Tout cela ne nous dit pas s’il avait le gène... de la découverte du gène, par exemple, pour reprendre un paradoxe de mon ami Jacques Jaffelin (http://sociosomatique.com). Paix à son âme tout de même. Chapeau en tout cas pour les actions de Résistance.
Pour réagir à la réponse d’al.terre.natif, je dirais que que la mainmise de fait des marchés et de la finance, de l’économie, sur le reste de la société soit le fait du hasard, ou bien (provienne) du fait que « les marchés sont vivants », constitués de personnes qui les actionnent, la mise en place de taxe(s) sur les transactions financières, surtout spéculatives, me semble, en effet, indiquée.
Je ne vois pas pourquoi le fait que cet argent soit ou non « créé par les États », ce qui, selon vous, « n’est plus le cas depuis longtemps » (?) devrait y changer quoi que ce fût.
Enfin, je pense bien que le fait de se renflouer, pour les pays, est une solution. Je ne pense pas, comme vous, qu’ils soient condamnés à emprunter ad vitam aeternam : un ménage, pour prendre une autre échelle de réflexion, préférera ne pas s’endetter par l’emprunt plutôt que de le faire, à la longue, notamment. Il doit en aller de même au niveau national, par exemple.
J’ai lu avec attention cet article, ce billet, mais pas les réactions qui précèdent la mienne, à part une ou deux.
Je voudrais dire que je partage l’idée qu’il n’est point besoin de chef, de leader, à un mouvement tel que celui dit des indignés, avec ou sans majuscule. Mais il faut rendre à César ce qui lui appartient, et reconnaître à Stéphane Hessel la paternité de son appel « Indignez-vous ! ». Cela peut s’arrêter là, en la matière.
Pour ce qui est de la démocratie, directe ou représentative, je pense que le système représentatif a ses vertus : il permet une prise de décisions plus rapide, plus aisée et plus harmonieuse, tout en respectant, normalement, les avis des personnes représentées, autant que faire se peut. Une démocratie trop participative, trop directe, trop « bottom-up » risquerait de ralentir exagérément les prises de décision, de les rendre difficiles voire impossibles, même, tant la fragmentation des points de vue et le manque de cohérence d’ensemble, même si les minorités semblent plus et mieux représentées dans ce cas, seraient lourdes de conséquence. Mais le fait majoritaire, s’il s’impose aux avis minoritaires, doit respecter, dans l’idéal, les minorités. C’est aussi ce qu’on demande à un système représentatif, et qui n’est pas si souvent respecté, il faut bien l’admettre.
Enfin, je voudrais dire que je ne pense pas qu’il y ait de sourd complot des plus nantis, des plus riches, des plus aisés, contre les plus pauvres, les moins favorisés, les sans-grade, pour ainsi dire. Je pense plutôt qu’il faut juguler la mainmise de fait des marchés et de la finance, de l’économie, sur le reste de la société. Il faut imposer (dans les deux sens du terme, puisqu’il s’agit d’argent). Imposer les flux financiers, dans le sens de les taxer assez fortement, de façon à ce que, au moins, les spéculations sur les cours boursiers aient des répercussions positives substantielles sur l’économie des Etats, et donc sur la population, par ce truchement. Il s’agirait là d’une redistribution des richesses qui me semblerait de bon aloi. J’ai, d’ailleurs, proposé qu’on instaure une T.V.A. financière (sur les flux financiers), ou qu’on l’étende, puisqu’elle semble exister déjà, en fait.
Voilà mon grain de sel sur ces questions ô combien importantes, à mon sens.
Article assez intéressant, même si je partage assez peu le positivisme béat alternant avec un pessimisme résigné qui balisent aussi le texte.
Je suis assez sensibilisé aux questions d’intelligence artificielle et de sciences cognitives, notamment, ayant fait des études sur ces sujets jusqu’à préparer une thèse que je n’ai pas encore soutenue.
Je m’intéresse notamment aux recherches de Douglas Hofstadter, qui flirtent, je dirais, avec ce qui est appelé dans l’article « IA forte ». En effet, ce chercheur américain (bien connu pour son ouvrage prix Pulitzer « Gödel, Escher, Bach : les Brins d’une Guirlande Eternelle ») propose des programmes informatiques « intelligents » qui utilisent le hasard auto-contrôlé par le système grâce à une notion de température, un réseau de concepts malléables et un ensemble d’agents semi-autonomes pour effectuer des recherches et inventer des solutions à des problèmes divers, qui vont de la quête de suites logiques à l’émergence de fontes de caractères en passant par la disposition de couverts sur une table de façon plus ou moins originale, par exemple.
Je vous invite à réfléchir plus avant à toutes ces nouvelles idées et perspectives. Je ne sais plus trop ce qu’on trouve sur le web concernant Hofstadter et son équipe, peut-être pas grand-chose, mais c’est déjà ça. En tout cas, il convient pour ma part ni de tomber dans le négativisme obcur d’un « de toute façon, les machines vont nous dépasser », ce qui me semble un peu absurde et en même temps pas nouveau (le premier silex taillé nous « dépassait » déjà), ni dans l’optimisme éhonté (« les machines vont nous remplacer utilement et nous n’aurons plus rien à faire, quel repos !... »), car il faudra toujours faire des choix non prévus par les systèmes les plus sophistiqués, à mon sens (comme le rappelait quelqu’un, a priori, il faudra toujours voter, notamment et par exemple, pour ne prendre que cet exemple, donc).
Vraiment très intéressant, comme souvent Michel Serres. Je ne sais pas trop ce qu’il a voulu dire par « il y a une sur-morale à inventer », à la fin, mais il songeait peut-être au « surmoi » freudien. En tout cas, si « aimez-vous les uns les autres » et « l’homme est un loup pour l’homme » sont un peu dépassés l’un et l’autre, il y a éventuellement une voie moyenne à trouver et à expérimenter, qui pourrait être « ne mords pas la main qui te nourrit » (si elle est de bon aloi), par exemple... !
Je ne sais pas si Zemmour a « un physique de rongeur frustré » (on avait dit pas sur le physique, dixit la direction de Radio-France, Jean-Luc Hees sur Guillon sur Besson, en l’occurrence, quelque part avec raison, selon moi), cela rappelle des comparaisons trop funestes pour être sympathiques, mais ce qui est sûr, c’est qu’il y a un problème avec ce qu’a dit Eric Zemmour, soutenu d’ailleurs par Philippe Bilger, avocat général (qu’a donné son entrevue avec sa hiérarchie, prévue hier, et confirmée par la Garde des Sceaux, je crois, en disant qu’il ne « s’agissait que de lui demander explication », je cite de mémoire ce que j’ai lu ici ou là ?), même replacé dans son contexte.
Car comment faire le distinguo entre ce qui est raciste et ce qui ne l’est pas ? Avancer, ce qui est conçu comme un constat, un fait, une réalité, que la plupart des trafiquants sont noirs ou arabes, et que si les contrôles policiers concernent plus souvent ce genre de population, c’est dû à ce fait allégué, cela doit, sans jeu de mots, tout de même nous « interpeller » : car c’est exactement le raisonnement qu’on pouvait faire à une certaine époque, pas si lointaine, concernant d’autres types de populations. On sait où cela a mené : aux horreurs innommables de l’Holocauste, de la Shoah.
Comparaison n’est pas raison, et il faut, justement raison garder. Mais ouvrir une telle boîte de Pandore, c’est aussi ne voir que le mauvais côté des choses. Après tout, pourquoi pas, mais chacun doit prendre ses responsabilités.
Je prendrai les miennes en soutenant la surveillance accrue du C.S.A. sur ce genre de problèmes, d’une part, et la décision de convoquer l’avocat général Bilger pour problème avec son devoir de réserve, d’autre part. Le tout sans esprit partisan. Et s’il faut prendre un parti, je prends celui de penser que la justice doit sereinement suivre son cours.
J’aimerais mettre deux ou trois points au clair :
D’après http://programmes.france2.fr/jusqu-ou-va-la-tele/experience_zone_extreme.php, 13 000 personnes ont reçu par courriel une annonce les informant qu’on cherchait des candidats pour un nouveau jeu, sans en préciser la nature, à part que c’était « un jeu basé sur des questions-réponses ne demandant aucune connaissance particulière ». Donc les 2 600 qui ont répondu ne savaient pas qu’il serait question de « châtiment », et encore moins de décharges électriques.
Les 80 personnes finalement sélectionnées ensuite ont toutes accepté le contrat que leur proposait le « producteur » dans son bureau, cette fois-ci en connaissance de cause (on leur avait indiqué qu’il y aurait un « gage » à chaque mauvaise réponse, qui prendrait la forme d’une décharge électrique).
Enfin, on constate, dans ces conditions, qui me paraissent absolument scientifiquement fondées, que plus de 80 % des personnes parmi ces 80 « cobayes » volontaires ont, en l’occurrence, accepté de « jouer le jeu » (qu’ils ne savaient pas être en fait une expérience scientifique ou para-scientifique, puisqu’on parle ici de psychologie sociale, une discipline dont je ne suis pas sûr qu’elle soit scientifiquement reconnue, mais laissons le bénéfice du doute planer), sans savoir que le candidat non-questionneur (leur « partenaire », a priori) ne recevait en fait aucune décharge mais était un complice, comédien, qui simulait la douleur et tutti quanti.
Donc, selon moi, l’expérience est probante, scientifique pourquoi pas, et doit en tout cas nous faire tous réfléchir.
Michel Eltchaninoff, dans l’interview, indique qu’aucun candidat n’a refusé de participer lors de l’entretien avec le « producteur ». Je n’avais pas tilté, si j’ose dire. Dont acte. Qu’aurions-nous fait ? Je pense en effet que quasiment tout le monde, passé l’éventuel (normal) étonnement, pour le moins, à une telle annonce, aurait essayé le jeu, participé au moins un moment pour voir de quoi il retournait vraiment. Mais lorsque le candidat qu’on soumet à des décharges électriques (supposément) se met à exprimer sa souffrance, et, pire encore, surtout, lorsqu’il dit ne plus vouloir répondre, ne plus vouloir participer au jeu, et refuser de continuer, ne parlons pas de l’ultime phase de jeu lorsqu’il ne réagit plus du tout, on doit se poser de grandes questions. Les candidats l’ont fait, le plus souvent, heureusement, mais sans oser arrêter le jeu, à 80 % environ. C’est très inquiétant !...
Très bonne émission, très bon documentaire, même s’il reste quelques zones d’ombre (certains candidats ont-ils refusé lors de l’exposé par le producteur des conditions du jeu ?).
Pour ma part, je pense que j’aurais sauté au plafond dès l’annonce du gage, du châtiment (quel mot, déjà) : des chocs électriques ! et que j’aurais refusé de participer, ou, tout au moins, que je me serais arrêté lorsque le candidat censément électrochoqué aurait commencé à émettre des cris. Bien sûr. Mais qui peut être certain de ce qu’il aurait fait, avec le poids du système de l’émission télévisuelle dans laquelle se retrouvaient pris les candidats questionneurs ?
C’est très instructif et ça rappelle, comme l’expérience originelle de Milgram et « I comme Icare », notamment, combien nous pouvons être obéissants, même face à des injonctions paradoxales (ça souffre dur là-bas, mais est-ce que je continue à faire souffrir pour respecter le déroulement normal du « jeu », surtout qu’on me dit que les organisateurs « assument toutes les conséquences » ?). Ca rappelle évidemment le nazisme, en premier lieu, et toutes les sortes de fascisme, d’autoritarisme ou de dictature en second.
Or, comme beaucoup l’ont rappelé, l’autorité est présente un peu partout, à l’école, face aux institutions, en politique, dans la famille, parmi son cercle d’amis, etc. Donc nous ne pouvons qu’en tirer la conclusion qu’il faut toujours être prêt à faire jouer son libre-arbitre, quitte à désobéir à des ordres manifestement illégitimes, donc illégaux. Bien sûr.
Ca rappelle aussi Vichy, et la limite, qui a parfois été franchie, entre soumission à l’occupant qui l’emportait et agissements gravissimes suite à des injonctions, des « ordres » de cette puissance d’occupation.
Il n’y a qu’une alternative à de telles dérives funestes : la désobéissance civile, c’est-à-dire l’exercice raisonné de la liberté, dont nous ne pouvons faire l’économie, quand nous sommes confronté à de tels cas, si cela doit nous arriver.
Il ne faut pas être aussi pessimiste, pallas. On ne peut pas généraliser comme tu/vous le fai(te)s. Je suis un peu plus vieux de quelques années et je ne vois pas les choses ainsi. La France reste riche de ses acquis, parfois (souvent ?) obtenus de haute lutte, d’ailleurs, et même si la situation semble moins bonne aujourd’hui, ce n’est qu’une apparence, pour moi : dans l’ombre, et dans la lumière également, d’aucuns avancent pour continuer à porter l’oriflamme zélé des Lumières et autres progrès sociaux.
Il ne faut pas baisser les bras parce qu’on a l’impression que certains ont abdiqué. La vie est faite d’avancées et parfois de renoncements. Cela ne veut pas dire que l’on doive verser dans un germanisme annoncé, par exemple, comme vous le faites, avec tout le respect que j’ai pour l’amitié franco-allemande. Ni voir le tout-fric comme un horizon, déjà dépassé de surcroît.
Il est faux de dire que nos aînés ont tout détruit. Quand je regarde autour de moi, je vois toujours cette République dont nous rêvons. Elle est peut-être un peu (beaucoup ?) mise à mal par les politiques récentes, mais ce ne saurait être autre chose qu’une épreuve intéressante pour aller plus loin dans la démocratie française. Vive l’alternance, que diable !...
J’aimerais ici répéter le commentaire que j’ai fait sur l’article d’Agoravox.TV concernant le même Eric Zemmour (cf. http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/zemmour-apocalypse-france-25543) :
Je suis d’accord avec Eric Zemmour sur un point : « à Rome, fais comme les Romains ».
Mis à part cela, je suis en complet désaccord avec lui.
En effet, comment peut-il encore parler d’Arabes et de Noirs alors que beaucoup sont nos compatriotes, d’une part, métissés pour certains, d’autre part, tout comme nous (qui n’a pas des racines qui alsaciennes, qui algériennes, qui antillaises, etc.) ?
De plus, l’utopie du métissage reste, donc, d’actualité, ce qui n’enlève rien à l’intérêt de l’assimilation vs l’intégration, la première étant reléguée au second plan par les gouvernants de droite, à tort, car il s’agit bien là du modèle français, et non pas spécialement romain. Je ne me sens pas, contrairement à Zemmour, comme un barbare romanisé. Mais plutôt comme un Français, de souche, en l’occurrence, autochtone, donc, disons, pour qui l’idée d’assimilation par la France des immigrés sur son sol qui souhaitent y demeurer, c’est-à-dire y prendre attache, demeure, logis, toit, etc. est une idée-maîtresse. Il ne s’agit pas de « s’intégrer » comme à un groupe préexistant auquel on viendrait s’ajouter comme en surplus, mais de s’assimiler aux autres Français en créant une nouvelle façon d’être français, éventuellement, tout en reconnaissant et en respectant la langue, les coutumes, les mœurs, les habitudes, etc. des Français déjà reconnus comme tels et en développant à son tour de tels éléments.
Le métissage est une question secondaire, qui n’a pas à prendre place réellement dans le débat public, puisqu’aussi bien, pour aller encore plus loin, si l’on peut dire, nous sommes tous des « bâtards » de nos deux parents.
Cela amène, au passage, à l’idée suivante qu’il n’y a pas de reproduction (du même, par définition), mais bien procréation, c’est-à-dire projection en avant d’une création, nouvelle, d’un être humain à chaque mise au monde d’un nouveau-né, un processus qui peut lui aussi être remis en cause (surpopulation, manque de ressources, planète en danger) par l’homosexualité, par exemple (ce n’est qu’un exemple).
Pour une société fière du brassage de ses populations, quelles qu’elles soient ? Oui. Le temps de Charles Martel et de Jeanne d’Arc est un peu révolu, non ? Même si nous devons rester vigilants, justement, à toute tentative de remise en cause, de l’intérieur ou de l’extérieur, de notre modèle français, celui de l’assimilation, pour ce qui concerne l’immigration. Liberté, égalité, fraternité. Vive la République, vive la France ! Et à bas la tyrannie de l’étendard sanglant levé de l’« intégration » droitière...
Lire « prêts » au lieu de « près » (le lecteur avisé aura rectifié de lui-même) dans mon dernier post.
Je me permets de plaider ici pour une science citoyenne et démocratique, plutôt que de dire comme certains « laissons le débat sur l’éventuel changement climatique aux climatologues, aux spécialistes, aux seuls scientifiques ». L’enjeu est citoyen, politique, au sens de la polis grecque (cité), humain en un mot, en définitive et en fin de compte. Marre des je-sais-tout près à renier père et mère pour juste avoir raison deux minutes. Ca me rappelle le quart d’heure de célébrité individuel qu’évoquait Andy Warhol. Et après ?... Il faut voir plus loin que le bout de son nez (même rouge !), parfois.
Lire « Benard », et non « Bénard », mea culpa, mais AV ne voulait plus me laisser modifier mon message d’origine...
Si fait !
Rolly
La pollution, par exemple par le CO2, mais aussi par le CO, et bien d’autres éléments et composés, est nocive pour l’être humain et son environnement. Au-delà de ça, je ne saurais me prononcer ni sur le réchauffement climatique, ni sur l’absence d’arrière-pensée d’un pourfendeur « libéral », présidant un institut belge « Hayek » (Friedrich von Hayek était un penseur libéral), de l’actuelle vulgate « réchauffiste » dont la vérité qui dérange se gargarise de développement durable, de taxes carbone et autres GIEC. Prix Nobel ou pas (voir ma Critique du concept de VIH, sur un autre terrain, et comme je ne sais pas créer de lien ici, il faudra chercher dans les Tribunes Libres d’AgoraVox, date : 6 octobre 2009).
Bravo en tout cas au commentateur Francky la Hache (sic) pour nous éclairer d’une façon bien rafraichissante. Et bravo tout de même, malgré l’empreinte (écologique ?) de libéralisme, à l’auteur de l’article, Vincent Bénard, pour ouvrir les yeux sur une réalité qui finissait par ne plus nous déranger.
@ Arcane :
Si l’on part du principe que les tests de dépistage de vih ne testent rien de précis (je dis bien : rien de précis), il n’y a pas de syllogisme ni de sophisme dans le fait que les médications (traitements, tri, quadri-thérapies, etc.) administrées pour « traiter » les différentes formes de sida puissent être dommageables pour l’organisme, « le sida » étant (mal, à notre sens) défini par l’OMS par différentes affections possibles qui n’ont pas forcément de lien entre elles, par ailleurs.
Quant au problème des poppers, je suis loin d’être spécialiste, mais, comme pour les autres grandes drogues, et non plus celle-ci qui est parfois qualifiée (peut-être à tort, selon nous) de « récréative », ils peuvent causer des dommages à l’organisme également. C’est d’ailleurs ce que Peter Duesberg et al. appellent les « origines chimiques du sida », avec la malnutrition. Je pourrais vous citer la référence d’un article à ce sujet par lui et d’autres, donc, si vous le désirez. Il est paru dans une revue scientifique indienne à comité de lecture, si mes souvenirs sont bons.
Rolly
@ Rough : Effectivement, les poppers semblent de nouveau autorisés à la vente libre en France, cette erreur se sera glissée dans mon article. Ce n’est pas une raison non plus pour pousser des cris d’orfraie, qui plus est inconvenants. Car la thèse de la dangerosité des poppers, autrement qu’à dose très réduite, et encore, et je ne recopierai pas « bêtement » tel ou tel autre écrit, est une thèse comme une autre, et que je soutiens, personnellement.
Je voudrais relever une erreur au moins dans votre article : pour pouvoir s’être constitué partie civile, M. Sarkozy a forcément déposé plainte (voir le Code pénal ou plus simplement Wikipédia sur ce sujet).
Cordialement,
Rolly
Je suis libre, comme cette tribune, comme je l’ai dit. Le tutoiement (soudain) et surtout les noms d’oiseaux me semblent au moins déplacés, je suis au bord du signalement d’abus. A bon entendeur, salut !
Rolly
P.-S. : Une dernière fois, je ne roule pour personne.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération