Dans le puit sans fond que constitue la societe francaise actuelle, le redacteur de cet article a bien raison de ne s’attacher qu’a la forme. Cette interview n’est en effet qu’un exercice de style, ou seule compte la forme ou, plutot, l’informe, porter des tennis etant le sommum de la vulgarite pour une femme. D’ailleurs, la premiere fortune de France et la 17eme fortune mondiale a de qui tenir. Car, n’en deplaise a certains, le pere de cette mafieuse mondaine, un certain Schueller, etait d’origine modeste et dut beaucoup a Vichy. Comme le rappelle J. Toland dans son « Hitler », Petain s’etait endormi ou avait feint de s’endormir pendant la fameuse entrevue qu’il eut avec A. Hitler dans un train a Montoire en 1940, au moment meme ou le chancelier allemand lui demandait une collaboration totale avec le III Reich.
“Pour
moi, le type le moins consensuel à la télévision,
le seul à prendre des risques considérables,
c’est Eric Zemmour.” (Frédéric Taddeï)
Etant donne ses origines, il faut etre naif pour s’imaginer que Zemmour prend des risques. Il est « couvert ».
"L’Espagne n’a pas tant besoin d’un changement de Gouvernement que d’un consensus large et de toutes les parties et des classes sociales en faveur d’une dévaluation intérieure substantielle.«
Les politicards, quelles que soient leurs couleurs, n’etant que des valets de la haute finance apatride, il est bien evident q’un enieme changement de gouvernement ne changera rien a la donne. Ca donnera juste l’impression a la populace que »ca va changer" et, naturellement, la populace y croira. Quant aux economistes responsables, ils continueront a nous expliquer qu’il faudrait que les Etats refusent d’eponger les dettes des grandes banques et les nationalisent toutes. Chose absolument impossible dans l’etat actuelle des choses :
La domination des banquiers au coeur des étatsLa seule solution a la crise actuelle est de purger les gouvernements des agents de la haute finance apatride qui les composent. Autant dire qu’il n’y a aucune solution de fait, puisque la populace, d’election en election, continue a confier le pouvoir a ces agents.
« Mon cher Jean Carrere, ecrivait Sir A.C. Doyle a ce correspondant du Temps lors de la guerre du Transvaal, vous n’etes pas juste pour le peuple et les politiciens anglais. C’est le cri populaire sur le continent, de dire que la guerre est faite a propos des mines d’or. C’est superficiel et absurde. Croyez-vous que dans ce pays nous soyons contents de risquer notre vie et notre argent pour saisir des mines qui, quoi qu’il advienne, ne sont pas a nous mais a certains capitalistes pour la plupart Juifs ou Allemands - ou tous les deux ? » (in « Israel contre les nations », G. Batault, introduction de L. de Poncins. G. Beauchesne et ses Fils, 1939)
A cet egard, une grande partie de l’oeuvre de L. de Poncins - dont, signe des temps, le fils a rejoint le clan de ses ennemis - ne cesse de gagner en actualite.
Il est sain de toujours voir les choses a un point de vue national, mais c’est neanmoins oublier que les politicards qui sont a la tete de la plupart des pays sont des valets des forces dites mondialistes, pour lesquelles il n’existe plus de nations (europeennes) et qui sont en train de detruire les nations (europeennes).
Chasses d’Espagne au XVe, ils ont gagne le Portugal et les Pays-Bas, puis l’Angleterre, dans les decennies qui ont suivi et, comme par hasard, le Portugal, les Pays-Bas et l’Angleterre sont devenus les trois principales puissances imperialistes dans les siecles qui ont suivi. L’Espagne n’a pas tarde a suivre, car, en fait, beaucoup d’entre eux, bien que chasses, n’avaient pas mis longtemps a revenir. Aujourd’hui, les Etats-Unis sont plus que jamais leur « terre promise ».
Ne jamais perdre de vue ceux qui se cachent derriere les imperialismes europeens et, en particulier, derriere, l’imperialisme anglo-saxon.
La Rome imperiale n’a jamais songe a conquerir le monde. L’Allemagne nationale-socialiste considerait que le national-socialisme etait strictement reserve a l’Allemagne et au peuple allemand ou, plus largement, aux peuples germaniques. En revanche, ceux qui se cachent derriere l’imperialisme dit anglo-saxon veulent conquerir le monde entier, conformement a une promesse soi-disant divine qui leur aurait ete faite il y a 3000 ans.
Toute religion devient un danger des lors qu’elle n’a aucune base
ethnique et que, donc, elle a des visees internationalistes. Cela,
l’histoire des monotheismes abrahamiques le prouve surabondamment.
« »At the « End of the World, » the believers of three
faiths will watch the same drama, but with different programs in their
hands. In one, Jesus is Son of God ; in another he is a Muslim prophet.
The Jews messiah is cast in the Muslim script as the dajjal - another
name for the Antichrist, the deceiver predicted by Christian
tradition. The infidels in one script are the true believers of
another."
Pour approfondir la question :
http://www.sott.net/articles/show/127860-The-Most-Dangerous-Cult-in-The-World-
"Si 11 joueurs blancs étaient chacun au top dans leur discipline, l’équipe de France serait 100% blanche."
Est-ce de la betise ou de la naivete, ou encore un melange des deux ?
Une fois encore, M. Le Pen prend trop de pincettes, se prenant les pieds dans des critiques politiquement correctes contre cette equipe.
Quiconque a des yeux peut s’apercevoir que cette equipe n’est nullement francaise et, de ce fait, ne represente absolument pas la France, tout juste la France occupee. De meme, il suffit d’avoir des yeux pour constater que la banquise est blanche et non, par exemple, verte.
"Selon l’eurobaromètre réalisé en 2009, l’Espagne est, parmi l’ensemble des pays européens, celui où la classe politique locale est considérée comme la plus corrompue (sur le plan national, la classe politique espagnole vient en troisième position parmi celles considérées comme les plus corrompues, après la Bulgarie et la Grèce)"
Disons que la corruption des politicards se voit moins en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Italie.
Chacun sait que les Yankees se sont servis des mafias locales pour envahir l’Europe avec la complicité des Bolcheviques il y a 65 ans et que, depuis, c’est cette lie qui est au pouvoir dans l’Europe occupée. Le parlement européen est un concentré de cette lie d’imposteurs, naturellement largement soutenue par une plèbe droguée aux médias.
Ce Juif de Naples n’est certainement pas le premier Juif qui se soit converti à l’islam pour des raisons plus ou moins « artistiques ».
Hillol, Hillal, Hillell, Hillialy, Hillela, Hillaly, Hillella, Hilal, Hilel, Hilaly, Frady, Fradette, Fragione, Frade, Fragano, Fradella, Frigon, Fraden, Fradin, Frediani (http://names.whitepages.com/Hillel/Fradkin)
"Les religions sont comme des routes différentes qui convergent vers un même point". : le point de non retour : le mondialisme.
Gandhi semble feindre d’ignorer que les religions abrahamiques (judaïsme, christianisme, islam) sont internationalistes par définition, alors que les cultes européens préchrétiens sont de nature - pour rester politiquement correct - ethnique - ; pour ne pas le rester - raciale (le genos, la gens). Gandhi n’y peut rien.
Correction : « pas étonnant que 8 receptionnistes sur 10 soient des femmes. »
Les métiers,
comme les poissons, se féminisent ou, plutôt, le secteur primaire et le secteur
secondaire, traditionnellement masculins, fondent comme neige au soleil, alors
que le secteur tertiaire, dans lequel la proportion de femmes ne cesse
d’augmenter, atteignant des taux record dans l’éducation et dans la
magistrature, connaît un essor exponentiel depuis la première guerre mondiale. Les
hommes étant partis au front, les femmes furent alors amenées à « remplir les
vides ».
Aussi paradoxal et ironique que cela puisse paraître, le féminisme, mouvement
pacifiste s’il en est, n’aurait jamais pu se propager en France et en Europe
(le cas de l’Angleterre est différent) sans la première guerre mondiale. Sans
la première guerre mondiale, les femmes auraient dû attendre la prochaine
(guerre) pour s‘installer sur le « marché du travail » en tant que concurrente
des hommes.
Ce n’est pas tout. Un certain site plus ou moins féministe remarque à juste
titre : « au milieu du XIXe siècle, la tendance est à remplacer la main
d’œuvre masculine dotée d’un savoir-faire par une main d’œuvre féminine non
qualifiée et donc moins onéreuse. Ce sera le début de la division du
travail entre les sexes » De même, après la seconde guerre mondiale, un nouveau
pas sera franchi : la tendance sera alors à remplacer la main d’œuvre
occidentale par une main d’œuvre tiers-mondiste moins onéreuse. Etc.
Au XIXe siècle, dans le secteur primaire et dans le secteur secondaire, la
féminisation des métiers correspond à une simplification des tâches liée
à l’introduction des machines. Au
XIXe siècle, dans le secteur tertiaire, la féminisation des métiers correspond
à une complication (une
« complexification », comme diraient les esprits compliqués imbus d’anglo-saxon)
des tâches liée à l’introduction de l’ordinateur.
L’enseignement, gangrené par un jargon pseudo-scientifique d’un pédantisme abyssal
digne des « femmes savantes » et par une rhétorique
pseudo-ésotérique de conciergerie digne des « femmes savantes », en
est un exemple typique : aucun véritable pédagogue n’a la moindre chance
de réussir des concours faisant appel à des qualités aussi cérébrales et, donc,
féminines que le CAPES ou l’agrégation, car ces concours sont taillés sur
mesure pour des individus hyper-cérébraux : les femmes composent actuellement
90% du personnel enseignant. Même dans l’hôtellerie, dans des métiers comme
celui de réceptionniste, les qualités humaines d’accueil disparaissent
progressivement au profit de « compétences » en informatique et en
statistiques : pas étonnant que 8 reconnaître sur 10 soient des femmes.
Dans une adaptation d’un roman de la médiéviste R. Pernoud qui se passe au
temps des croisades, le personnage principal, de retour dans son fief désormais
régi par des femmes, découvre, stupéfait, que, durant son absence, son fils
s’est efféminé au point d’avoir des penchants homosexuels et que sa fille
souffre d’un mal que, plusieurs siècles plus tard, on appellera la bovarysme.
Pour revenir directement au sujet de ce fil, sur un plan mental et spirituel, un individu de sexe masculin doté d’une solide
et saine hérédité horizontale et, surtout, verticale peut résister toute sa vie
aux valeurs intrinsèquement féminines de la religion des droits de l’homme et
de l’égalitarisme qui sont au fondement de la société occidentale moderne. En
revanche, il est peu probable que nourrisson il puisse résister aux œstrogènes
et aux anti-androgènes qui se trouvent dans sa nourriture et dans le
plastic dont sont faits les biberons où se trouve le lait qu’on lui donne à
boire et les bouteilles où se trouve l’eau qu’on lui donne à boire. Contre ce
type d’attaque biologique à son intégrité, le nourrisson est sans défense, de
même que, durant les 9 mois qu’il aura passés dans le ventre de sa mère, il
aura été sans défense contre les aliments bourrés d’œstrogènes et d’anti-
androgènes que celle-ci aura absorbés. Et, puisque l’eau du robinet est tout
aussi contaminée, il n’y a plus d’issue.
Pour la bonne bouche, un extrait des Lettres Persanes :
Lorsque j’arrivai en France, je trouvai le feu roi absolument gouverné
par les femmes, et, cependant, dans l’âge où il était, je crois que
c’était le monarque de la terre qui en avait le moins besoin. J’entendis
un jour une femme qui disait : "Il faut que l’on fasse quelque chose
pour ce jeune colonel : sa valeur m’est connue ; j’en parlerai au
ministre.« Une autre disait : »Il est surprenant que ce jeune abbé ait
été oublié ; il faut qu’il soit évêque : il est homme de naissance, et je
pourrais répondre de ses moeurs." Il ne faut pas pourtant que tu
t’imagines que celles qui tenaient ces discours fussent des favorites du
prince ; elles ne lui avaient peut-être pas parlé deux fois en leur vie :
chose pourtant très facile à faire chez les princes européens. Mais
c’est qu’il n’y a personne qui ait quelque emploi à la cour, dans Paris
ou dans les provinces, qui n’ait une femme par les mains de laquelle
passent toutes les grâces et quelquefois les injustices qu’il peut
faire. Ces femmes ont toutes des relations les unes avec les autres
et forment une espèce de république dont les membres toujours actifs se
secourent et se servent mutuellement : c’est comme un nouvel Etat dans
l’Etat ; et celui qui est à la cour, à Paris, dans les provinces, qui
voit agir des ministres, des magistrats, des prélats, s’il ne connaît les femmes qui les
gouvernent, est comme un homme qui voit bien une machine qui joue, mais
qui n’en connaît point les ressorts.
Crois-tu, Ibben, qu’une femme s’avise d’être la maîtresse d’un ministre
pour coucher avec lui ? Quelle idée ! C’est pour lui présenter cinq ou six placets tous
les matins, et la bonté de leur naturel paraît dans l’empressement
qu’elles ont de faire du bien à une infinité de gens malheureux qui leur
procurent cent mille livres de rente.
On se plaint, en Perse, de ce que le royaume est gouverné par deux ou
trois femmes. C’est bien pis en France, où les femmes en général
gouvernent, et non seulement prennent en gros, mais même se partagent en
détail toute l’autorité.
Il n’y a pas de fumée sans feu.
Comme d’habitude, l’article est très bon. L’image du messie » est particulièrement bien choisie.
Juste une chose. Qu’on le veuille ou non, la dette publique est un facteur extrêmement important dans la crise, laquelle crise ne date pas de 2006 comme voudrait nous le faire croire Généreux. La véritable crise débute, de façon embryonnaire, au moment où les Etats européens, à force d’emprunts nécessaires pour financer des guerres souvent déclenchées dans des conditions douteuses (on sait que des financiers comme J. Fugger (1459-1525), alors banquier de l’Autriche, financèrent souvent les deux parties en présence), sont passés sous le contrôle de la haute finance apatride. En France, on estime que la sphère publique est tombée aux mains de la sphère privée sous Napoléon 1er. A partir de ce moment-là, il ne s’agissait plus pour la haute finance apatride de faire du « lobbying », de devoir convaincre les représentants de l’Etat de faire des emprunts pour financer les dépenses publiques. Ayant la haute main sur l’Etat, elle pouvait y placer ses agents, ce que, néanmoins, elle n’a pu faire aisément qu’avec l’assujettissement de l’Europe à la démocratie à partir de la fin du XIXe siècle. C’est que, dans les monarchies européennes, l’aristocratie, en vertu d’un reste de droiture, rechignait encore à partager le pouvoir avec des boutiquiers. Même les pires rois de France, en dépit des besoins énormes de leurs maîtresses (souvenons-nous, par exemple, de la Poisson qui pilla presque le trésor public), avaient toujours fait passer in extremis l’intérêt général avant les intérêts privés. Sous Francois-Joseph 1er d’Autriche, un matin, les membres du conseil des ministres remettent leur démission collective à l’empereur, lequel leur en demande immédiatement la raison ; le premier ministre lui explique alors qu’il ne saurait être question pour eux de siéger avec des bourgeois - que Francois-Joseph, pressés par ses créanciers, avait été contraint de faire entrer dans le gouvernement - arguant du fait que soit l’on sert l’Etat, soit l’on se sert de l’Etat et qu’il n’y a pas de demi-mesure. Tout ceci eut lieu il y a 130 ans. Depuis, on a l’impression de ne plus être sur la même planète, tant, comme on dit, les mentalités ont changé.
Revenons-en à la dette publique, creusée sans cesse par les agents gouvernementaux et parfois même présidentiels de la haute finance apatride. Eh bien, sait-on pour combien les coûts de l’immigration extra-européenne entrent dans la dette publique ? Non. Car on ne veut pas le savoir. Ces coûts sont astronomiques (http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache%3AZ2DXuMfDyRcJ%3Awww.fn44.com%2Fdocuments%2Fmonographie_cout_immigration.pdf+%22cout+de+l%27immigration%22&hl=fr&gl=fr) Selon cette étude, les coûts fiscaux et sociétaux imputables à l’immigration s’élèvent en France à 12,8 d’euros. Le bilan des dépenses concernant l’immigration est de 71 milliards d’euros.
De combien est-il pour la Grèce ?
Je n’en sais rien, mais, compte tenu des chiffres suivants (2008) :
Currently it can be safely estimated that there are 1 million illegal immigrants “in transit” from Turkey to Europe and many of them will end up in Greece and allocate themselves in the newly founded ghettos in the centre of Athens, in the port of Patras or in various locations in the countryside, thus adding up to the 2.5 million illegal aliens already present in Greece. http://www.rieas.gr/index.php?option=com_content&view=article&id=812&catid=37&Itemid=64
Il est fort probable qu’il soit également astronomique.
Chacun sait ce qu’il advient d’une poule à laquelle on a coupé la tête : elle déambule frénétiquement pendant quelques minutes avant de s’effondrer sur le sol et de mourir. Le monde occidental actuel est une poule à qui l’on a coupé la tête - le politique - et à qui ne reste plus que le corps - l’économie.
A cet égard, il est amusant et, en même temps, pathétique d’entendre le socialiste Généreux nous asséner (http://www.agoravox.tv/actualites/economie/article/jacques-genereux-vers-le-chaos-26316) avec brio que l’esprit de Munich serait de retour et que cet esprit s’incarnerait dans l’incapacité de l’UE à faire face à ses responsabilités en déclarant la guerre aux spéculateurs. Traduire : l’UE serait en gros les bons démocrates et les spéculateurs les « méchants nazis ». Or, malgré les indéniables et consciencieux efforts des libéraux-marxistes qui gèrent l’Europe marshallisée depuis 1945 pour faire renaître de leurs cendres le national-socialisme et le fascisme à travers des mouvements créés de toutes pièces par les barbouzes du système libéralo-marxiste (de Fini à Wilders en passant par la soi-disant extrême droite allemande), le fait est que le national-socialisme et le fascisme sont bien morts et que le système actuel en Europe est celui qui a été imposé par les vainqueurs de la seconde guerre mondiale ; un coup d’œil, par exemple, à la courbe du chômage suffit à le démontrer. Généreux, en défenseur et partisan du système qui est sorti tout droit de la seconde guerre mondiale, n’a donc pas l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que la situation politique, économique et sociale actuelle n’a rien à voir avec le fascisme ou le national-socialisme, régimes qui préconisaient tous deux la subordination de l’économie au politique. Généreux, de temps à autre, a tout de même des éclairs de lucidité. Par exemple, lorsqu’il glisse en gloussant que les Etats sont actuellement, d’une certaine façon, les alliés des spéculateurs et que l’Etat actuel est un Etat privé. Bien entendu, il change vite de sujet et revient à sa doxa démocratique.
Il revient vite à sa doxa démocratique parce qu’il n’a pas envie de constater que l’ »Etat privé » auquel il fait allusion est exactement ce qui, sous le stalinisme, s’appelait le capitalisme d’Etat et parce qu’il lui répugne de noter qu’une grande partie des politicards actuels sont des transfuges de grandes compagnies, qui, lorsqu’ils ont fini leur sale boulot, qui en tant que président de la république , qui en tant que premier ministre, qui en tant que ministre, sont réintégrés dans ces grandes compagnies multinationales. De Pompidou à Lagarde, de Balladur à Blair, la liste est longue, très longue de ces politicards qui viennent du privé et, plus particulièrement, de la haute finance internationale apatride.
Depuis Napoléon 1er, l’Etat français est le créancier
de la haute finance apatride et, à ce titre, n’a quasiment plus aucune marge de
manœuvre. Depuis que la haute finance apatride a mis le grappin sur les Etats européens,
celle-ci a placé des hommes à elle au sommet de ceux-ci et, naturellement, les
a chargés de les endetter toujours plus. Depuis, on va de hold-up en hold-up. Si
l’administration sarkoziste a accepté de prêter 12 milliards à la Grèce, on le
sait, c’est uniquement parce que la Grèce ne parvenait plus à honorer ses
achats d’armes aux grandes compagnies « françaises ». Ces 12 milliards,
ils sortiront de la poche du contribuable français hyper-endetté, mais, une
fois remboursés par la Grèce, ils rentreront dans les caisses de ces compagnies
« françaises ».
Bien entendu, Généreux ne dit absolument rien du coût astronomique de l’immigration.
En Europe, de la Grèce antique jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, le bourgeois et, en général, le commerçant fut un individu méprisé par une grande partie de l’aristocratie ainsi que par une grande partie des peuples, non encore convertis – et pour cause - au marxisme. Il faudra attendre Louis XIV, fossoyeur de la noblesse d’épée et, donc, du vieil esprit traditionnel européen, pour que l’aristocratie soit autorisée à faire du commerce. Or, au XVIIe siècle, cela faisait déjà des siècles que les Asiatiques de quasiment toutes les classes sociales – sauf en Inde, marquée par le régime des castes instaurés par les Indo-Européens – s’adonnaient au commerce.
D’Esope (L’estomac et les pieds) à Aristote, de Tite-Live à J. de la Fontaine (Les membres et l’estomac), tous les grand esprits européens, artistes et hommes politiques, considérèrent toujours le commerce comme une activité indigne d’un homme digne de ce nom. Il est grand temps de prendre du recul et que ceux qui sont toujours capables de prendre du recul et de remettre les choses dans leur contexte rappellent que les « businessmen », tout célébrés qu’ils soient aujourd’hui, furent vus, de l’antiquité à la fin du moyen Moyen Âge européen, comme des moins que rien, des « hors caste ». Signe des temps, la présidente de l’Inde actuelle est une sûdra, c’est-à-dire un individu extrait des basses classes.
« Le pain et les jeux », on l’oublie souvent, sont payants aujourd’hui, même au Viet Nam. Dans la Rome antique, tout cela était gratuit et de nombreux patriciens évergètes s’y ruinèrent.
Le pire, actuellement, au Viet Nam et ailleurs, ce n’est pas tellement qu’une minorité réussissent économiquement par les moyens les plus sournois, les plus déloyaux, les plus
bas, les plus noirs. Le pire, c’est que des milliards d’individus hollywoodisés jusqu’à la moelle rêvent d’en faire de même, à la première occasion.
En parlant des Asiatiques, A. de Gobineau qui les connaissait bien disait à juste titre
« C’est une populace et une petite bourgeoisie que tout civilisateur désirerait choisir pour base de sa société : ce n’est cependant pas de quoi créer cette société ni lui donner du nerf, de la beauté et de l’action. » Et il faut n’avoir vu l’Asie qu’en touriste ou être aveugle pour ne pas se rendre compte de la justesse des remarques de cet homme sur les Asiatiques.
Capitalisme, communisme, les deux revers d’une même médaille, celle de l’économisme : le fait de placer l’économie - donc, le ventre - au centre de tout et d’en faire un absolu.
L.’UE est comparable a une cordée menée par une poignée d’alpinistes suicidaires suivis d’un paquet d’alpinistes inexpérimentés et d’une foule de randonneurs du dimanche insouciants dont c’est la première ascension.
Pour le dire autrement, les pays occidentaux sont gérés par des politicards dont l’idéologie, ou la religion, est le mondialisme et, forcément, ils appliquent leur programme et suivent leur credo à la lettre : il s’agit pour eux, de l’extrême gauche à la droite dite libérale, de détruire l’Etat-nation afin de le substituer par un gouvernement mondial. Les Européens persistent à leur confier au suffrage universel le pouvoir politique. La situation est donc absolument inextricable.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération