Effectivement, et des zones entières ont été complètement dépeuplées. Par exemple, les territoires ducaux situées entre Rémilly, Sarrebourg et Château-Salins ont dû être repeuplés de picards, appelés par le duc de Lorraine, ce qui a d’ailleurs entraîné la romanisation de certains toponymes : le franc Brehingen a par exemple donné le picard Bréhain.
Le duc de Lorraine et le Maître Échevin de Metz ont participé pendant tout le Moyen-Âge à la Diète d’Augsbourg, où se faisait l’élection du Kaiser (qui vient de César, de même que le mot « Tsar »).
En ce qui concerne les aires urbaines proprement dites de Metz et Thionville, l’insee donne un total de près de 600000 habitants.
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=17&ref_id=15790#art1
Je n’ai pas trouvé de données concernant l’aire urbaine de Nancy.
Et puis l’aire urbaine Metz-Thionville fait actuellement plus de 700000 habitants, celle de Nancy plus de 500000 habitants
hhttp://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=17&ref_id=18284#art3
Ouais... Tout cela est bien approximatif ! La lorraine existait bien avant Charles le Téméraire, avec une ville libre et commerçante (Metz) et un duc de Lorraine cherchant à la récupérer (guerre des 4 Seigneurs) jusqu’à ce qu’il quitte son oppidum provisoire de Sion pour Nancy.
Et puis Cattenom est sur la Moselle, Arcelor-Mittal a une usine à Florange (ne pas confondre avec Fleurance dans le Gers.
Cette vision angélique de la révolution Française semble bien surannée.
En fait, le pouvoir est passé de la richesse immobilière à la richesse mobilière.
Le « Quart État », c’est-à-dire les ouvriers et les paysans, n’avaient strictement rien à dire, sauf peut-être avec Robespierre.
D’ailleurs Sieyes récuse la démocratie réelle pour lui substituer la notion de gouvernement représentatif. En fait les riches veulent gouverner seuls, et cela dès 1789.
En fait, Aquaro et al. ont montré que l’existence du VIH dépendait de la présence de peroxynitrites, et donc, que Luc Montagnier est dans le vrai lorsqu’il parle du stress oxydant qui accompagne le VIH.
D’ailleurs, les bons antirétroviraux, le 3TC, le lopinavir, voire l’organophosphoré ténofovir sont tous des réducteurs et donc vont réduire les peroxynitrites, ce qui revient à supprimer le VIH. C’est ainsi qu’ils fonctionnent, et non pas en remplaçant un nucléotide.
La publi de Huang est tellement en contradiction avec les règles classiques de la chimie qu’on se doit d’envisager un mécanisme dans la droite ligne des propos de Luc Montagnier.
Tout cela implique que l’apparition du VIH est très certainement liée à l’action de substances permettant la formation massive des peroxynitrites : poppers,..., mais aussi à l’absence de réducteurs de ces peroxynitrites (glutathion,...)
Effectivement, nos « commerciaux » et « managers » manquent singulièrement d’humanités (avec un « s » je vous prie).
Avant 68, la section A’ permettait de suivre les conseils de Montaigne. Le lit-on encore d’ailleurs ?
Cela devrait convaincre les usagers de prendre les transports en commun.
Si on étudie en détail les publications concernant les réactions du dichlore avec les composés organiques, dont l’urée, on constate la formation, non seulement de chloramines (il y en a trois différentes), mais aussi de dérivés chlorés organiques (chlorométhane par exemple), qui sont très sensibles aux composés azotés tels que les bases de l’ADN. Celui-ci peut donc être alkylé et donner lieu à des mutations.
Nous avons été confronté à ce problème à propos de d’une « mystérieuse » maladie de vaches prime holstein, le « dépérissement de la vache prime holstein », ainsi que la nomme Madame Brugère-Picoux, docteur en biologie travaillant à Maison Alfort.
Notre hypothèse de travail s’est basée sur des observations simples du comportement du troupeau ainsi que des troubles affectant les exploitants. Nous en avons déduit que la cause de ces troubles pouvait être les produits de lavage des installations de traite qui étaient déversés après usage dans le lisier au-dessus duquel paissaient les vaches. (méthode appelée caillebotis-logettes). Parmi ces substances, de l’eau de javel le soir, et de l’acide nitrique le matin.
Nous avons contrevenu aux réglementations européennes à titre expérimental pour vérifier cette hypothèse (en créant une lagune de réception pour ces eaux), ce qui a permis sans aucun doute possible de conclure que tout provenait du mélange de ces composés avec les produits organiques contenus dans le lisier.
Nous avons donc battu la « campagne » pour trouver un substitut inoffensif à ces composés oxydants, et notre choix (raisonné) s’est posé sur l’acide peracétique, qui a des propriéts oxydantes et donc désinfectantes proches de celles de l’eau oxygénée. Il a été possible d’injecter sans effet nocif ce composé dans le lisier et donc de respecter la règlementation européenne.
Les conséquences immédiates de cette modification ont été :
- moins de frais de vétérinaire
- moins de perte d’animaux
- un lait de bien meilleure qualité
finalement tout ce qui permet à une exploitation de bien se porter.
Cependant, lors de nos investigations, nous nous sommes rendu compte que cette maladie touchait aussi d’autres types d’exploitations laitières, essentiellement dans des zones où l’eau d’alimentation des animaux (ceux-ci peuvent en consommer jusqu’à 100 L par jour) était fournie par les concessions qui avaient forcé sur la dose de chlore (acide dichloroisocyanurique).
Bien entendu, le ministère de l’agriculture est resté sourd à nos données expérimentales...cela vous étonne-t-il ?
Que Mélenchon mette fin au concordat, cela est à mon avis une bonne chose pour la foi chrétienne. Napoléon l’avait instauré pour assurer sa mainmise sur les catholiques français et éviter qu’ils ne remettent en cause la domination de la bourgeoisie.
Les statistiques indiquent que la Moselle est le département où le sentiment d’appartenir au catholicisme est le plus fort (81% de la population, sondage IFOP 2007).
Cependant la foi y est-elle plus vivante qu’ailleurs ou est-ce un catholicisme sociologique ?
Réfléchissons aux chiffres suivants :
Moselle (1 Mo d’habitants) : 150 jeunes aux JMJ
Meurthe et Moselle (750000 hab) : 300 jeunes aux JMJ
D’autre part l« enseignement religieux » officiel en collège et lycée n’est plus qu’un enseignement, alors que dans le reste de la France, les aumôneries peuvent sans problème aborder la vie chrétienne.
Le problème de la suppression du concordat ne concernera pas la vivacité de la foi, mais la vie des prêtres qui risque d’autant plus d’être difficile que le denier du culte n’existe pas en Alsace-Moselle, ou si peu.
Un chercheur en biologie végétale me faisait part d’une observation étrange : lors d’un croisement entre espèces (pour obtenir par exemple des espèces plus résistantes), il n’apparaissait de virus que lorsque ce croisement était obtenu en laboratoire, en utilisant les milieux de culture classiques. Dans la nature, ce virus n’apparaissait pas.
Je me suis demandé si le milieu de culture en lui-même ne pourrait pas être une des causes de l’expression virale.
Par exemple, Aquaro a montré que la réplication du VIH dépendait de la présence d’oxydants azotés dans le milieu de culture.
Or dans ces milieux, on retrouve souvent deux oxydants azotés : les nitrates et les azotures (qui tue les bactéries).
Est-ce que finalement ces virologues ne se sont pas trompés eux-mêmes à cause de leur trop grande confiance dans les milieux qu’ils utilisent ?
Peut-être est-ce là une des plus grandes erreurs scientifiques des deux siècles passés.
Intéressante, Dr. Lacaze, ces constatations du Dr. Gernez, et en particulier l’importance du fer dans l’évolution de cette maladie.
Mais ce n’est encore qu’une approche très superficielle du problème : en quoi le fer peut-il interférer avec le processus cancéreux. Quel est le processus physicochimique qui sous tend ces observations ? Il me semble que c’est par manque d’approfondissement de ces phénomènes que l’on pèche, se rassurant avec des résultats « statistiquement » vérifiés dans les cures de chimiothérapie, sans toutefois, là encore, comprendre exactement ce qui se passe.
J’ose esquisser ici une hypothèse. Le nettoyage des cellules cancéreuses semble passer par l’apoptose cellulaire. Celle-ci est le fait d’un processus complexe mettant en jeu diverses enzymes (caspases,...), mais aussi NO-synthèse, qui sont à l’origine d’une des molécules les plus oxydantes qui soit, le peroxynitrite. La NO-synthase étant un enzyme hémique, donc à base de fer II, le lien semble logique.
A noter aussi que les composés chimiques très cancérogènes (benzopyrène, N,N-diméthylaniline, toluidines,...) consomment extrêmement rapidement les peroxynitrites.
Pour plus d’informations en béton :
Bonjour,
S’il y a destruction des gènes, il faut peut-être se demander pourquoi.
Il est par exemple intéressant de savoir que ces cellules cancéreuses sont riches en composés réducteurs tels la cystéine, bien plus riche que ne le sont les cellules normales. Or l’élimination des cellules cancéreuses par le processus normal d’apoptose est le fait de composés oxydants (par exemple les peroxynitrites). La présence anormale de cystéine peut expliquer que ces oxydants ne peuvent pas faire leur travail de nettoyage.
L’excès de cystéine peut également conduire à la rupture de certains ponts disulfure des protéines impliquées dans cette apoptose. Peut-être est-ce simplement au regard de la structure dégradée de ces protéines que l’on (Peter Deusberg) a supposé que le génome était abîmé. De toutes manières le déséquilibre de la balance oxydant-réducteur de la cellule peut aussi affecter les bases puriques (excès d’oxydant) ou pyrimidiques (excès de réducteur).
Cela ne remet-il pas en question la nature exogène de certains assemblages protéiques, tels que les virus ?
<Tout ceci est peut-être en rapport avec une révolution dans la conception de la pathogénèse du cancer qui montre le bout de son nez avec cet article :
http://the-scientist.com/2011/07/06/radical-reversal/
En effet, il semble de plus en plus évident que le cancer se développe par déficit en apoptose (suicide cellulaire), qui est provoquée par certains composés radicalaires ou provenant de radicaux (comme les peroxynitrites). La vieille théorie supposant que les antioxydants préviennent le cancer est de plus en plus battue en brèche par les faits.
Or le dichloroacétate (ou dichloroéthanoate) peut libérer très facilement des radicaux chlore Cl°, qui sont des très bons oxydants.
La connaissance des phénomènes d’oxydoréduction cellulaires est encore insuffisante, mais je gage que dans quelques années, on se sera rendu compte que la maladie en général correspond à un déséquilibre de ce système rédox.
Tu oublies cependant une catégorie qui risque de passer à la trappe malgré sa fréquentation : les trains Lunea.
Il existe également des rames RRR en fin de course sur certaines lignes.
LOL ! Et le scandium, qui, même s’il présente le même remplissage électronique de la couche de valence que le lanthane, n’est généralement assimilé qu’à un métal de transition !
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