Ces messageries sont des systèmes de collectes de données sur les particuliers.
il ne faut surtout pas les employer.
J’ai fais un petit article sur ce sujet :
http://www.predoenea.org/spip/spip.php?article15
<< Chaque fois que l’on utilise une adresse de courriel en gmail, yahoo, ou hotmail, votre courrier passe par un serveur étasunien, soumis à des loi étasuniennes. Parmi ces loi certaines, initiées par notre cher George W. B., organisent, légalisent et protègent l’examen automatique de vos courriers électroniques et de leur pièces jointes. Ces courriers et ces documents sont explorés par des logiciels spécialisés, classés et étiquetés dans une immense base de données destinée à ficher le maximum de monde. Pour rependre un langage "moderne" vos courriels sont scannés et tagés.>>
J’en ai discuté avec quelques chrétiens. Ce ne sera pas si facile pour Sarkozy. La plupart des chrétiens pratiquants actifs, des militants, des prètres que nous connaissons ne suivrons pas. Ils sont opposés à sa politique destinée à favoriser les riches contre le reste de l’humanité.
Même parmis les catholiques intégristes il aura des opposants !
Sa cible risque d’être simplement le catho par habitude, mais comme il est de nos jours plus confortable et plus facile d’être non praticant ou athé dans une société de consommation matérialiste, cette variété est en voie de disparition.
J’ai toujours été attaché à la séparation de l’Église et de l’état, et je sens que cela va continuer !
Je ne veux pas que l’état sarkozien mette le nez dans nos activités chrétiennes !
je ne pense pas que Sarkozy soit un vrai catholique. Que la gueule.
Catholique pratiquant et actif dans plusieurs mouvements chrétiens, s’il y a bien une chose que je tiens à voir préserver c’est la séparation de l’Église et de l’État, surtout quand un tel personnage se trouve à la tête de cet État !
J’ai du mal à croire au catholicisme de Nicolas Sarkozy.
Avant de recevoir les excuses de la France, l’Algérie devrait elle même en fournir, pour mille ans de razzias pillages, et enlèvement d’esclaves européens, dont des français.
Des régions cotières entières dévastées, des milliers de bateaux capturés, des rançons, etc..
Des opéras, des pièces de théatre évoque les pirates barbaresques comme une réalité courante des siècles passés.
pour répondre à serpico.
La france n’était pas militairement battue en algérie, seulement politiquement, mais effectivement elle ne pouvait définitivement gagner sauf à commetre un génocide, ce qu’elle n’a pas fait, et tant mieux. L’histoire montre quand même que ce genre de solution peu fonctionner. Il aurait suffit de massacrer suffisament d’arabes pour que la France puisse rester.
En fait De Gaulle a insisté pour donner l’indépendance à l’Algérie parce qu’il n’aimait pas les arabes et voyait bien qu’avec leur démographie excéssive ils risqueraient d’être trop nombreux à son goût en France, si l’algérie était resté française.
Par ailleurs, monsieur le tier mondiste, je vous prie de ne pas insulter la population pied noir à travers ces ancètres. Beaucoup d’entre eux, comme les arrières grands parents de ma femme étaient simlement de pauvres gens qui désiraient une vie meilleure et partaient en algérie comme on part aux amériques à cette époque. Il n’avaient pas d’a priori contre les arabes et les kabyles et ne souhaitaient que vivre en paix de leur travail sur une nouvelle terre. Certains fuyaient probablement les mafias du genre n’drangeta, ou simplement la misère du système latifundiere. Il y eut aussi beaucoup d’alsaciens-lorrains qui fuirent après 1870 pour ne pas être « prussiens ».
Ils reçurent la nationamité française ainsi que les juifs, et pas les arabes ? Cette séparation entre 2 populations peut paraître peu correcte de nos jours, mais elle était aussi le fait des musulmans eux même, qui ont toujours considérés que les non-musulmans ne faisaient pas partie de leur communauté et n’avaient pas droit aux mêmes lois ni au mêmes statuts.
Beaucoup d’algériens progressistes sont allés au delà de ces considérations, mais plus tard, au XX° siècle.
Sont ils majoritaires ?
(c’est une vraie question. Je n’en connais pas la réponse)
Souvenez vous de cet extrait d’une pièce de Molière : « qu’allait il faire dans cette galère ? » C’est devenu une expression courante. Souvenez vous de ces opéras du XVIII° siècle traitant d’enlèvements et/ou de rachats d’esclaves ?
Tout ceci concernait la principale activité de la ville d’Alger : la razzia des côtes et des bateaux chrétiens, pour capturer des esclaves chrétiens, italiens, grecs, espagnoles, français, etc.. Lors de la guerre d’indépendance de la grèce ce fure plus de 100 000 grecs qui furent l’objet d’un « bizness » algerois.
Les pirates barbaresques ont pillés, tué, terrorisés sur nos côtes pendant mille ans. Là il y eut un véritable génocide alors que durant la colonisation française la population arabe et kabyle a été multiplié par 7.
Les hommes capturés étaient soit épuisés dans les travaux pénibles avec une mortalité élevée, soit castrés pour le service domestique, et on devine ce qu’il en était des femmes.
Le sort de ceux qui étaient membres de riches familles pouvait être plus doux. Une rançon permettait leur échange. Des ordres religieux mendiants existaient au XVII° siècle pour collecter de l’argent et racheter une partie de ces esclaves des barbaresques.
En 1830 c’est à la suite de la n+1ième agression de navire français, et probablement échauffée par le sort réservé aux populations grecs que la France a envoyé un embassadeur au Deï d’alger. C’est à la suite de l’échec de cette entrevue qu’il fut décidé d’envoyer une expédition punitive sur Alger, qui bien plus tard déboucha sur la colonisation, en grande partie décidée et organisée après 1870. Donc si devoir de mémoire il doit y avoir c’est de la part des algériens
Que l’algérie s’excuse demande pardon, et indemnise l’Europe. Avec les intêrets, le budget du pétrole et de la corruption du pouvoir algerois n’y suffira pas, et pourtant ce dernier budget est conséquent !
NB : c’est ce pouvoir corrompu qui demande ces excuses pour sauver son image auprès de sa population, qui n’en a rien à fiche, et a tourné la page depuis longtemps, et aimerai se tourner vers l’avenir.
Il nous faut faire des réunions locales de citoyens de tout bords politique pour exiger un référendum.
Ensuite des réunion régionales, puis ...
Par exemple au pays basque , Un attac-café est organisé au cinéma l’atalante de Bayonne sur Le traité constitutionnel européen le 11 décembre à 19 heures.
Le 13 décembre, un conférence-débat plus importante aura lieu à l’IUTde l’avenue Darrigrand de Bayonne à 20heures30.
1°) La constitution européenne proposée en 2005 a été refusée par référendum. Je ne suis pas juriste, mais des gens très qualifié dans ce domaine savent expliquer que pour légalement défaire ce qui a été fait il faut un vote de même niveau. Si le non avait été prononcé par le parlement, le parlement suffirait, mais c’est le peuple lui même et non des délégués qui ne le représentent qu’imparfaitement qui a blakboulé ce texte.
Ces élus ne l’on pas été du tout à la proportionnelle mais au travers des filtres déformants du suffrage uninominal et des circonscriptions bricolées. Une chambre élue à la proportionnelle voterait elle à l’identique ?
De toutes façons un référendum a eut lieu. Il faut donc un référendum.
2°) Surtout, que ce texte soit bon ou mauvais, il va profondément engager notre fonctionnement. C’est un texte constitutionnel. Moralement j’exige qu’il passe devant le référendum. Quil soit bon ou mauvais.
il ne me plaît pas mais, mais un texte qui me plairait devrait aussi passer devant les citoyens à mes yeux.
Par ailleur ce texte long et complexe jusqu’à l’obscurité est suspect déjà avec cette complexité.
Une constitution claire, vraiment démocratique, éprouvée par le temps, est la constitution de la confédération Helvétique. elle ferait un plan B excellent, bien meilleur que le totalitarisme ultra libéral de Sarko et ses amis super riches.
Ce genre de bidule st parfait pour savoir ce que vous lisez, puis sélectionner ce que vous avez le droit de lire grace aux DRM et autres dispositifs orwelien.
Un sénateur étasunien avait même enviseagé un jour d’interdire les livres en papier pour n’autoriser que de tels engins, ceci prétenduement au nom du droit d’auteur.
Un livreen papier peut être revendu,donné, prété, et on ne contrôle donc pas le nombre de lecteurs et qui le lit. (sans compter l’usage éventuel de la photocopie).
Voir ces nouvelles :
1°) Je considère qu’un texte de portée constitutionnelle, bon ou mauvais, DOIT, passer par le référendum. c’est un principe démocratique.
cette opération est donc scélérate.
Après, une fois le référendum lancé on pourra débattre entre citoyens pour savoir si le texte est bon ou pas.
(Dans ce cas je le trouve execrable).
2°) Un texte pourrait facilement remplacer ce traiter ultra-libéral , il s’agit d’une constitution démocratique, confédérale, éprouvée et améliorée depuis des années :
la constitution helvétique.
pas besoin d’un texte compliqué au service des world company.
La constitution helvétique serait tellement meilleure que ce texte libéral-intégriste !
De toutes façons il nous faut un référendum, quelque soit le texte, bon ou mauvais.
Un appel de 2004 par de vrais résistants, à lire pour mieux comprendre : http://www.predoenea.org/cnr/appelcnr.html
je sais que je radote, mais c’est pour la bonne cause.
proposez ce texte écrit par des résistants survivants, authentique membre du Conseil national de la résistance à vos enseignants d’histoire, pour replacer cette lettre de G. M. dans son contexte.
Le groupe noir désir m’a toujour paru être un groupe de donneurs de leçons.
Finalement on pourrait croire qu’ils ont surtout un gros égo.
Ce chanteur se droguait, buvait. Se croyait il plus fort que tout le monde et capable d’assumer ces pratiques ?
C’est sa victime qui a assumé, quand monsieur « j’fais c’que jveux » l’a cogné sans retenir ses coups.
La loi est la loi. si elle dit que cette vedette soit libéré qu’elle soit libre, mais j’espère sans y croire que ses concerts seront boycotés, au moins par les femmes et les hommes qui aiment les femmes.
« Les femmes je suis contre, tout contre » [Sacha Guitry ]
enseignant en sciences je n’ai pas à lire ce texte, mais j’ai oui dire que de nombreux lycéens l’interpretent comme un appel à la résistance contre ...
Nicolas Sarkozy et son nouvel ordre social.
Ah ces jeunes, comprennent tout de travers !
par Rayves (IP:xxx.x47.243.4) le 16 octobre 2007 à 12H11 « la position abjecte du parti communiste envers l’occupant allemand jusqu’au jour où Staline a été attaqué par la Wehrmacht »
... à opposer, bien entendu, à la position héroïque de l’extrême droite française pendant toute l’occupation !...
J’ai entendu et lu plusieurs témoignages de première et seconde main concernant des sabotages dans les usines de matériel et d’armement sur les consignes de la CGT et du parti communiste. J’ai connu un témoignage direct de distribution de tract appelants à collaborer juste après l’invasion allemande ! Ce n’est pas pour rien qu’il fut interdit à la suite du pacte germano-sovétique.
Pour ce qui est de la droite, faut il rapeller que le colonel de la Rocque fut un résistant de la première heure (16 juin 1940 !), un vrai celui là, ainsi que de nombreux membres des Croix de Feu. Il n’attendirent pas Barbarossa pour s’opposer aux nazis.
Lien pour télécharger la version pdf :
Appel à la commémoration du 60e anniversaire du Programme du Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944 Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à faire vivre et retransmettre l’héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale et culturelle. Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grâce au sacrifice de nos frères et soeurs de la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste. Mais cette menace n’a pas totalement disparu et notre colère contre l’injustice est toujours intacte. Nous appelons, en conscience, à célébrer l’actualité de la Résistance, non pas au profit de causes partisanes ou instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succèderont d’accomplir trois gestes humanistes et profondément politiques au sens vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais : · Nous appelons d’abord les éducateurs, les mouvements sociaux, les collectivités publiques, les créateurs, les citoyens, les exploités, les humiliés, à célébrer ensemble l’anniversaire du programme du Conseil national de la Résistance (C.N.R.) adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944 : Sécurité sociale et retraites généralisées, contrôle des « féodalités économiques », droit à la culture et à l’éducation pour tous, presse délivrée de l’argent et de la corruption, lois sociales ouvrières et agricoles, etc. Comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales, alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? Les responsables politiques, économiques, intellectuels et l’ensemble de la société ne doivent pas démissionner, ni se laisser impressionner par l’actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie. · Nous appelons ensuite les mouvements, partis, associations, institutions et syndicats héritiers de la Résistance à dépasser les enjeux sectoriels, et à se consacrer en priorité aux causes politiques des injustices et des conflits sociaux, et non plus seulement à leurs conséquences, définir ensemble un nouveau « Programme de Résistance » pour notre siècle, sachant que le fascisme se nourrit toujours du racisme, de l’intolérance et de la guerre, qui eux-mêmes se nourrissent des injustices sociales. · Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands parents, les éducateurs, les autorités publiques à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. Nous n’acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au programme du Conseil national de la Résistance et aux ordonnances sur la presse de 1944. Plus que jamais, à ceux et celles qui feront le siècle qui commence, nous voulons dire avec notre affection : « Créer, c’est résister. Résister, c’est créer. »
Signataires : Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey.
Je suggère aux enseignants qui doivent lire, où qui ont lu (certains chef d’établissements ont fait du zèle), la lètre de ce résistant mort, de complèter et mettree ce texte en perspective parl’appel de résistants vivants, qui en 2004 ont lancé un appel Appel à la commémoration du 60e anniversaire du Programme du Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944. Cet appel explique bien pourquoi Guy Moquet est mort, pourquoi il s’est battus et laisse voir en quoi Nicolas sarkozy est dans le camps que combattait Guy Moquet.
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