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Les commentaires de chris



  • chris chris 31 décembre 2009 13:12

    Quel fatras, quel gallimatias, voir quel gloubi boulga que tout ce charabia !
    On comprend vaguement où vous allez mais on a l’impression que vous avez construit vos phrases en jouant au scrabble et en plaçant quelques « mots compte triple » ici et là...

    Vous enfoncez quand même quelques portes ouvertes du genre « l’administration ne produit rien », etc ...
    Il n’est pas question de transformer les fonctionnaires en clones de salariés du secteur privé, mais il est simplement question de s’interroger sur l’efficience de l’action de l’Etat, cad se demander quel coût/efficacité il faut lui reconnaître.
    ça s’appelle la rationalisation des dépenses et ce n’est ni de droite ni de gauche.  

    Evidemment, quand on est un idéologue on croit aux vertus de l’idéologie, ce que vous faites, au mépris de toute réalité, le communisme ayant démontré à chaque fois ses échecs à travers l’histoire  



  • chris chris 30 décembre 2009 13:05

    Ce panneau est la résultante de l’alliance du populisme, de la démagogie, et du mensonge

     

    Populisme parce que ceux là même qui dénoncent avec véhémence l’agression publicitaire  l’utilisent pourtant sans complexe dès lors qu’elle sert leurs visées politiciennes,

     

    Démagogie parce qu’effectivement ce n’est pas en dépensant des frais d’établissement d’un panneau immense, éclairé à grands frais (alors que sur la photo il semble que le soir tombe à peine…) que le conseil général se rendra crédible à critiquer la mauvaise gestion des deniers publics,

     

    Et enfin mensonge parce qu’un mensonge régulièrement rabâché ne devient pas pour autant une vérité.

    Il est faux de dire que l’Etat ne compense pas à due proportion, en réalité les transferts de l’Etat du fait de la décentralisation ne représentent qu’un tiers des nouvelles charges pour les collectivités, lesquelles ont créé un réseau local de diverses structures supports pour appuyer un nouveau clientélisme au plus près du terrain.

     

    Combien de droits de tirage de structures associatives ou d’entreprises « amies », qui au passage pompent également des subventions à l’Etat ?

    Combien de marchés truqués, de marchés « arrangés » pour voir favoriser tel ou tel au final ?

     

    C’est pour mieux masquer leur impéritie et leur gabegie que les collectivités réclament toujours plus à l’Etat, mais quid de leur responsabilités en termes de gestion ?

     

     

     



  • chris chris 30 novembre 2009 14:54

    @ Gazi,

    Vous avez raison, il n’en est pas l’auteur, il a simplement été condamné à une peine de prison après avoir tenu un discours qualifié d’incitation à la haine et incluant cette formule...



  • chris chris 30 novembre 2009 14:08

    Erdogan, alors maire d’Istanbul, en 1997 : « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats. »

    No comment



  • chris chris 23 novembre 2009 17:25

    « Un employeur n’a pas à vérifier l’authenticité des papiers. La déclaration d’embauche à l’URSAFF suffit à prouver sa bonne foi. »

    Vous confondez deux choses : la déclaration régulière d’un salarié à l’URSSAF (qui concerne autant les nationaux que les étrangers) et l’embauche d’un travailleur muni d’un titre de travail régulier



  • chris chris 23 novembre 2009 17:20

    « Derrière les employeurs c’est en fait, en pleine montée du chômage, l’immigration qui est stigmatisée. »

    Vous raisonnez par amalgame :

    1) il s’agit de sanctionner les employeurs, pas leurs employés
    2) il s’agit de sanctionner les employeurs de travailleurs non déclarés et sans papiers, pas les employeurs de travailleurs étrangers légaux

    Amalgame, amalgame, qui est le plus démago, celui qui aborde un problème ou celui qui en fait une caricature ?



  • chris chris 23 novembre 2009 14:47

    Céphale avec un C, comme c..



  • chris chris 21 octobre 2009 14:22

    C’est vrai ça, les deux affaires n’ont rien à voir :

    1) c’est une femme,
    2) son prénom est Marie,
    3) son nom est Bové,
    4) elle est plus âgée que le prince Jean...

    ...et surtout ...

    5) elle est de gauche !!!

    Ceci étant dit, le piston est partout, même lors des soi disant « concours » administratifs pour lesquels certes il y a le filtre des écrits, mais une fois à l’oral si vous connaissez un ou plusieurs membres du jury ça peut permettre bien des choses. 

    Sans compter les ministères. Récemment, un poste de haut fonctionnaire a été offert à un agent certainement très compétent. Il n’en a finalement pas voulu, au final, c’est aujourd’hui sa femme qui occupe officiellement le poste.

    Tout va bien, vous êtes en France...

     



  • chris chris 8 octobre 2009 14:07

    @ Gazi,

    La question n’est pas de savoir s’il existe ou s’il n’existe pas des clubs sportifs communautaristes. Il en existe, tout le monde le sait, et d’ailleurs et jusqu’à preuve du contraire, rien n’interdit qu’il y en ait.

    La question c’est de savoir s’il est acceptable qu’un club de foot se déclare ouvertement homophobe en refusant de jouer avec un club gay, sans que les médias en fassent suffisament l’écho. C’est cela qui est particulièrement choquant.

    Quant à F. Mitterrand, qu’il retourne donc en Thaïlande, mais pas pour ce qu’il aime y faire, mais plutôt pour aller s’expliquer avec la justice locale.



  • chris chris 13 août 2009 13:25

    @ Zen

    Lisez donc Tocqueville, ça vous changera de Marx et Engels et d’une vision binaire de la société. Qui sait, peut être cela vous ouvrira-t il l’esprit.

    En tout cas, c’est tout le mal que je vous souhaite...



  • chris chris 13 août 2009 13:16

    Article consternant qui ne fait que véhiculer des poncifs.
    La volonté de l’auteur : « fonctionnaires, femmes voilées, sans papiers, même combat ! »
    Complètement débile.

    La différence incontestable entre un agent du service public et un salarié du privé c’est bien évidemment la sécurité de l’emploi, d’autant plus intolérable aujourd’hui avec la crise.

    Un salarié du privé qui commet une faute grave sera licencié, un fonctionnaire qui commet une faute grave sera placardisé ou mieux (pire) sera promu par son chef qui s’en débarassera ainsi à bon compte pour reporter le problème sur un autre.
    Voilà la triste réalité de l’administration (à la française bien sûr), c’est la totale irresponsabilité de ses agents d’une part et la lâcheté de sa hiérarchie d’autre part.

    Sous l’ancien régime il y avait les aristocrates qui avaient un statut inamovible, en République ce sont les fonctionnaires qui sont les nouveaux aristocrates.

    La seule différence c’est que les premiers obtenaient leur statut dès la naissance et les seconds après avoir réussi un concours (ce qui d’ailleurs est loin d’être la norme unique puisque de nombreux fonctionnaires le sont devenus après avoir été embauchés en contrat de droit privé et titularisés par la suite sans autre condition que l’ancienneté)

      



  • chris chris 9 juillet 2009 13:52

    Article intéressant, quoiqu’un petit peu technique pour un non spécialiste des collectivités territoriales.

    Je connais le cas de la ville de Rennes pour laquelle 10% du personnel actuel est en passe de rejoindre Rennes métropole dans le cadre de la mutualisation des ressources (et du personnel). A cette occasion quelques surprenantes promotions record et à l’inverse des mises au placard pas forcément justifiées. 

    Ceci dit le phénomène touche aussi l’administration d ’Etat et notamment la fusion dans les futures DIREECTE regroupant au niveau régional les services des directions du travail, DRIRE, DRCCRF...



  • chris chris 28 avril 2009 15:16

    La décision du tribunal ne m’étonne pas.

    L’espace européen en tant qu’entité n’existe pas. Les Etats gardent leurs prérogatives.

    S’il existe des moyens, de surcroit jugés suffisants sur le plan de la garantie de la sécurité et pour l’enfant et pour la mère, la sécu (donc l’Etat français) ne voit pas pourquoi une femme irait à l’étranger pour après faire prendre en charge l’accouchement par la collectivité nationale. C’est à la fois une position de principe et une position qui se justifie en pratique. 

    En conséquence, le reproche de ne pas avoir fait appel à une sage-femme faisant des accouchements à domicile ne semble pas si étrange que cela.
    L’Etat semble dire  : « vous ne voulez pas accoucher à l’hôpital, soit, alors démerdez vous pour trouver qq’un pour le faire (sous entendu sur le territoire national) »

    Par contre, vous avez raison de souligner l’attitude bien souvent passive des femmes qui accouchent (que je ne stygmatise pas en disant cela) dès lors qu’on leur fait comprendre que la procédure qui sera appliquée est la meilleure qui soit et que c’est le mieux qu’elles puissent espérer.

    Je ne doute pas que beaucoup de femmes (sinon toutes) s’interrogent sur les conditions de leur accouchement, mais le système médical a tôt fait de lever toutes leurs appréhensions. « Voyons madame, ne discutez pas, ce que l’on fait c’est pour votre bien, vous nous remercierez plus tard... »

    Il est tout de même choquant que pour un acte aussi important le choix n’existe pas.
    Cela dépasse à mon avis très largement la simple question pour la femme de décider de sa vie de femme, c’est davantage une question de liberté personnelle et de choix individuel pour un citoyen.



  • chris chris 28 avril 2009 10:59

    « la productivité s’améliore lorsque le temps de travail diminue »

    Sans doute la plus fabuleuse connerie de la décennie.

    Le travail, c’est comme le sexe, plus vous pratiquez, plus vous avez envie de pratiquer. 
    Et l’oisiveté appelle l’oisiveté.

    Là où vous avez raison (mais involontairement) c’est que lors du passage aux 35 heures les employeurs ont obligé les salariés à maintenir en 35h la même productivité qu’ils avaient en 39. Donc la productivité a effectivement augmenté parallèlement à la baisse du temps de travail
    Mais cela n’était pas un choix de la part des salariés

     

     



  • chris chris 13 février 2009 09:28

    Après ceux qui descendent en flèche des livres qu’ils n’ont même pas lus, voici venu le temps de ceux qui critiquent violemment une émission qu’ils n’ont même pas visionnée !!...

    L’imposture intellectuelle deviendrait elle le nouveau credo sur Avox ?



  • chris chris 29 janvier 2009 13:30

    Un article creux, à partir d’un non événement sur une radio dont l’audience est plus que modeste.

    Franchement M.Villach, n’avez vous donc rien d’autre à faire durant votre retraite ?



  • chris chris 12 janvier 2009 13:47

    @ l’auteur,

    Ne soyez pas si impatient !

    Je suis convaincu que Sarkozy en a l’intention et qu’il se réserve de l’annoncer à l’une des prochaines cérémonies de voeux avant la fin de son quinquennat.

    Un exemple, la prochaine mise en place des DIRECCTE ( DIrections Régionales des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi) qui va voir les Préfets de département inféodés au Préfet de Région et la politique déconcentrée de l’Etat à terme se voir pilotée à 100% au niveau régional.
    C’est une véritable révolution pour l’action de l’Etat sur le terrain et sans doute la première pierre avant la suppression des départements, lesquels deviendront dans un premier temps des unités territoriales. 

    Les médias n’en parlent pas pour le moment parce qu’ils n’y comprennent rien (ce qui ne les empêche pas de parler de ce qu’ils comprennent très peu...) 



  • chris chris 12 décembre 2008 14:58

    @ Voltaire,

    Copé avait "choisi un angle d’attaque inhabituel (accuser Mr Bayrou d’être de droite)". 
    C’est une remarque assez croustillante. Copé reproche à Bayrou d’être de droite, ce qu’il est fondamentalement, et vous y voyez "un angle d’attaque inhabituel".
    C’est au contraire mettre Bayrou devant ses contradictions


    Sa seule stratégie politique n’est pas de dire : "mon programme est meilleur que celui des deux autres et je vais vous expliquer pourquoi" mais de dire " trouvez vous normal que ce soit toujours les mêmes qui alternent au pouvoir ?".
    En clair la politique de Bayrou se résume au Bayrouisme. "Ne votez pas pour l’un des deux autres, mais votez plutôt pour moi, ça changera au moins..."

    Quelle pauvreté intellectuelle ! Et on s’étonne que les gens se désintéressent de la politique. Quand on entend un tel opportuniste, on comprend très bien.

    Vous dites aussi que Bayrou aurait une "différence de vision sociétale". 
    J’ai pourtant du mal à la cerner. Pendant la campagne présidentielle, Bayrou avait proposé d’exonérer de cotisations sociales les heures sup, or cette idée a été récupérée par Sarkozy qui l’a mise en place...

    Bayrou a toujours été de droite et il l’est toujours, mais en bon opportuniste il essaie de se démarquer de la droite au pouvoir en prenant soin de dire que ce n’est pas un pb de personne mais de méthode. 

    S’il avait été élu il apliquerait le même programme que Sarkozy, certes d’une manière différente, mais dans le fond cela reviendrait au même, la seule différence c’est qu’il y aurait Bayrou à la place de Sarkozy... 

    A la différence de tous les autres hommes et femmes politiques il a opté pour une démarche inverse.
    La plupart choisissent un "créneau" en adaptant leurs arguments en fonction de ce créneau, lui a choisi des arguments (en l’occurence la critique de tout ce que faisait sarkozy) et maintenant il est bien en peine de trouver un créneau politique viable :

    - Socialiste ? déjà pris et même trop pris vu le nombre de courants,

    - Centriste ? Ce courant n’existe plus, absorbé par l’UMP

    Il restait le courant Bayrouiste, c’est à dire le courant qui ne représente que lui-même et les quelques politiques au bout du rouleau et sans avenir dans leur formation d’origine qui l’ont rallié (Peyrelevade "grillé" par le Lyonnais, Benhamias inexistant chez les verts, etc...)

    En ce sens, Bayrou est un "révolutionnaire", à contre courant de tous les autres.
    Mais cela n’en fait pas un bon homme politique.

    Bien au contraire... 



  • chris chris 28 novembre 2008 14:08

    C’est curieux, aujourd’hui les chiffres officiels sur le nombre de chômeurs deviendraient subitement fiables, alors qu’auparavant ils étaient sujets à caution…

     

    Mais suis-je bête, c’est qu’aujourd’hui ils sont défavorables au gouvernement, donc forcément fiables, alors qu’hier ils lui étaient favorables, donc forcément faux.

     

    Oui, mais alors, quel intérêt aurait un gouvernement à mentir uniquement sur ce qui lui est favorable ?



  • chris chris 24 octobre 2008 10:55

    Excellent article, Paul Villach

    Vous mettez le doigt là où ça fait mal.

    L’Education Nationale a été pendant longtemps un navire sans boussole, aujourd’hui c’est devenu une épave qui prend l’eau de toutes parts. On ne compte plus les exemples qui démontrent que l’on a érigé la médiocrité comme norme de référence en refusant de tirer les élèves vers le haut par des attitudes à la fois de renoncement, de découragement, et de peur. Il ne s’agit pas de stygmatiser tel ou tel mais bien de décrire un contexte généralisé. 
    En pratiquant un nivellement par le bas on pénalise durablement ceux qui veulent avancer et on conforte ceux qui ne le veulent pas.

    C’est pathétique et consternant, mais c’est surtout très inquiétant pour l’avenir...