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Les commentaires de Gourmet



  • Gourmet 1er septembre 2010 14:47

    ET si toutes ces constructions étaient russes ?
    Quelle honte pour des américains en 1969 de devoir avouer s’être fait ..... profond par les russes alors que, justement, le programme spatial américain et ses milliers de milliards n’ont existé que pour montrer à la face du monde que l’Amérique c’était ’chement mieux que les communards.

    En fait, le véritable dialogue d’Armstrong aurait pu être :
    - Eh, Houston, il y a un truc énormes là-bas avec les lettres CCCP
    - Jezebel, jezebel ! Tu es viré !

    db



  • Gourmet 1er septembre 2010 14:20

    Tentons de clarifier les choses :)

    Pour mémoire, donc, en coordonnées Lambert (Zone IV).
    Les coordonnées Lambert sont en mètres :
     Puit A : 1 202 803,88 / 10 431 617
     Puit B : 1 202 514 / 10 431 494


    Voici donc, en gros, les puits tels qu’ils seraient positionnés sur une carte.

     A +

     B +

    Bref.
    Dans les photos de video du puit A que l’on peut voir dans l’article, le MSV est situé à qq mètres du puit lui-même (6 mètres environ). Ce que l’on voit donc (et étant donné que
    l’objectif de la caméra doit avoir une focale standard de l’ordre de 50 mm [24x36]) a une largeur de 2 mètres et une hauteur de 3 mètres.
    L’éclairement, la distance, tout cela colle à peu près.
    Bon, ça ne fuit pas des masses. En tout cas pas suffisamment pour déverser 800 000 litres par jour. On est là tout au plus à 100 000 litres.
    Mais le puit A est censé ne pas exister ou, dans tous les cas, être bouché. qq dizaines de milliers de litres par jour pour un truc bouché c’est toujours trop.


    Dans les photos de video du puit B, le MSV est situé sur le même méridien que le puits B à qq mètres près mais à 800 mètres au nord de ce dernier (10432285 - 10431494) !
    La prise de vue est également 27 mètres plus profonde que celle du puit A.
    800 mètres à 5 000 mètres de profondeur, j’ignorais qu’on voyait aussi bien surtout avec la quantité de fonds marins que cet épanchement doit remuer !
    Dans tous les cas l’éclairage est d’enfer ! Des millions de watts au bas mot.
    Ceci d’autant que le puit a l’air tout proche (à moins que les tubes au premier plan aient des dimensions de plusieurs centaines de mètres de diamètre !).

    La question est donc toute conne : les dernières videos ne peuvent être celles du puit B.
    D’où viennent-elles donc ?
    S’agit-il d’un des puits de dérivation ? C et D n’existaient pas, en principe, en mai-juin 2010. Alors ? E, F, G, Z ?
    Ou les coordonnées remontées par les MSV sont tripatouillées et donc fausses ? Ou les dates ?

    Hum ?

    db



  • Gourmet 6 juillet 2010 07:23

    Les banlieues ne sont pas l’apanage de la France.
    Comment cela se passe-t-il dans les autres pays (Belgique, Allemagne, Italie, Espagne, etc, etc) ?
    db



  • Gourmet 6 juillet 2010 07:12

    Les rênes du pouvoir mais les rennes de Laponie.

    Que celui qui a rêvé un tirage du loto dans l’assemblée se lève !

    db



  • Gourmet 28 avril 2010 13:32

    Quelqu’un qui cherche à bosser (légalement s’entend) est un chômeur, POINT.
    Qu’il s’agisse d’un boulot à temps partiel, d’un cumul afin d’arriver à un temps plein (catégorie B et C), qu’il soit en stage ou en arrêt maladie (catégorie D), qu’il bénéficie de contrats d’état (catégorie E) c’est une recherche d’emploi.
    Qu’il existe des catégories afin de traiter différemment les chômeurs en fonction de leur désirs c’est une chose.
    Utiliser ces catégories pour manipuler le chiffre officiel du chômage c’est un délit orchestré par les gouvernements de tous bords et les instances internationales comme le BIT.

    La magouille est simple : ne JAMAIS révéler que le travail est une valeur qui se déprécie et que nous allons droit vers un monde de chômeurs permanents et donc de précarité permanente et ce, au profit d’entreprises purement financières brassant de la propriété industrielle ou d’autres actifs immatériels ne réclamant AUCUNE main d’oeuvre (hormis quelques avocats pour les défendre mais ces derniers sont mutualisés).

    Répétons-le donc à l’envi : la propriété intellectuelle TUE la main d’oeuvre, les entreprises fabless prônées par les gourous du management participent de cette régression (on ne peut pas parler d’évolution lorsqu’il s’agit de réduire l’être humain à une machine).
    Tous les appareils législatifs et exécutifs des pays dits démocratiques vont dans le même sens : tuer le travail, tuer la valeur travail et favoriser l’immatériel (au nom de l’emploi !).
    Mais officiellement depuis 40 ans, les gouvernements combattent le chômage.

    La même notion de « combat » vaut pour la drogue, la santé, l’industrie et la religion (combien d’assassinats au nom de Dieu ?).

    Bref, il y a aujourd’hui 5 millions et demi de chômeurs en France, POINT.

    db



  • Gourmet 30 mars 2010 15:56

    « n’était pas en sus »
    « n’était pas en suce » plutôt non ?

    db



  • Gourmet 25 mars 2010 13:15

    3 800 pieds cubes ?
    Ca fait peu (un peu plus de 100 m3) pour du stockage saisonnier et pour un pays comme les USA. Non ?
    4 milliards de pieds cube me semblent plus proche de la réalité.

    Je ne connais pas l’économie du gaz (pas plus que celle du pétrole).
    Mais, en tant que citoyen, ce que je sais, par instinct et désormais par conviction, c’est que les politiques nous enfument ROYALEMENT à longueur d’année sous la férule des industriels.
    Pour moi le citoyen, le politique a un mandat non pas de représentant de la nation mais de comédien :
    - par son jeu (tantôt comique, tantôt tragique voire dramatique) il tente de faire passer les différentes pilules que les forces industrielles (d’aucuns appelleront cela le grand capital) ou d’autres lobbies lui imposent.

    Sans résister le moins du monde car il y trouve son compte (argent, embauche, conseil, etc).

    En effet, plaçons-nous une seconde de son point de vue :
    que lui rapporte son boulot de politique ?
    - une bonne mutuelle,
    - une retraite garantie au bout de 2 ans (ministre) ou 15 ans (député européen) ;
    - des avantages relationnels nombreux.
    Et, pour tout cela, le mépris du peuple (et c’est de pis en pis) et la considération très intéressée de grands groupes de pression.
    Où pensez-vous que son intérêt va aller ?

    db



  • Gourmet 19 mars 2010 16:55

    Il en faut pour tous les coûts.

     And Gode saves the gouine (aussi) !

    db



  • Gourmet 16 mars 2010 17:00

    Car avec le recul, on s’aperçoit que l’élection de Nicolas Sarkozy a été une dramatique erreur de casting pour notre pays

    Bien cons (ou intéressés) ceux qui ne s’en sont pas rendus compte AVANT 2007 tout de même.
    Car le zozo garçonnet et trouillard avait déjà officié en tant que ministre de l’intérieur et ministre des finances.
    La conséquence n’était pas difficile à tirer bien avant mai 2007.


    db



  • Gourmet 16 mars 2010 16:55

    J’adore (jaune) ces 2 petites phrases.
    Ainsi, même si un gouvernement réellement à gauche revenait au pouvoir, il n’aurait plus les moyens de nationaliser. Il serait même contraint de poursuivre les privatisations afin de rembourser la dette.
    De là à en conclure qu’un gouvernement d’un bord fait tout pour emmerder un futur gouvernement d’opposition (et ainsi préparer à nouveau son retour) il n’y a qu’un pas.
    Déjà qu’un gouvernement redécoupe systématiquement la France afin de contrer l’adversaire lors d’élections, j’en déduis donc, forcément, qu’à plus forte raison, un gouvernement ne sert rien moins que ses propres intérêts : rester le plus longtemps au pouvoir.
    Et le peuple là-dedans ?
    Quel peuple ?


    Jaime bien ça aussi :
    Une dette, c’est simple, quand elle est trop importante on l’annule unilatéralement.

    Ce qui repose la question de ce qu’il va se passer en Islande. Ben oui, juridiquement parlant, il semblerait que les islandais, par le biais de leur gourvernement (qui a pris de mauvaises décisions en leur nom vu qu’il est mandaté pour cela), doivent régler la note d’IceSave.
    Mais s’ils ne veulent pas ? Que se passe-t-il ?
    Car contrairement aux irlandais, les islandais n’ont pas froid aux yeux (et ils sont soutenus par la Norvège qui dit merde à tout le monde).

    Ainsi donc, si 60 millions de français (avec les bébés) défilent à Bruxelles en levant le doigt et en proutant devant la Commission il se passe quoi ?

    db





    db



  • Gourmet 16 mars 2010 13:41

    "La digue qui a été submergée selon le maire mais éventré selon les journalistes"
    La digue a été éventrée. Un reportage de Thalassa le montre clairement.

    N’y a-t-il pas de procès en cours de la part des familles de victime contre le maire et ses complices préfectoraux ?

    Je rappelle, incidemment, que le littoral de la Faute-sur-Mer et de l’Aiguillon, entre autres, était, jadis (jusque dans les années 60), réservé à l’élevage, même pas à la culture.
    Les anciens (pas si anciens que cela du reste) savaient très bien que ces zones étaient inondables (ben oui, ça s’est déjà produit et à maintes reprises) et agissaient en conséquence.
    Tout cela a été oublié pour le plus grand profit de certains (qui, eux, n’ont rien perdu dans l’histoire mais au contraire bien gagné, avec des complices à tous les étages).
    Pourtant, un scientifique a rappelé tout cela dans un rapport daté de 2007.
    Plus fort, et cela a fait le tour du Web, hélas que franco-français, le Nésident a déclaré, toujours en 2007, qu’il fallait assouplir la loi littoral.

    Comment voulez-vous que l’on vote ensuite pour un telle bande de pingouins qui se contentent de répéter à intervalle de quelques années qu’il faut faire quelque chose ... sans rien faire.
    Personne, dans le clan politique, n’a parlé de ces entorses à la loi littoral. Personne n’a rappelé que ces zones étaient, autrefois, sans culture et sans construction.

    Il y a 50 ans, les gens étaient tout de même moins cons que de nos jours !
    La faute à qui ? L’exemple vient d’en haut.

    db

     



  • Gourmet 11 mars 2010 16:37

    Eh Marion, t’as un truc, là, sur le front.
    Beurk !
    C’est contagieux ?
    Non, non, ne t’approche pas s’il te plaît.
    Bon, à plus hein ? On s’appelle ...
    db



  • Gourmet 9 mars 2010 10:18

    « et vous le savez bien et vous vous efforcez d’y remédier »
    Euh, je pense qu’il y a une erreur là.
    La bonne phrase est :
     « et vous le savez bien et vous vous efforcez de faire en sorte que cela aille plus mal encore »

    db



  • Gourmet 5 mars 2010 13:56

    Les sites de rédaction populaire comme AgoraVox sont menacés.
    Il est question que LePost soit repris par Lagardère.
    Bien entendu si une telle infamie devait arriver, c’en serait fini, définitivement, de l’esprit LePost.
    Ce que recherche bien entendu des groupes de media comme Lagardère.
    La liberté de ton disponible sur LePost, Agoravox, Rue89 dérange au plus haut niveau.
    Il faut donc que de tels sites disparaissent.
    C’est donc une excellente nouvelle pour le pouvoir et sa cour que LePost ait des difficultés financières.

    db



  • Gourmet 3 mars 2010 13:42

    « un genre de gène anti-gène, et la boucle sera ainsi bouclée, Eugène »
    Et surtout facturé et sur abonnement (renouvellement chaque saison).
    En résumé : j’emmerde mes voisins et s’ils veulent être un peu moins emmerdés, je leur loue le désemmerdeur à l’année.
    Ce que le droit commun ne supporte pas est tout à fait toléré voire même défendu en agriculture OGMisée.
    Bravo les POLITIQUES !

    « Les études ne sont pas faites par les pouvoirs publics mais par les firmes elles-mêmes » et gardées secrètes, ce qui est contraire à la loi communautaire, a dénoncé aussi Mme Lepage, qui parle d’un manque de « traçabilité ».

    Même chose pour les médicaments vous noterez. Petite différence : les résultats sont publiés. Enfin, les résultats qui vont dans le sens d’une inocuité de la molécule sont publiés, pas les autres hein ? Et comme personne ne vient contrecarrer les études menées par les labos eux-mêmes, par manque de sous (nous dit-on), par manque d’autorisation de travailler sur ladite molécule aussi (et surtout) ça roule tout droit ...
    Un accident sanitaire ? On s’en fout voyons : les politiques sortiront le parapluie en déclarant qu’ils ne savaient rien (le sang contaminé ça vous rappelle quelque chose), qu’ils vont prendre des mesures « concrètes » destinées « à refonder la santé » (sic).

    Quelques têtes sauteront (pardon, quelques têtes seront placées ailleurs, à un endroit moins exposé), quelques procès s’enliseront (voyez l’amiante, voyez Bhopal) et la vie continuera pour le plus grand bénéfice de l’industrie agro-alimentaire et de ses dirigeants et actionnaires surtout !


    Dans les faits, le plus grand danger ne réside probablement pas dans la crainte d’un désastre sanitaire suite à ces manipulations.
    Personne ne peut rien prouver ni dans un sens ni dans l’autre, seul le temps peut prouver quelque chose. C’est bien là que le bât blesse : le temps.
    Le temps joue pour ces multinationales et contre le consommateur car si jamais une catastrophe survient, elles auront engrangé suffisamment de bénéf. pour soudoyer à droite et à gauche, financer des campagnes de discréditation, de lobbying, mener des tas d’études contradictoires, suborner, subvertir, noyer le poisson, jeter l’opprobe, lancer des contre-procès, changer ses dirigeants, changer des politiques.
    Tandis que le consommateur, lui, aura toujours la même quantité de fric sur lui.

    Le grand danger c’est la brevetabilité du vivant et son corrolaire : le mercantilisme autour du vivant.
    Que demain vous ne puissiez plus cultiver vos propres légumes sans devoir en répondre à Monsanto (alors que vous êtes chez vous mais qu’un voisin éloigné vous a balancer par l’entremise du vent quelques spores brevetés [*] ou qu’il n’existe plus de graines libres de droit [**]), que vous ne puissiez plus regarder/photographier des fleurs sans payer un droit à BASF (héritière de l’horrifiquement célèbre IG Farben tout de même ne l’oublions pas) propriétaire de l’aspect figuratif de la fleur

    Etc, etc.

    Voilà le monde qui nous attend. Et ne dites pas : « gros délire ! ».
    C’est déjà le cas aux US et en inde.

    L’enjeu est le même pour l’eau.

    Il est donc essentiel de résister aujourd’hui pour éviter cela demain.

    db

    [*] Ne rigolez pas cela se produit aux US où les gendarmes de Monsanto sont redoutés comme la peste car s’en prenant directement aux agriculteurs refusant de payer la gabelle monsantienne lorsqu’ils sont entourés d’exploitants utliisant les graines Monsanto et que le doute subsiste quant à l’origine des semences utilisées.

    [**] Là non plus il ne faut pas rigoler et c’est encore plus triste car là il y a des morts et pas qu’un peu. Des milliers d’agriculteurs indiens se sont faits harkiri ne pouvant pas rembourser Monsanto suite à une mauvaise saison.
    Monsanto a bien fait les choses en Inde en rachetant tous les semenciers obligeant, partant, tous les agriculteurs à passer par elle pour obtenir des graines.
    Et qui dit graine brevetée dit obligation d’en racheter chaque année.



  • Gourmet 2 mars 2010 11:58

    « On vit une époque formidable ! »

    La faute à qui ?
    A nous, tout simplement. A nous qui avons laissé faire, à nous qui avons élu des politiques qui laissent faire.

    Regardez ce qui se passe en Islande.
    Les banques islandaises ont, comme toutes les autres, joué et ont, bien entendu, perdus.
    Qui c’est ki doit renflouer les finaudes en question ? Le bon contribuable islandais bien entendu !
    Tout comme le bon contribuable français, anglais, allemand l’a fait (sans qu’on lui demande son avis au passage).

    Mais, en Islande, tout comme en Suisse, il existe encore un semblant de démocratie (dans les petits pays ça se voit un peu trop lorsque le pouvoir prend de la distance avec l’opinion publique) et cela en passe donc par un référendum (enfin, surtout, lorsqu’un tiers des électeurs grogne).
    Et le contribuable islandais n’est pas d’accord pour rembourser les créanciers étrangers (3 milliards ce n’est pas une paille pour un petit pays comme l’Islande) qui ont beaucoup perdu grâce aux placements avancés des banques islandaises.
    On le serait à moins pas d’accord n’est ce pas ?

    Mais c’est que ça ne se passe pas comme ça : menaces du FMI, du Royaume-Uni et de la Hollande (principaux créanciers) de ne plus soutenir l’islande de faire en sorte qu’elle soit isolée du reste du monde, pressions sur le gouvernement de la part de l’Europe (ah tiens la revoilà) menaçant de remettre en cause l’adhésion de l’Islande à l’Europe (mon avis est qu’elle ferait mieux de s’en éloigner à grandes enjambées).

    La conclusion ?
    Nous avons laissé faire , trop longtemps.
    Et, à présent, lorsqu’on tape du poing sur la table, c’est les gros yeux, les menaces de pan pan cul cul !

    Je résume : les banquiers et financiers FONT CE QU’ILS VEULENT, n’en déplaise aux gouvernements et aux populations. Non mais !
    L’agravation du chômage (conséquence directe de leurs abus) et le silence des politiques ne peut que leur donner raison :
    - on a autre chose à faire que gueuler lorsqu’on est au chômage ;
    - ils sont convaincus désormais que QUOI QU’IL ARRIVE la collectivité viendra à leur secours.

    POURQUOI S’EN PRIVERAIENT-ILS ?
    ILS SONT DESORMAIS LES ROIS, LES EMPEREURS.

    db



  • Gourmet 2 mars 2010 11:46

    Mais tout à fait !
    il faut virer ces gnomes qui ne rapportent pas au moins 100 fois ce qu’ils coutent à la banque (hors les dirigeants puisqu’il en faut pour négocier avec le politique) !
    Or, un agent, un directeur d’agence, ça ne rapporte pas grand chose : 2 ou 3 fois ses charges salariales pour l’agent et un peu plus pour le directeur.
    Pas assez mon fils.
    Allez hop, virez-moi tout cela et mettez en place des agents et directeurs distants (des indiens par exemple, qui reviennent 20 fois moins chers et 20 x 4 ou 5 ça fait 100 !).
    En plus, cela contribuera à relever le niveau de vie du milliard d’indiens qui crèvent la faim.
    Un peu de solidarité les français, MINCE, alors !
    Arrêtez de vous regarder le nombril avec vos 5 à 6 millions de chômeurs (réels pas officiels hein ?). Pensez aux pays émergents qui en ont des centaines de millions.
    Punaise !

    Et les actionnaires alors ? Ils veulent un minimum de 15 à 20% de rentabilité sur l’année. Et alors ? Vous y pensez à ces familles qui peuvent à peine faire tourner le yacht de 110 mètres avec ce que ça coute en carburant et en personnel de bord (indien lui aussi tant qu’à faire) ?

    Non vraiment, la SOLIDARITE se perd dans cette France pourrie !

    db




  • Gourmet 2 mars 2010 10:39

    « les privatisations en Europe ont un bilan largement positif, tant pour les consommateurs que pour les salariés »
    Ah bon ?
    La privatisation a pour effet de stresser encore plus les salariés (jusqu’au suicide comme nous l’avons constaté chez Renault et chez FT n’est ce pas ? Y a-t-il eu jamais des suicides dans le public ?) et de les virer sans ménagement.
    Faudrait peut-être arrêter d’écrire de telles conneries.

    Une entreprise bien gérée avec un personnel satisfait d’en être est une belle chose.
    Telle était la Poste jadis avant que les politiques ne décident il y a 10 ou 15 ans de « la préparer à la concurrence ».
    Le résultat a été :
    1. des investissements hasardeux ;
    2. un personnel qui ne sait plus très bien où il en est et qui est démotivé à force d’être tiraillé à droite ou à gauche :
    - puisque ça ne sert à rien, on n’est pas payé plus cher.

    Telle était également EDF au temps où elle était une entreprise publique.

    Enfin bref, la privatisation n’apporte que très rarement des bienfaits pour les 2 camps.
    Le pire exemple étant les chemins de fer anglais qui, une fois privatisés, ont rencontrés les pires catastrophes de leur histoire (à force de réduire les coûts, ça arrive !).

    db



  • Gourmet 1er mars 2010 14:14
    <<
    5 - Taxe spécifique à la construction de maison individuelle et taxe spéciale sur le foncier bâti pour l’unicité d’occupation (nb de logement par unité de construction pour favoriser l’habita collectif)
    6 - Suppression de la péréquation de solidarité qui consiste à payer un abonnement identique quel que soit le lieu de fourniture applicable à tous contrats de fourniture y compris les télécoms. (La distance au centre ville, ça se paye) >>

    Pas très écolo ces mesures.
    Inciter les gens à habiter en ville plutôt qu’à la campagne c’est plutôt même la négation de l’écologie.
    Même chose pour l’incitation à la vie en communauté dans des immeubles de grande hauteur.
    db


  • Gourmet 1er mars 2010 13:27

    "N’est-on pas en droit de se poser la question : qui sont les terroristes ?"

    Je pense sincèrement que le terrorisme n’est pas plus présent que dans les années 70 ou 80 contrairement à ce qu’on veut nous faire croire.

    2 choses cependant :
    - s’il existe encore son aire d’action s’est agrandie ; c’est désormais le monde ;
    - il est devenu une commodité pour aider les états justifier des mesures liberticides.

    On ressort ainsi Ben Laden juste avant les élections.

    Le terrorisme est devenu un instrument de marketing ni plus ni moins.

    db