant un écran de 2m de diagonale risque de pousser les rares travailleurs a rester chez eux...PS : le dernier mec que j’ai croisé et qui m’a demandé « une pièce ou deux » avait un téléphone portable plus récent que le mien. Je généralise pas, et ça me dérange même pas, j’aime mon travail et je m’emmerde en vacances..
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je ne suis pas d’accord bernard
« L’homme a appris à détourner le regard. »
L’homme n’a jmais, au contraire usé de son regrad ainsi en profondeur sur les mécanismes et les obscurités infâmes qui régissent notre dite société qui n’existe déjà plus puisque il n’y a quasiment plus d’endroits GRATUITS où les gens se rencotrent.
L’aom est banni de babylone, comme la vie, comme le sens, comme la civilisation.
Les boucliers rouges nous regardent et nous traitent tous EXACTEMENT comme on fait avec les ruminants. domestiqués, hormonisés, abrutis, tenus en enclos, numérotés, bientôt pucés comme des chiens.
Tant quils se laissent traire les boucliers rouges leur sourient, tout en leur mentant tellement éhontément que c’est un grand mystère pourquoi tout le monde continue de porter cette merde militariste, cette oeuvre de destruction qu’est devenu l’occident entre leurs mains et l’asservissement programmé par les banksters.-
on fait sortir les vieux le jour de « la course de l’an 2000 »
celui qui ecrase le plus de vieux a gagneron peut aussi vendre le soleil vert aux chinois
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On peut aussi parquer tous les vieux millionnaires et milliardaires et redistribuer leur fortune pour la retraite des travailleurs :->
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Petite réflexion.... combien d’heures ont été travaillées par les cotisants du secteur privé parti à la retraite ?????
Un individu né en 45 a cotisé sur la base de 44 h et plus par semaine au départ.....puis 40h......puis 39 h.........puis 35 h....(depuis Aubry)
Il est étonnant que pas un de nos « fins analystes » n’ait relevé ce point................faut dire qu’ils sont JEUNES et n’ont pas connu autre chose.....de même ils ne semblent pas comprendre pourquoi la base du nombre des cotisants diminue : l’importation de main d’œuvre bon marché et les délocalisations ont largement contribué à en diminuer la ressource........et cela va continuer : moins d’heures travaillées, moins de cotisants avec des salaires toujours plus concurrencés.....tant que cette tendance continuera, les prétendues réformes sont du baratin...............allez, les multinationales ont de très beaux jours devant elles et les futurs retraités pourront toujours manger leurs bulletins de votes......car ils ont étaient déjà SACRIFIES au néocapitalisme international............-
bonjour dugué
un jour de colère j’ai proposé a mes amis socialiste de l’époque de réouvrir les four crématoire pour brûler les « Entrops », pour choquer personne nous appellerions cela le suicide altruiste.
ce n’est pas parce que quelqu’un les a utilisé pour une connerie qu’il faut ignorer cette possibilité, Surtout quand bon communicant, comme cela est la règle dans notre société afin de faire prendre des vessie pour des lanternes, nous pourrions le charger d’héroïsme avec médaille a titre posthume. ainsi nous aurions redonné vie à la pensé Malthsienne. puisque a la table des retraites il n’y a pas assez de couvert pour les convive nous allons faire cuire les Entrops pour servir de repas. s’il y a des reste nous y inviterons les banquiers pour leur travail salutaire en vu d’une dégénérescence du taux de profits.depuis 1970 ce problème est connu Bergeron de la CGT6FO réclamait une cotisation machine pour palier les défections d’emplois du à la technologie, et ajuster ainsi les cotisations au nombre d’ayant droit. invariablement le patronat et le pouvoir on rejeter cette proposition comme freinant les investissements tandis que les développement technologiques créeraient suffisamment d’emploi de transfert. et nous sommes ainsi depuis ce temps là, ce n’est pas un problème mathématique, ni un problème de travail (puisque nous le faisons faire ailleurs), encore moins d’égalitarisme en fonction des branches(seule les organismes de cotisations changent). depuis 1970 je ne pense pas que les uns et les autres ignorent où est ce qui les opposent. les tenant du système par capitalisation ont manqué leur coup aux états généraux sur la sécurité sociale organisé par Chirac et animé par Ekabach. il est vrai que les syndicats été plus puissant qu’aujourd’hui et la peur du communisme aussi. mais aujourd’hui cette peur comme tu l’as si bien expliqué c’est inversé, le pouvoir ne craint plus personne et dans son sillage le MEDEF, alors que le monde du travail à peur de lui même et cherche son salut dans sa peur
alors a faire cuire quelqu’un je penche pour la jet set ils ne servent à rien et ils sont plein de frics que l’on reverserait dans les caisses des retraités qui les ont nourri sans rien faire.en dehors de ton article tous ces débats autour des modèles mathématiques,me font penser a ceux autour de l’or référence, et sa calculait et sa calculait , comment en produire plus faire monter ou descendre sa valeur le faire circuler plus vite etc jusqu’au jour où l’on a eu le génie de le virer, ce jour là un tas de convives ont pu se joindre à la table de Malthus.
sauf que nous avons redonné le pouvoir a ces accrocs à l’or, alors ils nous ont pondu des critères pour remplacer sa rareté, et donc nous nous retrouvons avec les mêmes blocages et nous aurons les mêmes résultats une guerre. mais en attendant les pauvres sont invités a se répartir la pauvrté, alors que les banques qu’ils ont aidé ne se sont jamais portés aussi bien.tu es sûr que ces les vieux qu’il faut sacrifier ?
cordialement.
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lire « régénérescence » à la place de dégénérescence
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Voila pourquoi la retraite par répartition est dangereuse ; le vieux devient une charge qu’il faut éliminer ...
Alors on lance des débats sur l’euthanasie le « droit de mourir dans la dignité » ... ça fait froid dans le dos ... tu rentres à l’hôpital à 70 ans passé ... t’a plus confiance.Donc il faut arrêter cette angoisse.Donnons aux salariés l’intégralité de ce qu’ils ont gagné (brut + charges patronales), et laissons fleurir les initiatives, pour s’assurer contre la maladie, pour assurer son conjoint qui ne travaille pas en cas d’accident, pour préparer sa retraite ... il y a mille façon de constituer un capital qui puisse fructifier ...Les plus pauvres seraient des investisseur massif, et les syndicats seraient là pourquoi pas pour les défendre en les accompagnant, les fédérant, dans des investissement d’avenir et durables, qui soient les source de travail pour leurs enfants , et donc de revenus stables pour eux ...La répartition ce serait à stopper immédiatement ! Parce que assurer sa retraite, c’est préparer l’avenir ! En ne laissant pas les riches, en place, seuls maitres par leurs investissements d’en décider.Mais il y a une grosse difficulté : c’est la transition, pendant laquelle il faudra assurer la vie de ceux qui n’ont pas eu le loisir d’accumuler du capital, obligés qu’il étaient de souscrire dans le trou sans fond de la répartition.La capitalisation, c’est pour les plus pauvres la perspective d’être les possédants, d’être ceux qui façonnent l’avenir, de transmettre quelque chose à leurs enfant, c’est aussi tout au long de leur carrière professionnelle d’ écharper à la déprimante perspective de finir comme un assisté, comme une charge que l’on voudra éliminer.-
« L’âge de cristal », c’est pour 2274.
En attendant faudra penser à autre chose. Ca par exemple.-
Récolter une assiette....
Oh, une assiette ! Je vais la récolter pour les vieux. Poum padoum patapoum.
Bon, je vais lire la suite, ça a l’air amusant.
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Bon, maintenant j’ai une assiette qui ne sert à rien. Et vide.
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Et si on comptait juste pour 1 x ?
La CPAM : 50 secondes de lecture à couper le souffle. Pour combler son déficit, nos chers gouvernants n’ont rien trouvé de mieux que de nous faire payer encore et encore...
- Dorénavant, sur une consultation médicale, nous versons 1 €
- Nous sommes restreints lors de nos arrêts maladie ....
- Nous devons consulter un généraliste avant de voir un spécialiste …
- Pour tout traitement de plus de 91 €, nous en sommes de 18 € de notre poche
- Taxe de 0,50 c sur les boites etc...
Toutes ces mesures sont destinées À combler le fameux trou qui est À ce jour de 11 milliards.
Or, savez-vous que les sommes suivantes, destinées à la Sécu, ne lui sont pas reversées :
* Une partie des taxes sur le tabac : 7, 8 Milliards
* Une partie des taxes sur l’alcool : 3, 5 milliards
* Une partie des primes d’assurances automobiles : 1, 6 milliards
* La taxe sur les industries polluantes : 1, 2 milliards
* La part de TVA : 2 milliards
* Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés : 2, 1 milliards
* Retard de paiement par les entreprises : 1, 9 milliards
En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d’euros.
Conclusion :
Si les responsables de la Sécu et nos gouvernants font leur boulot efficacement et honnêtement
Si chacune des institutions reverse ce qu’elles doivent chaque année
les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd’hui 9 milliards d’excédent ! ?
Ces chiffres ne sont pas inventés vous pouvez les consulter sur le site de la sécu, ils sont issus du rapport des comptes.
Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer 5 fruits et légumes frais par jour, étaient vraiment convaincus de leur efficacité pour sauver notre santé et donc l’assurance maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits ! !
N’oubliez pas d’avoir une petite pensée sur l’achat, à la hâte, des 90 Millions de doses de Tamiflu par le ministère de la santé publique, quand on sait que la grippe A n’est pas plus mortelle et dangereuse pour vous et moi que la grippe saisonnière classique. Hélas on ne peut en dire autant des dommages collatéraux potentiels qui existent réellement dans les adjuvants que contiennent les vaccins !!
Quel sera le coût de cette opération, que la sécu va supporter une nouvelle fois, lorsque le gouvernement sera décidé à dédramatiser la situation ! !
Il en reste encore pour les caisses de retraite !
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En attendant 2025...
20-2-2025
Agence B**** Service a-vie/MortsanssouciMonsieur,
Il ne vous a pas échappé que vous allez entrer dans votre 90°année
Conformément au nouveau code des pensions et à la loi votée le 12-3-2013, pour alléger le déficit de la caisse retraite,vous allez devoir vous conformer civiquement à la procédure de fin de vie volontaire, obligatoire pour toutes les personnes de cet âge
Vous êtes prié de vous présenter le jeudi de la semaine prochaine à 9 heures,à nos services de liquidation, pour y subir la piqure léthale prévue par la disposition 28-54 du décret d’application, alinéa B
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Nous procéderons gratuitement à l’opération sus-dite et l’Etat prend à sa charge les frais d’obsèques, étant donné les économies que vous ferez faire à ses services
En attendant le plaisir de vous voir, veuillez croire Monsieur et cher client....-
« D’abord le calcul des droits. Là, il existe une inégalité entre les fonctionnaire dont la retraite est fixée en tenant compte du salaire de départ à la retraite. »
oui mais la retraite ne prend pas en compte les primes qui représentent parfois jusqu’à 50 % du traitement du fonctionnaire. Donc la retraite à taux plein peut représenter 35 % du dernier salaire, ce qui n’est pas beaucoup à part pour les très hauts fonctionnaires.-
« C’est la dernière année de vie qui coûte la plus cher, paraît-il.Qu’on la supprime, c’est pas difficile »
Ce n’est même pas la dernière année, mais le dernier mois à ce stade. Et cet archenement thérapeutique est souvent mal vécu par l’intéressé. Puisque ce qui coute cher souvent c’est l’acharnement thérapeutique. Rien qu’en autorisant l’euthanasie (je n’ai pas dit en imposant, en authorisant comme c’est fait aux Pays-Bas) on va nettoyer de beaucoup le déficit de la sécu car beaucoup opteront pour accélérer la fin lorsque elle est inévitable. (Très peu d’Hollandais meurent à l’hopital et ils ont un très bon système social ce n’est pas le cout des soins qui fait obstacle).
Cela dit ca réglera le trou de la sécu et non celui des retraites... Mais le trou de la sécu est assez simple à régler, légalisez le canabis et taxez le, l’argent des dealers financera une bonne partie du trou. Et en plus les employés des coffee shops financeront les retraites.
Mais pour aller plus loin, le système de retraite actuel est une pyramide de Madoff’ qui ne tiendra pas à la baisse de la démographie. Il n’y aura aucun moyen de le maintenir tel qu’el. Et il vaut mieux trouver des solutions maintenant plutot que d’attendre comme cela s’est fait par exemple en chine que le gouvernement vous annonce que vous pouvez vous brosser avec votre retraite. (Demandez à ceux qui ont pris leur retraite dans les années 80 ou début 90 la bas).
Encourager la capitalisation personelle est la solution :
- Devenir propriétaire de son logement.
- Economiser tout au long de sa vie et placer intelligemment.
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Terran 18 février 2010 20:38Brèves /Les médias au secours du GIEC ! Mais où est la France d’antan ?17 février 2010 - 19:5417 février 2010 (Nouvelle Solidarité) - Depuis quelques temps, alors que les coups pleuvent de tous côtés contre le mythe du réchauffement climatique érigé en monument indéboulonnable, on voit un certain nombre de médias se porter au secours de la statue qui tombe, essayant de vendre un projet de réforme du GIEC, ultime tentative de sauver cette institution qu’on devrait laisser mourir.
A l’image de la Une de Libération de ce jour, avec sa manchette « Réchauffement : Les sceptiques attaquent », suivie d’un dossier de trois pages à l’intérieur. Là, dans son éditorial, Laurent Joffrin fustige les experts du GIEC, les incite à se réformer, à être plus démocrates, à faire plus de place en leur sein aux critiques, quitte à les réfuter.
Mais le message est on ne peut plus clair : il faut sauver le soldat GIEC, face à la « série d’erreurs partielles, d’approximations et d’occultations de données (certes explicables) [qui] ont apporté une eau plus ou moins limpide au moulin des climato-sceptiques », et sauver ainsi le mythe du réchauffement climatique. Bien que rapportant la série noire des prévisions du GIEC, le dossier de Libé prends soin d’ajouter qu’elles « ne remettent pas en cause le changement climatique », en tant que tel.
Et il fait presque pleurer dans les chaumières, donnant la parole à ceux qui avaient auparavant imposé une dictature de fer et qui aujourd’hui, geignent, tel cet expert britannique, selon qui les attaques « alimentent la presse anglaise qui s’embrase tous les jours », ou Laurence Toubiana, patronne de l’Institut de développement durable et des relations internationales, qui clame que c’est « sous la pression politique et médiatique », que les scientifiques du GIEC, « ont dû simplifier leur message plutôt que d’analyser leur incertitude ». Mais ne limitons pas nos piques à Libération ; Le Monde a fait bien pire !
Nul doute que cette tentative de sauvetage d’un GIEC qui coule, est plus forte en France qu’ailleurs. Car c’est ici que l’élite, toutes tendances confondues, depuis l’extrême gauche à l’extrême droite, s’est fourvoyée jusqu’aux chevilles dans cette fraude montée pourtant par son ennemi héréditaire, l’Empire britannique.
Rien de plus comique, que de voir ces politiques français qui se piquent d’individualisme, s’agenouiller au grand complet – depuis le NPA et le Front de Gauche, jusqu’au Front national, en passant évidemment sur tous les autres — devant l’autel du réchauffement climatique, réclamant en chœur avec Nicolas Sarkozy, Dany Cohn-Bendit et autres Martine Aubry, une gouvernance supranationale mondiale avec des mesures contraignantes pour retourner vers l’âge de pierre. Ainsi au moment où ils se tâtent tous pour savoir s’il faut interdire ou non le voile, ils se voilent tous la face, devant cette immense fraude montée par les héritiers de Malthus des deux côtés de l’Atlantique, les mêmes qui font de juteuses affaires sur le développement durable et la croissance verte !
Du côté des politiques on est aussi surpris par l’inexistence de la réaction face à l’évidence de la fraude. A quand l’exercice de rétropédalage ? Deux mois après le Climategate et après la faillite du Sommet de Copenhague où les pays en développement ont déclaré leur indépendance face à la décadence occidentale, aucun mea culpa, aucun signe sur les sites Internet des partis politiques de la nécessaire remise en cause révolutionnaire des erreurs passées. Même la direction du Parti communiste chinois avait fait à l’époque son aggiornamento après les folies de la Révolution culturelle, alors qu’ici, tels des disques rayés, les politiques continuent à chanter les mêmes rengaines du GIEC.
Allons, un petit effort ! Pensons à François Villon. Mais où est passé la France des grands savants d’antan, celle qui a été bâtie par les Pasteur, les Carnot et les Paul Langevin ? Où sont passés les journalistes indépendants d’antan, ceux qui refusaient de cirer les pompes ? Au moment où cet ordre financier s’effondre, seuls deux choix s’offrent à nous : reprendre notre liberté, notre tradition de progrès, et notre exception, ou nous mettre à brouter dans les campagnes, comme les Anglais et leurs proches aux Etats-Unis, l’ont toujours comploté.
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J’ai une solution, qui m’a été suggérée par le services des douanes au cours d’un contrôle innopiné dont je vous fais un récit :
De retour d’ une randonnée pédestre de 8 jours, dans le grand sud marocain, sans rien manger (petite pub pour « jeûne et randonnée ici http://www.jeunerando.com/sejour_maroc.html), je regagne mon domicile breton, serein, amaigri, décontracté et bronzé, avec sac à dos, galoches de marche, le routard type, avec guide éponyme quoi !
A la gare de Rennes, dans le grand hall 2 messieurs m’arrètent "Bonjour, nous sommes le service des douanes ! Papiers SVP, vous venez d’où ! vous allez où ! vous faisiez quoi avant, etc...A un moment j’en ai marre de cette curiosité et le leur dit. Ils ne m’obligent pas à répondre, Ils sont très polis.
Ensuite en plein hall de gare, devant tout le monde, ils fouillent ma valise étalée par terre et ne trouvent évidemment rien.
Je ne leur reproche rien, ils font leur boulot. Mais leurs arguments sont trop drôles "Vous savez, Monsieur, me disent-ils, nous controlons les séniors car leurs retraites sont tellement faibles, que de plus en plus ont recours à des expédients"
CONCLUSION : Vite, vite, un coup de karcher sur ces délinquants de séniors aux petites retraites. Il est vrai que chez les retraites dôrées il n’y a pas de délinquance.
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Si on supprime les vieux, alors il n’y a plus d’Agoravox
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C’est vrai que ça prend du temps tous ces articles et ces commentaires, faut vraiment avoir que ça à faire...
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Pas d’accord avec vous ! Pour info, je vous rappelle que les promoteurs initiaux de la retraite par répartition l’avaient mise en place dans un unique but : une assurance de fin de vie, de façon à ce que les parents ne soient pas, individuellement à la charge de leur enfants.
Initialement encore, la retraite était à 65 ans à une époque où l’espérance de vie était de 68 and et où l’entrée dans la vie active était plutôt vers 16 à 18 ans.
Aujourd’hui, l’espérance de vie est de 80 ans, l’entrée dans la vie active plutôt vers 25 ans. Mécaniquement, pour avoir un système viable d’assurance de fin de vie, il faut allonger à la fois la durée de cotisation et retarder l’âge de départ. Ne pas le faire serait suicidaire et, en quelque sorte antinaturel.
Par ailleurs, s’il y a manque d’emplois dans notre société, il ne faut pas considérer cela comme une fatalité. Il y a bien des solutions pour éviter le chômage qui n’ont jamais été tentées alors qu’elles pourraient l’être facilement, mais elles requièrent des efforts (voir mon prochain ouvrage sur la politique industrielle).
Enfin, la seule alternative à la répartition reste la capitalisation contre laquelle je suis mais ce serait trop long.
Il ne me reste plus à commenter que votre proposition de mieux répartir les retraites. Cette idée est très à la mode dans les milieux gauchistes et semble-t-il infuse petit à petit chez les socialistes. Cela me semble très dangereux car si on va vers cette solution, inéluctablement on ouvrira une autoroute vers la capitalisation qui deviendra alors prépondérante. L’enfer est souvent pavé de bonnes intentions...-
Mais ne vous inquiétez pas, avec la crise, au régime où le pays à mis sa jeunesse (au pain sec et à l’eau), l’espérance de vie va diminuer.
Il n’y aura pas de problème de retraite, nous serons tous déjà mort.-
Vous propose de lire le concept sur le calcul des retraites que j’ai créé en 2003 et qu’avais envoyé à Raffarin et à Hollande.. dites moi ce que vous en pensez ;)
http://democratia-europe.blogspot.com/2010/01/concept-de-calcul-pour-les-departs-la.html-
... ah les effets pervers....
Votre exemple, qui prend en compte la « non penibilité » du chomeur fait qu’il va « travailler » beaucoup plus longtemps... a chomer....
parcequ’en fait ce chomeur là, ce n’est pas lui qui a choisi de « chomer »...
Donc, il terminera sa carriere en chomant, tant qu’il beneficie de « droits ». mais s’il a chomé trop longtemps, il y a egalement longtemps qu’il n’aura plus eu de droit. Donc voici une brave français, qui se trouve exclu du milieu du travail et votre systeme va lui interdire de s’en echapper au plus tôt ! Double punition... Il ne bossez pas,il va rester encore plus longtemps a souffrir de ne rien faire....
Sur le coup la penibilité va devenir reelle grace au stress... -
Depuis 30 ans, l’Etat n’a cessé d’inventer de nouveaux impôts, taxes et de relever à la hausse les anciens impôts.
Les conditions de travail deviennent indécents, les salaires misérables, et l’Etat doit prendre en charge de plus en plus d’assistés de la naissance (600 000 enfants) au tombeau (des retraités qui ont travaillé plus de 40 et qui touchent moins de 1000€ - de plus les vieux de 70 ans ont connu les guerres de 40, indochine, Algérie...) Bref les 30 glorieuses n’ont concerné que les nantis de l’époque : les riches !La gestion de nos deniers est désastreux, scandaleux, la dette publique est irremboursable mais cela n’empêche pas l’Elysée et Matignon de jeter par millions d’euros empruntés aux banques asiatiques aux 4 coins du tiers monde ! Une charité à crédit pour l’égo de Sarkozy au détriment des 20 millions de pauvres de France, des esclaves planqués par un patronat protégé (lire le bouquin de F Aubenas, ou pousser la porte d’une cuisine d’un restaurant chic, un hôtel ou un chantier de France = intérimaires, sans papier ...)-
Pour faire simple, je pense qu’on se fait mener en bateau par nos gouvernements, tous,, nous européens en particulier.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que le mecanisme de retraite, dont le systeme de répartition est le moins mauvais, et en tout cas celui qui est le plus profitable pour la collectivité (et non pas pour des interets particuliers) repond aux objectifs de solidarité et d’equité dans un monde intelligent qui n’est pas une jungle ou règne la loi du plus fort. Comme la securité sociale d’ailleurs.
Alors, n’en déplaise a ses detracteurs, dont ceux qui tentent a la comparer a une vilaine pyramide, ce qui demontre au passage qui n’ont rien compris au systeme, (il y a une difference entre tous pour un et un pour tous) ce systeme c’est pas en faillite mais simplement « dereglé », « deséquilibrè » et quelques bons reglages suffiraient a le remettre en fonctionnement « ronronnant ».
Prenons quelques exemple, dont les chiffres ne sont pas proportionnés, juste pour comprendre les mecanismes... ne pas oublier au passage que tout le monde joue tous les rôles...
dans le systeme economique la richesse provient de la valeur ajoutée sur une activité. Cette activité provient de la conjonction du capital et du travail et des remunerations respectives qui leurs sont servies. tout le reste n’est que detail plus ou moins technique...
Posons le decors... (oublions l’exterieur du systeme d’abord)
Avec une répartition de 50/50 la rémuneration du travail et du capital, les beneficiaires ont d’une part le même pouvoir d’achat (ils se repartissent la richesse a moitie) et donc consomment ce qu’ils produisent ce qui fait tourner la machine.
le coté travail peut cotiser pour une « assurance-mutuelle maladie » et un « abondement » a un fond « mutuel » pour leur retraite. — Au passage ce fond peut (et doit) servir a alimenter, comme le ferait un systeme par capitalisation, une partie du capital et en retirer evidement les dividendes collectifs ce qui amplifie fortement la sécurité collective —
Helas, il y a dérive (ce que j’appelle un dereglement). en faisant glisser le curseur, par exemple en donnant 60/40 (60 pour la remuneration du capital par rapport aux 40 du travail), on assassine le systeme. En fait, tant que l’ecart ne depasse pas la richesse crée par les dividende de la solidarité le systeme survit.
Aujourd’hui, il meurt, on a dépassé le seuil...
Donc la diminution de la part travail, va faire que le pouvoir d’achat diminue puisque le travail ne paie plus que 40% de la richesse répartie... mais surtout, la part reservée a la mutualisation (secu et retraite) diminue. Toujours plus, la privatisation de pans entiers des secteurs couverts par cette mutualisation va participer a la diminution de la rentabilité de cette même mutualisation et cela 2 fois plus vite — passer de 50/50 a 60/40, ça fait tjs 100 mais l’ecart n’est pas de 10 mais de 20 —
D’un coté les biens a acheter augmentent et de l’autre la cotisation diminue. Le systeme devient bancal.
Le cas agravant, c’est egalement que l’augmentation de la remuneration du capital, va entrainer des investissements (apports de capitaux excedentaires) qui vont faire acroitre rapidement la productivité., diminuant d’autant plus le besoin de « travail » dans l’accroissement de richesse...
Le travail perd sa rémuneration, ne peut encore moins investir dans la solidarité et en tirer des dividendes sociaux, et sa participation dans la creation de richesse diminue encore plus, grace a la productivité... effet boule de neige.
Catastrophe supplementaire maintenant : le systeme s’ouvre a l’exterieur...
La part travail diminue encore plus mais l’illusion du retablissement de l’equilibre vient masquer la realité. En important des produits exterieurs, bon marché, la part travail interieur diminue encore mais le pouvoir d’achat augmente (en comparaison aux prix interieurs). Sauf que cela ne peut durer car lorsque le travail interieur diminue encore et n’existe plus, il n’y a plus de remuneration du travail, ni pour acheter a l’interieur, ni a l’exterieur. La solidarité mal en point s’effondre, tant pour la secu que pour la retraite.
Vous voyez, c’est simple, si les commerçants ne vendent pas, c’est parqu’ils ne payent pas assez leurs employés... Henri Ford l’avait dit avant moi.
Alors, la solution ?
Il y en a deux, une bonne et une mauvaise :
La mauvaise d’abord, celle qui consiste a faire peser sur le capital une part de la solidarité. (ce qu’on appelle elargir l’assiette). La regle de répartition va etre difficile a trouver, car il n’y a pas d’homogeneité economique... et cela ne couvrira pas les besoins, cela fera entrer en competitions les sources d’investissements lorsque cela ne les detruira pas, et cela risque de faire jouer la concurrence au detriment du retour vers un equilibre helas perdu.
et il y en a une vraiment moins mauvaise ensuite qui consiste a remettre le curseur a une position plus favorable à la remuneration du travail. (au detriment du capital).
Helas, cette derniere est tres difficile, car la competition exterieure vient perturber le systeme,
D’autant que l’outil de production de richesse est considerablement en mauvais état, un peu comme un tissus mité ou pire, une tranche de gruyère. Dans l’absolu, une simple augmentation des salaires et une taxation des produits importés — peu importe la raison, la taxe carbone en est une excellente — devrai suffire et pourrait etre accompagné de mesures de soutien au comportement « citoyen » des acteurs économiques. La douleur de ceux qui detiennent le capital sera vite compensée par le retour a la reprise de la production et des ventes. interieures, rehaussant du coup la qualité, restaurant de fait l’image du « produit/pays » et enfin les ventes exterieures.
J’ai helas bien peur que ce soit la plus mauvaise des solutions qui soit choisie...et rappellez vous, il n’y a pas de crise, juste un probleme de répartition de la richesse, qui se regle tout seul si l’entreprise redevient l’acteur economique et social qu’elle n’auurait jamais dû cessé d’être.
ouf, bonne nuit-
l y a beaucoup de profiteurs qui ne pensent qu’eux . Le reste de la populasse ils s’en foutent comme de leur première chemise. Le gouvernement est de leur coté car il leur donne des milliards ( qu’il n’a pas) et nous dit qu’il les récupérera . Il nous prend vraiment pour des moutons ce gouvernement qui ne sait plus où il en est .
Notre agriculture est au plus bas alors que nous avons de quoi nous nourrir. Les agriculteurs paient l’alimentation du bétail à des prix prohibitifs. L’Europe les a lâché . Le gouvernement ne fait rien.Le français n’a jamais autant vécu si mal actuellement sauf bien sûr une minorité qui s’en met toujours plein les poches et encore plus en ces temps de crise. Le caddy des ménagères augmente sans cesse . C’est facile de dire qu’il n’y a pas d’inflation lorsque l’on compte les ordinateurs dans le panier ménager ? On ne bouffe pas des matériaux électroniques ou alors on nous prend pour des robots qui dépensent sans sourciller. C’est un scandale lorsque l’on voit le prix des matières premières , du lait , du café . Ce qui est incroyable c’est que le prix des carburants augmente immédiatement avec le prix du baril mais ne descend pas aussi vite et je dirais qu’il n’a pas encore retrouvé son prix normal actuellement . Ils s’en foutent plein la poche ? Qui ? Mais l’état qui taxe à plus de 80% et qui nous fait croire que ce sont les entreprises pétrolières.
En tous les cas cela va mal et le français se demande comment il va passer les fêtes de Noël ? Ah Si je sais comment !
Devant la télé qu’il vient de s’acheter car c’est le seul produit qui est à la baisse . Normal car il y a des stocks d’anciens téléviseurs et écrans HD a écouler . Attention à ne pas acheter n’importe quoi ?
On verra des émissions enregistrées depuis septembre car les animateurs que vous verrez dans le petit écran seront en train de s’en mettre plein l’estomac pendant que vous grignoterez quelques noisettes achetées à bas prix chez LIDL ou ALDI.
Il est vrai que quelques bonnes volontés serviront la soupe à des sans abris qui devraient en avoir un mais les propriétaires de milliers d’habitations ne veulent plus louer car ça leur rapporte pas assez. Et l’Etat ne peut rien faire dit-il ?
Ben ouais c’est vrai que lorsque l’oin donne un paquet fiscal à des nantis on peut pas loger des gens qui bossent et qui couchent sous les ponts .
Il y a encore beaucoup de choses à dire mais je vais arrêter là ce coup de gueule. Quand je pense que les américains ont trouvé un messie ????????Bonne journée et à bientôt. gimo
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Il faut arrêter les hypocrisies. Le montant des retraites va baisser et on ne pourra maintenir un niveau suffisant que si l’on crée de la richesse en France, donc des emplois.
Le problème des retraites est étroitement lié au mondialisme. On ne peut pas à la fois dire que pour payer les futures retraites il faudra travailler plus longtemps et en même temps dire qu’il est plaisant de mettre les entreprises françaises en concurrence déloyale avec celles du tiers-monde sur le marché français et européen. Il est contradictoire de demander à quelqu’un de travailler plus longtemps et de tout faire pour supprimer son poste de travail.
Là où cela coïnce est que les syndicats ouvriers (CGT, CFDT, FO), supposés défendre les intérêts des travailleurs français, sont subjugués par les idéaux socialistes qui sont des idéaux mondialistes souhaitant une immigration massive, voulant légaliser à tour de bras les travailleurs clandestins afin de faire baisser les salaires et qui président à la fois le FMI et l’OMC. Ces syndicats sont pour le mondialisme et contre les travailleurs français. Il faudra bien qu’un jour ils choisissent clairement leur camps.
Il faut prendre des mesures sévères de protectionnisme industriel et forcer le retour des immigrés en Afrique. C’est le seul moyen pour espérer un jour conserver nos retraites, même diminuées. Si on continue avec la libre circulation des personnes et des biens sans aucun frein, sans aucun contrôle, sans tenir compte ni cinq minutes des différences de charges sociales, il est évident que notre système de retraite devra se calquer sur celui du Lesotho ou de l’Algérie.
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Je rêve de voir le jour ou les petits xénophobes seront contraints d’aller bosser en terre étrangère pour pas crever de faim...
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voir le film précurseur avec Charlton Heston « le Soleil vert »
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Comment se fait il que sous Sarkozy de hauts dirigeants et des politiques ne cotisent que cinq ans pour toucher des fortunes par la suite, le père Sarkozy cumulant tous ces mandats touchera pas loin de 50000euros de retraite par mois...
La plupart des « fortunés » en France avec un bon conseil ou un bon avocat ne payent pas d’impôts... il reste encore les benets en bas de l’échelle pour alimenter un système ou la répartition n’a jamais été aussi proche du mythe !!
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- Devenir propriétaire de son logement.
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