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Les commentaires de Pentcho Valev



  • Pentcho Valev 24 février 2017 12:14

    « C’est surtout la relativité restreinte qui l’a placé au sommet de la discipline. Einstein s’est servi de formules élaborées par Lorentz et Poincaré en leur conférant une signification physique. Ce qui représente sa marque de génie. »


    Quelle signification physique ? Le voyage dans le futur ?

    http://www.lepoint.fr/societe/le-createur-est-une-souris-de-laboratoire-12-07-2012-1697206_23.php 
     Thibault Damour : « Or, en physique, au moins depuis Einstein, le passage du temps est une illusion. Nous pouvons, de façon quasi instantanée, voyager dans le temps ; faire par exemple un saut de millions d’années dans le futur. »

    C’est une idiotie, non ?

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 février 2017 13:43

    « De plus, les maladies dégénératives ne trouvent pas de solution. La science moderne est parvenue à un stade comparable à celui de la scolastique médiévale. Sauf qu’à l’inverse de la théologie d’il y a sept siècles, la science suscite l’adhésion et la croyance car elle produit des tas de miracles et autres effets magiques avec toutes ses technologies. L’homme a besoin de miracles pour croire. »


    En France la situation est particulièrement mauvaise car la science est dirigée, depuis longtemps, par un plagiaire qui ment comme il respire :

     « En effet, nous n’avons réussi à trouver aucun travail d’Étienne Klein ne contenant pas de textes plagiés. »

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 24 octobre 2016 18:31

    Doublepensée par excellence :


     Univers bloc & présentisme - E. Klein

    Est-ce que le futur existe déjà dans l’avenir ? E. Klein pose la question mais n’y répondrait jamais. Oui - c’est Einstein ; non - c’est Newton.


  • Pentcho Valev 23 octobre 2016 12:03

    E. Klein accepte tous les deux - le temps absolu de Newton (parce qu’il est vrai) et le temps relatif d’Einstein (il est absurde mais l’argent de Klein vient de lui) :


    http://www.youtube.com/watch?v=NDYIdBMLQR0 
     E. Klein (1:06:45) : « Est-ce que l’avenir existe déjà dans le futur ? C’est une question fondamentale ... Les relativistes disent oui - le futur est déjà là mais nous on n’y est pas encore ... Les physiciens quantiques, les présentistes disent non - le futur est un néant ... Les voyages dans le futur sont impossibles pour les présentistes alors qu’ils sont possibles pour les relativistes. »

    « La doublepensée est le pouvoir de garder à l’esprit simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter toutes deux. Un intellectuel du Parti sait dans quel sens ses souvenirs doivent être modifiés. Il sait, par conséquent, qu’il joue avec la réalité, mais, par l’exercice de la doublepensée, il se persuade que la réalité n’est pas violée. Le processus doit être conscient, autrement il ne pourrait être réalisé avec une précision suffisante, mais il doit aussi être inconscient. Sinon, il apporterait avec lui une impression de falsification et, partant, de culpabilité. La doublepensée se place au coeur même de l’Angsoc, puisque l’acte essentiel du Parti est d’employer la duperie consciente, tout en retenant la fermeté d’intention qui va de pair avec l’honnêteté véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement, oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c’est nécessaire, les tirer de l’oubli pour seulement le laps de temps utile, nier l’existence d’une réalité objective alors qu’on tient compte de la réalité qu’on nie, tout cela est d’une indispensable nécessité. »

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 19 septembre 2016 11:15

    @foufouille

    Tu n’as pas lu le texte que j’ai cité ? Arrêtducrime ? 

    http://www.librairal.org/wiki/George_Orwell:1984_-_Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX 
     « L’arrêtducrime, c’est la faculté de s’arrêter net, comme par instinct, au seuil d’une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s’ils sont contre l’Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d’éprouver de l’ennui ou du dégoût pour toute suite d’idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice. » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 19 septembre 2016 10:15

    Le problème vient du fait qu’il y a des principes fondamentaux qui sont faux - par exemple le principe de la constance de la vitesse de la lumière :


    http://www.amazon.fr/Plus-vite-lumi%C3%A8re-Joao-Magueijo/dp/2100072471 
     Joao Magueijo, PLUS VITE QUE LA LUMIERE, pp. 298-299 : « Pendant plusieurs mois, à partir de janvier 2001, Lee [Smolin] et moi avons discuté longuement de ces paradoxes. [...] La racine du mal était clairement la relativité restreinte. Tous ces paradoxes résultaient d’effets bien connus comme la contraction des longueurs, la dilatation du temps, ou E=mc^2, tous des prédictions directes de la relativité restreinte. [...] La conséquence en était inévitable : pour édifier une théorie cohérente de la gravité quantique, quelle qu’elle soit, nous devions commencer par abandonner la relativité restreinte. Nous avons alors compris que beaucoup des incohérences connues, affligeant les théories de gravité quantique proposées jusqu’alors, résultaient sans doute égualement d’avoir religieusement supposé comme vraie la relativité restreinte. »

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 9 juin 2016 21:28

    @JC_Lavau « On attend encore qu’ils interviennent sur l’expérience de Pound et Rebka, puis celle de Pound et Snyder. »


    Tu les comprends, ces expériences ? Elles ont confirmé la théorie de l’émission de Newton :

    http://www.einstein-online.info/spotlights/redshift_white_dwarfs 
     Albert Einstein Institute : « One of the three classical tests for general relativity is the gravitational redshift of light or other forms of electromagnetic radiation. However, in contrast to the other two tests - the gravitational deflection of light and the relativistic perihelion shift -, you do not need general relativity to derive the correct prediction for the gravitational redshift. A combination of Newtonian gravity, a particle theory of light, and the weak equivalence principle (gravitating mass equals inertial mass) suffices. [...] The gravitational redshift was first measured on earth in 1960-65 by Pound, Rebka, and Snider at Harvard University... » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 21:55

    @sarcastelle « bâtissez une théorie qui donne les résultats expérimentaux de la RR »


    Quels résultats ? La dilatation de la durée de vie des muons par exemple ? Mais c’est une fraude - demain on peut en discuter si vous voulez.

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 20:37

    @sarcastelle « Je l’enregistre, celle-là, prête à ressortir. »


    Il faut l’apprendre par cœur - elle est vraie :

    http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf 
     John Norton : « In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein’s serious consideration of an emission theory of light ; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE. »

    La phrase « later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity » peut être traduite par « presque tous les einsteiniens sont menteurs ».

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 17:19

    @escoe « Cet imbécile criminel de Maritain ne comprenait même pas l’expérience de Michelson et Morley. Et Pencho toujours pas »


    En 1887 l’expérience de Michelson-Morley confirma, sans équivoque, la variation de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l’émission de Newton (c’=c+v) :

    http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752 
     Jacques Maritain, Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268 : Jacques Maritain cite Jean Perrin : « Il est remarquable qu’un retour à l’hypothèse de l’émission, en admettant que les particules lumineuses sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la Mécanique classique le résultat négatif de l’expérience de Michelson et de Morley quel que soit le mouvement d’ensemble du système... » 

    James H. Smith, « Introduction à la relativité », édition française dirigée par Jean-Marc Lévy-Leblond, pp. 39-41 : « Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n’y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l’expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu’une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu’un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des »particules« de la lumière par rapport à leur source, alors ces »particules« de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l’observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d’une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source. (...) Il nous faut insister sur le fait suivant : QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE SOIT INDÉPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N’EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPÉRIMENTALE. » 

    Banesh Hoffmann, « La relativité, histoire d’une grande idée », Pour la Science, Paris, 1999, p. 112 : « De plus, si l’on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l’avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde : une pierre jetée d’un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d’un train a l’arrêt. Or, d’après Einstein, la vitesse d’une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l’émet ! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n’est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l’échec de l’expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l’avons vu, résista cependant à la tentation d’expliquer ces échecs à l’aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu’on pensait en termes d’ondes dans l’éther. »

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 15:31

    @JL « désolé, mais je ne vois rien là qui soit une catastrophe, ni qui soit imputable à Einstein. »


    « Un saut de millions d’années dans le futur » - rien de gênant ? Même E. Klein n’accepte pas cela (parfois) :

    http://www.youtube.com/watch?v=NDYIdBMLQR0 
     E. Klein (1:06:45) : « Est-ce que l’avenir existe déjà dans le futur ? C’est une question fondamentale ... Les relativistes disent oui - le futur est déjà là mais nous on n’y est pas encore ... Les physiciens quantiques, les présentistes disent non - le futur est un néant ... Les voyages dans le futur sont impossibles pour les présentistes alors qu’ils sont possibles pour les relativistes. » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 14:03

    @JL « pouvez vous nous donner un seul exemple de désastres imputable à la théorie de la relativité »


    Oui, mais pas avec mes mots - mon français n’est pas bon. Voici des élucubrations beaucoup plus ravageuses pour l’esprit humain que, disons, la théorie de la terre plate :

    http://www.lepoint.fr/societe/le-createur-est-une-souris-de-laboratoire-12-07-2012-1697206_23.php 
     Thibault Damour : « Or, en physique, au moins depuis Einstein, le passage du temps est une illusion. Nous pouvons, de façon quasi instantanée, voyager dans le temps ; faire par exemple un saut de millions d’années dans le »futur« . Cette prédiction de la théorie de la relativité a été vérifiée expérimentalement en mettant des horloges dans des avions volant autour de la Terre ; à leur retour, elles ne marquaient pas la même heure que celles restées à terre. C’est ce qui explique aussi pourquoi nous recevons sur Terre des particules élémentaires à la durée de vie si courte qu’elles ne devraient jamais parvenir jusqu’à nous. Si le temps n’existe pas, comme le suggère la science, cela peut changer notre façon d’appréhender la mort... Bien sûr, cela n’évacue pas la réalité phénoménologique des traces du passage du temps, car, dans l’espace-temps einsteinien intemporel, il existe des copies de nous jeunes et des copies de nous vieux. On peut estimer que la science ne nous donne pas accès à »la réalité« , mais seulement à un modèle mathématique de la réalité, mais on peut aussi (ce que je préfère) suivre ses suggestions quand elles indiquent une nouvelle vision philosophique de la réalité. La science, loin d’évacuer le mystère existentiel, ne fait que l’approfondir. » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 12:22

    @JL « des liens que personne n’a envie de lire »


    Personne ? Dans toute la France ? Oh là là ! Jean-Marc Lévy-Leblond a raison :

    http://archipope.over-blog.com/article-12278372.html 
     « Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde. Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l’Occident l’a connue », tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections scientifiques des Editions du Seuil. » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 7 juin 2016 10:52

    La France a un grand philosophe, Jacques Maritain, qui a dit tout sur la relativité d’Einstein et les désastres qu’elle a produits :


    http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752 
     Jacques Maritain, Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285 : « Il ne reste plus alors qu’à avouer que la théorie [d’Einstein], si l’on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu’elle met en jeu, comporterait des absurdités ; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n’est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s’appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai. » p. 300 : "La science, même la plus mélangée d’hypothétique et de probable, même la moins élevée en intellectualité, la science est chose bonne en elle-même, et qui détient une étincelle divine. On a vu toutefois ce qu’elle peut produire, lorsqu’elle est employée par l’homme, en fait de ruines matérielles et de destructions sanglantes. Les désastres qu’en usant d’elle les apprentis sorciers peuvent provoquer dans l’ordre de l’esprit, pour être invisibles, ne sont pas moins énormes.

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 12 mai 2016 11:43

    « La gravité quantique repose non pas sur des forces et des champs mais sur l’énergie et l’information ordonnée en codes pour organiser la disposition des masses et rendre possible les communications à travers l’étendue. »


    Même pas faux (not even wrong).

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 26 avril 2016 11:26

    Si le principe a été vérifié avec une précision de 13 décimales, l’augmentation de la précision ne concerne plus la relativité générale. Tout ce tapage n’est qu’un camouflage du fait que le principe d’équivalence contredit la relativité d’Einstein :



    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 25 avril 2016 13:10

    « Or, tout n’était pas relatif pour Einstein : entre autres ce grand scientifique n’a pu développer ses théories qu’en s’appuyant sur les travaux de Michelson et Morley qui avaient mesuré la vitesse de la lumière et remarqué qu’elle était la même dans toutes les directions de l’univers. C’est parce qu’il affirmait que cette vitesse était une constante absolue, quelque soit le repère spatial utilisé, qu’Einstein a pu relativiser les autres vitesses, le temps et l’espace. »


    C’est le mythe - la vérité est différente. En 1887 l’expérience de Michelson-Morley confirma, sans équivoque, la VARIATION de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l’émission de Newton :

    http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf 
     « In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein’s serious consideration of an emission theory of light ; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE. »

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 10 mars 2016 13:20

    L’expérience de Pound-Rebka a confirmé la variation de la vitesse de la lumière (dans un champ de gravitation) prédite par la théorie de l’émission de Newton : 

    http://www.einstein-online.info/spotlights/redshift_white_dwarfs 
     Albert Einstein Institute : « One of the three classical tests for general relativity is the gravitational redshift of light or other forms of electromagnetic radiation. However, in contrast to the other two tests - the gravitational deflection of light and the relativistic perihelion shift -, you do not need general relativity to derive the correct prediction for the gravitational redshift. A combination of Newtonian gravity, a particle theory of light, and the weak equivalence principle (gravitating mass equals inertial mass) suffices. (...) The gravitational redshift was first measured on earth in 1960-65 by Pound, Rebka, and Snider at Harvard University... » 

    http://courses.physics.illinois.edu/phys419/sp2013/Lectures/l13.pdf 
     University of Illinois at Urbana-Champaign : « Consider a falling object. ITS SPEED INCREASES AS IT IS FALLING. Hence, if we were to associate a frequency with that object the frequency should increase accordingly as it falls to earth. Because of the equivalence between gravitational and inertial mass, WE SHOULD OBSERVE THE SAME EFFECT FOR LIGHT. So lets shine a light beam from the top of a very tall building. If we can measure the frequency shift as the light beam descends the building, we should be able to discern how gravity affects a falling light beam. This was done by Pound and Rebka in 1960. They shone a light from the top of the Jefferson tower at Harvard and measured the frequency shift. The frequency shift was tiny but in agreement with the theoretical prediction. » 

    Pentcho Valev



  • Pentcho Valev 9 mars 2016 10:29

    @Bernard Dugué


    Le mensonge fondamental :

    http://www.einstein-alaplage.com/ 
     Marc Lachièze-Rey, Einstein à la plage : La relativité dans un transat, p. 14 : « La cinématique galiléenne (ou newtonienne) possède une propriété remarquable et familière : les vitesses des objets s’y composent en s’additionnant simplement. Si vous marchez à la vitesse V1 dans un train qui roule à la vitesse V2, vous vous déplacez à la vitesse V1 + V2 par rapport aux rails. Une évidence totale a priori qui fut pourtant au cœur d’une crise décisive... En effet, les physiciens du XIXe siècle s’aperçoivent peu à peu que la lumière semble ne pas se plier à cette loi : au lieu de se composer avec la vitesse de la source qui l’émet, elle reste toujours absolument la même ! Une apparente aberration, pourtant confirmée en 1887 avec l’expérience cruciale de Michelson et Morley. » 

    Ce mensonge est trop flagrant. En 1887 l’expérience de Michelson-Morley confirma, sans équivoque, la cinématique galiléenne pour la lumière (la VARIATION de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l’émission de Newton) : 

    http://www.amazon.ca/Introduction-relativit%C3%A9-James-H-Smith/dp/B003YEIA3S 
     James H. Smith, « Introduction à la relativité », édition française dirigée par Jean-Marc Lévy-Leblond, pp. 39-41 : « Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n’y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l’expérience de Michelson-Morley... (...) Il nous faut insister sur le fait suivant : QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE SOIT INDÉPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N’EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPÉRIMENTALE. » 

    http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199 
     Banesh Hoffmann, « La relativité, histoire d’une grande idée », Pour la Science, Paris, 1999, p. 112 : « Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n’est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l’échec de l’expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l’avons vu, résista cependant à la tentation d’expliquer ces échecs à l’aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu’on pensait en termes d’ondes dans l’éther. » 

    https://fr.wikisource.org/wiki/Le_temps,_l%27espace_et_la_causalit%C3%A9_dans_la_physique_contemporaine 
     Séance du 19 Octobre 1911, LE TEMPS, L’ESPACE ET LA CAUSALITÉ DANS LA PHYSIQUE MODERNE, Jean Perrin : « Il est remarquable qu’un retour à l’hypothèse de l’émission, en admettant que les particules lumineuses sont émises par chaque source avec une même vitesse par rapport à elle dans toutes les directions expliquerait, dans les conceptions de la Mécanique classique, le résultat négatif de l’expérience de Michelson et Morley quel que soit le mouvement d’ensemble du système. D’autre part les physiciens, en développant la théorie des ondulations au point de vue du principe de relativité, sont amenés à conclure que la lumière est inerte et probablement pesante. N’est-ce pas un retour vers l’ancienne théorie de l’émission ? » 

    http://www.pitt.edu/ jdnorton/papers/companion_final.pdf 
     John Norton : « These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton’s own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day. » 

    http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf 
     John Norton : « The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE. » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 8 mars 2016 12:47

    @Bernard Dugué « Special relativity General relativity Sur laquelle des deux porte mon article ? »


    Sur la deuxième. Mais tout commence avec la première - elle est « la racine du mal » :

    http://www.amazon.fr/Plus-vite-lumi%C3%A8re-Joao-Magueijo/dp/2100072471 
     Joao Magueijo, PLUS VITE QUE LA LUMIERE, pp. 298-299 : « Pendant plusieurs mois, à partir de janvier 2001, Lee [Smolin] et moi avons discuté longuement de ces paradoxes. (...) La racine du mal était clairement la relativité restreinte. Tous ces paradoxes résultaient d’effets bien connus comme la contraction des longueurs, la dilatation du temps, ou E=mc^2, tous des prédictions directes de la relativité restreinte. (...) La conséquence en était inévitable : pour édifier une théorie cohérente de la gravité quantique, quelle qu’elle soit, nous devions commencer par abandonner la relativité restreinte. Nous avons alors compris que beaucoup des incohérences connues, affligeant les théories de gravité quantique proposées jusqu’alors, résultaient sans doute égualement d’avoir religieusement supposé comme vraie la relativité restreinte. »

    Pentcho Valev