@Eric F
"En retour, l’assiduité aux urnes des plus âgés a été remarquable. Pour les 65 ans et plus, le taux de participation s’établit à 83% le 23 avril, à 78% le 7 mai, et à 69% le 11 juin. Le vote intermittent des jeunes est une constante des cycles électoraux présidentielle-législatives, mais ce phénomène s’est encore aggravé cette année." (2017)
En fait, Macron continue de se concentrer sur son propre électorat. Ce qui est surréaliste, c’est comme une éternelle campagne. Et alors que le président est sensé représenter et rassembler la France entière au delà même des clivages, lui, divise. Incompétence où record d’hypocrisie, l’inertie de la langue de bois, pour l’instant, tient.
Dans un monde normal, ce type vendrait des frigidaires chez Darty, mais non, grâce notamment à toute une frange de Baby Boomers complètement lobotomisés par la science de la com., qu’ils ont gobée toute leur vie sans se poser la moindre question, nous en sommes à souffrir un tel ridicule, et une telle abomination.
Toute une frange de la population est incapable de remettre en cause certains paradigmes sur certaines questions clés, et cela nous tient tous en otage. D’ailleurs le déni continue, quand bien même l’ubuesque et le dramatique ont déjà dépassés toute raison, et alors que notre pays, notre nation et notre peuple sont en train de crever la gueule ouverte, Monsieur Macron continue sa mortifère comédie. Ce n’est pas le « Suicide » Français, c’est « l’Homicide » Français, bon sang de bonsoir !
« Personne ne dispose des outils philosophiques complets pour expliquer le phénomène Macron. La plupart s’expriment en affichant des préjugés, des fantasmes, des obsessions, des jugements partisans, bref, tout ce qui éloigne de la clarté en obscurcissant l’intelligence des choses. Que d’idioties lues sur les réseaux sociaux et les médias citoyens. L’ignorant de l’ère numérique transposé au début du 19ème siècle [...] Les ignorants ont vu chez Macron le candidat des banques, du système, ou alors une marionnette fabriquée par les médias au service du néo-libéralisme. C’est la marque du populisme qui refuse d’entrer dans la complexité des choses et se repaît de jugements simplistes. » Bernard Dugué, mai 2017.
« Heureusement, les « visions » sont souvent intermittentes et peuvent être mises de côté pour mener une vie « normale ». »
Lol.
Y a quand même un truc vachement bizarre, c’est que je connais des gens très intelligents qui disent parfois d’énormes conneries, et qui se fourvoient complètement dans certains de leurs jugements. Et des gens normaux qui font parfois preuve d’une immense qualité de discernement dans leurs appréciations de la réalité, en toute simplicité. Les premiers se font parfois piégés par leur propre vanité, et oublient qu’ils sont aussi des ignorants sur quantité de composantes, et les seconds, se contentant de l’observation objective, s’en tiennent à continuer de faire progresser la qualité de leurs perceptions conscientisées.
La formule de théorie du complot à été, si ce n’est inventée, diffusée pour la première fois en masse, soudainement, au début de l’année 1967, aux Etats-Unis. Toute la presse titrait la dessus ! Le sujet n’était rien d’autre que l’assassinat de JFK, car au même moment outre atlantique, le procureur de la Nouvelle Orléans (District Attorney) Jim Garrison rendait officielle son enquête sur l’assassiant du président en inculpant Clay Laverne Shaw (homme d’affaire de La Nouvelle Orléans lié à la mafia locale) pour le faire comparaître devant les tribunaux pour une trouble affaire de complicité à complot pour assassiner le président...Procureur Général de l’Etat, je répète, pas un jeune paumé paranoïaque qui délirait dans son coin. Lee Harvey Osvald était de la Nouvelle Orléans, tout comme Jack Ruby, et ainsi que Carlos Marcello, parrain de la pègre locale, et qui se trouvait à l’époque, faut il le rappeler aux incultes qui ne s’intéressent en la matière qu’aux concepts et aux abstractions rhétoriques, la cible, lui et ses partenaires mafieux, d’une grande campagne anti-corruption émanant du ministère de la Justice : Robert Kennedy. Lui même assassiné à son tour en pleine rue en Juin 1968...
@Ciriaco
@C’est Nabum
Vous êtes durs avec Mr Nabum quand même. Moi, c’est la première fois que je comprend parfaitement un de ses articles. Il écrit sans fards pour une fois !
« Les philosophes entendent, pensent et créent la musique, les technologues disposent, produisent du son qui finit par sonner comme du bruit. »
Je dirais plutôt que c’est les « musiciens » qui entendent, pensent et créent la musique, et que certains « philosophes » disposent, produisent parfois du son qui finit par sonner comme du bruit...
Où, la brasse coulée du renégat devenue le pas du patineur. En grandes pompes. Enfin avec des grandes bottes quoi. C’est surtout un empereur de la com., et du piston. Sa grande marche fait aussi parfois penser à la « démarche » d’une équipe de manchots en pleine garrigue, c’est pas faux. Bon, c’est pas tout ça, mais je dois me mettre en marche vers le cours de tennis moi.
Rappelons l’existence des travaux développés par André Gernez, Médecin et chercheur renommé, en approchant la chose par le biais du fonctionnement de la division cellulaire.
@JL
Oui d’ailleurs je me rappel de ce grand moment ou les astronautes d’Apollo 11, juste après leur retour sur terre, tinrent leur première conférence publique. L’enthousiasme, la joie et la fierté d’entrer dans l’histoire comme les héros de toute une génération, de toute une espèce même, se lisent sur leurs visages et s’entendent dans leurs voix. C’est vrai qu’il y avait de quoi être ému. Un grand moment, qui grâce à internet, peut être revécu à tout instant. Ah, quel bonheur :
@Virginie Le Chêne Parlant
L’autonomie individuelle. C’est bon ça. L’anarchisme en fait, littéralement, si on lui soustrait les ombres fantomatiques qui lui sont habituellement accolées. Je suis un soutien total à une recherche de liberté individuelle maximum, tant que la liberté de l’un s’arrête où débute celle de l’autre. Je suis pour que chacun puisse décider en toute liberté de ce qu’il veut être et faire dans sa vie sans aucune distinction de genre, d’origine ou de statut. Dans le même temps, la chose la plus importante pour nous tous est la communauté dans son ensemble, car sans cela nous ne sommes rien, et ne serions rien. Il importe de préserver cela un maximum, car c’est elle qui garantie en dernier recours la possibilité de protéger ces mêmes libertés individuelles.
Je
vais avoir du mal à l’écouter 40 minutes. C’est très vrai que le
monde nous pousse vers l’insensibilité, à la fois idéologiquement
et par la force des choses. Les causes concrètes sont d’abord
politiques et économiques, et la philosophie ne peut faire que
constater les dégâts. Si tout le monde comprenait que c’est tout
simplement parce qu’on laisse des sociopathes nous diriger, on
arrêterait peut être de faire des circonvolutions inutiles. Le
combat féministe, tous degrés confondus, ne vaudra plus grand chose
le jour ou nous serons tous devenus les esclaves écervelés et
asservis du système de domination capitaliste.
Je
suis en revanche un grand fan du dessous des cartes. L’amplitude de
toutes ces inégalités sont d’abord liées au fait géographique et
culturel, les libertés des femmes y sont oppressés d’abord en
fonction de ce que sont les communautés elles-mêmes. Ce sont des
vases communicants, évidemment. Il ne faut pas pousser vers le haut
les libertés des femmes, il faut élever depuis le haut les libertés
de tous, cela poussera naturellement les libertés des femmes vers le
haut, sans aucune tension, sans aucun ressentiment, sans aucun quota,
et surtout sans annihiler les quelques différences vitales qui nous
caractérisent. Quand un homme bat une femme parce qu’il est pourvu
de davantage de force, c’est qu’il est une ordure, mais tout ce qui
suit, en terme de justice et de prévention, de conscience générale
du problème, dépendra du contexte sociologique et légal local. Il
existe en occident des femmes championnes de boxe ou d’arts martiaux
qui pourraient battre de nombreux hommes. On fait quoi le jour ou
l’une d’elle tabasse sans raison un pauvre homme sans défense ?
On crée un mouvement de protection de l’homme ou on s’appuie tout simplement sur une loi qui protège tout un chacun sans disctinction ?
@Hamed
Oui l’auteur en question à eu vent de cette parodie, il était même parmi les tout premiers à pouvoir la lire. C’est en fait brièvement indiqué un peu plus haut. Certaines exagérations sont parfois simplement de l’ordre de la rhétorique, et l’humour peut être quelque chose de très subjectif. En soi l’absurde de la masturbation intellectuelle a parfois des côtés très comiques, et peut être la source de sincères fous-rires, je vous le certifies. Enfin chacun son truc, j’imagine. Le sarcasme est parfois un remède utile, à différents niveaux. Il ne s’agit pas juste de moquer gratuitement un auteur -qui a d’ailleurs le mérite premier de partager le fruit de ses réflexions avec les autres- mais bien d’exprimer un désaccord avec certaines idées, avec certaines façons, le tout de manière ludique et plutôt courtoise.
@Hamed
Les autres commentaires devraient pouvoir vous éclairer, le texte se promène en effet volontiers autour du second degrés et de quelques provocations. Ce style orgiesque dans la forme, mais complètement vide dans le fond, peut être très indigeste, voir révoltant, je vous comprends tout à fait. J’ai comme vous découvert ce style d’un genre nouveau, incrédule, au travers des articles d’un auteur célèbre de ce site, ainsi qu’en suivant le fil des commentaires, tout aussi fabuleux. Nous parlons là de grands moments de fou-rires soudains, d’irrépressibles bouffées d’hilarité, de tapotements enjoués sur le haut du ventre, voir même parfois de roulage sur le sol, tordu en deux, soudain chaviré par un étrange accès de désespoir hystérique, celui de ne pas toujours bien comprendre les croyances obstinées de ses semblables. Je suis rassuré de voir que la teneur de l’extrait vous déplaises, car ironie mise à part, je trouve aussi cela complètement ridicule et infondé. Cela désigne par l’absurde l’anthropocentrisme tout à fait sauvage et inapproprié que la science et la philosophie pratiquent parfois de façon assez horripilante et éhontée.
Plus généralement, le but est de mâchouiller tranquillement son indignation et ses sarcasmes en attendant la prochaine chute, et de s’accrocher jusqu’aux commentaires. C’est un humour très fin, si bien qu’il en est presque transparent, d’où ce petit décalage si vous n’êtes pas familier du style. Ce texte est un hommage, une célébration, en somme, pour tous ces grands moments de joie partagés autour de l’antagonisme et du narcissisme décomplexé, c’est un pastiche.
Nous ne sommes que des maillons sans importance, c’est vrai. Mais la lignée du vivant organique que nous incarnons brièvement, elle, en revanche, est sans âge. Et tant que les rivières coulent, que le ciel tient bon et que les espèces se perpétuent à leur guise, c’est apparemment de l’ordre de l’immortel le bidule...
C’est
fascinant, et en même temps très inquiétant, sachant que la
plupart des grands leviers d’influence économiques et stratégiques
du monde, sont aujourd’hui entre les mains d’ordures sociopathes
justement anthropo-ego-centristes au dernier degrés...
Nous
existons, oui, il me semble bien, en tous cas à ce jour.
Cdt
@ l’auteur
Dans
la nature, ce sont souvent les mâles qui portent les couleurs les
plus vives et les attributs les plus proéminents. Cornes, défenses,
plumages, et autres musculatures, si ces attributs sont parfois
utiles pour se défendre contre les prédateurs, ou pour la chasse, ils servent aussi beaucoup en général à la confrontation entre les
mâles pour gagner leur droit à se reproduire. Pendant ce temps, les
femelles, souvent moins remuantes, et goûtant en général à une
sérénité toute autre à ce niveau, verront par contre leur
quotidien se compliquer énormément au moment de donner la vie, et
surtout de la protéger, puis de l’éduquer. Cette période sera
d’ailleurs plus ou moins compliquée pour elles en fonction des us et
coutumes de chaque espèces...
C’est autour de ces bases primitives, concrètes et nécessaires que les choses se sont agencées ainsi chez l’être humain, y compris durant des temps encore pas si lointains.
Il me semble que les observations que vous posez sont assez exactes, mais les raisons et le sens sont liés à l’évolution et à des mécanismes très saints à la base. Se réveiller soudain comme des amnésiques (les féministes), en accusant la seule gente masculine de tous les maux est d’une indigence sans nom.
Avez vous déjà pensé au fait qu’avant le travail des femmes, seulement la moitié de la population était soumise à l’impôt ? Savez vous que ce sont les bourgeoises, largement appuyées par les pouvoirs de l’argent -entre autres leurs époux- qui ont lancée et promue cette grande tartuferie idéologique ? Savent elles que bien plus que le genre, c’est d’abord le niveau social qui conditionne le quotidien de chacun ? Les bourgeoises, elles, ont des nourrices attentionnées et disponibles à toutes heures, de grandes automobiles, de bonnes écoles pour instruire à leur place leurs enfants, les moyens nécessaires à tout besoin médical ou vestimentaire. Matériellement en état de répondre à toute forme d’urgence, elles prennent en plus des vacances dans des lieux exotiques plusieurs fois par ans. Ce n’est pas toujours dans des circonstances aussi moelleuses et idylliques que survit de nos jours la femme moderne moyenne soit-disant libre et émancipée...
@rhea 1481971
@JL
@Olivier MONTULET
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