Royal, Delanoë et la gauche « moderne » : libérale ou centriste ?
Ségolène Royal passe à l’offensive ! "J’ai envie de pouvoir agir, avec beaucoup d’autres, pour produire et distribuer autrement les richesses, pour garantir à chacun un avenir meilleur, pour lutter contre les excès insupportables du capitalisme et tout ceci n’a rien de libéral. Ma conviction, c’est qu’au XXIe siècle, être libéral et socialiste, c’est totalement incompatible". Elle réagissait ainsi à la prise de position du maire de Paris, Bertrand Delanoë, son adversaire pour conquérir le premier secrétariat du Parti socialiste, exprimée dans son ouvrage De l’audace (Robert Laffont) : "M. Sarkozy se veut souverain omnipotent : le libéralisme, c’est le contraire, c’est la tolérance devant les démarches individuelles. Je suis libéral. La droite ne l’est pas. La gauche doit se réapproprier avec fierté le mot et la chose. (...) Si les socialistes du XXIe siècle acceptent enfin pleinement le libéralisme, s’ils ne tiennent plus les termes de ’concurrence’ ou de ’compétition’ pour des gros mots, c’est tout l’humanisme libéral qui entrera de plein droit dans leur corpus idéologique. Il faut choisir : la synthèse est morte. Voici venu le temps des différences assumées." Bon. On connaissait DSK le grand privatisateur (sous le gouvernement Jospin, il a davantage encore privatisé que la droite n’avait osé le faire sous Balladur !), on connaissait aussi Manuel Valls aux dents longues (lire Manuel valse avec la droite), voici que Delanoë se positionne clairement à son tour dans ce camp des "socialistes" entre guillemets.
Et face à lui, on trouve donc Ségolène Royal, repositionnée en rempart "contre les excès insupportables du capitalisme". Rappelons que c’est la même qui a déclaré : "Le Smic à 1 500 euros brut dans cinq ans ou la généralisation des 35 heures sont deux idées qui étaient dans le projet des socialistes, que j’ai dû reprendre dans le pacte présidentiel, et qui n’ont pas été du tout crédibles". Ou encore qui a tenté de convaincre François Bayrou, entre les deux tours de la présidentielle, d’accepter d’être son Premier ministre si elle venait à être élue. Et qui persistait à l’occasion des dernières municipales à préconiser une alliance généralisée avec le MoDem. Voilà donc l’auto-proclamée néo-héroïne de la vraie gauche du PS - face aux "socialistes" libéraux de la tendance Delanoë : la femme qui trouve que 1 500 euros pour le Smic, non pas net, mais brut, non pas tout de suite, mais sur cinq ans, c’est encore beaucoup trop. Et qui veut gouverner en compagnie des centristes bayrouistes. Inacceptable ! Pas question ici de sectarisme : s’il s’avérait que des centristes pouvaient adopter des positions authentiquement progressistes, ce qui passe forcément par une remise en question globale du système capitaliste mondialisé néolibéral, ça se saurait. Bayrou n’est pas Sarkozy, mais il n’est pas de gauche, loin de là. La famille politique dont il entend aujourd’hui se libérer avec pertes et fracas, prétendant présenter une troisième voie entre gauche et droite, est la sienne depuis ses débuts dans la carrière. Forcément qu’il serait un peu plus social que Sarkozy - comment l’être moins ? - mais sa vision de la société et ses choix idéologiques resteront toujours ceux de la droite modérée. L’alliance avec les centristes implique donc de facto l’abandon d’une politique de gauche.
Si l’on résume alors le choix entre les personnes de Delanoë et Royal, offert aux militants socialistes, du leader qui impulsera la rénovation du parti, ils arbitreront entre "socialisme" libéral ou "socialisme" centriste ! Il est vrai que cette alternative est dictée par la pensée unique qui veut qu’une gauche "moderne" soit... de droite. Mélenchon, Filoche, Hamon... partants pour porter cette bannière ? En tout cas sans nous.
114 réactions à cet article
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@ l’auteur :
bonjour, il est de bon aloi que cete article soit en tribune libre, en effet, il est trop partisan pour réellement apporter quoi que ce soit comme information objective...
dommage, trop succint, il aurait été intéressant de votre part de développer les pour et contre de l’un et l’autre, de l’un contre l’autre...
cordialement
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Encore faudrait-il qu’il y ait de vraies différences entre eux !
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Peut être n’est-il pas mauvais de dire que "capitalisme" et "libre entreprise" , non seulement ce n’est pas la même chose, mais c’est même antagoniste ! Quant à "libéral", à gauche aux USA, à droite en France, comme la bohême, ça ne veut plus rien dire du tout...
Pierre JC Allard
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liberterian /// aussi
die Liberale....en Allemagne en Suisse en Autriche des néo-anarcho-capitalistes bien centristes... les Haider les Bloch ...
le Mal est bien plus intense que vous n’osez le croire.
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Au moins eux ils ne font pas vomir comme certain !!
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Enfin,il semble que des militants de gauche décident de laisser tomber le TSS stérile,car cela n’apporte aucunes idées pour construire un nouveau projet de société pour la gauche.
Nicolas Sarkozy est élu jusqu’en 2012.
Par contre,est-il normal que savoir que notre avenir est condamné jusqu’en 2012 à nous "imposer" le choix entre SEGOLENE ROYAL DE LA COMPASSION SOCIALE et Mr DELANOE le super liberal spéculateur immobilier et créateur de Paris -Plage.
Mr DELANOE voudra s’en doute généraliser à la France entière "Paris Plage" ,cette grande avancée sociale !
Je pense que le rôle de la gauche est ailleurs,car ces 2 personnes se sont imposées non par leurs idées mais par le marketing et leurs réseaux dans des médias courtisans.
Rappelons qu’un grand nombre de "journalistes" disposent de logements sociaux à Paris,c’est un secrêt de polichinelle sans parler des PV qu’ils ne doivent pas payer grace à la généroristé de Mr Le Maire.
Le choix se trouve ailleurs
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"Rappelons qu’un grand nombre de "journalistes" disposent de logements sociaux à Paris,c’est un secrêt de polichinelle sans parler des PV qu’ils ne doivent pas payer grace à la généroristé de Mr Le Maire."
Etayez... Sinon c’est de la pure insulte.
Quoique cela a un avantage : cela permet de vous qualifiez de crétin, l’énormité de vos propos faisant passer les insultes pour des épithètes appropriés !
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Il faut donner ces sources si l’on veut paraitre crédible !!
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karg se 27 mai 2008 10:47T’inquiète pas je suis pas allez au bout, mais tu soule à balancer ça dès que tu vois Royal écrit quelque part.
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Je ne suis pas socialiste. (ça fait combien de fois que je vous le dis ?)
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Gauche / droite..... vous faites reference a ces termes mais sans vraiment expliquer... on est donc dans une sorte de manicheisme simpliste.
<<la pensée unique qui veut qu’une gauche "moderne" soit... de droite. Mélenchon, Filoche, Hamon... partants pour porter cette bannière ? En tout cas sans nous.>>
il n’y a pas que l’aspect economique qui compte ! on peuit tres bien avoir des valuers de gauche tout en ne rejettant pas ce que vous decrivez comme le <système capitaliste mondialisé néolibéral>... cette accumulation de termes est d’ailleur assez cocasse.
un exemple sur le marche du petrole.
il y a une situation de quasi monopole ou oligopole avec exploitation de rentes.
et bien on peut tres bien dennoncer cela et appekler a une taxation des profits de monopoles pour une utilisation vers la recherche de solutions technologique alternatives au petrole.
ce n’est pas rejetter ’l’economie liberale’, non, c’est reconnaitre les situations ou elle ne peut pas assuerer un partage equitable entre consommateurs et producteurs
est ce de gauche ou de droite selon vous ?
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@ Jimd : taxer les profits des pétroliers, pour vous répondre, c’est de gauche - il n’y a qu’à voir comme l’UMP s’y refuse. Taxer les golden parachutes et stock options aussi. Et les transactions boursières itou. Nos "socialistes" le feraient-ils ?
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etre de gauche est ce forcement etre contre le capitalisme mondialise neoliberal ?
... il y a gauche et extreme gauche. heureusement certains socialistes sont de gauche et ne font pas le jeu de sarkho en penchant vers cet ’l’extreme’ anti-capitalisme, anti-finance, anti, ah non pardon alter mondialiste, que je trouve totatlement demago meme si cela part d’un bon fond.
sarkho tue la gauche en faisant monter l’extreme gauche tout comme Mitterrand a tue la droite en faisant monte les fachistes conservateurs de Le Pen.
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"etre de gauche est ce forcement etre contre le capitalisme mondialise neoliberal ?"
Oui. Parce que c’est bien la loi du profit qui fonde toutes les exploitations et toutes les inégalités. Des firmes multinationales brassent plus que le budget des Etats et leur imposent leur lois. Des milliardaires aux revenus indécents coexistent avec les gens qui crèvent de faim, les pays riches avec les pays pauvres. C’est le système qui amène à ça. Il faut donc nécessairement être contre.
Après, comment le combattre est une autre épineuse question...
"... il y a gauche et extreme gauche" : quand la gauche devient le centre-gauche, on peut être vraiment de gauche sans être d’extrême gauche.
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<<Oui. Parce que c’est bien la loi du profit qui fonde toutes les exploitations et toutes les inégalités>>
Non. l’exploitation se fait tres bien dans un economie collectiviste....
trop de caricature tue.
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Dans une économie collectiviste dévoyée.
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Démagogie et clientélismeEn visitant le site de la région Poitou-Charentes dirigée par SEGOLENE ROYAL http://www.poitou-charentes.fr/fr/index.dml on découvre une information incroyable.Me la Présidente de Charente-Poitou SEGOLENE ROYAL subventionne avec de l’argent public l’agro-fioul !
C’est quoi l’agro-fioul ? et bien c’est tout simplement de l’agro-carburant !
Le bilan énergétique des agro-carburants (Le solde entre l’énergie nécessaire pour les produire et celle qu’ils fournissent) a fait l’objet de sérieuses contestations par les experts scientifiques ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Biocarburant ) ces derniers mois.
Ce bilan se révèle manifestement très faible, même presque nul. ( http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-3244,55-1038229@51-1034611,0.html )Plus récemment, l’envolée du prix des céréales a mis en lumière le danger de cette culture sur l’approvisionnement alimentaire.
http://www.moratoire-agro-carburants.com/
Aujourd’hui, des scientifiques,des experts expliquent que ces agro-carburants ont un impact très limité dans la lutte contre le réchauffement climatique
http://www.greenpeace.org/france/news/agrocarburants-la-dangereuse
Certes ! Mais le but des agro-carburants n’est pas simplement de réduire les gaz à effets de serre,leur rôle est d’abord d’envisager une substitution au pétrole qui va aller en se raréfiant et d’améliorer aussi le revenu des agriculteurs et si cela fait monter le prix des céréales ce ne sont pas les agriculteurs dont les revenus sont parfois à la baisse qui vont s’en plaindre ! et encore moins la Présidente de Charente-Poitou,dont l’électorat est ici présent !
Nous pouvons peut etre affirmer ici,que Me ROYAL fait du clientélisme inquiétant.Il ne faut pas négliger toutes les solutions pour diversifier les sources d’énergies et en particulier remplacer le pétrole mais il n’y a pas UNE solution au problème
de l’énergie mais toute une série de petites solutions qui viendront se compléter pour assurer l’avenir de nos villes,de nos régions,de notre pays.Dans ce domaine comme dans d’autres, c’est en étudiant le problème avec pragmastisme et sans idéologie qu’on avancera et surtout pas en faisant du clientélisme qui va à l’encontre de l’intérêt général du pays.
Le soucis avec les agro-carburants, c’est que s’ils polluent 4 fois moins que le pétrole, ils polluent quand même ! et le jour où il y aura 4 fois plus de véhicules, on sera revenu au point de départ.
http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=12576#tit6Destiné,à l’heure actuelle,à assurer le lobby agricole de revenus subtantiels au détriment de l’élevage,d’assurer les lobbys chimiques de pouvoir continuer à nous empoisonner tranquillement,de conforter les marchands et r de continuer à pomper le budget européen(au détriment des industries et des services )et tout ce qui tourne autour du monde agricole,tel semble être le chemin de SEGOLENE ROYAL.
Bref les bio carburants c’est surtout une solution pour remplir les comptes en banques des agriculteurs et surtout de gros industriels, au détriment de la
santé publique et du peu de nature qui nous reste dans nos pays dit évolués et surtout de permettre à des politiciens démagos de nous démontrer avec éclat
toute leur incompétence à comprendre l’intêret supérieur d’un paysBien sur vous pouvez faire comme le Maire de Paris,rouler en vélib, mais c’est un peu limité pour les grands déplacements !
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Enfin de la part de Sego c’est normal.
Elle ne pense pas elle n’a ni idée ni opinion et enfin la seule certitude qui l’habite c’est d’être au pouvoir.
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http://www.agoravox.fr/auteur.php3?id_auteur=5546
TRES BIEN LE MOU D"AIM
OCCUPE DE TES OUAILLES ;; ;; ;; ;; ;; ;; ;; ;;
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Cet article parait en tribune libre. Il aurait sans doute dû paraitre dans la rubrique parodies...
Soit l’auteur a désiré écrire un article au second degré, ironique et parodique, en visant les articles politiques habituels. Dans ce cas, bien que l’humour m’ait assez largement échappé, il y a peu à commenter.
Soit l’auteur a voulu écrire un article d’analyse politique, est le résultat est assez, comment dirais-je, consternant ?
On ne peut d’abord que recommander à l’auteur d’effectuer quelques recherches sur plusieurs éléments :
- Mme Royal, il y a quelques mois dans l’un de ses précédents livres, intitulé « Maintenant » chez Hachette Littératures, se disait « libérale », au sens politique du terme bien sûr. Comme l’indique JM Aphatie, "elle disait comme Bertrand Delanoë aujourd’hui. Donc, ils sont d’accord. Sauf qu’elle dit aujourd’hui que « socialisme et libéralisme » sont incompatibles. Donc, elle a changé d’avis". Pour résumer, tout cela n’est que posture, ni ce que dit Mme Royal ni ce que dit Mr Delanoë n’a la moindre signification politique. Tous deux sont engagés dans un combat pour la place de premier secrétaire du PS, aucun des deux n’a la moindre vision sociétale, ce sont tous deux des opportunistes politiques qui se doivent de dire ce que souhaitent entendre leurs militants et électeurs.
- Plus généralement, on ne peut que recommander à l’auteur de relire quelques textes fondamentaux d’économie politique. Je reprends de nouveau le commentaire de JM Aphatie :
"Sur le fond, quelle bêtise. Nous sommes tous libéraux, au sens politique du terme bien sûr. C’est à dire que nous pensons tous qu’une société contemporaine ne peut être que respectueuse des droits des individus et que les pouvoirs doivent être organisés selon un subtil équilibre. Et si vous voulez épater la galerie, les lecteurs et les électeurs, vous citez Montesquieu et Locke que vous n’avez pas lu, Agatha Christie et Paulo Coelho que vous avez lu. Bref, Tartuffe et tarte à la crème."
Je me permets de faire un peu de publicité pour l’’excellent site de Sylvain Reboul, notre collègue auteur sur Agoravox (accéssoirement membre du PS), qui décrit bien ce qu’est le libéralisme : http://sylvainreboul.free.fr/Liberalisme3.html . Bref, il est fort heureux qu’une partie non négligeable de notre classe politique soit libérale, même si ce terme donne toujours des boutons à certaines personnes mal informées.
- La vision de l’auteur sur François Bayrou est tout aussi carricaturale. On ne peut que lui suggérer de lire plus attentivement les projets politiques de celui-ci, de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal, ce qui lui permettra de noter les différences fondamentales qui existent entre la vision néo-conservatrice du président actuel, la vision "libérale" (sociale-démocrate) de François Bayrou, et celle plus floue de Mme Royal qui combine une vision libérale au niveau économique avec une morale conservatrice.
Reste que l’auteur semble avoir une vision archaïque du paysage politique français. Il serait intéressant de savoir ce qu’il appelle, d’un point de vue idéologique, la droite et la gauche, tellement les clivages anciens n’ont plus aucune signification.
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@ "Voltaire" (ça va les chevilles ?) : Il y a trois types de personnes qui disent que le clivage droite/gauche est archaïque : ceux qui n’ont aucune conscience politique, ceux qui sont de droite et les centristes. Souvent du reste ces catégories sont-elles à l’occasion enchevêtrées. Parce que quand on est de gauche, on sait pourquoi ça a un sens ! Commode de dire que la lutte des classes est morte quand on défend les intérêts de celle des priviliégiés contre le peuple. Pourtant, oh non, la lutte des classes n’est pas morte. Les inégalités n’ont jamais été aussi criantes, insupportables. Les socialistes de type Royal ou Delanoë (ou DSK) s’accomodent au fond très bien du système, qu’ils veulent juste un peu adoucir à la marge. Bayrou, sur le fond, pareil. Sur lui, vous ne me contredisez pas : je dis qu’il est de droite modérée, vous le placez au même endroit. Lui non plus ne remet rien en cause.
La gauche existe encore : elle s’incarne en ceux qui ne veulent ni du sarkozisme proche de l’extrême droite, ni du centre-droit de Bayrou, ni du centre-gauche du PS.
J’ai donné des exemples dans ce fil de discussion de ce qui peut encore séparer la gauche de la droite : taxer les stock options, les golden parachutes, les transactions boursières. Ne pas faire peser toujours sur les mêmes le poids des soi-disant "nécessaires sacrifices", dans une France qui n’a jamais produit autant de richesses mais où elles sont redistribuées de façon caricaturalement inégalitaire. Interdire qu’on laisse progresser la précarité en mettant en place les contre-réformes réclamées par le MEDEF. Ca, c’est la gauche. Qui n’existe plus ? Qu’elle ne dispose pas d’un leader aujourd’hui en mesure de représenter une alternative électorale crédible au PS ou à l’UMP est un autre débat : la gauche, la vraie, la gauche antilibérale (au sens économique), la gauche radicale dit-on aussi, continue bien d’exister. Ce qui l’indentifie est de prôner autre chose que les autres. Interdire les licenciments aux entreprises faisant des bénéfices par exemple. Comme quand existait une autorisation administrative pour procéder à un licenciement économique. Il fallait prouver que le licenciment était rendu obligatoire par la situation de l’entreprise. Aujourd’hui le patronat comrpime la variable d’ajustement de la masse salariale comme il veut. Donc il vire des gens pour donner plus d’argent à ses actionnaires. Voilà encore un discours de gauche. Que vous ne soyez pas d’accord est une chose, mais que vous niiez l’existence même de ces idées est un comble.
Continuer à affirmer que le clivage droite/gauche est dépassé, qui plus est en méprisant souverainement son interlocuteur d’un air très satisfait de soi - tu te prends pour qui pour m’expliquer que j’ai rien compris à la politique, Voltaire-qui-sait-tout ? - est tout simplement une négation de la réalité.
Vous n’avez pas du tout en outre compris mon article : le thème est la droitisation du PS. Nul ne conteste que libéralisme tout court et libéralisme économique soient deux choses différentes. Et ce ne sont pas les termes de ce débat qui sont importants mais ce qu’ils révèlent en creux : à travers la fausse opposition d’idées entre Delanoë et Royal, je constate simplement que le PS n’offre plus aujourd’hui de débouché à une ligne vraiment de gauche. Mais puisque pour vous, la gauche n’existe plus... Moi-même, en vous lisant, je finis par me demander si j’existe. Allez savoir, après tout.
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La lutte des classes c’ est chez Miko , Gervais et la Laitière , avanie et framboise ....
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Si vous voulez avoir l’ air intelligent en société dites : prolétaire , glissez : luttes des classes , chointez lupenprolétariat avec l’ accent Allemand , roucoulez : salauds d’ Ricains , révoloutionnez : allez Fidel allez Raoul , farquez : Caramba mon columbo , des trucs du genre , direct vous avez des amis pareils que vous , des carambeurs de révoloutionne....
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pour l’ équidé je sais comment opérer , un cheval de retour ça l’ fait ...
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Question : à quoi servent vos trois commentaires successifs ci-dessus ?
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question à 10 centimes , ça sert à quoi un article de Olivier Bonnet ? Si encore il se Bonnifiait , ben non ...
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Excusez moi mais il n’y a pas de droitisation du PS !!!
vous semblez ne regarder que l’aspect economique ! c’est etre de droite que pensez que l’organisation de l’economie actuelle (de marche) peut fonctionrer ?!?! je ne suis absolument pas d’accord. etre de gauche peut etre accepter cette economie de marche tout en acceptant ses faillites et faiblesses, tout en sachant qu’une intervention est necessaire sur certains aspects et tout en acceptant les distorsion et couts causes par cette intervention.
encore une fois (voir un post precedent) vous faites exactement ce que sarko attend.
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L’économie et le social sont imbriqués ! C’est en autorisant toujours plus de flexibilité, des salaires bas, moins de protections pour les salariés, c’est quand on privatise les activités profitables en même temps qu’on fait des économies sur les autres, sacrifiant ainsi le service public, c’est avec tout ça que l’on parvient à l’oppression sociale du peuple au profit d’une élite. Voyez la réalité du pays. Combien gagne la majorité des gens ? Combien de foyers qui ne s’en sortent plus, combien de précaires, de chômeurs, de RMIstes, de temps partiels subis (11% des Français sous le seuil de pauvreté, comme aux Etats-Unis !) ? Comment ne pas vouir changer RADICALEMENT les choses ?
Vos socialistes soi-disant de gauche proposent-ils une politique vraiment différente de l’UMP, à part la simple correction des excès pathologiques de Sarkozy ?
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@l’auteur
Tout d’abord, ma critique est à l’égard de votre article, que je considère comme faible et flou, et non de votre personne, puisque je n’ai pas l’honneur de vous connaitre. Je vous serais donc bien reconnaissant d’éviter les attaques personnelles déplacées : quand on se place sur ce terrain, c’est que son argumentation manque de consistance.
Votre commentaire éclaire néanmoins un peu mieux le lecteur.
A vous lire, on comprend que pour vous, gauche est synonyme d’antilibéral, ou plutôt devrait-on dire d’anticapitaliste. C’est à dire opposée à l’économie de marché. On retrouve deux idéologies dans cette "gauche" : l’autogestion et le dirigisme étatique ("socialisme à la française" dans sa version soft, et communisme). Convenez néanmoins que dans ce cas, le clivage gauche-droite ne passe plus du tout entre PS et démocrates, mais au sein du PS, de façon d’ailleure très déséquilibrée (disons au niveau du quart extrême du PS). Il est donc parfaitement raisonnable d’indiquer que le clivage droite-gauche, tel qu’admis il y a 30 ans, a disparu. Votre erreur est de considérer que tout ce qui n’est pas antilibéral est de droite. Or, il y a autant de différences entre antilibéraux (votre "gauche") et "libéraux" (ou démocrates, ou sociaux-démocrates") qu’il y en a entre "libéraux" et "néoconservateurs". On observe au minimum deux clivages profond dans la société, et non un seul, ce qui explique la disparition de l’ancien clivage gauche-droite.
Dire qu’ily a "droitisation" du PS me semble donc erroné : ce parti est effectivement partagé en différentes idéologies, qui sont plus importantes que celles qui séparent une parti du PS et "démocrates" , mais il ne s’agit pas d’une droitisation telle que vous l’entendez. Il s’agit d’une recomposition logique, qui répond à la transformation de notre société. De la même façon, le clivage qui existe entre le MoDem et une minorité de l’UMP d’un côté, et le reste de l’UMP "sarkozyste" de l’autre est au moins aussi important que celui qui séparait les anciennes "gauche" et "droite" des années 80.
Pour conclure, si vous avez raison en indiquant que ni Mme Royal ni Mr Delanoë n’ont de projet de société alternatifs par rapport à ce que vous appelez le "système capitaliste mondialisé néolibéral", ce n’est pas le cas de Mr Bayrou ou de certaines personnalités du PS. Car le projet "démocrate", même si vous ne l’approuvez pas, marque aussi une rupture profonde par rapport au modèle capitraliste mondialisé issu des années 80-90.
Vous aviez raison, je n’avais pas compris votre article. A qui la faute ? au lecteur ou à celui qui l’a écrit ? ce n’est pas parce que je considère que votre article est loupé et que votre analyse est fausse que je vous considère comme un imbécile. Inutile donc de porter le débat sur ce terrain en agressant votre contradicteur.
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On ne peut pas parler d’attaque personnelle quand on signe Voltaire ! Est-ce que j’attaque Voltaire ? Non, juste le prétentieux qui ose prendre ce pseudo. Et reste bien planqué dans son anonymat.
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Je suis retombé sur ce fil de discussion à l’occasion d’un spam !
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Cette dialectique c’est de l’esbrouffe ... tout comme Sarko qui tapent sur les "assistés" leurs reprochant de ruiner la France pour que personne ne voient qui s’enrichit réellement ....
A mon avis l’idée c’est d’emêcher de véritables débats sur les questions de sociétés.
Ce débat a au moins un objectif évident, celui de transformer le PS en parti démocrate (style USA) et un objectif inavoué celui de débarasser le PS du socialisme ...
Que Delanoé soit libéral, cela n’étonnera aucun parisien ...
Que Sego soit une opportuniste qui a les crocs qui raclent le plancher afin d’atteindre la fonction suprême de l’état ne surprendra personne ....
Il serait sage que le PS se débarasse de l’un comme de l’autre ... ou qu’ils partent mais dans ce cas ou feraient ’ils cariière ?
Une option digne serait que Sego et Delanoé rejoignent Bayrou.
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J’oubliai le plus drôle ... c’est que la Sego est à présent un rempart contre le libéralisme et le capitalisme.
Quand je dis une opportuniste (sans cervelle) aux dents trop longues ....
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@Auteur,
Article trop partisant et trop succinct (Comme le dit Yannick J.) voire simpliste.
On comprend qu’un PS cuisiné à la sauce libérale vous correspond assez peu, cela étant, quelles sont les voies alternatives ? Quels sont les candidat(e)s repondant à vos attentes ? Quelles sont les propositions que vous attendez ? Une plateforme commune de la gauche (genre 81) est elle encore viable ?
Bref, vous évoquez une politique de gauche mais quelle politique de gauche ? Vu que Mitterrand lui même n’a jamais fait une politique de gauche (sauf sous le gouvernement Mauroy) ?
G.
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"On comprend qu’un PS cuisiné à la sauce libérale vous correspond assez peu, cela étant, quelles sont les voies alternatives ? Quels sont les candidat(e)s repondant à vos attentes ? Quelles sont les propositions que vous attendez ? Une plateforme commune de la gauche (genre 81) est elle encore viable ? Bref, vous évoquez une politique de gauche mais quelle politique de gauche ? Vu que Mitterrand lui même n’a jamais fait une politique de gauche (sauf sous le gouvernement Mauroy".
Ce n’est pas mon sujet. Je me borne à constater que le PS se droitise. Définir ce que je souhaiterais d’une alternative vraiment de gauche (je cite des exemples dans une longue réponse à "Voltaire"), qui l’incarnerait, quelle plate-formee... Ce serait une thèse, un manifeste. Ce n’est pas ce que j’ai voulu faire. Simplement établir le constat que le PS tourne de plus en plus le dos aux idées de gauche, les vraies. "Le partage des richesses", vous répond Cug. Bien résumé. Comment mieux partager les richesses sans remettre en question la loi du profit qui gouverne le système ? Royal, Delanoë, DSK et les autres ne remettent rien en question. Ils veulent adoucir un peu à la marge, c’est tout. Et c’est iinsuffisant. Et ce n’est pas assez de gauche. Comprenez-vous mieux ce que je veux dire par "de gauche", à présent ?
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Une question que je me pose c’est, que font les socialistes au niveau européen ?
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"Royal, Delanoë, DSK et les autres ne remettent rien en question"
1/ à la liste vous pouvez ajouter Valls, Fabius, Lang... blablabla (communément appelé gauche caviar)
2/ "ne remettent rien en question" ; si, ils ont remis en question le fond idéologique du socialisme. Les socialistes font aujourd’hui leur Bad Godesberg, reforme idéologique que les allemands ont entériné en 59. Il aura fallu 40 ans au PS pour virer sa cuti et accepter ouvertement l’économie de marché (il serait temps... Non ?) D’ailleurs, Mitterrand a t il fait du socialisme ou une politique de droite ? Aujourd’hui, quels sont les pays ayant encore une utopie communiste / socialiste ? La Chine ? Cuba ? Corée du Nord ? Foutaise et vaste blague ... c’est plutot le règne du Tout-Pour-Ma-Gueu.... biiiiiiiiiiiip ....
3/ "Partage des richesses" probablement un thème porteur en 1917 à l’époque du communisme romantique, au dela de la blague, c’est tellement simpliste qu’on peut se demander si vous y croyez vous même ?! Non, le p’tit postier d’Neuilly, lui il doit y croire quoique plus probablement dans une vue électoraliste histoire de ramasser quelques voix supplémentaires au PC moribond et sur l’aile gauche du PS.
Bref, le socialisme dans sa version dogmatique collectiviste est une idéologie qui a échoué.
G.
PS. Cela dit, dans le genre dogmatique (et cette fois pour les ultra libéraux), croire benoitement que la main invisible des marchés peut réguler l’économie d’une nation relève également du crétinisme.
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" Il aura fallu 40 ans au PS pour virer sa cuti et accepter ouvertement l’économie de marché (il serait temps... Non ?)" : ah parce que vous trouvez que ce système est si formidable ? Il est en train de détruire la planète, pour votre gouverne !
Et puis c’est toujours le même problème : êtes-vous de gauche ? Évidemment que non. Aussi votre vision de ce que devrait être la gauche est naturellement celle... de la droite. Mêlez-vous de l’UMP, du Nouveau centre et du FN mais ne dîtes pas aux gens de gauche ce qu’ils devraient faire : nous sommes vos adversaires (politiques) et il nous appartient de savoir comment vous combattre, sans avoir besoin de vos conseils.
Par définition, une gauche qui vous aggrée n’est plus la gauche : CQFD.
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<<par Olivier Bonnet (IP:xxx.x16.35.228) le 26 mai 2008 à 20H03
" Il aura fallu 40 ans au PS pour virer sa cuti et accepter ouvertement l’économie de marché (il serait temps... Non ?)" : ah parce que vous trouvez que ce système est si formidable ? Il est en train de détruire la planète, pour votre gouverne !Et puis c’est toujours le même problème : êtes-vous de gauche ? Évidemment que non. Aussi votre vision de ce que devrait être la gauche est naturellement celle... de la droite. Mêlez-vous de l’UMP, du Nouveau centre et du FN mais ne dîtes pas aux gens de gauche ce qu’ils devraient faire : nous sommes vos adversaires (politiques) et il nous appartient de savoir comment vous combattre, sans avoir besoin de vos conseils.
Par définition, une gauche qui vous aggrée n’est plus la gauche : CQFD.>>
Bonnet, que vous chercher à faire au travers de cette floppée d’injonctions et invectives ?? Au delà des insinuations du post, son contenu a ce petit gout passeiste de lutte des classes si chère aux communistes et autres extrèmes gauchistes voire une légère odeur fétide de pensée unique...
Bientot le vote à main levée Bonnet ??
A part çà, Bonnet votre pédigré mentionne que vous êtes diplomé en Droit et Sciences Politiques, jusqu’à présent il ne ressort de votre "analyse politique" que truismes et platitudes. Car, pondre un article pour nous révéler la conversion du PS à l’économie de marché n’est plus une nouvelle depuis 84 et le gouvernement Fabius.J’attends une auto-critique Bonnet !G. -
"ce petit gout passeiste de lutte des classes si chère aux communistes et autres extrèmes gauchistes voire une légère odeur fétide de pensée unique" : la pensée unique, au contraire, veut que gauche et droite ne signifient plus rien et qu’il n’y ait pas d’autre horizon possible que le capitalisme libéral mondialisé. Vous tentez de renverser les rôles mais ne trompez personne.
Quant à la lutte des classes, en quoi serait-elle passéiste ? N’êtes-vous pas au courant qu’une petite minorité de Français accaparent la plus grande partie des richesses et que les autres se débrouillent pour parvenir à joindre les deux bouts, quand ils ne sont pas dans des situations tragiques (11% de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté) ?
Dans ce contexte, expliquez-moi pourquoi la classe des pauvres ne serait pas fondée à lutter pour obtenir des possédants et gouvernants qu’ils redistribuent les richesses de la 5ème puissance mondiale ?
Allez-y d’abord, on verra pour mon autocritique ensuite.
Parce que c’est facile de dire "la lutte des classes, c’est nul, c’est passéiste". Mais tant qu’il y aura autant d’inégalités, elle sera plus que jamais d’actualité. J’attends vos arguments.
-
Mon cher Bonnet, il semble bien que c’est mort pour votre article "moinsé" à 60%... Les lecteurs ont probablement décidé de vous laisser moisir dans votre Jurassic Park idéologique.
Malgré le peu de sympathie que vous avez pour moi, je vous souhaite malgré tout une bonne soirée (restons polis que diable, c’est la journée des voisins) !
G.
-
Je note que, plutôt de me répondre sur le fond, vous vous contentez de sarcasmes. J’expose en quoi une caste de privilégiés confisque les richesses à l’immense majorité, ce qui valide la théorie que la classe des pauvres doit se battre pour améliorer son sort, et vous vous bornez en guise de réponse à qualifier ma position de "jurassic park idéologique", sans démontrer une seule seconde en quoi ce que je dis serait faux.
Vous préférez aussi en appeler à la note de l’article, qui n’est formée ici que de 29 votes. Allez regarder les notes de mes autres papiers et comparez le nombre des votes.
Je ne vous connais pas, donc n’ai aucune antipathie personnelle particulière à votre encontre. Ce sont vos propos et votre démarche qui m’apparaît criticable : vous décrétez, affirmez et méprisez la récusation de votre affirmation.
-
-
Mr Bonnet, je vois que vous m’avez répondu avec courtoisie, je vais donc tenter (rapidement) de vous présenter mon point de vue.
- Point de vue idéologique :La dialectique marxiste autour des thèmes : lutte des classes / dictature du prolétariat / collectivisme / disparition des classes a vue le jour dans un contexte social / économique du XIXème. En Europe, ce contexte fut particulier à plusieurs égards :. Demande grandissante de biens en tout genre et industrialisation. Peu de mécanisation des tâches mais une première rationalisation avec l’arrivée du taylorisme (et plus tard le fordisme). Main d’œuvre paysanne à profusion sortant de conditions déplorables et souhaitant accéder à d’autres conditions de vie. Et peut être (quoique moins sur), un vide idéologique avec le déclin du christianisme comme ciment socialBref, un terreau social, économique, idéologique propice a une prise de conscience de classe et l’arrivée d’un Zola et d’un Marx.En 2008, ce terreau social, économique, idéologique a tellement évolué qu’un Zola ou un Marx seraient aujourd’hui en déphasage total (en Occident). Car le fondement de leur réflexion et de leur idéologue, autrement dit, l’exploitation du mineur, ou de l’ouvrier travaillant dans les sidérurgies ou les usines a aujourd’hui disparu. De mon point de vue, le marxisme est l’exemple flagrant d’une théorisation sociale issue des convulsions d’une société en mutation. Pour faire un parallèle rapide (donc fatalement simpliste), la différence majeure avec un mai 1968 (mouvement contestataire par excellence et très médiatisé en ce moment) est son vide idéologique (pour le moins au début vu qu’il sera repris et instrumentalisé par la gauche). De mon point de vue, 68 est issu d’un éclatement des valeurs (liberté, sexualité), d’un éclatement du rapport à la famille, d’un éclatement du rapport homme / femme… en ce sens 68 peut être vu comme une convulsion œdipienne.- Point de vue bilan :Le bilan que l’on peut établir autour de la pensée marxiste et des expériences tentées en URSS, Europe de l’Est, Chine, Cuba, Corée du Nord, Cambodge, Vietnam, etc… se résume à un flop. Tous ces pays (sans exception) ont mis en place un régime autoritaire (avec culte de personnalité), une centralisation a outrance et un capitalisme d’état avec des dévires allant de prébendes et passe droits en tous genres voire en cruauté et sadisme qui ne renient rien au nazisme (voir Staline et ses goulags). A ce jugement sans nuance, je mets un bémol : les Kibboutz en Israël qui ont tenté une expérience collectiviste la plus sincère, la plus rigoureuse et la plus aboutie.En 2008, que reste t il ? La Chine, Cuba, Corée du Nord et quelques pays d’Asie de Sud Est (Vietnam entre autre) : pour Cuba et la Corée du Nord, 2 pays communistes tendance culte de la personnalité pour la Chine, Vietnam 2 pays communistes tendance capitalisme d’état dans sa forme la plus outrancière.D’ailleurs, mes 2 ou 3 posts font mention de ces éléments, mais ce sont des points sur lesquels vous n’avez pas répondu… peu importe.- Point de vue « politique de gauche » :En 81, la France a fait son choix à gauche et installé Mitterrand à l’Elysée pour un total de 10 ans (si on exclut les 4 ans de cohabitation). Résultat, hormis le gouvernement Mauroy (grosso modo de 81 à 84), Mitterrand a fait une politique de droite : privatisation (après les nationalisations de 81), rigueur avec Delor aux Finances, je crois même me souvenir d’une politique de reconduction à la frontière d’immigrés illégaux… etc Bref, dès 1984, le socialisme n’était déjà plus dans les clous idéologiques de son Saint Patron. Le plus étonnant, est le temps mis par ces mêmes socialistes pour accepter une idéologie sociale-démocrate … qu’y a t til de honteux dans le fait d’être social démocrate ?Pour vos propositions (celles énoncées dans le post de réponse à Voltaire), je ne vais en prendre qu’une : la taxation sur la spéculation financière et boursière. Une remarque, la taxation des flux financiers n’est ni une idée nouvelle ni une idée de gauche (et vous le savez). La taxe Tobin est BIEN SUR une taxe normale et de bon sens et sur ce point je vous rejoins ! Le partage de la richesse doit passer par une érosion, un applinissement des cotés extrèmes voire pervers du capitalisme, et la spéculation a outrance en est un. Du reste, je mettrai dans le même sac la dérégulation et la privatisation par morceaux d’entreprises nationales type EDF, SNCF, Telecom (mais çà c’est déjà fait) qui consitutent les éléments vitaux d’une nation (à savoir, l’énergie, les communications, les transports).Vous vouliez un point de vue…G. -
Merci de cette longue réponse.
Finalement, nous ne sommes pas si en désaccord que ça !
-
Sur le fond .... Non, mais l’idéologie .... Oui.
Bonne soirée et à bientôt,
G.
-
la gôche ça vient de nulle part pourtant cha rentre Poitou ...
-
Bulgroz 26 mai 2008 14:52Je ne fais que passer pour dire que le livre de Bonnet "Sarkozy, la grande manipulation Dénonciation d’une imposture" est enfin sorti.
Selon les remontées des libraires, on est parti pour au moins 480 exemplaires vendus dans les 6 prochains mois.
Mais, je vous demande de ne pas vous précipiter, des livres objectifs sur sarkozy, il y en a d’autres. Je vous suggère d’acheter plutôt l’un de ceux là : Liste non exhaustive. Le monde des jolis livres est passionnant.
L’Almanach Sarkozy par Fréderic Page (Juin 2008)
Sarkozy et les Femmes par Derrien/Nedelec ( à paraitre)
Sarkozy et ses Femmes par Decouty Eric ) (à paraitre Juin 2008)
Pour en finir avec Sarkozy par Pierre Larrouturou ( 22 mai 2008) A paraître
Sarkozy : l’Erreur Historique par Peyrelevade Jean ( 28 août 2008 )
A paraîtreSo Crazy Sarkozy Vu par la Presse Etrangère par Collectif ( 5 juin 2008
Carla Bruni, Itinéraire Sentimental : Qui est-elle Vraiment ? par Christine Richard et Edouard Boulon-Cluz ( 6 février 2008)
Une saison chez Mickey de Jean-François Kervéan (Mai 2008)
Nicolas Sarkozy, la République, les religions par Martin Peltier (Mai 2008)
La société des people : De Paris Hilton à Nicolas Sarkozy par Hugues Royer (15 mai 2008)
Sarkozy vu d’ailleurs par Pierre-Luc Séguillon ( 2 mai 2008)
Sarkozy, les SMS interdits par Stéphane Ribeiro ( 2 mai 2008)
Sa rkozy vu d’ailleurs par Pierre-Luc Séguillon ( 2 mai 2008)
Rien à branler, la suite de la face Karchée de Sarkozy, BD de Philippe Cohen de Marianne 2 ; Richard Malka et Riss (Mai 2008)
Méditerranée : Adresse au président de la République, Nicolas Sarkozy par Béatrice Patrie et Emmanuel Español ( 2 avril 2008)
ll faut qu’il parte par Lapaque Sebastien (Mai 2008)
Le Liquidateur par Pierre Moscovici (Avril 2008)
La Légende de Nicolas Sarkozy par Digard+Krassinsky (2 avril 2008)
Un an sous Sarkozy de Thierry Gandillot (16 avril 2008)
Comment Nicolas Sarkozy écrit l’histoire de France:Dictionnaire critique par Laurence De Cock ,Fanny Madeline,Nicolas Offenstadt,Sophie Wahnich (Avril 2008)
Sarkozy et l Argent Roi par Dely-R.+Hassog-ìd. ( 30 avril 2008)
Le président et moi de Philippe Ridet (Mars 2008)
Les mots de Nicolas Sarkozy par Louis-Jean Calvet et Jean Véronis ( 6 mars 2008)
Les mots de Nicolas Sarkozy par Louis-Jean Calvet et Jean Véronis (Mars 2008)
Le roi est nu de Laurent Joffrin (Mars 2008)
Le starkozysme de Olivier Duhamel et Michel Field (Mars 2008)
Ça Va Mal Finir par François Léotard ( 12 mars 2008)
Du candidat au Président : Discours et boniments de Nicolas Sarkozy par Michel Gaudin ( 5 mars 2008)
Sarkozy, l’homme qui ne savait pas faire semblant par Michel Richard (14 mars 2008)
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Laïcité : Réplique au discours de Nicolas Sarkozy, chanoine de Latran par Jean-Luc Mélenchon ( 3 mars 2008)
Dico Sarko par Charb (Album - 5 mars 2008)
La Republique, les Religions et... Sarkozy par Terras Christian (15 mars 2008)
Sarko and Co par Guy Bedos ( 21 février 2008)
Sarkorama par Pétillon ( 15 février 2008)
Sarkozy et Dieu par Marc Andrault (15 février 2008)
L’absolutisme efficace : Enquête sur la présidence de Nicolas Sarkozy de Nicolas Lecaussin (14 Février 2008)
Chronique du règne de Nicolas Ier de Patrick Rambaud (Février 2008)
L’Afrique répond à Sarkozy : Contre le discours de Dakar par Makhily Gassama, Mamoussé Diagne, Dialo Diop, et Koulsy Lamko (21 février 2008)
Mai 68 expliqué à Nicolas Sarkozy par André Glucksmann et Raphaël Glucksmann ( 14 février 2008)
Carla et Nicolas, Chronique d’une liaison dangereuse par Paul-Eric Blanrue et Chris Laffaille (Mars 2008)
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Ruptures par Michaël Darmon et Yves Derai ( 10 janvier 2008)
Cécilia : Portrait par Anna Bitton (10 janvier 2008
Cécilia : La face cachée de l’ex-Première dame par Denis Demonpion et Laurent Léger (11 janvier2008)
Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy pour la réforme de l’ordre des avocats et la chambre des notaires par May Dupé (Janv 2008)
Nicolas Sarkozy à Dakar par André-Julien Mbem (Dec 2007)
La face karchée de Sarkozy par Richard Malka, Riss, Philippe Cohen, et Isabelle Lebeau (Nov 2007)
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La dictature du Moi-Je, le livre d’Eric Decouty (Nov 2007)
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L e Petit Nicolas à l’Elysée par Gospé et Sempinny (18 octobre 2007)
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Élu ! par Guy Konopnicki ( 22 février 2007)
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La Saga Sarkozy par Christophe Barbier ( 20 février 2007)
Pouvoir Nommé Désir par Catherine Ney (17 janvier 2007)
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Un Pouvoir Nommé Désir par Catherine Ney (17 janvier 2007)
Nicolas Sarkozy : La fringale du pouvoir par William Emmanuel ( 10 janvier 2007)
Le petit démagogue : Nicolas Sarkozy et les neuf règles de base de la démagogie efficace par Jean-Luc Porquet et Cabu (Janv 2007)
Sarkozy Connection de Hedwige Chevrillon (Janv 2007)
Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy, ministre des libertés policières par Jean-Jacques Reboux (Oct 2006)
Sarkozy : Décrypté de A à Z par Laurent Pfaadt ( 30 mars 2006)
La tragédie du président par Franz-Olivier Giesbert (Mars 2006)
Sarkozy, l’avenir d’une illusion par Jean luc Gonneau et Pierre Defrance ( 2 mars 2006)
Cécilia Sarkozy, entre le coeur et la raison par Valérie Domain (Nov 2005)
Dictionnaire insolite : Sarkozy de A à Z par David Ponchelet (Nov 2005)
Sarkozy, mode d’emploi de Noël Mamère (Nov 2005)
Nicolas Sarkozy à Dakar : Débats et enjeux autour d’un discours par André Julien Mbem ( 4 décembre 2007)
Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus par Victor Noir, Denis Demonpion, Sonya Faure, et Antoine Glaser (13 octobre 2005)
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Misère du Sarkozysme : Cette droite qui n’aime pas la France par Paul Ariès (20 octobre 2005)
Chirac Sarkozy : Mortelle randonnée par Philippe Reinhard (Février 2005)
Sarko star par Michaël Darmon ( 22 octobre 2004)
Sarkozy, au fond des yeux par Nicolas Domenach (1 mars 2004)
Sarkozy : Itinéraire d’une ambition par Anita Hausser (10 septembre 2003)-
J’en ai finalement vendu 1000 : pas si mal pour un inconnu !
-
Libéral ou social ?
"La question que doit résoudre le PS, ce n’est pas de savoir s’il faut se présenter comme libéral ou pas. C’est de déterminer comment une société peut aller vers le progrès et l’équité, en évitant le collectivisme, la bureaucratie, en libérant les talents, en modifiant les règles du jeu économique, mettre plus de marché dans un domaine, sortir du marché d’autres champs, notamment l’alimentaire et le logement… Bref, répondre à la question, non pas d’être ou ne pas être libéral, social, mais où il faut l’être et ne pas l’être !"
C’était Bernard Dugué dans un article de ce jour. Tout y est dans cette conclusion.
Pour les égos, si les "anciens" étaient aussi sages que leur âge est avancé, ils se retirerait DE SUITE de toute compétition démocratique, se contentant d’apporter leur opinion, comme tout militant de base.
En clair, Delanoë, DSK, Lang, Melenchon, Fabius : place aux jeunes ! Et laissez faire le peuple de gauche.
-
Bulgroz 26 mai 2008 16:03Je ne fais que passer pour dire que le livre de Bonnet "Sarkozy, la grande manipulation Dénonciation d’une imposture" est enfin sorti.
Selon les remontées des libraires, on est parti pour au moins 480 exemplaires vendus dans les 6 prochains mois.
Mais, je vous demande de ne pas vous précipiter, des livres objectifs sur sarkozy, il y en a d’autres. Je vous suggère d’acheter plutôt l’un de ceux là : Liste non exhaustive. Le monde des jolis livres est passionnant.
L’Almanach Sarkozy par Fréderic Page (Juin 2008)
Sarkozy et les Femmes par Derrien/Nedelec ( à paraitre)
Sarkozy et ses Femmes par Decouty Eric ) (à paraitre Juin 2008)
Pour en finir avec Sarkozy par Pierre Larrouturou ( 22 mai 2008) A paraître
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Sa rkozy vu d’ailleurs par Pierre-Luc Séguillon ( 2 mai 2008)
Rien à branler, la suite de la face Karchée de Sarkozy, BD de Philippe Cohen de Marianne 2 ; Richard Malka et Riss (Mai 2008)
Méditerranée : Adresse au président de la République, Nicolas Sarkozy par Béatrice Patrie et Emmanuel Español ( 2 avril 2008)
ll faut qu’il parte par Lapaque Sebastien (Mai 2008)
Le Liquidateur par Pierre Moscovici (Avril 2008)
La Légende de Nicolas Sarkozy par Digard+Krassinsky (2 avril 2008)
Un an sous Sarkozy de Thierry Gandillot (16 avril 2008)
Comment Nicolas Sarkozy écrit l’histoire de France:Dictionnaire critique par Laurence De Cock ,Fanny Madeline,Nicolas Offenstadt,Sophie Wahnich (Avril 2008)
Sarkozy et l Argent Roi par Dely-R.+Hassog-ìd. ( 30 avril 2008)
Le président et moi de Philippe Ridet (Mars 2008)
Les mots de Nicolas Sarkozy par Louis-Jean Calvet et Jean Véronis ( 6 mars 2008)
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Sarkozy, l’homme qui ne savait pas faire semblant par Michel Richard (14 mars 2008)
Sarkozy, un président chez le psy par Pierre Lembeye (12 mars 2008)
Laïcité : Réplique au discours de Nicolas Sarkozy, chanoine de Latran par Jean-Luc Mélenchon ( 3 mars 2008)
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Mai 68 expliqué à Nicolas Sarkozy par André Glucksmann et Raphaël Glucksmann ( 14 février 2008)
Carla et Nicolas, Chronique d’une liaison dangereuse par Paul-Eric Blanrue et Chris Laffaille (Mars 2008)
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Ruptures par Michaël Darmon et Yves Derai ( 10 janvier 2008)
Cécilia : Portrait par Anna Bitton (10 janvier 2008
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Le sacre de Nicolas : Petits et grands secrets d’une victoire par Ghislaine Ottenheimer (16 mai 2007)
Sarkozy président ! : Journal d’une élection par Jean-Luc Hess ( 9 mai 2007)
Sarko Ier par Cohen+Malka+Riss et Riss ( 16 mai 2007
Président (e) ! Histoire secrète d’une élection par Philippe Reinhard (mai 2007)
Sarkozy : l’homme de fer par Massimo Nava, Sergio Romano, et Jocelyne de Pass ( 16 mai 2007)
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Sarkozy, au fond des yeux par Nicolas Domenach (1 mars 2004)
Sarkozy : Itinéraire d’une ambition par Anita Hausser (10 septembre 2003)-
Vous bégayez : arrêter de troller en postant plusieurs fois le même commentaire. Qui n’a évidemment rien à voir avec le sujet.
Que vos interventions soient systématiquement repliées illustre une chose : vous emmerdez tout le monde. Et fier de vous, vous persistez d’autant plus. Belle ambition : "je suis le chieur d’AgoraVox". N’avez-vous pas autre chose à espérer dans la vie ? Cette attitude est-elle constructive ? Utile ? Positive ? Si ce qui vous remplit de joie et occupe vos journées est d’emmerder au maximum les lecteurs, vous devriez consulter : il y a des activités beaucoup plus épanouissantes pour une personnalité autre que pathologiquement aigrie.
-
"Et l’on frémit quand on se souvient que Pascal Lamy était l’un des premier-ministrables de Ségolène Royal. La gauche est décidément aussi mal en point, idéologiquement, que la droite."
Remarque si ségo passe à gauche Lamy pourra trouver un job chez Delanoe ...
-
C’est quoi la difference entre libéral, neo-libéral, ultra-libéral ?
Et entre socialiste, communiste, et conservateur ?
Parce que, à part qu’il faille cracher trois fois quand on prononce le mot libéral, on n’est pas certain que l’auteur sache de quoi il parle.
-
Bulgroz 26 mai 2008 17:16Monsieur Bonnet, vous êtes si imbu de votre personne, et vous insultez tellement vos interlocuteurs (aujourd’hui, c’est au tour du très modéré et subtile Volaire) que vous ne valez pas la peine de lire vos articulets ni échanger avec vous.
Vous ne nous avez pas encore dit aujourd’hui que vous avez avez vomi sur un des commentaires de vos rares interlocuteurs, bizarre ?
Alors, nous n’avons pas d’autre choix que de vous zapper comme l’on déjà fait de nombreux intervenants : 2 exemples suffisent.
par Philippe D (IP:xxx.x05.191.122) le 21 mai 2008 à 09H41
C’était la première fois que je remettais les pieds sur 1 de vos articles depuis votre réapparition, je me demande sincèrement si je ne vais pas à nouveau vous boycotter comme je boycotte Morice. Vous pourrez rester entre vous, entre convaincus du grand soir et autres joyeusetés.par Fred (IP:xxx.x66.152.80) le 19 mai 2008 à 10H07
Encore une insulte, waow vous avez une façon assez simple d’argumenter vos propos. Maintenant allez y insultez moi puisque cela semble être la seule façon pour vous de répondre aux gens qui ne sont pas d’accord avec vous.-
Je n’avais absolument pas insulté Fred. Ou néo-conservateur, est-ce une insulte ? On peut le prendre comme ça... Mais il ne faut pas afficher des points de vue de néo-conservateur si l’on ne veut pas se l’entendre dire.
Quant à vous, vous êtes un manipulateur, qui ne citez que des bribes de commentaires, sans donner le contexte ni, quand je réponds de façon très vive, ce qui a déclenché ma colère. Trop facile.
Du reste, vous emmerdez tout le monde, c’est bien pour ça que tous vos commentaires sont systématiquement repliés. Personne ne veut vous lire. Pourtant vous continuez. Je vous soupçonne même d’en être fier : "je vous emmerde et vous m’empêcherez pas de vous emmerder !" Bravo, continuez.
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@ Bulgroz et hihihi...
Si ça ne vous dérange pas, évitez de vous servir de moi pour vos attaques. Vous avez sûrement des arguments bien meilleurs à développer.
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La meilleur façon d’écarter le libéralisme bobos du PS des ROYAL-DELANOE est encore de voter Nicolas Sarlozy en 2012.
Le PS étant mort cliniquement en 2002,nous avons vue la gestion du couple infernale HOLLANDE-ROYAL et la dérive de ce parti vers le libéralisme et du catolicisme social et ces gens ne se cachent plus pour le dire.
Soit ils vivent dans une bulle médiatique et les journalistes ne font décidement pas leur travail d’information,soit ils font une grosse erreur d’analyse dans leur manière de comprendre les français.
Personnellement,je pense qu’ils sont tellement déconnectés de la réalité sociale et économique que seul le marketing et le copinage journalistique les font vivre
Soyons réaliste,la LCR a une carte à jouer si elle modernise son discours et qu’elle prend en compte l’économie de marché ,car le PS ne represente plus que des interets particuliers
Sinon,faites comme moi,appliquez la SANCTION de 2007 ,voter Nicolas Sarkozy en 2012
(PS :moi,en 2002,j’avais voté JOSPIN,c’est pas comme tous les TSS ici qui avaient préféré l’extrème gauche pour ensuite aller se faire s.. par Chirac)
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@ Lerma : voter Sarkozy en 2012 est évidemment un remède pire que le mal.
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Le vote Sarkozy de l’année dernière était un vote sanction pour les déçus du PS et de Bayrou surtout. Après je ne pense pas à un second mandat de Sarkozy. J’aimerai que quelqu’un comme Manuel Valls ou Pierre Moscovoci se présentent par exemple si ce n’est pas un centriste modéré de l’UMP ou du Nouveau Centre.
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Je comprends pas ce que vous avez contre l’auteur ?
Sinon comme Lerma ... je suis prêt à voter pour Sarko en 2012 ...
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L’Auteur a raison, son article est formidable.
On s’aperçoit en effet chaque jour un peu plus qu’il y a deux Gauches en France :
1) La Gauche des kollabos de l’islamisme, qui veulent importer en France les électeurs qui leur manque, c’est une gauche antilibérale (le libéralisme politique est incompatible avec l’Islam), antidémocratique (l’Islam se fout de la voix du peuple, car Allah est le seul qui ait le droit de parler et sa parole est d’or), antisémite (devinez pourquoi) et antiaméricaine (les ennemis de nos amis sont nos ennemis)
2) Une Gauche social démocrate, à l’image de se qui se fait partout en Europe.
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T’as un problème avec l’Islam ou les "arabes" ?
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karg se 26 mai 2008 19:12L’islam est assez libéral au niveau économique, la charité pour les pauvres et la libre entreprise pour tous. Révise ton coran crétin.
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Les deux Gauches françaises sont donc en train de se séparer, le silence observé jusqu’à présent par la Gauche kollaborationniste d’Emmanuelli et Mélanchon ne présage rien de bon.
Quant à Fabius, il vient de s’élever, une fois de plus, contre la "pipolisation" de la vie politique, mais ça ne mange pas de pain et ça peut viser Ségolène et Delanoé, au choix et en fonction des circonstances. Il va sans doute se réfugier dans l’ouvriérisme !
Car cette affaire n’est pas seulement une affaire de vocabulaire, tout le monde a bien compris que la Gauche allait se cliver, une fois encore, entre ceux qui sont prêts à s’allier avec l’étranger pour favoriser leur accession éventuelle au pouvoir, ils sont les héritiers de la Gauche allemande de la seconde guerre mondiale (Jacques Doriot, Marcel Déat et Pierre Laval) qui est, comme toujours, mûe par son antisémitisme, et d’autre part la Gauche démocratique et libérale (du moins en politique).
Les héritiers de la première Gauche s’allieront naturellement avec les héritiers nationaux ou internationaux du Nazisme Allemand, tandis que les héritiers de la seconde Gauche s’allieront avec les Centristes.
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Frédéric Lyon, vous dites gravement n’importe quoi.
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karg se 26 mai 2008 19:13Toujours aussi con Mr Lyon, tu peux pas aller troller sur des forums de fafs plutôt que venir ici ?
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"Frédéric Lyon, vous dites gravement n’importe quoi."
Yo je pensais que ce n’était même pas la peine de préciser, cela n’aura échappé à personne ... quoi que
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Bien sûr, bien sûr. Et bravo pour votre argumentation, mais sans doute n’ avez-vous pas besoin de ce genre de détail.
Il y a donc bien deux Gauches en France et le débat autour du mot "libéralisme" n’est pas une simple question sémantique.
Il y a donc une gauche pseudo-révolutionnaire, antilibérale, antisémite, euh........pardon, je voulais dire antisioniste, antidémocratique (élection, piège à cons), souvent antieuropéenne et anti-anglosaxonne. C’est une gauche qui va de Besancenot à Mélanchon et qui englobe la LCR, le PC et l’aile gauche du PS.
Cette gauche est bien l’héritière de la gauche allemande de la collaboration, dont les principaux représentants ont été Doriot (Communiste avant la guerre), Marcel Déat (SFIO avant la guerre) et Pierre Laval (Radical avant la guerre).
Ils défendent toujours les mêmes thèmes et combattent toujours les mêmes ennemis. La similarité est si complète et si frappante que personne ne peut la nier.
Et il y a une gauche démocratique et libérale qui rassemble des gens comme Kouchner, DSK, Rocard, Vals, Lang, Moscovici, et sans doute aussi Delanoé. Il y a beaucoup de juifs dans ses rangs, non ?
Cette deuxième gauche n’est pas révolutionnaire et accepte sans broncher les résultats du suffrage universel. Par ailleurs c’est une gauche libérale sur le plan économique et c’est une gauche européenne qui défend l’ancrage de notre pays dans ses alliances avec les pays démocratiques occidentaux, y compris avec Israël.
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Ok je cerne mieux ta position.
Il semble que tu vois le monde avec un prisme dualiste ... bien/mal si tu préfères.
Perso je pense que c’est bien plus compliqué et qu’il y une multitude infini de nuance (grise).
Ensuite, et cela grâce à la mondialistaion en quelque sorte, que l’on ne peut plus envisager le traintrain du monde dans une dualité.
A moins évidemment de ne ce soucier que de son sort !
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karg se 26 mai 2008 19:15Bien sur, red skin de la CNT et tes amis nostalgiques du 3eime Riech et de Pétain mains dans la main dans les meetings de Besancenot, avec Moussaoui en duplex depuis Guantanamo. T’a eu ta paye et t’a tous claqué en LSD ?
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Ainsi vous excommuniez la vraie gauche, accusée pratiquement d’être nazie, pour décerner votre brevet d’honorabilité au centre-gauche, qui ne veut surtout pas trop déranger le monde des affaires, hein, et les pauvres qui crèvent, mazette, There is no alternative. C’est un point de vue.
Vous semblez en outre avoir un problème avec les juifs, ou les sionistes, ou les antisionistes, ou les Arabes ? J’ai du mal à trancher. Si être en faveur de la cause palestinienne - sans cautionner le terrorisme aveugle - et accuser l’oppression de l’État d’Israël sur les Palestiniens est antisémite, alors de nombreux juifs, militants de la paix, le sont !
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karg se 26 mai 2008 20:01Mr Lyon vit dans la peur de voir des pick-up peint rouge avec la bennes rempli de talibans défiler sur les champs Elysée le soir d’une victoire socialiste (PS) à la présidentielle.
@Lyon : fait gaffe le shit afghan c’est coupé à l’opium, c’est un peu fort.
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Karg se
au lieu d insulter juste pour le plaisir, et meme si je suis tres souvent en desaccord avec les idees de Frederic Lyon, expliques moi pourquoi plein de gentils petis ouvriers qui votaient coco depuis des annees ont reussi a voter le Pen au premier tour de cette fameuse annee de gloire pour la France qui a vu un representant de l extreme droite au second tour.......
Ca choque peut etre ta bonne conscience mais c est un fait.....
Ce refus meme de la notion de liberalisme est un aveuglement qui va amener une partie du PS a se radicaliser de plus en plus.
Cette eventualite est + que probable, on en reparlera dans quelques annees ok ?
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Mélenchon est très détesté selon un sondage à 94%. C’est pour dire. Mais bon les sondages ne veulent parfois rien dire et il vaut mieux s’en méfier.
Bien que je ne suis pas toujours d’accord avec ce dernier, c’est un formidable orateur, un grand comique aussi !
Pourtant avec Emmanuelli et Hamon, Mélenchon représente un espoir utile pour une gauche social-souverainiste qui pourrait ramener dans son camps l’électorat trotskyste, altermondialiste, voir chevènementiste également.
Les égarés sont Fabius, Bartelone, Weber et quelques autres aussi ils sont coincés entre le courant social-souverainiste incarné par Mélenchon et le courant social-démocrate incarné par Royal, Délanoé, Cambadélis et les autres.
Cette gauche social-souverainiste n’a pas d’avenir. C’est celle de Moscovici, DSK, Dray et Valls qui en a un vrai. C’est en tout cas elle, cette gauche social-démocrate qu’appelle de ses voeux BHL dans son dernier bouquin qui est vraiment capable de tacler Sarkozy ou un autre candidat adverse ( restons optimistes et n’espérons pas un ennemi fasciste genre Le Pen ou Villiers tout de même) en 2012.
Si le successeur de Sarkozy est socialiste moderne et libéral, il composera un gouvernement d’ouverture de Mélenchon en passant par les centristes radicaux et les Verts libéraux et fédéralistes. Un peu comme l’a fait Schroder en Allemagne.
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karg se 27 mai 2008 10:54Le PC n’a jamais était un parti pro immigration, certaines affiches l’attestent, d’autre part le PC comme le FN cartonne auprès de l’électorat contestataire, peu éduqué, plutôt pauvre, et avec peu de culture politiques. Ils ont sociologiquement un peu le même publique, très différent de celui du PS plutôt éduqué et de gauche par conviction.
Pourquoi pas de bascule vers la LCR/LO ? Sans doute l’aspect immigration, qui motive beaucoup plus le vote qu’on le pense, et aussi la crédibilité et le poids du FN, sorte de politique du pire visant à secouer les hommes politiques.
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Pour ceux qui tiennent absolument au clivage gauche-droite, les espaces existent dans les philosophies de la liberté. Pour les autres, sociaux-démocrates, communistes, troskistes,alter-machins, ils sont mûrs pour rejoindre conservateurs et fascistes au musée de l’histoire.
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"Pour ceux qui tiennent absolument au clivage gauche-droite, les espaces existent dans les philosophies de la liberté. Pour les autres, sociaux-démocrates, communistes, troskistes,alter-machins, ils sont mûrs pour rejoindre conservateurs et fascistes au musée de l’histoire. "
Je suis tout à fait d’accord bien que les différents camps n’aient pas les mêmes idées.
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De Olivier Bonnet :
Ainsi vous excommuniez la vraie gauche, accusée pratiquement d’être nazie, pour décerner votre brevet d’honorabilité au centre-gauche, qui ne veut surtout pas trop déranger le monde des affaires, hein, et les pauvres qui crèvent, mazette, There is no alternative. C’est un point de vue.
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Je n’excommunie personne, je constate la césure que vous constatez vous aussi, puisque vous nous parlez de "vrai gauche" et de "centre gauche".
Il y a donc bien deux gauches et peu importe comment on les nomme. La première ("la vraie", selon vous) est incompatible avec la seconde (la "fausse") et c’est ce qu’il est important de souligner.
Il est aussi intéressant de remarquer que la ligne de césure ne se situe pas seulement au niveau des politiques économiques, mais aussi au niveau des politiques étrangères. La gauche antidémocratique et antilibérale étant clairement antisémite, la ligne de césure s’exprime aussi au niveau de la politique internationale, comme sous l’occupation.
Nous avons donc une gauche collaborationniste qui s’aligne sur l’Islam et sur la "cause" Palestinienne, comme le faisait Heinrich Himmler pendant la guerre en s’alliant à l’époque avec le grand-oncle de Yasser Arafat, et puis une gauche qui soutient la démocratie. israëlienne.
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La démocratie israélienne qui multiplie les exactions et crimes de guerre (c’est pas moi qui le dis, ni la gauche que vous fantasmez antisémite, c’est l’ONU).
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Monsieur Bonnet, je ne fantasme rien du tout, je me borne à souligner des similarités de luttes et des similarités de thèmes politiques entre la gauche du Parti Populaire Français pendant la guerre, et la gauche radicale et antilibérale d’aujourd’hui.
Le fait que vous ne vouliez pas assumer votre héritage et vos racines idéologiques ne me concerne pas.
Et dites vous bien que ce n’est pas à vous de juger si vous êtes des antisémites. Vous ne pensez tout de même pas que nous allons croire que vous pourriez soutenir le Hamas ou le Hezbollah sans être en même temps des antisémites, si ?
Du moins ne pouvez-vous pas nier l’existence de ces deux gauches désormais incompatibles entre elles, d’ailleurs votre article est l’illustration de ce clivage, apparemment Delanoé ou DSK ne sont pas de votre bord.
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Delanoë, Royal, DSK, Valls et autres ne sont de mon camp, en effet. Ils incarnent le centre-gauche, qui cautionne finalement le système, alors que les vraies idées de gauche n’ont pas renoncé à le modifier. Des capitulards, en somme, qui acceptent la loi du renard libre dans le poulailler libre - mais fort bien nantis personnellement (caviar, disiez-vous).
Quant à vos accusations d’antisémitisme, j’ai refusé dans mon commentaire précédent de cautionner le terrorisme aveugle, mais ça ne vous empêche naturellement pas de dire que je soutiens le Hamas et le Hezbollah. Pas plus que vous ne répondez pour la fâcheuse incrimination d’Israël par l’ONU. Le dialogue apparaît dès lors irrémédiablement stérile.
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Ah, je l’adore celle là : la métaphore du poulailler ! Il est vrai que le fermier Etat a tout intérêt a faire peur aux poules collectivistes, c’est lui qui récolte les oeufs...
Mais les libéraux ne sont pas des poules, ce sont des canards, ils vont et viennent dans les étangs de leur choix. Et, en plus, ils ont le bec rond.
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Et même qu’ils boitent naturellement, on en déduira que la canne est l’avenir du canard...
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La plupart d’entre eux se dandinent. Mais, c’est en vol qu’il faut les admirer. Bien sûr, il arrive que le fermier devienne chasseur. Bien plus dangereux qu’un gentil renard.
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Juste une remarque : à l’heure où j’écris l’article est jugé "pas interressant" par 59% de votants sur une base de 29 votes, tandis que les commentaires de l’auteur, Mr Bonnet, reçoivent individuellement une note nettement plus favorable... Les mystères d’aggoravox sont insondables...
PS : Si quelqu’un a une explication sur ce curieux phénomène, qu’il n’hésite pas à m’en faire part,,,
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Cet article semble illustrer à sa manière une loi plus générale, une sorte de physique des corps politiques, et qui serait pour eux une caractéristique essentielle. Que dit cette loi ? Une chose bien étrange, et fort différente de la physique orthodoxe, à savoir qu’en politique les corps réagissent à l’écoulement du temps selon deux modalités bien distinctes : soit ils s’ammolissent (PS), soit ils durcissent (UMP). On constate aussi des cas marginaux où ces corps s’émiettent, ou bien, fort bizzarement, se muent en vapeur trés fine ( laissant néanmoins une trés forte odeur dans la pièce...)
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Mince, je voulais faire un commentaire général, et non commenter mon propre commentaire ! Erreur de tir. Priére est faites au lecteur de le rétablir en imagination à sa bonne position. Merci.
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Qu’est ce qu’on laisse sous la coupe du marché ? Qu’est ce qu’on garde sous le contrôle de l’Etat ? Ce ne peut être que la conséquence de la société qu’on souhaite promouvoir.
Le PS se posant en parti de gouvernement dans une France européenne et mondialisée a quelques difficultés à décliner un vrai projet de société dans lequel il faudrait oser dire quelles sont les limites des marchés.
En s’affichant libéral malgré les précisions qu’il apporte à ce mot, Delanoe fait dans la provocation et plutôt que de discuter d’un vrai projet le PS s’enfonce dans des discussions stériles.
La droite qui ne rêve que de démanteler l’ensemble des acquis sociaux ne peut que se réjouir des égarements du PS. C’est dommage, nous aurions bien besoin que des alternatives puissent se faire entendre....
- W
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Un commentaire plein de sagesse. Merci beaucoup de cette pertinente contribution.
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Je rejoins Bulgroz dans son commentaire,
La facon que vous avez de vous mettre en avant, parce que vous avez eu l immense honneur d avoir ecrit un article sur Sarko, montre un ego dont n ont pas a rougir les chevilles de Voltaire....
Moi j ai pete contre le mur de mon ecole, ca c est de l acte resistant !
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Pas un article, un bouquin. Mais comment me mets-je en valeur ?
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Tout de même, ça ne date pas d’hier que le PS soit devenu un brouet insipide... Je doute fort, Mr Bonnet, que vous veniez de le découvrir ! Voilà bien longtemps que les conférences au sommet des "stars" socialistes ne produisent rien d’autres que des pages pour magazines pipoles... La cravate de Delanoe (s’il en a une !), ou bien la chemise de Lang, ou encore le rouge à lèvre de Royale, ce sont là les vrais courants qui traversent le PS, et ce depuis belle lurette ! Mais toutes ces belles images risquent de jaunir à vistesse grand V...
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Permettez moi de reprendre un commentaire de ICKS PEY
Petit Bonnet, votre révolte permanente est fatiguante.
Cela étant dit, vous avez dit quelque chose de juste, pour une fois : je suis un légitimiste. Mais vous ne pouvez pas vous empêcher de faire suivre votre idée par une généralisation grossière : en clair, je suis dreyfusard. Voilà, le gros mot est sorti et c’est là toute la caricature que vous êtes : vous être grossier - non pas impoli, mais au sens "pas fin" - dans vos analyses, grossier dans vos conclusions. Être légitimiste, c’est forcément être dreyfusard et, si je peux me permettre d’anticiper votre prochain propos, vous allez probablement me traiter de suppôt de Papon, ainsi, le point Godwin sera atteint et tout le monde sera content.
Oui, j’accorde à la justice de mon pays un a priopri de confiance. A fortiori concernant le juge Courroye que j’ai eu la chance de connaître de très loin à Lyon. Alors entre l’analyse des faits du juge courroye et la votre, pardonnez moi, mais j’accorde, effectivement ma confiance au premier et non à vous. Car la différence entre Courroye et vous, c’est que lui, est intègre dans son appréciation du dossier tandis que vous êtes intellectuellement pollué par vos partis pris.
Cela pose la question de la confiance et cela me donne l’occasion d’élever un peu le débat : une société doit reposer sur un acte de confiance. Ce qui n’empêche pas cette société d’organiser des voies de recours et/ou des procédures de contrôle pour justifier cette confiance. Mais, à chaque fois, à l’extrêmité, il y a un homme. Un homme qui décide de faire ceci ou de ne pas faire cela.
Le communisme auquel vous appartenez déteste tellement la nature humaine que la confiance n’a jamais droit de cité. Le communisme nie l’individu au point de lui ôter tout pouvoir décisionnel. Et tout pouvoir décisionnel est perçu comme un acte d’oppression. C’est pourquoi le communisme repose sur les notions de commissions, de parti, d’organe collégial de décision. Le communisme fait croire que seules les décisions collectives sont exemptes de risque d’intérêt individuel. Et si un poste de décision ne peut être collégialisé, il faut mettre aussitôt derrière un contrôleur du parti qui va vérifier si la décision prise a été bien prise. Ainsi dans l’armée rouge de Trosky, les gradé étaient supervisés par des membres du Parti qui étaient eux-mêmes supervisés par d’autres membres du Parti. L’essence même du communisme réside dans la détestation de l’homme : c’est pourquoi la confiance n’existe pas dans le communisme : tout le monde contrôle tout le monde. C’est 1984 d’Orwell.
Pas de confiance, pas de responsabilité. Pas de responsabilité, pas de décision. Voilà pourquoi les régimes de type communistes sont des naufrages tant humains qu’économiques : lorsque personne n’est responsable de rien, comment voulez-vous que les choses avancent ?
Vous avez là tout le clivage gauche/droite. La gauche est parlementariste, la gauche craint l’individu car elle le suspecte de poursuivre son intérêt personnel au détriment de celui de la société, la gauche déteste l’homme de pouvoir et ne fonctionne que par des groupes, des commissions, des équipes qui sont sensés exprimer LA bonne idée (cf. la démocratie participative de Royal : la valeur se trouve dans la collectivité et non dans l’individu). Alors qu’à droite, on sera plus facilement adepte d’un pouvoir centralisé car efficace, d’un processus décisionnel court plutôt que quinze strates à franchir, d’une relation directe entre le politique et le peuple (élection présidentielle au suffrage direct et non indirect : c’est de Gaulle et ce fut fortement contesté par la gauche).
La différence, c’est la confiance en l’homme.
Vous n’avez pas confiance dans les hommes, alors vous voyez des complots partout, des collusions, des malhonnêtetés etc. Et sous prétexte qu’effectivement, vous avez raison de temps en temps, vous en tirez une règle générale : les patrons, tous des voyous, les politiques, tous des voleurs, les magistrats, tous des corrompus ...
Alors pour me conclure, oui, je suis légitimiste car j’aime l’idée de faire confiance. Cela ne veut pas dire que je suis naïf sur la réalité humaine, mais je prends le pari d’accorder aux individus une présomption d’honnêteté. Vous, c’est l’inverse : cela qui n’agit pas comme vous l’auriez fait est forcément malhonnête. Et l’action d’un individu est à vos yeux, par principe, louche.
Icks PEY
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A l’auteur.
Je suis de gauche, et donc très préocupé par l’état des forces politiques en présence, susceptibles de promouvoir une action de gauche.
Mais je n’ai pas vraiment la même conception que vous de la gauche.
Pour moi, être de gauche, c’est :
- considérer comme un impératif, que les richesses soient réparties de façon à ce que chaque individu ait la possibilité de vivre dignement, c’est à dire avoir un logement, de quoi se chauffer, et de quoi manger. Mais plus encore, c’est considérer que la répartition des richesses doit être conforme non pas à une règle économique a priori, mais conforme à ce que nécessite la paix sociale.
- considérer comme un impératif la liberté de conscience de chaque individu.
- considérer que chaque homme est tributaire de l’histoire de l’Homme, et que donc il doit en partie ce qui le constitue aux choix qu’il a opéré au cours de son développement, mais indéniablement, il doit ce qu’il est à ce qu’est et ce qu’a été l’environnement dans lequel il a évolué. L’individu n’existant qu’au sein d’une société, il doit être soucieux de l’harmonie qui règne en elle, et doit la respecter.
- considérer que chaque entité (homme, association, entreprise) doit pouvoir, dans la limite du premier et du deuxième point, créer, s’exprimer, et bénéficier des richesses qu’il produit, ou contribue à produire.
Ca c’est pour les idéaux. Mais les idéaux, ce n’est quelque chose qu’on défend n’importe comment.
Tout d’abord, il faut constater, pour partir d’un bon pied, que l’état de la société, et surtout du monde, n’est pas du tout en phase avec ces idéaux.
Par conséquent, si on veut tendre vers ces idéaux, il faut agir, c’est clair.
Mais croyez vous qu’agir pour défendre ces idéaux, c’est aller tout droit ?
Moi, je me dis qu’il y a des obstacles, des subtilités, en fait une complexité de la réalité, qui fait que l’on doit agir en étant soucieux de maîtriser autant que possible l’objet que l’on manipule.
Par exemple, c’est paraît tout bête, de taxer telle ou telle chose. Mais d’une part à mon avis, ce serait éminament insuffisant et petit par rapport à l’étendue et à la multidimensionalité de la problématique, et d’autre part, ce pourrait être contre productif (je ne suis pas e train de dire que taxer est foncièrement mauvais).
Donc il ne suffit pas de prendre des mesures grossières et idéologiquement de gauche pour défendre des idéaux de gauche. C’est même néfaste.
A mon avis, il y a enormément de leviers qui permettraient à la France en tous cas, de mener une politique de gauche, répartissant mieux les richesses et surtout offrant une éducation de haute volée à beaucoup de gens, en ayant une économie florissante.
Par contre, je conviens avec vous qu’il est crucial, pour les forces progressistes qui en sont capables, de se battre pour changer la donne de l’économie au niveau international, pour la rendre plus douce, moins furieuse.
Enfin je veux juste donner un exemple, qui à mon avis, montre à quel point beaucoup trop de gens de gauche sont des caricatures sans s’en rendre compte.
Faut-il supprimer des postes dans l’administration des finances ? La réponse est claire, évidente : oui. Comment ? Avec inetrnet, l’informatique, la vitesse à laquelle on pourrait traiter et gérer l’information, on devrait encore employer je sais combien de personnes, parceque toucher aux fonctionnaires c’est "de droite" ?
On nage en plein délire. La gauche ne serait donc plus le camp de la raison, cntre les forces obscures du conservatisme ?
Bordel, hommes et femmes de gauche, arrêtez votre délire. Oui, il faut degraisser un paquet de choses dans nos administrations, ça veut pas dire qu’on met les gens sur la paille !
La formation, la reconversion, ça existe, et c’est ce que doit offrir la société pour s’adapter au capitalisme tel qu’il est, et tel qu’il sera pendant tout le temps où on s’efforcera même de le réguler. Un jour, ce sera peut-être different, mais pour l’instant, il faut agir dans le réel, pas dans l’imaginaire.
Vous dites, "interdire de licencier les entreprises qui font du profit". Mais c’est pas de gauche ça. Ca c’est un principe simpliste, et démagogique. c’est peut-être même de droite (je plaisante).
Ce qu’il faut c’est que le besoin d’une entreprise de licencier, n’entraîne pas de drame humain, et que la société protège ses membres de la précarité que peut induire les pratiques en vigueur dans son économie.
Pour cela, il y a de nombreux outils.
La formation continue, la transparence de l’information à l’intérieur de l’entreprise, l’adaptabilité de la durée du travail à la spécificité de l’entreprise (par exemple, les 35 heures ont été une catastrophe dans les hopitaux, mais très positives dans l’industrie, où elles ont permis d’optimiser le temps d’utilisation des machines), les indemnisations pour les chômeurs...
Bref, aucun dogme ne servira les idéaux de gauche. La réalité est bien trop complexe, et exige d’agir avec détermination, mais prudemment et sans jamais mépriser la réalité.
Je n’ai pas le temps d’élaborer un argumentaire plus complet et mieux construit, mais j’aimerais tant convaincre plus de gens de gauche, que certes, il y a plein de gens très dangereux qui ot beaucoup d’argent, et beaucoup de pouvoir sur la planète, qu’ils se donnent du mal pour continuer à acaparer les richesses et promouvoir des idées réactionnaires à travers nos médias, mais qu’il possible, au sein d’un capitalisme libéral (qui laisse faire les acteurs au maximum), mais contre balancé par une puissance publique (qui redistribue ce qu’elle prélève, de la manière la plus efficace possible, dans l’intérêt de tous), de tendre vers une justice sociale bien supérieure à tout ce qu’on a pu connaître n’importe o dans le monde, et à n’importe quelle époque.
La transparence de l’information, induira d’elle même, dans ces conditions, un changement encore plus profond du capitalisme, qui s’adaptera aux évolutions futures, pour peut-être finir par perdre sa substance capitalistique.
Mais l’urgence, ce n’est pas sortir du capitalisme ou jouer les rebelles face à lui. L’urgence, c’est, dans le contexte actuel, de se donner les meilleurs moyens pour aller dans le bon sens.
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"Oui, il faut degraisser un paquet de choses dans nos administrations, ça veut pas dire qu’on met les gens sur la paille !" : ça dépend dans quelle administration ! N’oubliez pas que le mot d’ordre est de ne pas remplacer un fonctionnaire partant à la retraite sur 2 : voilà une vision comptable qui illustre une logique manichéenne : il y aurait trop de fonctionnaires tout court. Ce qui est évidemment faux, sauf à sacrifier ce qu’il reste du service public. Ce que nos gouvernants ont bien l’intention de faire, pour des motifs idéologiques et aussi pour satisfaire leurs copains.
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De l’auteur :
Quant à vos accusations d’antisémitisme, j’ai refusé dans mon commentaire précédent de cautionner le terrorisme aveugle, mais ça ne vous empêche naturellement pas de dire que je soutiens le Hamas et le Hezbollah. Pas plus que vous ne répondez pour la fâcheuse incrimination d’Israël par l’ONU. Le dialogue apparaît dès lors irrémédiablement stérile
...................
A qui le dites-vous !!
"Incrimination d’Israël".
Connaissez-vous le sens des mots ?
Israël existe aujourd’hui par décision de l’ONU (Résolution 181), une décision qui prévoyait également la création d’un Etat Arabe en Palestine, à côté de l’Etat d’Israël. Or les Arabes n’ont pas créé cet Etat Arabe, car la création de cet Etat valait reconnaissance de l’existence et de la légitimité de l’Etat d’Israël.
Donc qui est coupable ? Nommez-les donc, puisque vous êtes si prompt à "incriminer".
Qui est hors la loi depuis 1948 ?
L’accusation d’antisémitisme est donc parfaitement valide, il ne sert à rien de ne pas vouloir l’assumer. Mais que voulez-vous, les juifs aujourd’hui refuse de se laisser trancher la gorge, ou de descendre se cacher à la cave, il faudra vous faire à cette idée.
Quant à votre soi-disant condamnation du terrorisme "aveugle", elle n’est qu’une apologie d’un terrorisme qui ne serait pas "aveugle", du moins selon vous. Rien de plus.
L’extrème gauche antilibérale est donc bien l’héritière du fascisme antisémite français de l’Occupation, dont elle reprend tous les thèmes pour combattre toujours les mêmes ennemis, en s’alliant pour cela avec n’importe qui.
Il faut l’isoler et ce n’est pas un hasard si les socialistes qui ont pris les premiers la décision de s’en éloigner et d’afficher haut et fort leur attachement à la philosophie libérale sont pour la plupart des juifs.
La gauche n’a plus qu’à contempler cette vérité en face.
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Vos crachats sionistes sont insupportables.
Qui viole les résolutions de l’ONU, qui ont fixé des frontières qu’Israël refuse ? Qui a encore construit il y a deux mois une nouvelle colonie illégale ? Qui a utilisé au Liban des bombes à fragmentation et sous-munitions, interdites par la Convention de Genève ? Qui opprime Gaza, la plus grande prison du monde ?
Pour justifier la "lutte contre le terrorisme", un Etat viole les conventions internationales et maintient dans la misère, l’humiliation et l’asservissement un peuple. Je serais juif (comme le sont mes enfants), j’aurais honte d’Israël.
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karg se 27 mai 2008 11:10Regardez les enfants, avec le LSD, vous risquez de devenir comme M.Lyon
La drogue c’est mal
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Qu’on à voir avec la gauche ces deux personnages, l’un qui gère une grande ville ou il n’y a jamais eu autant d’embauche de personnes sous couvert de la mairie, d’attribution de fonds à des associations, d’appart réservés à des connaissances, l’autre qui ne fait pas l’unanimité dans sa région, qui donne des conseils mais qui n’admet aucune transparence sur ses comptes, ses actes et sa gestion, au point d’attaquer en justice toute personne ayant une critique à son égard, meme des anciennes collaboratrices.....
Mitterrand avait pris de force la tete du PS en courcircuitant tous les dinosaures.... mais il était intelligent, avait du verbe et une certaine ruse politique, maintenant nous n’avons que des descendants stériles et aigris.... pas capable de se mettre d’accord pour désigner un chef de file.... il n’y a meme pas de programme, vu les écarts de l’UMP actuelle ne pas arriver à réagir, se mettre en avant, se souder pour mettre en place une contre attaque valable.... c’est à se demander s’il reste une gauche, si les représentants sont bètes ou s’il le font exprès devant tant d’occasions loupées de se mettre en avant, le flottement touche meme les syndicats...
Mitterrand avait un mérite, une personnalité certaine et un pouvoir de rassembleur, tout du moins au début, ce que n’a surtout pas Ségolène qui se la joue perso.... et il avait pris le pouvoir par la force mais il s’y tenait et il faisait bien comprendre que c’était lui le chef !! celui qui lui ressemble étrangement le plus maintenant c’est Sarko qui a rassemblé derrière lui une droite très divisée derrière lui....
est ce qu’on a entendu un représentant de la gauche commenter intelligemment les réformes en cours !! non on a Hollande qui s’étouffe en attaquant systématiquement Sarkozy sur des faits personnels....
pendant ce temps la mr Bertrand et mr Copé nous enfilent des suppositoires libéraux par derrière en toute tranquillité avec des airs de bons pères de famille chrétiens qui vous tapent dans le dos en vous persuadant que c’est pour votre bien et que vous ne sentirez rien !!
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Bulgroz 27 mai 2008 08:33Monsieur Bonnet,
Je réponds à votre mantra :
“ taxer les profits des pétroliers, pour vous répondre, c’est de gauche - il n’y a qu’à voir comme l’UMP s’y refuse. Taxer les golden parachutes et stock options aussi. Et les transactions boursières itou. Nos "socialistes" le feraient-ils ? “
Taxer les profits pétroliers :Total fait l’essentiel de ses profits à l’étranger sur lesquels elle paie des impôts comme dans tous pays. Total est l’exemple type de la société qui peut par une simple décision de son conseil d’administration délocaliser son siège social au Luxembourg ou aux Bahamas sans avoir à déménager un seul de ses cadres français. Seriez vous heureux quand Total ne sera plus français ?
Stocks options : ce qui sera prélevé en taxes à la source sera payé en moins en impôts sur plus value ou en impôts sur le revenu.
La plus value sur stock option est :
-si options vendues en moins de 2 ans de délai de portage, la plus value est taxée à 41% jusqu’à 152500 Euros et à 51% au delà ou choix de l’intégrer sur l’impôt sur le revenu
-si options vendues après le délai de 2 ans de portage, taxe de 27% en dessous de 152500 et 41% au delà.
-en cas de non respect du délai de blocage de 4 ans, la plus value est taxée de l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux.
De toute manière, celui qui perçoit des stocks options a toutes les chances d’être soumis à l’impôt sur la fortune qui par le biais du bouclier fait que le contribuable ne paiera pas plus de 50% de ses revenus en impôts. Seriez vous d’accord de payer plus de 50% de vos revenus en impôts ?
C’est l’exemple même du serpent qui se mange la queue : voilà pourquoi, même la gauche a compris cela, taxer d’un côté, c’est percevoir moins en impôts d’un autre côté.
Par ailleurs, je signale que l’impôt sur la fortune qui n ’existe nulle part ailleurs est inique : un même revenu sur lequel il a été payé au départ des taxes sociales ou autres, est re taxé année après année indéfiniment. C’est pour cela que les contribuables ISF quittent le pays, c’est d’être taxé année après année sur la même chose.
Croire que nous allons régler les problèmes de la société par un relèvement des niveaux de prélèvement est un leurre : même la gauche l’a compris.
Mais pas vous.
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"Seriez vous d’accord de payer plus de 50% de vos revenus en impôts ?" Evidemment ! Parce que ceux qui sont assujettis à un taux aussi élevé gagnent des fortunes indécentes par rapport au niveau de vie moyen des gens (sans même parler des 11% de Français sous le seuil de pauvreté). Ils n’ont aucunement besoin d’autant d’argent, quand d’autres peinent à s’acheter à manger et à se chauffer. Ils doivent donc participer à la solidarité.
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Les élections démocratiques : Un simulacre
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@l’auteur
Je pense qu’il ne faut pas maintenir la confusion entre le libéralisme économique et le libéralisme politique. En fin de compte le premier est de droite est le second est de gauche. On peut même aller plus loin : le libéralisme économique est un anti-libéralisme politique, puisque la liberté économique, c’est à dire l’absence d’entraves à l’exploitation, signifie l’aliénation politique du plus faible, donc sa privation de libertés. (Allez un peu d’auto promo -> Economie de marché, le mythe de la liberté)
Que peut-on en conclure ? En terme de communication (il s’agit bien de cela finalement) que la droite a volé le mot "libéralisme", à connotation forcément positive pour l’electorat puisqu’il contient "liberté", à la gauche. Et finalement que fait Delanoë ? Il se réaproprie le terme de "libéralisme". Il réaffirme que la liberté est une valeur fondamentale de la gauche. Non pas la liberté (économique) d’exploiter les pauvres quand on est riche, mais la liberté (politique) du faible, celle qu’il faut protéger de l’oppression. Il ne se dit pas pour le libéralisme économique qui maintient l’oppression mais pour le libéralisme politique qui la ocmbat et insiste sur le fait de redonner du pouvoir au salarié. En jouant sur le mot "libéralisme" volé par la droite, il réaffirme donc des valeurs qui sont réellement de gauche. Si l’on comprends la distinction entre les différents libéralismes, c’est clair et net.
J’avoue ne pas connaitre précisemment ses positions économiques, et j’en serai peut être déçu s’il suit des positions plutôt "libérales". Bien sûr tout ceci est de la pure communication : ces déclarations sont déjà des déclarations de campagne et il faut les considérer comme telles... Mais ceci dit, sur ce qu’il a déclaré recemment sur le libéralisme politique, je ne peux que le suivre.
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Cher Quen_tin, bien d’accord avec tout ce que vous dites, sauf que Delanoë a expressément dit : "Si les socialistes du XXIème siècle acceptent enfin pleinement le libéralisme, s’ils ne tiennent plus les termes de “concurrence” ou de “compétition” pour des gros mots..." Ces deux termes renvoient directement au libéralisme économique.
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Voici la déclaration d’un antisémite qui prétend que ses enfants sont juifs !!!
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Vos crachats sionistes sont insupportables.Qui viole les résolutions de l’ONU, qui ont fixé des frontières qu’Israël refuse ? Qui a encore construit il y a deux mois une nouvelle colonie illégale ? Qui a utilisé au Liban des bombes à fragmentation et sous-munitions, interdites par la Convention de Genève ? Qui opprime Gaza, la plus grande prison du monde ?
Pour justifier la "lutte contre le terrorisme", un Etat viole les conventions internationales et maintient dans la misère, l’humiliation et l’asservissement un peuple. Je serais juif (comme le sont mes enfants), j’aurais honte d’Israël.
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@ l’hystérique : je ne suis pas antisémite et oui, ne vous déplaise, mes deux enfants sont juifs.
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à Olivier Bonnet
merci pour la dédicace !
Au sujet de l’article, un autre client sérieux, genre mesquin sans frontières...
Kouchner : "je suis de gauche"Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, ancien socialiste entré dans un gouvernement de droite en 2007, a assuré ce soir qu’il était bien toujours "de gauche".Une conférence de presse commune à Bruxelles a donné lieu à un échange particulièrement détendu entre le ministre français de la Défense Hervé Morin et M. Kouchner, interrogé sur une éventuelle nomination du socialiste espagnol Felipe Gonzalez comme premier président de l’UE.- "Ca me réjouirait parfaitement (que M. Gonzalez soit nommé) parce que moi je suis de gauche !", a déclaré M. Kouchner.- "Ah bon ?!", lui a lancé M. Morin, qui est lui du centre-droit, sous les rires des journalistes.- "Ah oui oui, moi je suis de gauche, je n’arrive pas à m’en défaire", a répondu son collègue
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@ F. Lyon,
Israel n’est qu’un porte-avions américain importé au coeur du Moyen-Orient par la violence de la colonisation et par la volonté de l’ONU représentant politique mondial des superpuissances qui font voter leurs valets comme elles le souhaitent... D’ailleurs cette "démocratie" mondiale dispose d’un droit de veto pour les 5 grands qui empêchent la majorité des Nations d’exprimer leur volonté...
La gauche du PPF dites-vous, alors que ce dernier était totalement sous la direction de Doriot, "le chef", soutenu par les Allemands et une partie importante du capital financier français.
Le "chef" était clairement antisémite comme toute son organisation... Il ne vous aura pas échappé que la gauche de cette époque, engagée dans la résistance, n’a fait aucun cadeau au PPF...
Je suis d’extrême gauche et pour ma part je considère Doriot comme un ignoble salaud... Par contre j’ai une admiration sans bornes pour Georges Guingouin ce dirigeant des FTP qui fut exclu du PC et que j’ai eu l’honneur de rencontrer, comme beaucoup d’autres d’ailleurs...
Par ailleurs la création de l’État d’Israel eut été impossible sans le vore favorable à l’ONU de la Nomenklatura soviétique, dirigée à l’époque par Staline, qui n’hésita pas à dépouiller les Palestiniens de leurs terres pour faire pièce à l’Angleterre dominant alors la région... Ce que ne rappellent jamais les sionistes ni, bien sûr, les partisans du capitalisme d’État soviétique...
Cette question politique est beaucoup plus complexe que la caricature que vous exposez en permanence.
Par ailleurs sachez que plusieurs dirigeants de l’extrême gauche sont juifs. Alain Krivine (caché pendant la guerre alors qu’il était enfant) Maurice Rasjfus (arrêté lors de la rafle du Vel d’hiv avec ses parents qui ne reviendront pas) ou Daniel Bensaîd pour les plus connus...
Bref vos dires sont méprisables...
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mouai... au final je n’en vois pas un qui tiend la route
pour moi la "vrai" nouvelle génération viendrait plutôt des Manuel Vals & co
à suivre...
Julien du site sortir à paris-
Ah non pas Valls ! Il n’est pas de gauche. Si vous voulez un jeune, citez Benoît Hamon.
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