Propositions de Mélenchon sur l’emploi : quelles créations d’emplois ?
Le sujet du chômage, de la création d’emploi, devrait être le thème essentiel de la campagne. Malheureusement, les sujets de diversion fleurissent et l'emploi est insuffisamment traité par la presse et par les médias. Que proposent les candidats et sont-ils crédibles ? Après avoir analysé les propositions pour l'emploi de Nicolas Sarkozy (un vide sidéral !), les propositions de François Hollande (un chèque en bois !) et les propositions de François Bayrou, passons à celles de Jean-Luc Mélenchon. Nous poursuivrons la série demain avec Marine Le Pen.
Le Front de Gauche fait une analyse systémique des causes du chômage croissant, accentué violemment par la crise : elles sont intrinsèquement liées au modèle de société capitaliste, à la financiarisation de l’économie dans la mondialisation[1], qui conduit au moins-disant social, à une compression des salaires, à l’accaparement de la valeur ajoutée créée par les plus riches, au travers essentiellement des revenus du capital, sans oublier les bonus des traders et des dirigeants de grosses sociétés cotées. L’accroissement de richesse ne bénéficie qu’à une minorité et n’est plus créateur d’emploi en net. Les entreprises prennent paradoxalement de la valeur en délocalisant des activités, en licenciant, et le gonflement du chômage coûte à la collectivité en même temps. Ce qui a pour effet un enrichissement privé de quelques uns au détriment de la collectivité, avec augmentation de la pauvreté, de la précarité, des inégalités, ainsi que le report d’un coût social supporté par les finances publiques. De surcroît, les plus riches ont les moyens d’échapper à l’impôt et pratiquent allègrement l’exil fiscal, sans que la richesse accaparée revienne proportionnellement à la collectivité. La spéculation a pris le pas sur l’économie réelle, déclenche des bulles et des crises, déclenche même des famines en s’exerçant sur les denrées alimentaires et sur les matières premières.
Dans ce modèle, la dette est la drogue des Etats au profit des dealers que sont les banques. L’endettement est venu au secours de l’Etat pour combler ses déficits et au secours de familles au pouvoir d’achat insuffisant, les plongeant dans l’enfer du surendettement. Et qui en profite ? Les banques, qui prêtent aux Etats, aux ménages et aux entreprises à des taux bien plus élevés que le taux auquel elles se refinancent (actuellement 1% auprès dela BCE).
Partant de ce constat, Jean-Luc Mélenchon prend une posture dénonciatrice, désignant des coupables qui auraient volontairement mis en place et perpétré ce système qui vampirise les peuples : gouvernants liés aux puissances financières, banquiers (dirigeants de banques et spéculateurs), grosses fortunes. Les solutions proposées visent plus à rétablir l’égalité des revenus en taxant les riches et la finance, en forçant à l’augmentation des bas salaires, en interdisant les licenciements, à supprimer les banques ou à les nationaliser et à financer la dette et les nouvelles dépenses sociales par la création monétaire (prêt direct à taux nul par la banque centrale), qu’à créer de véritables nouveaux emplois générés par création d’activité, de valeur ajoutée.
Les principales propositions de Jean-Luc Mélenchon pour l’emploi sont :
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Des mesures relatives au temps de travail : rétablissement des 35 heures effectives et limitation stricte du recours aux heures supplémentaires, abrogation de la loi Maillé sur l’extension du travail le dimanche ;
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Réévaluation globale des salaires, traitements, pensions et indemnisations du chômage (ces derniers seront indexés sur l’évolution du coût de la vie).
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Augmentation du Smic à 1.700 euros brut par mois pour 35 heures dès 2012 puis 1.700 euros net sur l’ensemble de la mandature. Instauration d’un salaire maximum dans toutes les entreprises, publiques et privées. Et l’écart des rémunérations ne pourra pas excéder une échelle entre 1 et 20. Via la fiscalité, instauration d’un revenu maximum fixé à 20 fois le revenu médian, soit 360.000 euros par an aujourd’hui.
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Lutte contre la précarité en affirmant le CDI comme norme du contrat de travail. Le recours aux intérimaires et CDD sera de son côté encadré : un quota maximal d’intérimaires et de CDD à 5% des effectifs dans les grandes entreprises sera instauré et à 10% dans les PME, sauf dérogations justifiées.
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Titularisation des employés
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Création d’un « droit automatique au passage à temps plein » pour les personnes en temps partiel. Les droits des salariés des entreprises sous-traitantes seront de leur côté alignés par le haut sur ceux des donneurs d’ordre.
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Rétablissement de l’autorisation administrative de licenciements.
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Interdiction des licenciements boursiers ainsi que de la distribution de dividendes pour les entreprises qui licencient. En cas de délocalisation ou de dépôt de bilan, instauration d’un droit des salariés à la reprise de l’entreprise sous forme de coopérative. Nouveaux droits aux salariés et comités d’entreprises en cas de licenciements et de délocalisations.
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Une série de mesures favorisant la relocalisation de l’industrie : taxe sur les productions délocalisées et sur les productions lointaines,
- Une reprise en main par l’Etat de la politique industrielle : pôle financier public pour financer l'investissement des entreprises, secteur bancaire public, renforcement de la présence de l’Etat dans le capital d’entreprises stratégiques, plans industriels pour rétablir les productions délocalisées, planification écologique avec la redéfinition des filières industrielles prioritaires.
Ces propositions manquent cruellement de mesures créatrices d’emplois. Elles visent surtout à empêcher des licenciements, à pérenniser les contrats de travail et à revaloriser les salaires de façon autoritaire. La relocalisation de l’industrie procède d’une pénalisation fiscale sur les productions délocalisées et non d’incitations positives à produire sur le territoire. La lutte contre le chômage paraît limitée à tenter d'endiguer l'hémoragie et à titulariser des emplois de la fonction publique, mais pas orientée vers la création de nouveaux emplois créateurs de nouvelles activités. De plus, l’effet de telles dispositions (forte hausse du Smic et contraintes fortes sur les contrats de travail et les licenciement) vont inciter les entreprises à quitter le territoire, à fermer ou à pratiquer des licenciements économiques. Au final ce programme ne serait-il pas plutôt destructeur d’emplois ?
Ces propositions sont de surcroît très coûteuses : le projet de Jean-Luc Mélenchon est chiffré à 120 milliards alors que le déficit public est déjà de 100 milliards et qu’il faudrait le neutraliser pour ne plus augmenter la dette. Jean-Luc Mélenchon fait fi de la dette et refuse tous les pactes et plans d’austérité qui concourent, selon lui, à amplifier la récession économique et la régression sociale en Europe au nom d’une logique libérale de « soumission aux marchés ». Il souhaite quela Francepropose une refonte des missions et des statuts dela BCE, lui permettant de prêter directement aux Etats à taux faibles, voire nuls, et acheter des titres de la dette publique sur le marché. Mais il ne dit pas comment financer cette dette en attendant que les partenaires européens soient d’accord avec une telle proposition de monétisation des dettes souveraines en euro, ni n’envisage les conséquences d’une telle proposition (forte création monétaire, donc forte inflation, dévalorisation de l’euro avec fort renchérissement des importations notamment de matières premières, du pétrole et du gaz, impact négatif sur le pouvoir d’achat …).
[1] La Grande Régression », oct.2010, Editions du Seuil, Jacques Généreux, co-fondateur du Front de Gauche. Voir mes articles partie 1 et partie 2 sur le sujet.
49 réactions à cet article
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Il y a des propositions de création d’emploi à travers le projet de plan écologique, en recherche sur des énergies alternatives, sur le domaine maritime, dans l’éducation...
De plus une augmentation des salaires va induire sur les bas salaires une relance de la consommation, également par le remboursement des frais de santé (demandez aux dentistes).Une défense indépendante implique également des efforts de recherche, et donc de formation, également créatrice d’emplois.On peut aussi miser que, si un référendum sur la poursuite de l’industrialisation de l’énergie nucléaire est proposé aux français et que ceux-ci n’en veulent plus, il va falloir former un nombre important de techniciens pour parvenir aux démantèlements des centrales et que ce savoir pourra s’exporter. En tout cas c’est ce que moi je souhaite.La dette est déjà largement remboursée, ce sont les intérêts de la dette qui est devenu le premier poste de dépense de l’Etat. Est-ce légitime ? Non !-
et les produits consommés viennent d’ou ????
DE CHINE !!! -
À ce stade, j’admets bien volontiers que tout n’est pas explicite. Je comprends très bien que tout un chacun veuille voir la couleur des emplois, demande du concret. Je contribue en essayant de compléter.
Les orientations économiques du programme « L’humain d’abord » sont des grandes lignes, même si elles se déclinent au travers nombre de prises de parole et d’échanges accessibles. D’autres gisements d’’emploi apparaissent en effet.La planification écologique est couplée avec la demande exprimée au niveau de la région (cf. l’échange disponible en vidéo avec l’ancien président de Saint Gobain, vers 1 h 33 min,
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=wUNwuEUHN9one serait-ce que pour améliorer notre empreinte écologique au regard des transports.
Cela introduira donc une mutualisation entre entreprises, au niveau régional, tout au long de la valorisation des ressources : moins de gâchis, plus d’activité, donc plus d’emplois.Au-delà de la relocalisation des productions, favorisée par la taxation écologique et sociale des importations, une réorganisation des productions en région en fonction de la demande et non, comme actuellement, en fonction de l’offre est proposée. Les pôles sont-ils créés simplement pour faire beau ou pour dynamiser l’activité, donc l’emploi ?
J’ai noté les deux points suivants (il y en a d’autres) :
- ralentir la vitesse de retour sur investissement en retirant le pouvoir dans la gestion des entreprises aux actionnaires, prendre le temps d’élaborer un produit, développer la recherche, tester le produit, ne plus produire en flux tendu, ce qui veut donc dire redécouvrir les stocks...
- miser sur la qualité et la durabilité des productions au profit notamment du retour des emplois dans la réparation. Combien d’emplois ont disparu de la réparation dans tous les domaines d’activité depuis l’avènement de la société de consommation ? Alors oui, au retour des lave-linges qui durent plus de 5 ans sans devoir payer en sus une extension de garantie ! Et nous prolongerons ainsi l’utilisation des ressources de la planète.Imaginons un retour de la qualité et de la durabilité dans le textile et l’habillement...
Il nous est donc proposé une autre vision de l’économie : prenons la peine d’y regarder de plus près en changeant de lunettes.
Je suis convaincu que nous reviendrons (enfin) aux commerces de proximité : la distribution en général s’en met plein les poches, nous le savons. Les commerces de proximité : créent nettement plus d’emplois pour 100 m² de surface de vente qu’un hypermarché.Favoriser les travaux pour réduire les consommations énergétiques dans les habitations, construire plusieurs centaines de milliers de logements sociaux, créer 500 000 places en crèche, remettre de l’humain dans les soins hospitaliers et dans la santé, redonner sa place à l’éducation : voilà encore des milliers d’emplois pour demain.
Enfin, en redonnant des couleurs à nos caisses sociales alimentées par notre salaire différé, en créant la cinquième caisse pour la dépendance de nos aînés, en étant un peu plus heureux au quotidien, en pouvant envisager sereinement l’avenir, nous serons moins tentés de « mettre des sous de côté » par crainte du lendemain ou des mauvais jours, et nous dépenserons donc plus.
En résumé, nous sommes invités à goûter à une économie de services et de biens, au service de l’humain. Oui, cela m’intéresse bigrement et je ne suis nullement inquiet pour l’emploi dans notre pays !
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Mandrake 12 avril 2012 11:27+ de consommation = inflation en France = importation = balance commerciale plongeante = délocalisation = chômage = dette.
Mélenchon ne protège rien ...au contraire il ouvre en grand aux produits et aux émigrés.
banqueroute assuré en un minimum de temps.
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Tall 12 avril 2012 11:30L’auteur écrit >
Jean-Luc Mélenchon fait fi de la dette et refuse tous les pactes et plans d’austérité qui concourent, selon lui, à amplifier la récession économique et la régression sociale en Europe au nom d’une logique libérale de « soumission aux marchés »Et c’est la vérité. Il y a même un boursicoteur milliardaire qui le dit.C’est George SorosUn meilleur expert financier que Soros, ce sera difficile à trouver vu qu’il est devenu multi-milliardaire uniquement en boursicotant pendant 40 ans-
@Tall
pour un anti-libéral c’est assez surprenant de citer Soros.
Soros spécule sur la baisse de l’euro (objectif 1euro = 1 dollar) donc pas étonnant qu’il préconise une injection massive de liquidité.
Même si effectivement il est toujours préférable de faire de la relance en période de crise mais comme nous n’avons pas été capable de faire de la bonne gestion quand ça allait relativement bien et maintenant nous sommes un peu « coincés ».
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Tall 12 avril 2012 13:34Et j’aurais pu ne pas citer Soros...
Le principe qui veut que l’argent doit circuler pour que l’économie réelle tourne est évident.Pas besoin d’être expert pour comprendre ça.Et elle a bien tourné d’ailleurs, mais ce qui l’a coincé, c’est que la fortune s’est entassée du côté des spéculateurs qui ont fait crasher tout le système en 2008, et dont on a une réplique aujourd’hui. Car les dettes publiques ont été gonflées par le secours accordé aux banques justement ( exemple avec Dexia cité par Joly hier soir ).Donc, les Etats ont sauvés les banques qui étranglent aujourd’hui les peuples.Cela peut paraître incroyablement cynique, mais c’est pourtant ce qui se passe.Et ce ne sont pas des Bayrou, Hollande ou autres centristes qui changeront la donne.Il faut une vraie gauche. -
Vous êtes passé à côté de l’essentiel du programme ! Comment vous en vouloir on ne peut pas dire que les médias aident à le diffuser !
Petit bilan non exhaustif des créations d’emplois :
- SMIC 1700 € - relance activité (30 Milliards injectés économie) +180 000 emplois
- limitation salaire 1/20 (30 Milliards injectés économie) +180 000 emplois
- 35h effectifs : +1 5000 000 emplois
- retraite 60 ans : +130 000 emplois (non départs liés reforme Sarkozy)
- relance services publiques : +150 000 emplois mini (suppressions Sarkozy)
- 200 000 logements par an : 100 000 emplois BTP (fédération BTP)
- transition energetique : 640 000 emplois (scénario negawatt)
- nouveau modèle agricole : 300 000 emplois (confédéraion paysanne)
- parité euro/$ : 330 000 emplois (INSEE)
Soit 3,5 Millions emplois.Pour Mandrake : la parité euro/$ + taxe kilométrique (oui du protectionnisme) va renchérir les importations, le risque évoqués est donc très faible. Évidemment c’est un vraie politique de relocalisation de l’industrie qui sera menée (ex : politique des Kirchner en Argentine)
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Certains chiffres me paraissent bien « ambitieux »...
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Jamais lu autant de conneries en si peu de place, décidément le collectivisme est vraiment une maladie mentale.
SMIC 1700€ = suppression de tous les emplois qui rapportent moins -> + de chomageLimitation salaires = effet Laffer = chute des recettes publiques, expatriation des emplois et des entreprises35h effectifs = zéro embauches et heures sup non déclarés et nos payées ou payées au blackretraite à 60 ans = faillie du système de retraite, fuite des capitaux, chomageRelances services publique = monétisation (impossible à financer autrement) = inflation = sortie de l’euro et chomagelogements / énergies / agriculture = idemn stupidité collectivisteparité euro /. dollar = création d’emplois en Allemagne et dans les pays de l’Est chomage en France.Un tel programme, c’est la faillite générale en 3 mois et encore je suis sympa.La première mesure à prendre = un cours d’économie général ! -
avec un smic a 400€, tu consommes beaucoup ?
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Tout dépend de ce qu’on peut acheter avec 1€. Au Zimbabwe ils ont appliqué le keynésianisme à la lettre, ils étaient tous milliardaires.
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Jamais lu autant de conneries en si peu de place.
Je vous retourne le compliment très cher.
SMIC 1700€ = suppression de tous les emplois qui rapportent moins -> + de chomageVous spéculez sur la suppression d’emplois qui rapportent moins que le SMIC ? c’est çà. Parce que vous croyez que l’on vit dignement avec moins que le SMIC ?
Combien d’emplois seront créé dans le même temps avec la hausse de pouvoir d’achat que cela va engendrer ?
C’est exactement ce que Roosevelt a fait dans le NEW DEAL consolider les salaires.
Vous n’envisagez pas non plus que des emplois à temps partiels au SMIC deviennent des temps pleins.Limitation salaires = effet Laffer = chute des recettes publiques, expatriation des emplois et des entreprisesLa courbe de Laffer concerne les prélèvements obligatoires et leurs impacts dans les recettes de l’Etat. Rien à voir avec une limitation des salaires en entreprises.
35h effectifs = zéro embauches et heures sup non déclarés et nos payées ou payées au black
La mise en place des 35 heures démontre le contraire 350 000 emplois crées d’après l’INSEE. Quand aux heures sup payées au black c’est déjà le cas malgré la reduction de charges.retraite à 60 ans = faillie du système de retraite, fuite des capitaux, chomage Le problème des retraites c’est l’augmentation de l’espérance de vie, le grand nombre de papyboomers, le taux de chômage actuel ET la non compensation par l’Etat durant des années des exonérations de cotisations. Si le chômage baisse, que les caisses perçoivent ce qu’elles doivent percevoir, que l’on compense les années de non reversion et que mécaniquement les sommes cotisées augmentent du fait des augmentations de salaires et que l’on met fin aux régimes spéciaux , le système pourra revenir à l’équilibre.
Relances services publique = monétisation (impossible à financer autrement) = inflation = sortie de l’euro et chomageLes services publics ne passe pas forcément par une monétisation. Le scénario de la monétisation, c’est la création massive et immédiate d’emplois de services publics. Si la création d’emplois est progressive il n’est pas nécessaire de passer par une monétisation.
Vous parlez d’inflation, mais il est possible de la combattre ce n’est pas une fatalité. Et si vous connaissez autant l’économie que vous le dites, vous savez que des mécanismes, des organismes et des outils existent pour cela au sein de la zone Euro et dans les pays.logements / énergies / agriculture = idemn stupidité collectivisteLogements : la France manque de logements, ils sont mal répartis sur le territoire, l’offre ne correspond pas forcément à la demande en taille d’habitat, en matières de périmètre géographique,de qualité énergétique ou de confort, etc. L’encadrement des loyers, une plus stricte application des lois SRU, une revalorisation du parc (TAH) sont des solutions proposées par la plupart des experts et des associations de consommateurs.
Le problème de l’énergie est l’enjeu majeur du XXIe siècle, il est inutile de le rappeler lorsque l’on voit la spéculation sur les matières premières et les énergies. Il est donc vital qu’avant 2030, des mesures soient prises dans ces domaines.L’agriculture comme toute production est un enjeu majeur pour notre pays, la question n’est plus de produire plus mais de produire mieux.
Tout cela ne relève pas du collectivisme, comme votre anti communisme primaire le laisse penser mais simplement de mieux répartir les richesses pour que le plus grand nombre de personnes puisse en profiter et que ceux-ci en retour puissent faire fructifier notre pays.
parité euro /. dollar = création d’emplois en Allemagne et dans les pays de l’Est chomage en France.
C’est un des mécanismes pour éviter la spéculation et l’inflation. Mais manifestement cela ne va pas dans le sens de vos idées donc vous ne voulez pas en entendre parler.Un tel programme, c’est la faillite générale en 3 mois et encore je suis sympa. Sympa ? Je suis sur que vous ignorez à quel point votre condescendance me touche. J’ai l’impression de lire du Seillière. You see what i mean ?
La première mesure à prendre = un cours d’économie général !L’économie est un concept basé sur des théories économiques, il n’y a donc pas une Vérité sur le sujet. Aussi, vous devriez avant de vouloir étaler avec arrogance vos propres théories sur le sujet, vous pencher un peu plus dessus, cela vous ouvrirait l’esprit. Enfin, vous devriez faire montre d’un peu plus d’humilité et également reprendre quelques cours, en particulier de grammaire et d’orthographe. Cela serait probablement un bon investissement pour vous et surement un confort pour ceux qui vous lisent.
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à FdG72230 le programme de Mélenchon c’est
- 72 Milliards de bénéfice par an ( 190 M recette , 120 M dépenses)
- une réserve de 600 000 emplois pour la soif (création de 3, 5 millions d’emplois, selon vos dires, or, il n’y a que 2, 9 millions de chômeurs ).
Donc c’est formidable.
la seule chose qui m’inquiète c’est le SMIC à 1700 euros, parce qu’il peut y avoir des difficultés à promouvoir un SMIC européen. Mais enfin le Front de gauche ira sans doute expliquer aux grecs et aux espagnols comment il faut faire... Je ne m’inquiéte pas outre mesure, c’est la planification écologique qui sera appelée en renfort. Et puis quand même on va changer de système.
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Vous avez raison sur le nombre de chomeurs, et nous savons tous que le chômage zéro n’existe pas.
Alors d’où sortent ces 600 000 emplois ?
le but du programme du FdG c’est aussi de diminuer les temps partiels qui représentent environ 900 000 emplois.
donc 3.5M - 900 000 = 2.6M et 2.9 - 2.6 = 300 000 chômeurs.
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"Tout dépend de ce qu’on peut acheter avec 1€. Au Zimbabwe ils ont appliqué le keynésianisme à la lettre, ils étaient tous milliardaires. "
donc le loyer a 350 va etre divise par 3 ?
je vois bien la tete du bailleur .......... -
(1/2) Et encore des poncifs gauchistes ridicules, voyons voir :
« Parce que vous croyez que l’on vit dignement avec moins que le SMIC ? » Je n’ai jamais dit ça, mais ce qui est certain c’est qu’aucune entreprise n’embauchera quelqu’un qui lui coûte plus cher que ce qu’il ne lui rapporte. Monter le Smic c’est mécaniquement exclure du marché du travail tout ceux qui ne peuvent pas produire plus de 1700€/ mois de valeur pour leur employeur, c’est à dire les moins qualifiés. Ne venez pas me racontez que vous voulez aider les pauvres alors que vous faites tout pour décourager leur embauche. cf http://www.youtube.com/watch?v=fGKFTUVQPTM
« Combien d’emplois seront créé dans le même temps avec la hausse de pouvoir d’achat que cela va engendrer ? C’est exactement ce que Roosevelt a fait dans le NEW DEAL consolider les salaires. Vous n’envisagez pas non plus que des emplois à temps partiels au SMIC deviennent des temps pleins. » >> Voilà donc le fond de votre pensée, la politique de la demande, c’est à dire précisément le keynésianisme qui nous a apporté la crise actuelle. Pour votre culture, le New Deal a été globalement ruineux pour l’économie US et la reprise n’a peu avoir lieu qu’après la guerre quand la dépense publique a chuté (chomage x8 et rechute en 37 cf http://www.dailymotion.com/video/xe55jz_le-new-deal-3-3_news ) Et encore, l’effet négatif de la « relance » de Roosevelt a été mitigé par le fait qu’à l’époque l’essentiel des biens de consommation US étaient produit dans le pays. Ce n’est plus cas aujourd’hui. La France ayant un déficit commercial de plus en plus abyssal, toute augmentation de la consommation française enrichit les entreprises étrangères desquelles nous importons, c’est à dire crée globalement des emplois, mais à l’étranger ! Faire de la relance par la consommation dans un monde ouvert où la production est en train de fuir à l’étranger, c’est monter le chauffage alors que les fenêtres sont ouvertes en plein hiver : irresponsable et stupide. Outre cette évidence, la consommation va s’effondrer, en valeur et en volume. Si vous ne le comprenez pas, on ne peut plus rien faire pour vous.« La courbe de Laffer concerne les prélèvements obligatoires et leurs impacts dans les recettes de l’Etat. Rien à voir avec une limitation des salaires en entreprises. » >> C’est à mettre en parallèle avec les hausses d’impôts. Outre l’immoralité de cette violation de la propriété privée, ce genre de mesure ne va que pousser les multinationales concernées à rémunérer leur meilleurs cadres dans leurs filiales à l’étranger, privant le fisc d’autant de recettes. Je sens bien que la jalousie des riches vous taraude, ça ne vous grandit pas. Le problème, c’est la pauvreté, pas la richesse.
« La mise en place des 35 heures démontre le contraire 350 000 emplois crées d’après l’INSEE. Quand aux heures sup payées au black c’est déjà le cas malgré la reduction de charges. » >> Le point le plus drôle de votre logorrhée. Comme tout bon sophiste incompétent en économie, vous vous concentrez sur ce qu’on voit, en oubliant soigneusement ce qu’on ne voit pas. Je ne puis que vous encourager à relire Bastiat et la vitre cassée. Les chiffres INSEE ne dispensent pas de voir the big picture. En ne regardant qu’un côté du tableau, on peut raconter n’importe quoi. Les 35h ont peut-être créé des emplois par endroits, mais en ont détruit un nombre impossible à évaluer de par ailleurs. Globalement, il est impossible de prouver qu’il y a eu création nette d’emplois alors que plusieurs économistes affirment qu’il y a eu destruction nette d’emplois. Je vous laisse méditer là-dessus.« Le problème des retraites(...) le système pourra revenir à l’équilibre. » >> Vous n’avez toujours pas compris que tant qu’on ne mènera pas une véritable politique de l’offre et d’assainissement de notre monnaie, le chômage ne pourra qu’augmenter. Le système de retraite actuel n’est qu’un schéma de Ponzi qui n’est ni juste ni efficace. On ne coupera pas à la capitalisation, d’autant plus que c’est le seul système (qui peut tout à fait être solidaire) qui permet de créer un capital pour les plus démunis qu’ils pourront transmettre à leurs enfants.
Les services publics ne passe pas forcément par une monétisation. Le scénario de la monétisation, c’est la création massive et immédiate d’emplois de services publics. Si la création d’emplois est progressive il n’est pas nécessaire de passer par une monétisation.« >> »Donner le pouvoir de battre monnaie à des politiciens c’est donner la clé de votre cave à un sommelier alcoolique". Voilà une dose de bon sens pour cerner les choses. Oui, on peut éviter la monétisation. Quand on a un Etat bénéficiaire ! On en est très loin, et l’Euro ainsi que le manque de compétitivité de la France empêchent clairement de s’en rapprocher. Le seul moyen à court et moyen terme d’augmenter les dépenses publiques (ce qui serait une folie) c’est la planche à billet. C’est déjà ce que font la FED et la BCE au mépris de toutes les leçons qui auraient du être retenues des précédents échecs du keynésianisme. La monnaie, ce n’est pas de la richesse, combien de crises comme celle-ci devrons nous subir pour que ces débiles de politiciens le comprennent ? De plus, au dessus de 30-40% du PIB, la dépense publique devient nocive pour l’économie et tue la croissance : http://institutdeslibertes.org/2012/03/28/le-dossier-economique-des-elections-francaises-par-charles-gave/ (à lire absolument avant de ne pas voter). -
(2/2) Vous parlez d’inflation, mais il est possible de la combattre ce n’est pas une fatalité. Et si vous connaissez autant l’économie que vous le dites, vous savez que des mécanismes, des organismes et des outils existent pour cela au sein de la zone Euro et dans les pays.« >> Vous parlez de la BCE dont le bilan est plus gros que celui de la FED ? Vous parlez de cette même zone euro qui pousse la Grèce dans un moyen age économique ? Toutes ces conneries keynésiennes bureaucratiques et anti-libérales détruisent les économie européennes, et vous en voulez encore plus ? J’espère que vous ne vous réclamez pas de l’humanisme mon cher ! Combattre l’inflation et empêcher mécaniquement les bulles spéculatives c’est très simple et très libéral : suppression des banques centrales, retour à l’étalon-or et free banking, comme pendant toutes les périodes de stabilité monétaire de l’Histoire.
»Logements (...) associations de consommateurs.« >> Le logement est un des marchés les plus régulé et étatisés de France et vous vous étonnez qu’il foire ? Vu la demande, un marché libre aura tôt fait de créer l’offre pour y répondre. La pire des choses à faire c’est d’encadrer les loyers (rien de mieux pour réduire l’offre), quant à la loi SRU je n’en parle même pas c’est une violation évidente des libertés individuelles.
»Le problème de l’énergie est l’enjeu majeur du XXIe siècle, il est inutile de le rappeler lorsque l’on voit la spéculation sur les matières premières et les énergies. Il est donc vital qu’avant 2030, des mesures soient prises dans ces domaines.« LOL»L’agriculture comme toute production est un enjeu majeur pour notre pays, la question n’est plus de produire plus mais de produire mieux.« >> Re-LOL
»Tout cela ne relève pas du collectivisme, comme votre anti communisme primaire le laisse penser mais simplement de mieux répartir les richesses pour que le plus grand nombre de personnes puisse en profiter et que ceux-ci en retour puissent faire fructifier notre pays.« >> Votre haine primaire de l’Etat de droit et des libertés individuelles vous empêche de voir qu’il y a de bonnes et de mauvaises manières d’aider ceux qui en ont besoin. Rendre les riches moins riches n’a jamais aidé les pauvres parce que réduire le dynamisme entrepreneurial d’une économie heurte en premier les moins qualifiés. Vous voulez aider les pauvres ? Formez les de manière à ce qu’ils puissent accéder des métiers bien rémunérés. Prendre à Paul de force pour donner à Pierre, globalement ça ne change rien.
»L’économie est un concept basé sur des théories économiques, il n’y a donc pas une Vérité sur le sujet. « >> C’est beau la méthode coué, mais c’est faux. Il y a autant de vérité à découvrir en science économique qu’en sociologie et qu’en physique des particules, c’est pour ça que ce sont des »sciences« . Un humain n’achète par exemple pas ce qui lui semble être trop cher, que ce soit un consommateur ou un employeur. La planification économique esttechniquement impossible. Trop d’impôt tue l’impôt. Etc, etc. Vous aimeriez bien que l’on puisse tout décider par la volonté politique, c’est à dire vous affranchir du principe de réalité, mais guess what, c’est pas possible. Il y a des constante en économie, même communiste, et personne ne peut passez outre. Je vous laisse vous cultiver sur le processus de rédaction du Droit Naturel, à supposer que vous ayez un bagage suffisant pour le comprendre.»Aussi, vous devriez avant de vouloir étaler avec arrogance vos propres théories sur le sujet, vous pencher un peu plus dessus, cela vous ouvrirait l’esprit." >> Je vous renvoie exactement le même message. Vous n’avez visiblement pas les bases en matières d’économie pour comprendre à quel point ce que vous avancez est un tissu d’âneries. Pas étonnant que vous soyez anti-libéral primaire, donc. -
« Logements (...) associations de consommateurs. » >> Le logement est un des marchés les plus régulé et étatisés de France et vous vous étonnez qu’il foire ? Vu la demande, un marché libre aura tôt fait de créer l’offre pour y répondre. La pire des choses à faire c’est d’encadrer les loyers (rien de mieux pour réduire l’offre), quant à la loi SRU je n’en parle même pas c’est une violation évidente des libertés individuelles.
ca doit etre pour ca, que dans le prive libre, les loyer sont plus cher
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« Rendre les riches moins riches n’a jamais aidé les pauvres parce que réduire le dynamisme entrepreneurial d’une économie heurte en premier les moins qualifiés ».
Bien sûr que si cher ami : rendre les riches moins riches rend les pauvres moins pauvres. Ce qui ne serait que justice puisque leurs richesses est le résultat de « l’exploitation de l’homme par l’homme ».Par ailleurs, il n’est pas question de réduire le dynamisme entrepreneurial puisqu’il conviendra de développer l’économie sociale et solidaire via l’encouragement à la création de SCOP, lesquelles ont pour politique de répartir équitablement les richesses créées.Autre option : par l’intermédiaire de ce que l’on appelle l’allocation universelle ou encore revenue sociale, il sera possible pour chacun d’entreprendre l’activité de leur choix (même celles ayant une valeur marchande minime à l’aune du système capitaliste) puisque l’on ne sera plus soumis à des impératifs de rentabilité.http://economiedistributive.free.fr/De sorte que le système que je prône sera encore plus dynamique que le vôtre du point de vue entrepreneurial puisque le choix d’une activité se fera non plus en fonction de sa valeur marchande mais de son utilité sociale.« Vous voulez aider les pauvres ? Formez les de manière à ce qu’ils puissent accéder des métiers bien rémunérés. Prendre à Paul de force pour donner à Pierre, globalement ça ne change rien ».C’est cela oui, yakafokon ! Quel grand économiste vous faites en effet !Très bien, faisons-le. Et après ? Tout le monde (soit 25 millions de salariés) devient ingénieur ou créée son entreprise, et la France se retrouve donc avec 25 millions d’ingénieurs ou d’entreprises. Vous croyez vraiment cela possible dans le cadre de l’entreprise dite classique ?S’il ne peut y avoir 25 millions d’entreprises classiques (qui occupera les postes des anciens « pauvres » s’il n’y a plus de salariés ou de salariés « pauvres »), en revanche l’ensemble des salariés peut s’unir par groupes pour entreprendre ensemble la création de coopératives. Il n’y aura certes pas 25 millions d’entreprises mais 25 millions d’entrepreneurs. Le salariat aura donc disparu et nous nous retrouverons dans une organisation économique proche du socialisme puisque le salariat constitue l’un des piliers du capitalisme. Et puis démocratie et égalité (et non plus ploutocratie et inégalité deux autres piliers du capitalisme) régneront dès lors dans les cellules de base de l’économie. -
@John_John
Vu les attaques personnelles que vous vous permettez lorsque vous venez « distiller votre science », je pense que vous êtes bien plus enclin aux poncifs que le plupart des personnes présentes dur ce fil. Mais passons.
SMIC à 1700€ bruts : Vous en connaissez beaucoup des entreprises qui n’ont pas les moyens de payer 11.20€ bruts leurs salariés ? Vous en connaissez beaucoup des personnes qui ne génèrent pas un revenu de 20€ de l’heure ? La réalité est beaucoup plus complexe que cela. 2.7 Millions (80%des smicards) sont des femmes qui perçoivent un salaire inférieur à 840€/mois. C’est cela que la proposition d’augmenter le SMIC à 11.20€ bruts veut changer. Mais manifestement vous persistez à penser que cela va ruiner la plupart de leurs employeurs. Certes les emplois les moins compétitifs disparaitront sans doute, mais vous ne pouvez pas dire que cela constituera la majorité, parce que vous n’en savez rien. Et combien d’emplois verront le jour grâce à la hausse de pouvoir d’achat que la plupart des bénéficiaires et à l’effet levier que cela aura dans tous les salaires ? Parce que c’est aussi cela l’économie des emplois disparaitront mais d’autres se créeront ailleurs.
Ne venez pas me racontez que vous voulez aider les pauvres alors que vous faites tout pour décourager leur embauche.
Accuser vos contradicteurs de décourager l’embauche des pauvres,… Ce genre de propos vous pouvez les garder pour la grande distribution qui est l’un des plus gros embaucheurs de femmes à temps partiels au SMIC. Ils ne sont pas prêts d’être ruinés. Mais vous êtes encore capable de venir nous expliquer qu’ils font du social sans doute.Voilà donc le fond de votre pensée, la politique de la demande, c’est à dire précisément le keynésianisme qui nous a apporté la crise actuelle.
Prétendre que c’est la politique de la demande qui est responsable de la crise c’est vraiment utiliser un raccourci plus qu’hasardeux de langage. Il y a tellement d’autres facteurs tant financiers qu’humains que vous omettez quand vous vous écrivez cela. Mais passons.Pour votre culture, le New Deal a été globalement ruineux pour l’économie US et la reprise n’a peu avoir lieu qu’après la guerre quand la dépense publique a chuté (chomage x8 et rechute en 37
Ma culture va bien, je ne vous ai pas attendu pour la développer. Quel dédain pour les autres. ! Le New Deal a été tellement ruineux que la plupart des agences et organisations US qui ont été créées alors existent encore. Tellement ruineux qu’il a permis l’interdiction du travail des enfants ou encore l’émergence du mouvement des droits civiques dans les années 60, c’est-à-dire la réduction des inégalités concernant les minorités. Tellement ruineux que des états et des régions entières qui crevaient la dalle ont pu moderniser leurs infrastructures et leurs moyens de production grâce aux chantiers engagés alors et que des millions de gens ont ainsi pu avoir droit à un travail leur permettant de se nourrir. Tellement ruineux que le moral des américains en fut bouleversé et que cette dynamique a permis aux EU de s’engager dans la deuxième guerre mondiale avec un moral d’acier, parce qu’ils étaient convaincus qu’après avoir réussi à traverser une telle crise, ils avaient la force de gagner cette guerre. Etc. etc. etc.http://fr.wikipedia.org/wiki/New_Deal N’oubliez pas le chapitre : Vers la fin du New Deal concernant 1937.
lire aussi et surtout : The New Deal de Paul Keith ConkinVous dites que la consommation française enrichit les entreprises étrangères du fait des importations, ce qui est vrai et d’ailleurs nombre de pays pratiquent un protectionnisme pour protéger leurs productions nationales sur ce point. Ce qui n’est pas notre cas actuellement ; C’est pour cela que faire de la relance doit s’accompagner de fermetures des fenêtres comme vous le dites. Et penser que vos contradicteurs sont stupides et irresponsables parce que vous seriez le seul à y penser montre une fois de plus votre forte propension à la vanité. Vous devez vous sentir bien seul et vraiment incompris pour écrire de la sorte.
« La courbe de Laffer concerne les prélèvements obligatoires et leurs impacts dans les recettes de l’Etat. Rien à voir avec une limitation des salaires en entreprises. » >> C’est à mettre en parallèle avec les hausses d’impôts.
C’est vous qui le dites. Je vous rappelle simplement que les impôts ont été à des taux plus élevés concernant les hauts revenus auparavant et que les baisser n’a pas favorisé la création de richesse ou d’emplois.Outre l’immoralité de cette violation de la propriété privée, ce genre de mesure ne va que pousser les multinationales concernées à rémunérer leur meilleurs cadres dans leurs filiales à l’étranger, privant le fisc d’autant de recettes. Je sens bien que la jalousie des riches vous taraude, ça ne vous grandit pas. Le problème, c’est la pauvreté, pas la richesse.
Rémunérer les cadres dans leurs filiales à l’étanger comme Air France ? http://obsession.nouvelobs.com/voyage/20120411.OBS5925/air-france-condamne-pour-travail-dissimule.htmlVous ne sentez rien du tout, vous êtes complètement à côté de vos pompes. Et c’est cela qui nous sépare. Rien ne justifie, alors que la France n’a jamais produit autant de richesses, que les inégalités se creusent. Rien ne justifie que des personnes puissent percevoir des revenus qu’elles ne pourront jamais dépenser et qui correspondent à des centaines de carrières au SMIC pendant que d’autres (comme je l’ai expliqué avant) sont à temps partiels à moins de 1000€ nets par mois.
Le talent, le travail, OUI l’indécence NON, C’est cela qui est immoral et pas votre prétendue violation de la propriété privée. Parce que lorsqu’une entreprise a les moyens de verser des primes de plus de 10 millions d’euros, elle pourrait aussi financer des centaines de d’emplois en carrières complètes à la place. Et je dis cela avec autant de conviction parce que je sais ce que c’est que faire crouter des gens, bien gagner sa vie, mettre ses biens dans une affaire et bosser plus 50 heures par semaine. Cela n’a rien à voir avec une présumée jalousie.
En ne regardant qu’un côté du tableau, on peut raconter n’importe quoi. Les 35h ont peut-être créé des emplois par endroits, mais en ont détruit un nombre impossible à évaluer de par ailleurs.
Vous avez tout dit. Vous ne regardez que le côté du tableau qui vous plait. D’ailleurs ce n’est pas un tableau que vous regardez mais un miroir, du nombrilisme sans doute. Et surtout vous affirmez sans rien prouver. A croire que cela relève du dogme pur et simple, ce qui est bien commode comme posture.Le système de retraite actuel n’est qu’un schéma de Ponzi qui n’est ni juste ni efficace.
C’est donc un système frauduleux selon vous. Pire, vous expliquez que la capitalisation créera un bien transmissible aux ayants droits. Ainsi, selon vous, une personne qui n’aura pas les moyens de capitaliser parce que démunie pourra transmettre. Mais transmettre quoi ? Du vent ? Là encore tout est dit et personne ne vous comprends. Acte.
Vous continuez dans les insultes et attaques personnelles pour imposer votre vérité en prétendant une supposée haine de ma part et un niveau intellectuel insuffisant pour comprendre les théories que vous défendez. C’est assez pathétique de vous lire, à un point tel que je ne prendrais pas le temps de vous répondre, cela ne permettrait pas la confrontation d’idées, ni de faire avancer le débat sur le sujet. Ce serait donc en pure perte tellement vous êtes certains de détenir la Vérité. Je vous laisse donc à votre place, celle des solitaires aigris et incompris.
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« et nous savons tous que le chômage zéro n’existe pas. » Tout à fait puisque le volant des gens qui retrouvent vite du travail en période de « plein emploi » ne constituent pas zéro mais environ 200 000 travailleurs comme dans les années 60. Une arrivée massive de travailleurs comme l’arrivée des pieds noirs en métropole n’a pas été un problème. Il en serait autrement aujourd’hui !
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Votre capacité à ne pas lire est impressionnante. Je me répète donc :
1/ Il n’y a aucune exploitation dans le salariat puisque la salarié est payé à sa valeur, c’est à dire le prix du marché. S’il n’est pas content il peut toujours aller voir ailleurs, être travailleur indépendant ou entrepreneur. D’ailleurs dans une entreprise il n’est pas chez lui. toute référence à la « plus-value » ou à « l’exploitation capitaliste » est logiquement fausse puisqu’il n’y a aucun lien entre la valeur marchande des biens produits et la quantité de travail produite par les salariés.2/ Une allocation universelle, pourquoi pas, c’est dans le programme des libéraux depuis 50 ans.3/ Montez des scops si vous voulez, des fois ça marche, mais vous devez laisser les gens libres de créer des boites traditionnelles s’ils en ont envie (et d’ailleurs pour tout projet innovant c’est indispensable).4/ Le capitalisme peut très bien se passer du salariat. C’est une forme de contrat comme un autre, si demain on veut s’en passer on trouvera autre chose.5/ Une hausse du pouvoir d’achat peut créer des emplois oui, mai pas en France6/ La société ne vous doit a priori rien.7/ Les impôts réels ont rarement -jamais ?- été aussi élevés que maintenant, et historiquement les baisses d’impôts en tant de crise ont toujours permis de relancer l’activité et l’emploi, tandis que les hausses d’impôts font baisser les recettes publiques (cf ISF !)8/ « lorsqu’une entreprise a les moyens de verser des primes de plus de 10 millions d’euros, elle pourrait aussi financer des centaines de d’emplois en carrières complètes à la place. » >> Une entreprise est une propriété privée, à ce titre elle fait ce qu’elle veut de son argent et ça ne vous regarde pas. Les gens qui l’ont créé ou acheté l’ont peut-être fait spécifiquement pour faire fortune et se verser des primes de 10 millions d’euros, si vous êtes jaloux c’est pas ma faute. Vous n’avez rien compris à la valeur, apprenez l’économie avant de raconter n’importe quoi, bien sur que quelqu’un peut créer 1000 fois plus de valeur qu’un autre, ça arrive tous les jours. Vous êtes vraiment un jaloux aigris incapable de voir qu’il n’y a aucune injustice dans les inégalités quand les pauvres voient leur pouvoir d’achat augmenter.9/ Le reste est à l’avenant, des poncifs sans sources (évidemment puisqu’ils sont faux), des phrases toutes faites issus de programmes gauchistes déconnectés de la réalité et écrit dans le seul but de voler l’argent des autres et d’asservir l’humain à l’Etat. Vous êtes typiquement le mouton endoctriné qui vote pour un dictateur en voulant réellement le pouvoir. Vous savez ce qu’on dit sur la liberté et la sécurité. Vous n’aurez ni l’un ni l’autre. -
« si vous êtes jaloux c’est pas ma faute ».
Et cela ce n’est pas un poncif, mais un fait. N’est-ce pas ? -
@John_John
Vraiment vous me faites rire !
Bonne journée.
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« Votre capacité à ne pas lire est impressionnante. Je me répète donc »
Décidément, votre capacité à ne pas respecter ceux qui n’abondent dans votre sens (et qui vous ont lu attentivement , ne vous en déplaise) est impressionnante et vous range dans la catégorie des « extrémistes ». Et ce n’est nullement un jugement de valeur puisque je respecte vos idées – auxquelles j’adhère parfois (par ex l’allocation universelle) – mais un fait.
« 1/ Il n’y a aucune exploitation dans le salariat puisque la salarié est payé à sa valeur, c’est à dire le prix du marché. S’il n’est pas content il peut toujours aller voir ailleurs, être travailleur indépendant ou entrepreneur. D’ailleurs dans une entreprise il n’est pas chez lui. toute référence à la « plus-value » ou à « l’exploitation capitaliste » est logiquement fausse puisqu’il n’y a aucun lien entre la valeur marchande des biens produits et la quantité de travail produite par les salariés. »
Je n’ai pas le temps d’expliciter ma pensée sur le sujet (lequel est très complexe) de façon circonstanciée. Je dirai juste que vous oubliez un paramètre : un salarié n’est pas une marchandise et ne peut donc avoir une « valeur marchande » comme n’importe quel produit. Voilà en effet une différence fondamentale entre votre vision libérale de l’économie (non humaniste puisqu’elle considère l’humain comme une marchandise) et la mienne (non pas marxiste mais socialo-écolo-libertaire).
Quant à votre remarque « s’il n’est pas content il peut toujours aller voir ailleurs, être travailleur indépendant ou entrepreneur », (poncif par excellence), il dénote une méconnaissance totale des réalités socio-économiques du pays. Vous êtes encore une fois dans le yakafokon. Aller se faire voir ailleurs avec au moins 10 % de chômage : ben voyons ! Les trente glorieuses se sont achevées il y a plus de 35 ans cher ami ! Travailleur indépendant ou entrepreneur ? Oui bien sûr, yapuka et c’est le Pérou ! Juste un détail : le risque de recevoir un revenu inférieur encore.
« 2/ Une allocation universelle, pourquoi pas, c’est dans le programme des libéraux depuis 50 ans. »
On le trouve aussi dans les professions de foi de certains courants socialistes et ce depuis... Thomas More, qui est considéré par d’aucuns comme l’un des ancêtres de ce concept http://fr.wikipedia.org/wiki/Allocation_universelle#Origines
« 3/ Montez des scops si vous voulez, des fois ça marche, »
Elle fonctionne tout autant (voire plus) que les entreprises classiques
« mais vous devez laisser les gens libres de créer des boites traditionnelles s’ils en ont envie »
Absolument, comme le firent les anar de la CNT lors de la guerre d’Espagne.
« (et d’ailleurs pour tout projet innovant c’est indispensable). »
Cela c’est vous qui le dites.
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« 4/ Le capitalisme peut très bien se passer du salariat ».
Sur le court terme oui, mais pas sur le long terme. Le capitalisme repose sur un certain nombre de piliers sans lesquels on ne saurait plus parler de capitalisme (« let’s call a spade a spade »)
« 5/ Une hausse du pouvoir d’achat peut créer des emplois oui, mai pas en France »
Cela, c’est vous qui le dites.
« 6/ La société ne vous doit a priori rien. »
Je ne vois pas trop où vous voulez en venir.
« 7/ Les impôts réels ont rarement -jamais ?- été aussi élevés que maintenant, et historiquement les baisses d’impôts en tant de crise ont toujours permis de relancer l’activité et l’emploi, tandis que les hausses d’impôts font baisser les recettes publiques (cf ISF !) »
Des preuves ? Des sources autres que celles issus de vos officines ultra-libérales ?
« 8/ "lorsqu’une entreprise a les moyens de verser des primes de plus de 10 millions d’euros, elle pourrait aussi financer des centaines de d’emplois en carrières complètes à la place. " >> Une entreprise est une propriété privée, à ce titre elle fait ce qu’elle veut de son argent et ça ne vous regarde pas. Les gens qui l’ont créé ou acheté l’ont peut-être fait spécifiquement pour faire fortune et se verser des primes de 10 millions d’euros, si vous êtes jaloux c’est pas ma faute. Vous n’avez rien compris à la valeur, apprenez l’économie avant de raconter n’importe quoi, bien sur que quelqu’un peut créer 1000 fois plus de valeur qu’un autre, ça arrive tous les jours. Vous êtes vraiment un jaloux aigris incapable de voir qu’il n’y a aucune injustice dans les inégalités quand les pauvres voient leur pouvoir d’achat augmenter. »
Nous avons très bien compris ce que vous appelez la « valeur », laquelle génére des abus fondés sur l’égoïsme et la cupidité au détriment des humains (10 millions de prime pour une poignée d’individus au lieu de les investir au profit d’une multitude d’individus) et ce au nom de la propriété privée.
Votre système est générateur d’égoïsme et de cupidité (lesquels ne servent nullement la société contrairement au poncif libéral éculé qui affirme l’inverse) et ne peut donc fonctionner sur le long terme de par les profondes inégalités qu’il engendre.
« 9/ Le reste est à l’avenant, des poncifs sans sources (évidemment puisqu’ils sont faux), des phrases toutes faites issus de programmes gauchistes déconnectés de la réalité et écrit dans le seul but de voler l’argent des autres et d’asservir l’humain à l’Etat. Vous êtes typiquement le mouton endoctriné qui vote pour un dictateur en voulant réellement le pouvoir. Vous savez ce qu’on dit sur la liberté et la sécurité. Vous n’aurez ni l’un ni l’autre ».
Là c’est l’hôpital qui se moque de la charité. D’une part, toutes vos sources ne sont nullement parole d’évangile (à ce propos je vous trouve carrément puérile
Et d’autre part, pour les avoir lu, tous vos textes mis en lien se retrouvent partiellement dans vos commentaires (parfois au mot près). Ce qui dénote en tout cas votre incapacité à raisonner par vous-mêmes, puisque vous vous répandez en psittacisme idéologique. Cela porte un nom : le dogmatisme synonyme d’extrémisme.
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« si vous êtes jaloux c’est pas ma faute ».
Ce n’est pas de la jalousie (nous les méchants fachos de la gauchiasse n’avons nullement besoin de vos 10 millions pour vivre) mais de la colère face à une telle injustice -
- SMIC 1700 € - relance activité (30 Milliards injectés économie) +180 000 emplois
- limitation salaire 1/20 (30 Milliards injectés économie) +180 000 emplois
bizarre le même chiffre .....
relancer c’est injecter
limiter c’est injecter
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rien de bizarre, ceux qui sont payés avec des salaires énormes ne consomment pas et placent leur argent dans des flux financiers non productifs
en limitant les salaires de 1 à 20, cela réoriente les plus values de l’entreprise soit vers l’investissement, soit vers les plus bas salaires, donc vers la production ou la consommation -
le rêve !!!!!
et la concurrence internationale ?
on en crève déjà .....elle va nous achever ......................... -
Effectivement la concurrence...
Augmenter les salaires ne suffit pas, il faut aussi protéger l’activité.
(Dans les années 60 les montres coûtaient bien plus cher que la pile. Pour trouver du pas cher il fallait faire ses courses en Andorre... Pourtant tout le monde avait une montre !)
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L’auteure de l’article a mal compris L’humain d’abord, le programme du Front de gauche. Ce n’est pas une critique. Juste un constat.
Le Front de gauche propose de changer radicalement le système, notamment dans le cadre de la planification écologique.
C’est un changement de paradigme. Donc, c’est normal si vous ne trouverez pas de mesurettes-recettes miraculeuses censées réduire le chômage des 18-25 ans, des séniors, des 35-45 ans chauve et mal-voyants... comme dans les autres partis.
Le Front de gauche ne veut pas gérer la système capitaliste ! Il veut changer de système.
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La plupart des candidats dans cette élection présidentielle ont le complexe « Monsieur plus » (pour ceux qui se souviennent de la publicité Bahlsen)... L’excellente illustration en première page du Canard enchainé de mercredi sur le permis de conduite illustre bien cette tendance.
Hélas, on assiste à cette surenchère à gauche, de mesures infinançables ou simplistes, non seulement sur des sujets secondaires, mais aussi sur les sujets clés comme celui de l’emploi : ainsi, on entend Mme Joly parler d’un million d’emplois créés par l’écologie, ou Mr Mélanchon et ses nouvelles mesures de redistribution ou de temps de travail.Hélas, trois fois hélas... La compétitivité, la création de valeur sont des sujets absents chez Mélanchon, alors que ce sont les clés de l’emploi. On imagine aisément quel serait l’impact de l’application des 35h dans les PME... vague de licenciements et/ou faillites massives. Mr Mélanchon oublie une règle de base : pour qu’ne personne soit embauchée, il faut qu’elle rapporte plus à l’entreprise qu’elle ne lui coûte... si cela se traduit par une hausse importante des prix des produits, l’entrerprise perd son marché, elle coule...
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@Voltaire
On imagine aisément quel serait l’impact de l’application des 35h dans les PME... vague de licenciements et/ou faillites massives.
Vous vivez dans quel siècle Voltaire ? on croirait lire du Seillière, mais il est surement trop contemporain pour vous.
Les 35H dans les PME ? Mais c’est déjà appliqué.
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@mbdx
Mais dans quel monde vivez-vous ? Les aménagements de la loi sur les 35h pour les PME font qu’en réalité les salariés sont quasiment tous restés aux 39h, avec 4h comptées en heures supplémentaires payées +10%, mais avec les aménagements, de fait, les employés sous ce régime sont passés aux 35 heures payées 35 (donc baisse du salaire de base), mais avec 4 heures supplémentaires par semaine (ce qui est conforme à leur contrat de travail initial), soit 39 heures payées 39. -
@Voltaire
Vous me dites que les entreprises paient les heures supplémentaires donc il y a compensation. Alors on peut toujours discuter sur le montant de la compensation est il suffisant ?etc.
Par ailleurs, vous oubliez les entreprises réellement à 35h, les RTT,
Mais bon, je pinaille là. -
kemilein 12 avril 2012 16:25« »Le sujet du chômage, de la création d’emploi, devrait être le thème essentiel de la campagne.« »
« populiste » va.
on s’en branle de l’emplois du marché du travail et du chômage, la 3ième Guerre Mondiale a commencée, les morts s’entassent un peu partout, mais ce coup si c’est pas chez vous que ça se passe. une guerre économique, d’usure et d’esclavage.
vous soulez aussi avec votre putain de « travail » quelle est donc cette lubie de vouloir condamner tout le monde aux travaux forcés ? ne peut on pas vouloir plutot d’une société d’oisif et de glandeur ? ce qu’on peut se permettre avec l’industrialisation automatisée ?
j’en ai marre de voir de nombreux crétins proposer une prostitution généralisée obligatoire.
quand est-ce que vous vous « achèterez » un cerveau ? ha malheureusement ça ne se vend pas...
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@ l’auteur, enfermé dans le paradigme de l’austérité vous n’avez rien compris au programme du front de gauche
vous jugez le programme coûteux et avez peur pour la dette alors qu’en réalité le programme ne coûtera rien à l’état, qu’au contraire il lui rapportera de l’argent ce qui permettra de réduire les déficits
vous n’avez pas compris que le programme est une vaste redistribution des richesses, si les sommes déplacées sont importantes, le coût lui est nul
ainsi pour nous, cela ne coûtera rien, on gagnera même en pouvoir d’achat
ceux à qui cela va coûter c’est surtout aux riches et à la finance-
En fait, la plupart des fous furieux qui votent à l’extrême gauche croient sincèrement que si demain mélanchon est élu les entreprises resteront sagement se faire plumer sans rien.
Si un type pareil était élu, la France serait immédiatement exclue de l’Europe et de la zone euro, tous les capitaux, individus et entreprises qui ont les moyens de fuir s’en iraient à l’étranger dans des pays où leur propriété sera convenablement protéger, ne laissant à la France qu’une minuscule fraction de ses recettes fiscales, et aucun dynamisme entrepreneurial pour en créer de nouvelle. La ruine en quelques mois, et derrière une rigueur draconienne comme en Grèce.-
Mais leur propriété est en France et je les vois mal partir avec sur le dos. Qu’ils s’en aillent donc, il y a suffisamment d’ingénieurs en France susceptibles de les remplacer à moindre coût.
La ruine arrive, si on reste dans ce système, comme en Grèce et le coup d’envoi des hostilités est pour lundi 16 avril et ce n’est pas un hasard du calendrier. -
et la baraque a 10 mega €, ils vont la vendre a qui ?
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à Foufouille,
La baraque se vendra à quelqu’un du coin au prix raisonnable
qu’elle n’aurait jamais dû quitter -
Les 35 heures avaient déjà pour but de CREER de emplois et depuis les 35 heures décrétés sans concertation, c’est des millions de chômeurs en plus !
Faut pas rêver !-
Wow, on t’a bien bourré le crâne toi. Les 35h c’est 350000 emplois supplémentaires ... Et elles n’ont pas été appliquées entièrement ...
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Nous sommes mal barrés avec Merluchon et ses affidés.
Des pseudo-intellectuels qui n’ont jamais empiqué un clou.
Comme dit mon camarade travailleur « Ca vaut pas un coup de scie ».
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Marianne vous connaissez l’ampleur de la dette ?
vous connaissez l’effort annuel qu’il faut faire pour la rembourser et payer les intérêts ? (350 milliards d’€)
L’austérité ne pourra jamais faire rembourser la dette (le budget de fonctionnement de l’état c’est 250 milliards d’€ pour 200 milliards de recettes)
elle est juste faite pour rassurer les marchés qi ainsi n’appliquerons qu’un taux réduit d’intérêts, mais la cavalerie continuera avec Sarko, Hollande ou Bayrou
Il faut mettre fin à cette façon de faire fonctionner les états
seul le Fdg à une proposition concrète, les autres ne font que faire semblant de s’adapter à une situation, de toutes façon intenables-
Je connais par coeur les chiffres de la dette .. Il faut distinguer les intérêts (50 milliards au taux actuel) et le capital à rembourser (plus de 1700 miliards), avec notamment la nécessité de renouveler la part venant à échéance dans l’année (100 milliards au moins) plus le nouveau déficit primaire généré tant qu’on n’est pas à l’équilibre (encore 100 milliards).
Il est vrai que même si on rétablit l’équilibre, il reste le remboursement de la dette ...
La proposition de Mélenchon paraît « facile » quand il dit « il suffit à la banque centrale de prêter à taux zéro » mais c’est inapplicable :
1- notre banque centrale, c’est la BCE et les autre’s pays auropéens ne voudront jamais faire cela, car c’est générateur de grosse inflation et cela serait subi par tous les partenaires à cause des quelques pays endettés
2- du coup si Mélenchon est cohérent, il devrait proposer de sortir de l’euro, mais alors la dette se renchérirait de 20 à 30%, et si la BC prêtait à 0% à l’Etat sur de tels montants, ou même en le fractionnant, l’inflation grimperait vite à 50% et cela ruinerait le pouvoir d’achat de tous, notamment des classes populaires, les salaires étant toujours en retard sur les prix. L’économie serait en ruine, les entreprises fuieraient, ...
Ces solutions-là sont des illusions, des mensonges !
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