@Eric F
Réponse à Eric F
Tout à fait d’accord avec votre remarque ; mais nous avons justement reproduit ces courbes réalisées par Nordcan (association nordique des sociétés des cancers) et Cancer research UK pour montrer la discordance entre les différentes simulations selon que les prophètes sont liés ou non aux firmes des vaccins.
Nous avons d’ailleurs plus complètement détaillé les biais auxquels sont soumises ces prophéties dans un Agoravox précédent du vendredi 19 octobre 2018 :
Quand les résultats de simulations
mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information médicale
diffusée par les médias
@pierrot
LE HPV EST BANAL il y a des centaines de souches et vacciner contre qq unes ne prévient pas les pb liés aux autres et au contraire risque de selectionner des souches plus nocives la grande majorité des individus rencontre le hpv et en guérissent spontanément sans le savoir tout ceci est un gigantesque marché
@Loatse
merci !!! sur agoravox regardez les articles concernant les hommes menacés d’obligation aussi car il ne faudrait pas perdre la moitié de la population pour le business on en a publié plusieurs sur les garçons, sur le cancer anal et les cancers orl TOUT CELA EST UNIQUEMENT DU BUSINESS ET PAS SANS RISQUE [email protected] ou sur notre site docteurdelepine.fr
bien à vous et résistez vos enfants comptent sur vous
@delepine
15-19
20-24
2007
0.1
0.7
2008
0.1
1.6
2009
0.0
1.6
2010
0.0
2.8
2011
0.0
1.5
2012
0.3
1.9
2013
0.0
1.7
2014
0.2
1.5
Age-specific and crude incidence rates of cervical cancer (ICD-10 codes C53) by sex, year of diagnosis and age group at diagnosis
REPONSE DU DR GERARD DELEPINE à Alcyon
Je n’ai pas l’habitude de répondre aux injures mais me faire traiter de « complotiste, de charlatan, de gourou, de menteur et de manipulateur » en seulement trente lignes me paraît excessif et m’oblige à répondre à ce contradicteur courageusement anonyme.
Il m’accuse de choisir la date de référence à ma guise pour faire apparaitre des différences que j’inventerais par ce biais. Je rappelle simplement que 2007 est la date d’introduction du vaccin : avant 2007 c’était l’ère du frottis. 2007 inaugure l’ère du Gardasil et cette date s’impose donc logiquement comme point de départ de l’analyse des effets de la vaccination. Mais peut être va-t-il m’accuser d’avoir empêché le Gardasil de venir plus tôt sur le marché…
Il prétend que je mens quand j’avance le chiffre de 0.2 pour l’année 2014 chez les 15-20 ans. Il prétend que je mens encore pour les 20-24 ans et l’année 2014.
Comme je pense qu’il est de bonne foi je lui conseille de s’acheter des lunettes ou des lentilles et de reconsulter les données du site officiel de AIHW que je reproduis ici en me contentant de mettre en gras et en rouge les données qu’il conteste afin qu’il puisse les voir plus facilement : (cf tableau sur message suivant)
Sur ce tableau on peut remarquer que si j’avais voulu « gonfler » l’action nocive du vaccin j’aurais choisi 2012 pour les 15-20 ans (surrisque 300%) et 2010 pour les 20-24 ans (surrisque 400%) ce qui aurait constitué une manipulation que je me suis bien gardé de faire. J’engage ceux qui seraient encore dupe de la cécité de mon contradicteur d’aller eux même sur le site https://www.aihw.gov.au/reports-statisticset de vérifier l’exactitude des données que j’ai présentées pour qu’ils puissent se faire leur propre opinion de la véracité des arguments de mon contradicteur.
Il m’accuse de « mensonge statistique » et me reproche de faire partir l’analyse de 2007, (date de l’introduction du vaccin). Il ré utilise ainsi l’astuce du communiqué du gouvernement australien et du CDC qui, pour montrer que leurs politiques sanitaires pro vaccin sont satisfaisantes, prennent comme point de comparaison initiale les années 1980 ou 1990 permettant ainsi de faire apparaître les progrès indiscutables apportés par les frottis en les attribuant implicitement à la vaccination. En l’occurrence c’est lui qui manipule les dates pour tenter de gommer les différences. Si on veut évaluer les résultats d’une action il faut comparer l’état juste avant cette politique (2007) au dernier état connu en 2018 (2014).
Quand il réalise son « étude sur les jeunes », outre de manipuler la date de comparaison initiale qu’il choisit arbitrairement à 2005, il inclut dans son groupe les enfants de 0 à 15 ans qui ne font jamais de cancer du col et qui de plus auront été très peu vaccinés puisqu’ils avaient moins de 8 ans en 2007. En incluant dans un petit groupe à risque un grand nombre de sujets sans aucun risque on dilue le risque et on gomme les faits gênants ! Exemple caricatural de manipulations pseudo scientifique.
Voilà comment les mercenaires des labos agissent pour salir la réputation de ceux qui menacent leurs business rentables.
Comme lors de la révélation de la catastrophe sanitaire du Vioxx la politique des firmes et de leurs employés est simple : retarder par tous les moyens la révélation de la catastrophe. Il y aura certainement davantage de victimes, mais surement tellement plus de bénéfices pour les actionnaires.
en complément : le diaporama récent : docteur.nicoledelepine.fr/gardasil-rapport-au-parlement-wallon-du-dr-g-delepine-24-sept-2018-opportunite-dune-generalisation/
pour ceux qui veulent approfondir, lire l’article très détaillé d’ annette gartland, journaliste en Malaisie
version française sur un clic une fois sur le site
bonne lecture
@Odin
UN ESPOIR chacun pourrait contacter son propre député … et tenter de l’informer en urgence avant l’aggravation de cette loi d’obligation ! merci à tous
@delepine
voir pour hépatite B la longue saga site de marc Girard roland simion mais aujourd’hui malgré toutes ces preuves accumulées le vaccin est injecté aux tout petits et à toutes les professions de santé que font nos collègues qui se battent contre la fausse médecine …. grand combat difficile mais à mener !! LIRE MARC GIRARD
@Alren
@njama
oui et pourtant le distilbène ne devrait plus être utilisé y compris dans le cancer de la prostate depuis bien longtemps …. effets secondaires majeurs plus dangereux que le cancer lui même d’évolution lente ..
version anglaise à partager largement car le problème est international … article intégral sur notre site
Gardasil : the anticancer vaccination that increases the risk of cervical cancer in young womenBy Gérard Delépine, MD, Orthopaedic Surgeon/Oncologist/statistician
English translation by Steve Hinks [email protected]
http://docteur.nicoledelepine.fr/
Open letter to parliamentarians, and to all citizens.
@ASTERIX
Je précise ma pensée, l’argent, le fric , les profits, les dividendes sont les seuls dieux des puissants !
Contrairement à ce que vous pensez nous ne désirons pas « épingler » toute une profession car nous connaissons énormément de cancérologues compétents et dévoués à leurs malades. Nous voulons seulement « désintoxiquer » les médecins et les citoyens d’une propagande trompeuse omni présente dans les média et dont vous êtes certainement victime.
Aucune de nos affirmations n’est mensongère. Vous avez le droit de ne pas être d’accord avec elles mais il faut alors que vous vous astreignez comme nous à citer vos sources
Pour le mythe 1
nous confirmons que l’accélération de la mise sur le marché des nouveaux médicaments ne permet pas d’augmenter la survie globale des malades (sauf comme nous l’avons précisé pour 10% des drogues et pour quelques cancers hématologiques, les Gist et certains mélanomes et pour un gain moyen de 2 à 3 mois). Nous avons cité Vinay Prasad dont je vous invite à lire l’article qui se confirme à chaque fois que nous réalisons une analyse particulière par cancer (nous présentons l’une d’entre elle sur le traitement du cancer du rein au congrès de bobigny sur la surmédicalisation le vendredi 14 avril 2018et nous serions heureux de vous avoir comme contradicteur).
Dans notre article nous avons été bienveillants car nous n’avons donné qu’un exemple de perte de chances de survie avec les nouvelles drogues trop rapidement mises sur le marché alors que les exemples sont nombreux y compris avec l’immunothérapie à laquelle vous paraissez sensibilisé : les pertes de chances de guérison observées chez les malades traités par pembrolizumab (keytruda) ont ainsi récemment obligé la FDA à interrompre deux essais en hématologie.
Je pense que c’est vous qui ne pouvez pas généraliser les minimes gains observés dans de rares tumeurs à l’ensemble de la cancérologie qui constitue notre sujet.
Mythe n°2
Là encore vous ne citez pas d’article qui étayerait votre croyance alors que l’article de A M Pease publié en 2017 dans le British Journal of Cancerologie est une macroanalyse qui porte sur la totalité des nouvelles drogues et qu’il a été accepté par un comité de lecture réputé. Là encore vous généralisez ce que vous croyez vrai pour quelques drogues dans une ou deux maladies à l’ensemble de la cancérologie.
Mythe n °3 :
Vous soulignez la très grande différence entre chimiothérapies cytotoxiques et thérapies ciblées ou immunothérapies en croyant que ces dernières seraient plus efficaces alors que les données scientifiques certaines dont on dispose (point2) démontrent le contraire.
Rappelez-vous qu’entre les années 1975 et 1990 les chimiothérapies ont permis de guérir 80% des leucémies et, associées au progrès des traitements locaux, de guérir plus de 75% des cancers de l’enfant et de faire passer les taux de guérison des cancers de l’adulte à plus de 50%. Dans notre service nous parvenions à guérir même plus de la moitié de certains cancers métastatiques tels que les ostéosarcomes et les sarcomes d’Ewing.
Depuis les années 2000 et l’arrivée des drogues nouvelles on ne guérit aucun malade métastatique supplémentaire et l’espoir se limite à prolonger un peu la vie ; est ce vraiment un progrès révolutionnaire ?
Lorsque vous croyez que la mortalité du cancer de la prostate a baissé en vous basant sur les taux claironnés par l’INCa vous êtes victimes du mirage comptable du dépistage. On n‘a en effet fait aucun progrès important dans le traitement médicamenteux de ce cancer et la mortalité réelle est peu différente (quelques petits gains par l’amélioration des traitements locaux). Mais le dépistage a multiplié par cinq le nombre officiel des cancers de la prostate en ajoutant aux cancers vrais évolutifs menaçant la vie, 300% de surdiagnostics cancers dormants jamais évolutifs de la vie du malade. Quand on multiplie le dénominateur d’une fraction on divise d’autant sa valeur. Et c’est ainsi qu’une mortalité de 30% avant dépistage passe à 10% après dépistage sans l’intervention d’un progrès thérapeutique quelconque.
Pour le cancer du sein la mortalité a effectivement baissé ; pour la moitié cette baisse est purement comptable (par le dépistage) pour la moitié et pour le reste essentiellement due à l’hormonothérapie de première génération (tamoxifène) et aux chimiothérapies classiques. L’herceptine « drogue miracle » partout mise en avant n’a permis de faire progresser le taux de guérison global du cancer du sein que de moins de 2 % ! et les autres thérapies ciblées ou l’immunothérapie ont jusqu’ici été que des échecs (en termes de survie globale)
Mythe n° 4 :
Cela est vrai les tigres sont attirés par l’odeur du sang et les innovations pharmaceutiques par celle de l’argent. Mais innovation n’est pas toujours synonyme de progrès (souvenez-vous de la bombe atomique)
Croire que la généralisation de ces drogues fera chuter les prix exorbitants actuels c’est méconnaitre le comportement de l’industrie pharmaceutique actuelle, c’est croire qu’une hyène lâchera sa proie parce qu’elle est bien nourrie
Oui il y a de réelles innovations en cours. Mais il ne s’agit pas toujours de progrès
Mythe n°5 :
Ce que vous avancez n’est qu’un espoir non définitivement prouvé (sauf pour 10% De 20% des malades soit 2%). Mais garder espoir.On prétend que cela peut faire vivre.
Comme médecin et comme scientifique, je me contente d’analyser les faits prouvés et de dire la vérité même si la perte des croyances peut être douloureuse. C’est en effet la reconnaissance et l’analyse de nos échecs qui nous fait progresser.
@Bertrand Loubard
Merci de cet article sur le lariam que je vais diffuser largement ! quant à la coïncidence sur la citation d’EISENHOWER c’est effectivement amusant mais montre que dans la période actuelle, nous revenons aux sources et aux écrits importants au plaisir d’échanger [email protected] et battons-nous tous contre l’obligation pour protéger inviolabilité de son propre corps , la loi n’est pas votée , il suffit de convaincre encore une trentaine de députés de déposer une commission d’enquête pour que ce cavalier législatif à a hussarde ne passe pas , au moins dans l’immédiat et plus tard les députés auront eu le temps d’être informés donc chacun d’entre nous essayons de constater directement notre député ! URGENT
erreur de penser que chaque médecin décide ...Les Plans Cancer depuis 2003, les circulaires de 2004 et 2005, les décrets de 2007 et la loi Bachelot de 2010 ont mis en place une organisation totalitaire du traitement du cancer qui, via les agences régionales de santé (ARS), la Haute Autorité de Santé et l’INCa, imposent aux cancérologues les traitements à donner à leurs patients, des thérapies ciblées le plus souvent possible. La réunion pluridisciplinaire « de concertation » permet de surveiller que chaque médecin file droit. La désobéissance à l’organisation les fera exclure pour « incapacité à travailler collectivement en milieu hospitalier
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