@Francis, agnotologue
Il est difficile pour la classe politique qui s’est saisi du codovidisme comme d’un outil, et pour une partie de la population qui s’en est saisi comme d’une raison de vivre d’y renoncer.
(Je mets de côté certaines personnes, essentiellement des vieux, que la propagande a tout simplement terrorisés, ils font partie avec les jeunes des victimes de l’histoire)
Le codisme a servi à faire croire aux gens qu’ils étaient immortels (en rendant la mort évitable par des confinements et des bouts de tissus mis sur le visage, et en gardant leur distance avec les ’incroyants’).
@Clocel
Je suis allé voir l’article de France Soir correspondant, et la contradiction donnée par un commentateur via un lien :
https://www.francesoir.fr/politique-monde/tomi-lahren-atomise-les-defenseurs-du-confinement#disqus_thread
https://healthfeedback.org/claimreview/claims-johns-hopkins-study-showed-lockdowns-ineffective-reducing-covid-19-mortality-based-working-paper-questionable-methods-fox-news-daily-mail/
Le débat sur la preuve ou non-preuve des effets des confinements semble obscur. Essentiellement la ’preuve’ de l’effet des confinements tient non pas à l’observation des résultats réels, mais aux modèle mathématiques de propagation créés avant les confinements afin de les justifier.
***
Mais bon, le seul pic épidémique lisible a été celui de mars-avril-mai 2020, c’est aussi le seul vrai confinement en France. Ce confinement devait étaler la courbe des décès, mais :
1.Le pic des décès Covid officiels et de mortalité générale est aussi pointu qu’il est possible (du 15 mars au 15 mai cela fait seulement 2 mois, il n’y a pas de plateau haut, ni de monté lente ou de descente lente par effet du confinement) :
https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=earliest..2020-07-29&facet=none&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=7-day+rolling+average&Relative+to+Population=true&Color+by+test+positivity=false&country=FRA DEU USA GBR
https://www.insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854#tableau-figure2
2. Plus important, l’épidémie n’a pas du tout repris au déconfinement vers le 15 mars : nous avions donc atteint la saturation.
***
Conclusion, l’épidémie de 2020 a été foudroyante et a dû saturer très vite, d’ailleurs il n’y a pas eu de reprise en été. Le confinement n’a rien aplani dans les courbes, l’épidémie s’est arrêtée d’elle-même (sinon elle aurait repris le 15 mars 2020).
Le pic de cas Omicron entre le 20/12/2021 et (sans doute) la fin février 2022 fait la même longueur : 2 mois, alors que Omicron est jugé beaucoup plus contagieux ! (et que la vaccination ne protège quasiment pas contre la contamination). Pas de confinement et pourtant durée identique. (Le pic de mortalité générale n’est lui pas visible car : Omicron est beaucoup moins dangereux, et la surmortalité Covid éventuelle est masquée par la mortalité hivernale habituelle.)
@Taverne
Que dire de plus ? Que dire...
On peut au moins dire que laisser les politiciens instrumentaliser les crises sanitaires, en instrumentalisant aussi une partie (la plus privilégiée) du corps médical, a des conséquences catastrophiques.
Aux USA, qui orientent largement la politique des autres pays occidentaux, cette manipulation politique partisane est extrêmement visible. Les intérêts partagés entre labos pharmaceutiques et politiciens n’arrangent pas les choses bien sûr, mais la sphère économique ne s’arrête pas aux labos : le problème englobe l’emprise idéologique sur la classe politique des GAFAM, des media TV et journaux subventionnés possédés par des milliardaires, de l’industrie de l’armement.
Il faudra se montrer plus circonspect à l’avenir vis à vis des décisions politiques radicales, et exiger des débats scientifiques contradictoires. On ne peut pas se contenter du secret défense des conseils d’urgence sanitaire, du secret des études et des contrats des labos pharmaceutiques, et de l’OMS financé à 80% par des dons volontaires et donc influencée par les desiderata de ses donateurs.
@jjwaDal
On peut se demander si la réponse politique et idéologique à ce virus n’a pas tué et fait plus de dégâts économiques que le virus lui-même.
C’est à peu près sûr. Nos autorités sanitaires télévisées reconnaissaient que des millions de dépistages du cancer et du HIV, sans parler de tout le reste reste, n’ont pas été effectués du fait de la désorganisation du système de santé causé par les mesures anti-covid.
Et deuxièmement, soigner une personne d’une maladie très grave et avancée peut coûter environ 100.000€ (à la louche). La perte de richesse consécutive au blocage de l’activité économique va ruisseler, négativement, sur les moyens disponibles pour la santé.
(Ce ne sont pas seulement les loisirs qui sont impactés, ne serait-ce que parce que l’inégalité sociale fait que ces loisirs seront encore accessibles aux nantis, tandis que les soins de base ne le seront plus aux personnes moyennes ou modestes).
Il suffit de regarder l’espérance de vie en fonction du niveau de vie : 10-13 ans d’écart en France entre les riches et les pauvres. On peut aussi penser aux conséquences de l’inégalité sociale/médicale sur l’espérance de vie aux USA, dans la Russie sinistrée des années 1990, etc...
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1280972
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3319895
La vraie calamité sanitaire n’est pas venue du virus mais de notre réaction face à celui-ci.
@Sarah Juste
Les républicains qui appellent l’hyper-concentration du
pouvoir de la finance ’communisme’ s’opposent à la tyrannie des
multinationales, mais en général aussi aux minima sociaux (qui atténuent
l’extrême pauvreté même aux USA).
Il faut dire que chez une bonne
partie des démocrates aisés il y a un deal pervers proposé aux personnes
modestes : soumettez vous au pouvoir de la finance en échange de ces
minima sociaux. Si les démocrates s’opposaient sérieusement à la
dictature financière, l’argument ’hypercapitalisme=communisme’ tiendrait
beaucoup moins.
Je connais personnellement des américains démocrates-intégristes et multimillionnaires : ils ne sont pas du tout ’communistes’, c’est à dire qu’ils n’ont aucune intention de partager leur richesse. Ils veulent profiter de leur argent, tout en ayant bonne conscience (tant que cela ne leur coûte presque rien).
Du côté républicain on distingue souvent (mais pas toujours) le capitalisme des multinationales et le libéralisme (liberté de monter sa petite entreprise). Quand l’argent et le pouvoir se concentrent trop, environ 1/2 des républicain appelleront cela ’communisme’, et 1/2 des républicains appelleront cela ’dictature de la finance et des trusts, ou même facisme’.
En fin de compte l’opposition démocrate-républicain ne correspond pas bien à l’opposition entre tyrannie financiarisée et libéralisme politique. Nous sommes face à un nouveau type de dictature, les anciens mots communisme/fascisme ne sont que des références, utiles, mais forcément en décalage avec la nouvelle situation.
@Yann Esteveny
Je suis à moitié d’accord.
Notre régime est effectivement mafieux et a partie liée avec les multinationales, néanmoins le pouvoir politique central s’avère extrêmement autoritaire. Je ne sais pas si on peut encore l’appeler ’patrie’ mais c’est bien un état tyrannique, qui en même temps n’est qu’une province d’un plus grand ensemble : une sorte d’empire occidental, qui se voudrait mondial. Donc pour la destruction de la cohésion du pays-province c’est discutable (il peut y avoir cohésion par la contrainte comme en Chine). A cet empire manque toutefois un empereur : ce n’est pas le président des USA, c’est plutôt le pouvoir opaque des oligarques internationaux.
D’autre part il y a un embrigadement extrêmement violent via la propagande, un point commun des régime fascistes avec les régimes communistes les plus autoritaires. La réglementation des moindres petits gestes du quotidien évoque d’ailleurs plutôt le communisme que le fascisme. Tout cela justifié par un moralisme cul-cul-la-praline (ou village Potemkine), dont le modèle vient de la gauche.
***
Je dirais que l’emballage et les méthodes de ’conversion’ sont pris à la gauche, que les objectifs sont mafieux (donc asociaux), mais que les vieux ressorts fascistoïdes (ségrégationnisme, soumission à l’autorité quelle qu’elle soit, appel au ’devoir’, voire la guerre pure et simple) sont mis à contribution autant que nécessaire.
Le mélange obtenu forme une bouillie tout à fait indigeste pour un occidental un minimum éclairé par l’histoire.
Quelques nouvelles d’Afrique du Sud où Omicron s’est répandu en premier. (L’AfSud est différente de la France, pour la population et le climat, mais on peut comparer les différents pics d’AfSud entre eux).
La mortalité générale (toutes-causes) en AfSud : on voit un petit pic (de saison d’ailleurs) de mortalité en décembre 2021-janvier 2022, de hauteur bien moindre que les pics précédents. La surface entre la valeur attendue et la valeur réelle donne un excédent environ 10 fois inférieur par rapport aux 3 pics précédents en 2020 et 2021 (y compris le pic de décembre 2020-janvier 2021 à la même saison).
https://www.samrc.ac.za/reports/report-weekly-deaths-south-africa
Et l’arrivée d’Omicron en AfSud (qui est avancée d’environ 1,5 mois par rapport à la France) :
Le pic Omicron en AfSud semble d’ailleurs bien passé au bout de 2 mois.
@Eric F
Pour l’immunité collective face à un coronavirus : cette immunité peut être partielle (meilleure résistance aux formes graves), temporaire (6 mois, un an, avant que le sytème immunitaire oublie complètement, et en tout cas aussi longue que celle des vaccins), et ne s’appliquer qu’à une branche particulière des coronas (par exemple Covid-19). La réinfection régulière est de ce point de vue une assez bonne chose.
La disparition de Delta concommitante avec l’explosion de d’Omicron indique bien une protection contre Delta par contamination Omicron, et ce dans tous les pays du monde. Je n’ai vu aucune autre explication pour la disparition de Delta.
https://covidtracker.fr/
L’objectif d’éradication de tous les variants Covid-19 par vaccination était une illusion pour vendre des confinements et une vaccination de 100% de la population. Mais par contre l’immunité de masse (même partielle) permet de supporter les nouveaux variants de mieux en mieux. Surtout s’ils suivent leur courbe habituelle vers une moindre létalité.
Mon opinion, toute personnelle, est que nous aurions dû laisser courir l’épidémie, surtout parmi les populations relativement jeunes, pendant les étés 2020 et 2021, à la saison où les gens sont le plus résistants.
Il y a de la part de nos dirigeants politiques et médicaux une volonté pathologique de contrôle qui se heurte à la réalité du fonctionnement de ce virus. Le zéro-Covid est un fantasme auquel seul un gouvernement Chinois, ou une autre tyrannie, peut faire semblant de croire.
@GerFran
La première question qu’ils devraient se poser est : pourquoi ces surrisques ? (l’ARNm injecté lui-même, la spike produite, les adjuvants, une réaction inflammatoire auto-immune... ?)
Deuxièmement, puisque le vaccin n’est pas injecté à proximité et ne vise pas le coeur, il n’y a pas de raison de penser que les effets négatifs du vaccin ARNm se limitent au coeur. C’est juste qu’un effet sur le coeur se perçoit immédiatemment.
Ensuite seul est étudié le surrisque sur une courte période (quelques semaines), mais quelles conséquence d’une myocardite/péricardite à 20 ans sur l’espérance de vie ? Surtout si on ignore par quel mécanisme elle a été déclenchée.
Et pour terminer la phrase usuelle : ’ce surrisque ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque’. Mais bien sûr que si, puisque l’on a augmenté le dénominateur ’risque’ (tandis que le numérateur ’bénéfice’ lui diminuait d’abord fortement par la faible durée de protection que l’on observe en condition réelle, et ensuite drastiquement avec le remplacement de Delta par Omicron).
Le surrisque total pour un jeune s’étale sur 70 ans. Mais les études longues, ne serait-ce que sur 10 ans, risquent de ne pas avoir lieu, et elles arriveront trop tard.
@ETTORE
C’était affiché en bandeau sur au moins une chaîne TV d’info continue :
Delfraissy, qui dirige le Conseil Sanitaire, appelle ces vaccins ’vaccins médicaments’, il y a oublié d’ajouter ’médicament préventif, à reprendre tous les 2-3 mois’. (Ce n’est pas un médicament destiné aux malades mais aux bien-portant, donc préventif ou prophylactique)
Je ne pense pas qu’une revaccination tous les 2/3 mois puisse être une stratégie immunologique. Cela n’a jamais été fait, surtout avec des vaccins en phase expérimentale, sur des enfants en parfaite santé, sous la contrainte, par des labos exonérés de toute responsabilité future, en réduisant au silence les médecins qui expriment quelques doutes, sous le sceau du secret défense, avec une propagande médiatique digne des régimes les plus totalitaires, et validé par des institutions politiques soumises à l’état d’urgence...
Mais une fois que ce sera fait, on pourra dire que cela l’a déjà été, et retenter notre chance.
@roby
Si l’étau se déserre à certains endroits c’est parce qu’il y a un combat. Aux USA c’est politiquement partisan et assez virulent, en France c’est plutôt de la résistance passive (le gaulois — quelquefois d’origine africaine, asiatique ou d’ailleurs — qui décide de ne plus s’occuper du Covid et de ses mesures imbéciles). En tout cas les intellectuels humanistes brillent par leur inexistence. Quant au reste de la bourgeoisie, encroûtée dans une bien-pensance confortable et intéressée financièrement, je n’ai jamais cru à son plus petit potentiel de résistance contre aucun totalitarisme. Il faudra faire sans elle, comme toujours lorsque c’est sérieux.
@Lynwec
L’Italie se lance clairement dans le meurtre de masse. L’Allemagne hésite. L’extrême pauvreté réduit l’espérance de vie dans des proportions bien plus grande que le Covid. De plus les très pauvres, mal soignés, sont porteurs de diverses maladies infectieuses pour le reste de la population, ils encombreront davantage les urgences et les soins critiques, etc... L’objectif de ce crime n’est donc même pas ’sanitaire’, c’est simplement un dérapage totalitaire tout à fait calculé. Certains politiciens se saisissent d’une opportunité de faire ce qu’ils ont toujours désiré : asservir la population quitte à la tuer pour y parvenir.
Un article assez pondéré auquel manque quelques questions essentielles.
Quelle est la létalité comparée de Omicron par rapport à Delta ?
Il faut faire attention, Omicron est tellement répandu (bien plus que Delta) qu’il y a forcément beaucoup de gens *avec* Omicron au moment de leur décès. Seules des études un peu sérieuses peuvent évaluer le nombre de gens morts *à cause* Delta ou de Omicron. De plus en milieu hospitalier, forcément sujet aux infections neusocomiales, le Omicron est très favorisé dans sa dissémination.
J’ai aperçu des études Sud Africaine et Californienne je crois (une étude sur 52.000 cas positifs Omicron qui avait donné 13 cas graves et 1 décès) qui donnaient au minimum 5 à 10 (peut-être 25) fois moins de létalité à Omicron. Seule des études sur des cohortes initialement [négatives/Omicron+/Delta+] permettent de mesurer à la fin le nombre de décès [hors Covid/Omicron+/Delta+], et donc la létalité comparée après une infection.
Au niveau des cas hospitalisés conventionnel ou soins critiques les satistiques se bornent à donner les patients *avec* Delta/Omicron. En sachant qu’en hiver les soins critiques sont toujours très chargés. + la confusion entretenue entre soins critiques (20.000 places) et réa (sous-partie de 5000 places des soins critiques) : tous les patients avec Covid en soins critiques étant comptés comme étant en réa ! et tous les patients positifs au Covid (sans se soucier du variant en plus) étant considérés patients-Covid !
@Eric F
« arrêter la frénésie de tests »
J’avais calculé que le coût des tests était de environ : 40 millions tests/mois * 35€ = 1,4 milliard €/mois (du 1/1 au 15/1 2022 il y a eu 20 millions de tests, donc environ 40 millions sur un mois). Et d’ailleurs :
https://www.leparisien.fr/economie/covid-19-les-tests-couteront-un-peu-plus-dun-milliard-et-demi-en-janvier-17-01-2022-B4UXTSTKQZBB3OUFJ3QYQTR3UE.php
Alors que 1000 places en réa sur un mois donnent environ : 3000€/jour * 31 jours * 1000 places = 93 millions €
Il y a donc un problème de priorité. On ne devrait tester que :
* les cas sérieux suspect Covid
* les hospitalisés entrant + les résidents hôpitaux/ephad suspect Covid
* personnels médicaux suspect Covid
* peut-être les cas contact asymptomatiques Delta (mais il reste moins de 8000 cas Delta/jour au 20/1/2022, donc ce serait pour aider la nature à accélérer sa disparition : voir https://covidtracker.fr/).
On peut sans doute diviser par trois le nombre de tests, et économiser 800 millions €/mois afin de mieux suivre en médecine de ville, hospitaliser et soigner.
***
Pour l’avenir avec Omicron, la stratégie pourrait être : auto-test peu coûteux si symptomes faibles, ou test antigénique/pcr si symptomes sérieux, puis médications type Paxlovid ou autre si positif au test.
Un nouveau cycle de vaccination sur l’ensemble de la population avec un vaccin ciblant Omicron me paraît déraisonnable, voire improbable. Si ce vaccin est créé, cela devrait être un vaccin ciblant une sous-population à risque, avec son consentement. Et pour préserver les bénéfices des labos (car ça coince si on ne met pas assez d’huile dans les rouages), il suffit d’augmenter le prix unitaire du vaccin.
@Eric F
Le document de la DREES a deux angles morts :
1 : les décès par variant Delta/Omicron.
2 : l’occupation des soins critiques par variant Delta/Omicron, donc le stock (par opposition au flux qui est le nombre d’entrants/jour). C’est important, car les cas graves Omicron faisait sur cette période du 15 décembre - 10 janvier 60% des entrées en soins critiques, mais ont un temps de séjour en soins critique plus court et en sortent plus souvent vivants que les Delta (données évoquées mais non quantifiées par le document).
Le document de la DREES masque l’évolution imminente, et même en cours, de l’épidémie Delta déjà remplacée à 70-80% à l’époque par une épidémie Omicron, et maintenant à 97%.
***
Sur un autre graphique de l’AP-HP sur à peu près la même période, j’ai vu que le stock de Omicron en soins critiques était 1/5 du stock Delta, avec des séjours 2 fois plus court en SC, mais toujours pas la proportion des décès Omicron/Delta.
***
L’avenir proche est occulté par la dissimulation de ces informations : informations dissimulées pour imposer le pass vaccinal et plus généralement instrumentaliser politiquement l’épidémie.
@Eric F
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2022-01/2022-01-21%20-%20Appariements%20sivic-sidep-vacsi%20Drees.pdf"la vaccination n’entrave pas la propagation du variant omicron du fait de son important « échappement immunitaire », alors objectivement la mesure est inefficace et donc induit des contraintes disproportionnées.«
« Encore récemment, il y avait 80 000 contaminations au delta par jour »
Non jamais. Le pic le plus élevé était en novembre 2020. Bien sûr on peut trouver un pic sur un seul jour à 110.000 à cette époque, mais c’est seulement du fait de l’irrégularité des tests sur une semaine. Moyenné sur 7 jour ce pic était à 60.000 et n’a duré que quelques jours à ce niveau.
@Ecométa
En fait entre 1,2 et 1,6 Milliards €/mois pour décembre puis janvier. Tout ça pour détecter inutilement du Omicron à 90%. C’est 10 fois plus que le surcoût (largement) estimé des non-vaccinés en soins critiques : 100 millions € sur un mois = 1000 personnes * 3000€/jour * 31 jours. L’argent perdu par la Sécu ne pourra pas soigner les autres pathologies. Plus le coût des vaccins inutilisables (pour Delta) qui vont nous rester sur les bras, et le coût à venir des vaccins Omicron qui seront essentiellement inutiles, sauf pour quelques populations très fragiles. La Sécu est saignée à blanc et on va tous le payer : en argent et en santé.« Un milliards d’euros [de coût des tests] par moi[s] »
@pap5977
Ma perception au doigt mouillé concernant la police. Dans les premières semaines de mars-avril-mai 2020. Ils (pas tous les policiers, surtout les excités) sont sortis comme des fous des commissariats et ont aggressé verbalement tous les gens qu’ils croisaient : par exemple le petit vieux qui prenait l’air tous seul sur un banc dans un square désert. Pendant l’hiver 2020-2021 les policiers se sont mis à sillonner en masse les rues avec leurs voitures, quelquefois à pied en patrouilles de 3-4, et à verbaliser pour les couvre-feux et distance de 1km : d’où altercations perpétuelles avec la population. A partir de l’été 2021 les policiers en ont eu marre de jouer à la police politique : ils déambulaient mais sans presque intervenir. A présent les policiers ne s’occupent quasiment plus du Covid, ils sont saoulés je pense.
@sirocco
Vacciner sous la contrainte les ’vieux’ n’aurait pas l’effet escompté. Si tout se passe bien ils vivront en moyenne 2-3 mois de plus (hypothèse optimiste), mais au bout de quelques mois le bénéfice sera perdu car ils mourront d’autre chose.rendre obligatoire chez les + de 50 ans !
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