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Les commentaires de Loic



  • Loic 19 novembre 2012 00:25

    Vous avez parfaitement raison Lionel. La règle est de ne jamais nourrir le troll. :) Mais les trolls ont tellement la parole dans ce pays actuellement qu’ils nous font rouler par terre en implorant pardon pour on ne sait plus quelles raisons. Il faut s’attendre à ce genre d’abréaction et ne pas se tromper de responsable.

    Respectueusement mon cher Lionel



  • Loic 18 novembre 2012 14:25

    L’esquive est devenu un sport national, comme le « ventre à terrisme » et « l’excusite aiguë ». Moi je ne supporte plus ces leçons de morale venant des barbares ! Raz le cul de ce discourt en France qui consiste à n’avoir le choix qu’entres les molahs ou Tsahal. ça les emmerde quand on répond ni l’un ni l’autre. Quand on dit qu’on est pour la France. C’est justement cette instrumentalisation des esprits en France qui pousse à la guerre civile en évitant toute réconciliation nationale et en montant les français les uns contre les autres contre l’intérêt de la patrie ! Ces quelques personnes, généralement agents de l’étranger qui ne représentent qu’eux mêmes, qui se disent agissant pour les juifs de France alors qu’aucun juif ne les a désigné sont des traitres, il faut le dire et ne pas esquiver. Qu’ils se sentent « menacés » et qu’ils « partent pour Israël » comme le préconise leur premier ministre.

    Quand on entend BHL nous expliquer que le problème en France c’est Maurras... on a tout compris ! Tout est dit !



  • Loic 18 novembre 2012 00:21

    Rien à foutre des Molahs de Soral (et c’est vous qui le dite), rien à foutre de Netanyahu, ici on est en France. On ne devrait pas accepter la venu de responsables extérieurs qui viennent foutre la merde dans nos affaires en employant les mots comme ceux de Netanyahu, pas plus que les connards de qataris. Vous comprenez ce que je veux dire ? Si ce n’est pas le cas, si vous ne comprenez pas que ma position soit celle de défendre l’intérêt (dans le respect du droit international) de mon pays que des puissances étrangères veulent mettre au pied du mur pour leurs intérêts à eux, alors c’est une conversation de sourd.



  • Loic 17 novembre 2012 23:50

    Tout à fait M. Dornet ! Laissez nous seuls entres « antisémites » (puisque pour vous tout ce qui relève d’une opinion autre que la votre est forcement qualifiée comme tel) avec Soral et embarquez les agents étrangers qui jouent actuellement contre la France. Emmenez avec vous tous ces traitres qui veulent la fin de la Maison France, donnez leur des fusils israéliens pour combattre pour Tsahal, ça les changera d’envoyer les enfants des autres mourir pour des causes qui ne relèvent pas de l’intérêt de notre pays, la France, que vous essayez d’humilier chaque jour de plus en plus !

    Mais par pitié, laissez nous BHL, qu’on puisse le nommer ambassadeur de France en Libye, chez les salafistes qu’il a voulu au pouvoir dans ce pays.

    Les français commencent à ouvrir les yeux donc écoutez votre premier ministre Netanyahu, quittez la France, ce pays d’antisémites blablabla.



  • Loic 17 novembre 2012 17:50

    Ici c’est la France. Nous devrions inviter les gens beaucoup plus sensibles à la politique et aux intérêts d’Israël qu’à ceux de la France à suivre les paroles que le premier Ministre israélien a osé proférer sur notre territoire national : quitter la France et le rejoindre sous le drapeau à étoile de David.

    Vous devriez partir et laisser la France faire son travail de réconciliation nationale plutôt que de chercher par tous le moyens possibles de la mouiller à vos magouilles guerrières et de la pousser à la guerre civile. Partez, car un jour vous aurez à rendre des comptes à la patrie.



  • Loic 26 septembre 2012 17:24

    « Il [Hollande] reconnaît le gouvernement provisoire Syrien qui n’existe pas. »

    Tout comme au lendemain du 11 septembre 2001, notre Premier Ministre condamnait le terrorisme bactériologique devant l’Assemblée Nationale... Nous sommes vraiment au cœur de la « mascarade » dont parlait Marx. Nous sommes dans la « farce ». On pourrait presque parler de pataphysique.

    Hollande, Obama, etc... aucun d’eux n’a prit la parole réellement. Ils ont réciter l’idée qu’ils se font d’un discours devant l’ONU... s’inspirant d’untel figure historique, untel mythe politique. Ils jouent, récitent, copient, simulent l’idée qu’ils se font de ce qu’est un leader politique. Tout les médias parlent de « l’exercice » de M. Hollande. Tout est dit !

    Vous parlez à juste titre de la France de Robespierre... mais l’idée de mettre l’homme au firmament des valeurs universelles est morte. Comme disait si bien Michel Foucault : « L’homme c’est terminé ».

    Les français sont à l’image de se monde occidental dépourvu de logique, de politique, de pouvoir, d’information réelle, de singularité culturel, etc... Il ne reste que le simulacre de tout ces concepts. Quelque part, nous sommes déjà sortis de l’Histoire.



  • Loic 18 septembre 2012 16:10

    Merci pour cet article très technique.

    Pour ma part tout cela me conforte dans l’idée que les jours de cette monnaie sont comptés.

    M. Hollande reste à une place confortable. Président d’un pays qui décline aux cotés de toutes les autres puissances après-guerre froide, mais où la situation est encore tenable. Le mouvement viendra d’ailleurs.

    Comment ne pas imaginer qu’un parti politique d’un autre pays prenne le pouvoir avec pour leitmotiv le départ de la zone Euro coute que coute ? Un de ces pays condamné à 30, 40 ans d’austérité... pour finalement rester dans le marasme économique, privé de toute croissance, condamnés à une consommation limitée malgré les multiples plans de relance qui dans un contexte de frontières totalement ouvertes ne peut structurellement que bénéficier aux émergents (note pour M. Montebourg).

    Comment ne pas imaginer qu’un de ces autres pays, hier puissances industrielles secondaires, aujourd’hui réduit au statu de simples « clients » d’une Allemagne qui pratique depuis des années la concurrence déloyale sur le cout du travail, ne sorte de cette monnaie pour faire ce qu’il faisait quand il était souverain : dévaluer pour rester compétitif, donc conserver ses emplois et sa croissance ?

    L’euro n’est pas en crise (qui est un terme incluant une notion de duré relativement courte). L’euro est simplement mal conçu. Il devait garantir l’égalité économique entre pays membres... et nous a conduit à une simple mise en hiérarchie. C’est donc un échec total.

    Je ne vois pas à qui profite le crime. En dehors de 1% de super riches qui s’enrichiront toujours quoi qu’il arrive, disparition de la démocratie ou pas. Et si finalement le pouvoir n’orbitait plus qu’autour de sa propre absence ? (Il ne représente déjà plus que lui même). Si finalement cette situation n’était que l’addition de toutes les sommes ubuesques des opérations menées jusqu’à maintenant ? Si finalement, cette Europe n’était pas commandée par une sorte de complot d’élites, mais qu’elle se trouvait simplement sur roues libres ? (situation à peine préférable). Si finalement la démocratie n’était plus que le simulacre d’elle-même, parlement européen ou pas ?

    J’ai peut être trop de mépris pour les élites européennes pour les imaginer capables de tant d’intelligence. Finalement, tout ceci me semble plus kafkaïen que brechtien (en référence au titre de votre article).

    Bref... mes deux cents. Merci encore !



  • Loic 14 décembre 2010 19:00

    Bien d’accord avec vous Françoisperrin, je me demande comment le mythe du droite/gauche peut-il encore exister dans la tête des gens.

    La classe politique n’a plus que pour ambition de se représenter elle-même et non plus les citoyens. Leur programme ne dépend plus que de ça. La présence de Bayrou dans des émissions people s’inscrit parfaitement dans ce processus du tout people, tout médiatique pré-mâché, du tout festif, dont Bayrou (et les autres) sont les victimes et les complices à la fois. C’est un vaste syndrome de Stockholm en effet et nous sommes concernés aussi à tous les niveaux.

    Les Raybans, les caprices de star chez Denisot ou le bâchage en régle chez Barthès et consorts... c’est de l’ordre de la valeur signe. Finalement les politiques consomment les médias en pensant en faire le cheval de bataille de leur image, de le représentation.

    Les médias, eux, ont pour but de tout dire et surtout de tout juger, ils dépassent donc largement le cadre de leur fonction première qui serait d’informer de manière objective. Ils ne vivent plus que pour ça, ils ne sont donc plus que l’ombre de ce qu’ils sont supposé être. Les directeurs de TF1 en avouant vendre du coca en profitant du temps de cerveau disponible de leurs spectateurs sont les seuls a avoir eu la franchise de le dire. C’est scandaleux, certes, et scandale il y a eu mais pas pour les bonnes raisons.

    Dans ce contexte, comment pourrait-il subsister une idéologie de droite ou une de gauche ? Il ne reste que l’ego de sa petite personne déconnectée du monde politique via la guerre de l’image, la symbiose entre faux journalistes et faux politiques professionnels.

    La classe politique actuelle et le parti au pouvoir aujourd’hui ou demain ne sont pas en domination idéologique sur une autre idée sociétale, c’est l’hégémonie du système. Pas de révolution possible, pas de clivage, tous à la même enseigne, tous victimes et complices.

    C’est la fin de l’Histoire en quelque sorte, dirait Foucault. :)



  • Loic 14 décembre 2010 15:53

    Le problème Voltaire, c’est que les gens qui votent ne prennent plus que ces émissions là (Ruquier, Ardisson, Denisot, Drucker et leurs remplaçants) comme base de réflexion à une orientation d’opinion politique (en tout cas c’est ce que pense le politique). C’est la mixture des médias, les snipers, les comiques, etc. Même le politique doit être festif, sinon il est mort. On nous explique que le couple Jospin qui souhaitait régner en « pluralie » comme les Ceausescu sur la Roumanie, ont été dégagé car « trop chiants », mais paradoxalement Sarko qui a joué le jeu plein pot a faillit y rester (J’ai dis faillit, ce qui est bien dommage d’ailleurs...).

    Tout le monde passe à la moulinette des médias, même les médias eux-même. « Ceux qui veulent régner par l’image périront par le retour image » disait le grand Baudrillard.

    On nous rétorque l’argument facile du « Ils savent ce qu’ils font en allant à ce genre d’émission, ils doivent assumer », moi je répondrai simplement, que ces humoristes (très appréciables par ailleurs) eux aussi savent ce qu’ils font et qu’il n’y a rien de scandaleux à ce que certains invités ne restent pas passifs... Rassurons-nous, Barthes n’en a rien eu à faire, bien au contraire. Je soupçonne même que ce soit le but inespéré, comme ça on en parle longtemps et de drame en drame, on en déduit des réalités débiles sur l’invité. Le débile est devenue un fait de culture, alors que le fait bien plus épouvantable de la bêtise ordinaire ne bouleverse personne.



  • Loic 14 décembre 2010 14:40

    Triste époque où les journaux satiriques deviennent « en certains points, révélateur ».

     "Au lieu de rire de bon cœur et de s’en fiche, faisant la paix au passage avec la chaine cryptée, le voici qu’il nous remet ça, polémiquant avec l’humoriste, sur des phrases qu’il n’aurait pas dites. Mon dieu qu’il est chiant ce Bayrou. Incapable d’humour, d’auto-dérision, psychorigide, ne supportant pas qu’on le contredise. Qu’on laisse les humoristes faire leur métier d’humoristes, merde !« 

    En tout cas ce qui est révélateur ici, lorsqu’on lit ce genre de chose, c’est que Muray avait raison une fois de plus. Refusez de vous mettre à poil devant les guignols des médias et vous serez taxé de chiant sectaire à tendance névrotique (pour vous paraphraser à peine). Mais si monsieur Bayrou a envie de se mettre à poil devant qui il veut, ça reste son droit,  »merde !«  Encore un singe qui montre du doigt en hurlant qu’un salopard de rentre pas dans le moule de la »modernité modernante".

    Je n’aime pas beaucoup Bayrou, mais encore moins les brulots sans argument, désolé.



  • Loic 16 septembre 2010 16:00

    "Partout celui qui mise sur le spectacle périra par le spectacle. Et ceci est valable pour les « citoyens » comme pour les politiciens. Cest la justice immanente des médias. Vous voulez le pouvoir par l’image ? Alors vous périrez par le retour-image."

    Jean Baudrillard - Carnaval et Canibal



  • Loic 8 juillet 2010 13:48

    La Sarkozie n’aime pas les contres pouvoirs.

    Elle a continuée le principe d’abolition de l’Assemblée Nationale dans son fonctionnement (Députés fonctionnellement alignés sur le Président de la République, quitte à ce qu’il s’y déplace), annulée le résultat d’un référendum (le NON à la constitution Européenne) et tente de supprimer le Conseil des Sages ( Je vous invite à lire les propos de M. Devedjian ou M. Lefevre là dessus, c’est à frémir.)

    Rien de bien étonnant qu’elle s’en prenne sérieusement au « quatrième pouvoir ».

    Guillon, Medipart, Porte, Internet en général, etc, seront bientôt taxés de terroristes. Tout cela est parfaitement logique d’ailleurs.



  • Loic 23 juin 2010 08:40

    Je ne prétend pas savoir ce que vous pensez, mais je crois que nous sommes d’accord :)

    J’ai simplement trouvé votre commentaire intéressant, donc je me permet de continuer ce débat passionnant.

    Mon avis est que nous sommes déjà en phase hégémonique mais pour vous dire pourquoi il faudrait distinguer domination et hégémonie.

    Jusqu’ici, on avait affaire à de la domination : une relation maître-esclave, symbolique si l’on veut, une relation duelle avec possibilité d’explosion, de révolution, d’aliénation et de désaliénation… Cette domination-là a laissé place à l’hégémonie, qui est tout à fait autre chose. Ici il n’y a plus de relation duelle. Tout le monde est complice. Et l’hégémonie joue sur cette complicité pour abaisser plus encore les individus, jouant sur ce désir de chacun à s’abaisser ainsi.

    L’hégémonie fonctionne par dévaluation de tous. Il n’y a plus de dominants et de dominés, mais une espèce d’annexion totale (Nexus = les réseaux). Tout le monde est pris dans le réseau et subit cette hégémonie. Gouvernement des pays riches ou pauvres, militant UMP/PS zélé ou terroriste se revendiquant de Al Quaïda, tous sont sur le même réseau et se battent sur le même plan.

    Au profit de qui ? On ne peut plus calculer en terme de profit pour telle ou telle puissance. On ne peut plus remonter le fil de l’histoire et trouver le ou les responsables. Nous sommes tous à la fois victimes et complices, coupables et irresponsables. L’hégémonie est en nous. C’est donc le stade supérieur de la domination. Moi, je pense qu’il est pire, parce que d’une certaine façon l’hégémonie met fin à la domination, donc à l’aliénation. Nous ne sommes plus aliénés, ce n’est plus le problème. Et pourtant nous souffrons. On sent là une stratégie, mais sans personne en particulier derrière. Si on veut résister à l’hégémonie et y échapper par les anciens moyens de la domination (la révolte, la pensée critique, négative, etc.), c’est sans espoir.

    La preuve : terrorisme, crise financière ou politique, émeutes de la faim, et même ce que les politiques qualifient maintenant de « terrorisme naturel » (un terme très intéressant à étudier) comme tsunami ou réchauffement globale ne changent rien, et ce malgré la violence, la légitimité de ces évènements... tout est recyclé et devient prétexte à élargir l’empire du bien.



  • Loic 22 juin 2010 18:32

    C’est très vrai : le politique a depuis longtemps démissionné pour devenir moraliste sans aucune légitimité...



  • Loic 22 juin 2010 16:53

    J’aimerai bien savoir comment on combat l’hégémonie ? :)

    Dans l’hégémonie, par définition tout le monde est complice. Pire encore : dans notre hégémonie politico-économique, nous sommes victimes en même temps.

    Si on peut combattre alors ce n’est pas une hégémonie mais une domination, si c’est le cas alors il y a encore de l’espoir pour les « manipulés ».



  • Loic 22 juin 2010 16:33

    Vous pouvez comptez tous les morts que vous voulez, comme on compte les points dans un match de foot, ça ne donnera pas raison à un camps sur l’autre.

    Les chinois ne sont pas plus horribles que les Iraniens égorgeurs de femmes et d’enfants cachant leurs « sabres de l’islam » dans leurs sarouels... c’est ridicule et virtuel.

    Cet évènement puise ses origines dans une condition sociale en tout premier lieu. Cela concerne la France et son modèle de société, pas la Chine ou je ne sais quel pays étranger ou ethnie.

    J’irai même jusqu’à dire que ce problème n’est qu’un des nombreux reflets d’une crise sociale beaucoup plus importante qui touche toutes les couches de notre société.



  • Loic 22 juin 2010 15:38

    Voila une image de la société chinoise totalement hyper-réelle.

    Un peu comme certains voient les sociétés arabes, ou d’Afrique noire...

    La faute à TF1 sans doute.



  • Loic 22 juin 2010 14:25

    Face à de tels évènements on pourrait tirer des conclusions sur notre politique intérieure mais j’ai bien peur que ce ne soit pas seulement le modèle français qui s’effondre mais le modèle occidental tout entier. Il se désintègre non seulement sous le coup d’une violence externe (terrorisme, émeutes aux frontières, etc), mais encore de l’intérieur même, comme en 2005. Les politiques qui se font élire sur ces thèmes n’ont aucun intérêt à les régler de façon pérenne d’ailleurs.

    L’immigration et ses problèmes ne sont que les symptômes de la dissociation de notre société aux prises avec elle-même.

    "La question sociale de l’immigration n’est qu’une illustration plus visible, plus grossière, de l’exil de l’Européen dans sa propre société" 
    -Hélé Béji-

    Comment un modèle de société en désintégration pourrait intégrer qui que ce soit, immigré ou pas ? Intégrer à quoi d’ailleurs ? Au nom d’une définition introuvable de la France ?

    Les médias informatifs et les politiques ne manqueront pas de rappeler que ce genre d’incidents sont anecdotiques sur le chemin de la réconciliation des peuples et des cultures. Personnellement je pense qu’il s’agit d’étapes dans une révolte qui est loin de se terminer.



  • Loic 17 juin 2010 16:37

    Merci pour cet article.
    Je comprends que le foot soit le sujet actuel et que les rémunérations des joueurs misent en comparaison avec les fonds débloqués pour sauver des vies humaines choquent. C’est une image forte, violente même, et difficilement acceptable. Notre chère Rama Yade en a d’ailleurs fait les frais, négligeant la difficulté de ce sujet.


    Plutôt que de rêver à un Thierry Henri ou un Benzéma (qui d’ailleurs n’est pas en Afrique du Sud je crois) dont la générosité dépasserait le cadre des concessionnaires automobile et des bijouteries de la Place Vendôme, je préférerai que l’on réfléchisse au cas des robots  humains qui spéculent sur les prix des denrées alimentaires dont vous parlé, dont la moralité c’est arrêtée au simple principe d’offre et demande. Ils ne sont pas les seuls responsables de ce désastre évidemment, car toute la technostructure me semble incriminable.

    Dans le régime d’hégémonie de notre système politico-économique, chacun est victime et complice, Footballer, diplomate onusien ou simple internaute et ce n’est pas prêt de s’arrêter hélas.

    Je préférerai une conclusion plus joyeuse, mais laquelle ?

    Bien à vous en tout cas, merci encore.



  • Loic 11 juin 2010 14:19

    Les pays « non stables politiquement » et les dictateurs de la pire espèce sont décidément une gène structurelle pour nos pays d’« abondance » de liberté démocratique et de « stabilité politique irréprochable ». Ils sont liés, l’un n’existant pas sans l’autre.

    Je ne sais pas si la réalité est aussi manichéenne, mais là encore la frontière entre le réel et l’hyper-réel médiatique est aussi complexe à suivre que la frontière mitoyenne de l’état hébreu et de la Cisjordanie.