Houps... j’avais oublié le préambule.
1/ La stratégie de la distraction : Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions : Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3/ La stratégie de la dégradation : Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4/ La stratégie du différé : Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge : La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans. ».
6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion : Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise : Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures ».
8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité : Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9/ Remplacer la révolte par la culpabilité : Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…
10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes : Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Source : http://rhubarbe.net/blog/2010/10/01/les-dix-strategies-de-manipulation-de-masse-noam-chomsky
Clair, précis, concis. Excellent Ronny.
Ajoutons que Nicolas Sarkozy et sa doctrine maléfique, le « National Sarkozysm », avec toutes les violations de Droits, Constitution et République qu’il pratique en « tournante » - aussi appelé « Conseil des Ministres » - n’est pas dénué de but : Il est destiné à servir ses commanditaires, copins, coquins et crapules du cac40 qui minent la France depuis Pompidou pour galvauder les derniers bastions d’Etat Public en Etat Privé aux Bolléré, Lagardère, Total, Suez, Bouygues, Arnault, Pinault et consorts.
1. La dictature constitutionnelle a pour objectif de mettre les ressources et les richesses d’un pays à la disposition d’un groupe d’individus restreint (oligarchie), au détriment de l’ensemble de la nation.
2. La dictature constitutionnelle utilise les institutions publiques (administration, justice, investisseurs institutionnels, médias…) en les mettant sous tutelle et en les détournant de leurs fonctions premières pour les mettre au service de cette oligarchie. C’est pour cela que la dictature constitutionnelle est dans un premier temps difficilement attaquable : elle reste dans le cadre de la loi, mais en la détournant de son esprit pour n’en retenir que la lettre, ce qui rend vain ou hypothétique toute poursuite. Les lois existantes sont complétées ou remplacées par d’autres lois plus favorables aux intérêts des oligarques.
3. La dictature constitutionnelle s’appuie également sur le réseau de médias des oligarques. Ceux-ci, bien qu’ayant des activités industrielles dans différents secteurs, contrôlent la quasi-totalité des médias privés, non pas uniquement pour gagner de l’argent, mais surtout pour ne pas laisser de place à un discours qui risquerait de remettre en cause la dictature constitutionnelle. Tout discours différent est aussitôt ridiculisé par l’ensemble des ténors du pouvoir en place. Par un martèlement du discours officiel permanent et étendu à tous les médias, l’individu finit par douter de ses propres pensées et n’ose plus remettre en question le discours universel de la dictature constitutionnelle. Profitant d’une couverture médiatique universelle, la dictature constitutionnelle peut mentir à tout instant, en toute occasion, et à tout propos, sans risquer d’être contredite. Les médias reprennent même les contre-vérités les plus grossières au premier degré, sans oser le moindre commentaire.
4. La dictature constitutionnelle s’attache à dissoudre, décrédibiliser ou à rendre impuissants tous les corps intermédiaires et de manière générale tout ce qui peut créer du lien social. L’individu doit se retrouver seul et isolé face au pouvoir.
5. La dictature officielle s’emploie à désespérer les individus. Toute possibilité d’amélioration des conditions de vie est présentée comme impossible. La dictature constitutionnelle présente la réussite des oligarques comme étant de leur seul fait personnel. Elle présente l’échec social des individus et leur incapacité à améliorer leur niveau de vie comme étant de leur seul fait, alors que tout est mis en œuvre, à tous les étages de la société, pour transférer les richesses des individus vers les oligarques.
6. La crise n’est pas un accident dans l’histoire de la dictature constitutionnelle, elle est pour les pays les plus avancés dans cette voie une étape franchie dans le transfert des richesses des individus vers les oligarques. Après avoir capté le maximum d’argent possible et avoir poussé les individus à s’endetter à long terme au-delà de ce qu’ils pouvaient payer, les oligarques doivent passer à un stade supérieur pour continuer à s’enrichir. Les oligarques vont maintenant accélérer la captation des richesses des états, et pousser les états à s’endetter à long terme au-delà de ce qu’ils peuvent payer, de façon à pouvoir profiter de cet argent sous forme de subventions diverses, de prêts, de défiscalisation, d’exonérations de charges, de baisse de TVA, etc.
7. Pour favoriser le transfert des ressources de l’état vers les oligarques, les dépenses des états doivent être réduites en supprimant les fonctionnaires et les services de l’état non indispensables à la conservation du pouvoir.
8. La dictature constitutionnelle crée de façon délibérée une stratégie de la tension sociale, en ne laissant à ses adversaires d’autres choix que l’humiliation ou la violence. En stigmatisant, criminalisant et manipulant la violence résiduelle, la dictature constitutionnelle peut ensuite légitimer un contrôle renforcé des individus et une réduction progressive des libertés. Cette stratégie est destinée à anticiper les risques de rébellion liés à la montée généralisée de la pauvreté, et aux noyaux de contestation qui ne manqueront pas de se créer devant le désespoir grandissant. En généralisant la violence policière et en la présentant comme normale (multiplication des gardes à vue et des procédures humiliantes, des coups, des bavures), en durcissant les peines de prison et les amendes on cherche également à faire peur aux individus, qui n’oseront plus se rebeller, de peur d’avoir affaire à une justice brutale et injuste.
9. Le tout numérique permet un fichage de toute la population et un contrôle généralisé de toutes les conversations téléphoniques, SMS, emails, sites internet. Tous les membres d’organisations hostiles au pouvoir sont filmés en détail par la police lors des manifestations. Il deviendra obligatoire d’installer un mouchard sur son ordinateur qui sera relié en direct et en permanence au pouvoir central. Toutes les procédures pénales possibles seront utilisées systématiquement pour décourager les individus ou organisations d’exprimer par quelque moyen que ce soit des idées contraires à celles de la dictature constitutionnelle, ou de mettre en cause l’un de ses responsables.
10. La dictature constitutionnelle, avec la complicité de ses médias relais, utilise ou crée en permanence des évènements pour faire diversion, empêcher que l’attention des individus se cristallise sur leur mécontentement personnel, et différer éternellement toute résolution possible des problèmes sociaux. Ces évènements renforcent et légitiment le rôle de la dictature constitutionnelle comme unique rempart entre l’individu et un monde extérieur caricaturé jusqu’à la paranoïa, d’où ne ressortent plus que des dangers potentiels.
Évènements positifs où la dictature est mise en valeur : sommets internationaux, visites du chef de l’état à l’étranger ou en province, mariages présidentiels ou oligarchiques, manifestations culturelles, vacances, interviews complaisantes, etc.
Évènements négatifs extérieurs à la responsabilité de la dictature et contre lesquels elle doit lutter en permanence : crise économique, insécurité, bandes, famines, épidémies, terrorisme, guerres, drogue, mafia, etc.
11. Quand le transfert intérieur des richesses est en passe d’être achevé et que la contestation ne peut plus être contenue par le contrôle policier, c’est alors à l’armée de prendre le contrôle du pays et d’éliminer durablement et de la façon la plus directe toute résistance. La dictature constitutionnelle rejoint alors toutes les dictatures du monde, mais nombreuses seront encore à ce moment les personnes qui penseront que ce qui est arrivé devait arriver, et qu’il n’y avait pas eu, à aucun moment, la possibilité de faire autrement.
12. Après avoir écrasé toute résistance intérieure et exploité toutes les ressources du pays, pour continuer à augmenter la richesse des oligarques, la dictature constitutionnelle se tournera alors inévitablement vers l’annexion d’autres états moins puissants militairement, de façon à s’en approprier les richesses.
C’est pas faute d’avoir prévenu !
Mes précédentes interventions :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sarkozy-a-pro-voque-une-situation-83225#forum2723753
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/ici-l-etat-tire-dans-le-tas-au-82835#forum2717855
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/qu-attendons-nous-81546#forum2693785
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sarkozy-veut-il-l-affrontement-82837#forum2718085
Sarkozy « DOIT » déclencher le chaos pour décréter état d’urgence, loi martiale, couvre-feu et suspension de la Constitution car se sont ses seuls moyens de rester au pouvoir. Or, le pouvoir - le pouvoir de contrôler les individus - est son seul objectif comme chez tout pervers narcissique « qui se respecte ».
(
A propos de la perversion narcissique :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pervers_narcissique
http://geopolis.over-blog.net/article-6423695.html
http://callways.com/pervers-narcissique.shtml
http://familles.blogs.liberation.fr/hefez/2007/05/petite_leon_de_.html
)
Sarkozy est en guerre contre la Démocratie, contre les Droits de l’Homme, contre le libre arbitre, contre l’esprit critique. Parce que ces « machins » sont des entraves à sa soif inextinguible de domination.
Chasser Sarkozy du pouvoir et désarkozyser la France, comme l’Allemagne a été dénazifiée après 45, est un devoir de salubrité publique et de sauvegarde de notre avenir.
Aux armes citoyen !
Etat d’urgence, loi martiale, couvre-feu et suspension de la Constitution sont les seules chances de Sarkozy pour rester au pouvoir.
Or, le pouvoir - le pouvoir de contrôler les individus - est son seul objectif comme chez tout pervers narcissique « qui se respecte ».
(
A propos de la perversion narcissique :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pervers_narcissique
http://geopolis.over-blog.net/article-6423695.html
http://callways.com/pervers-narcissique.shtml
http://familles.blogs.liberation.fr/hefez/2007/05/petite_leon_de_.html
)
Sarkozy est en guerre contre la Démocratie, contre les Droits de l’Homme, contre le libre arbitre, contre l’esprit critique. Parce que ces « machins » sont des entraves à sa soif inextinguible de domination.
Fusse au prix d’une montagne de cadavres pour éliminer jusqu’au souvenir d’un seul contradicteur à son entreprise dictatoriale, il mettra la France (ma France) à feu et à sang pour s’assurer d’être le Maître Absolu.
Quand bien même devrait-il être le Maître de rien ni personne pour avoir tout anéanti.
Chasser Sarkozy du pouvoir et désarkozyser la France, comme l’Allemagne a été dénazifiée après 45, est un devoir de salubrité publique et de sauvegarde de notre avenir.
Pour la liberté.
Aux armes citoyen !
OUI, SARKOZY VEUT L’AFFRONTEMENT.
Parce que l’état d’urgence, la loi martial et la suspension de la Constitution sont ses seules chances de rester au pouvoir.
Il provoque les Français depuis qu’il est aux « affaires » (1993, ministère du budget) en nous braquant les uns contre les autres : Riches contre pauvres, policiers contre citoyens, citadins contre ruraux, public contre privé, Nord contre Sud, centre villes contre banlieues, indigènes contre exotiques, chrétiens contre musulmans, travailleurs contre chômeurs, Blancs contre Noirs, imposables contre non-imposables, sédentaires contre nomades en stigmatisant tour à tour les uns contre les autres sous des prétextes tous plus fallacieux les uns que les autres.
Il exploite des épis-phénomènes (quand il ne les fomente pas !) qu’il amplifie d’une diatribe aussi simpliste que populiste et en jouant sur les émotions.
Parce que Sarkozy est en guerre contre la Démocratie, contre les Droits de l’Homme, contre le libre arbitre, contre l’esprit critique.
Il mettra la France à feux et à sang pour éliminer jusqu’au souvenir d’un seul contradicteur à son entreprise dictatoriale.
Les seconds couteaux Hortefeux, Besson et MAM ne sont que des épouvantails destinés à mettre en place les pièces d’un puzzle qu’il a dessiné. Il compte sur l’indolence et la docilité des Français pour, jour après jour, instaurer subrepticement et insidieusement une tyrannie qui n’est pas loin de l’accomplissement.
Tandis qu’il déstabilise les esprits dans une succession de tourbillons à faire perdre la tête à ceux qui en on encore une, il sabote l’Etat en le privant de moyens et pousse au naufrage à coups de déficits artificiels.
Il DOIT mettre la France sera à feu à sang pour justifier son « 18 brumaire » afin d’instaurer une dictature fasco - financo - policière dirigée en coulisse par ses commanditaires les copins - coquins - crapules du cac40 qui n’auront plus qu’a se baisse pour ramasser, qui les Transports (Bolléré), qui la Défense (Lagardère), qui les Energies (Total, Suez), qui les Télécom (Bouygues), qui la distribution (Arnault, Pinault).
Le National Sarkozysm n’a plus que le terrorisme policier pour imposer sa tyrannie.
Aux armes citoyens !
La présidence, le gouvernement, l’assemblée et le sénat étant atteint de Sarkozyte aigue, je préconise une vaccination générale à la présidentielle de 2012.
Avec piqûre de rappel aux législatives et cantonales.
Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Boc(as)sa , né le 28 janvier 1955 dans le 17e arrondissement de Paris. Titulature :
Sa Majesté naimpériale le nabot Leon, Tsar Kozy de toutes les Hongries.
- Roi des Présidents, Président des Rois, Président des Présidents, Roi des Rois
- Maître du monde
- Guide suprême
- Divin Konductor
- Génie des Hauts-de-Seine & Capo di tutti capi de Levallois
- Nil de la pensée (unique)
- Géniteur des Dieux
- Confesseur du Pape.
- Leader vénéré
- Libérateur du Libéralisme
- Grand Timonier à vue
- Petit (très petit) père des pipoles
- Commandeur des Chevaliers du népotisme
- Grand croix de perversion narcissique
- Docteur deshonoris causa Es-Manipulation
- Attila de la Démocratie (« La Démocratie ne repoussera pas derrière moi »)
- Néron des Droits de l’Homme
- Dépeceur de la Constitution
- Grand prêtre de l’Orient Tatcherien des courtisans du cac40
- Dilapidateur des deniers publics.
- Diplomé de l’Université Ferdinant Marcos de corruption.
- Doctorat en Omar Bonguisme appliqué.
- Licencié Es-Mobutu de pillage de l’état.
- Failliteur de l’Etat
- Camelot-Liquidateur des institutions au secteur privé
- Davos d’or de bradage de l’économie Française
- Grand Stakhanoviste du minage de fond du déficit budgétaire
- Généreux donateur aux banques
- Cordon d’Admirateur servile et Protecteur des riches et des puissants
- Chef-Fossoyeur de la Justice
- 1er prix d’ecarissage de l’Education Nationale
- Doctorat en euthanasie de la Santé Publique
- Meilleur éradiqueur des Libertés
- Maître en déstabilisation de la paix civile
- Affameur de l’agriculture
- Décoré de la croix du Medef (avec palmes) pour le démantèlement des acquis sociaux du Front populaire et du Gaullisme
- Secrétaire perpétuel de l’Académie des mensonges
- Grand psychoseur des naïfs
- Master en récupération de faits divers
- Prix G.W.Bush de corruption des consciences
- Loyal frère de la Fraternité Cheney-Romsfeld-Volfowitz pour une gouvernance mondiale non-démocratique
- Maître de conférence en cuistrerie médiocre
- Eternel recalé de Français.
- Membre d’honneur et perpétuel de la SDEDDEDJFDCNEDSPBJLM (Société Des Egoutiers Du Dimanche Et Jours Feriés Du Cap-Nègre Et De Sa Proche Banlieue Jusqu’à La Mer)
Avec ce jugement infâme, la justice clame elle-même son inféodation et son allégeance aux riches et puissants qu’ils soient personnes physiques ou morales.
C’était parmi les sous-entendus « pyralène » :
Etat et religion : Même combat (asservir), même méthode (psychose).
La peur est la principale manipulation des esprits. Avec la peur d’un hypothétique enfer, les religions tiennent en laisse des milliards de naïfs et d’ignorants.
Et vous, le 26/9 à 12:57, vous faites -27 !
Si ma maman m’avait raconté ce mauvais conte de fées de la version officielle du 9/11 pour m’endormir, je l’aurai envoyé péter vite fait avec ses balivernes. En comparaison, le Petit Poucet, Alice au pays des merveilles et autres Chaperon Rouge ou Blanche-Neige sont beaucoup plus crédibles.
Ah... Oui... J’oubliais... Il y en a pour croire qu’un dieu à tout créé en 6 jours envers et contre toutes les démonstrations scientifiques... Alors pourquoi pas croire la version officielle du 9/11 !
Bravo juluch !
21 sep / 12:50 = - 61 !
Fallait le faire.
Presque aussi « populaire » que le führer du National Sarkozysm dans un sondage falsifié par l’IFOP de Madame Medef !
Réédition d’extraits de quelques-uns uns de mes récents commentaires à des posts à ce sujet.
*** 17SEP10 ***
Malgré leur gravité, les affaires à la Karachi, Clearstream, Worth et autres déportations de minorités façon nazis ne sont que des pets de puces en comparaison de ce que nous prépare le petit père des peuples Hongrois.
Sarkozy est en guerre.
Il est en guerre contre la Démocratie, contre les Droits de l’Homme, contre le libre arbitre, contre l’esprit critique.
Il mettra la France à feux et à sang pour éliminer jusqu’au souvenir d’un seul contradicteur à son entreprise dictatoriale.
Les seconds couteaux Hortefeux, Besson et MAM ne sont que des épouvantails destinés à mettre en place les pièces d’un puzzle qu’il a dessiné. Il compte sur l’indolence et la docilité des Français pour, jour après jour, instaurer subrepticement et insidieusement une tyrannie qui n’est pas loin de l’accomplissement.
*** 18SEP10 ***
1. La dictature constitutionnelle a pour objectif de mettre les ressources et les richesses d’un pays à la disposition d’un groupe d’individus restreint (oligarchie), au détriment de l’ensemble de la nation.
2. La dictature constitutionnelle utilise les institutions publiques (administration, justice, investisseurs institutionnels, médias…) en les mettant sous tutelle et en les détournant de leurs fonctions premières pour les mettre au service de cette oligarchie. C’est pour cela que la dictature constitutionnelle est dans un premier temps difficilement attaquable : elle reste dans le cadre de la loi, mais en la détournant de son esprit pour n’en retenir que la lettre, ce qui rend vain ou hypothétique toute poursuite. Les lois existantes sont complétées ou remplacées par d’autres lois plus favorables aux intérêts des oligarques.
3. La dictature constitutionnelle s’appuie également sur le réseau de médias des oligarques. Ceux-ci, bien qu’ayant des activités industrielles dans différents secteurs, contrôlent la quasi-totalité des médias privés, non pas uniquement pour gagner de l’argent, mais surtout pour ne pas laisser de place à un discours qui risquerait de remettre en cause la dictature constitutionnelle. Tout discours différent est aussitôt ridiculisé par l’ensemble des ténors du pouvoir en place. Par un martèlement du discours officiel permanent et étendu à tous les médias, l’individu finit par douter de ses propres pensées et n’ose plus remettre en question le discours universel de la dictature constitutionnelle. Profitant d’une couverture médiatique universelle, la dictature constitutionnelle peut mentir à tout instant, en toute occasion, et à tout propos, sans risquer d’être contredite. Les médias reprennent même les contre-vérités les plus grossières au premier degré, sans oser le moindre commentaire.
4. La dictature constitutionnelle s’attache à dissoudre, décrédibiliser ou à rendre impuissants tous les corps intermédiaires et de manière générale tout ce qui peut créer du lien social. L’individu doit se retrouver seul et isolé face au pouvoir.
5. La dictature officielle s’emploie à désespérer les individus. Toute possibilité d’amélioration des conditions de vie est présentée comme impossible. La dictature constitutionnelle présente la réussite des oligarques comme étant de leur seul fait personnel. Elle présente l’échec social des individus et leur incapacité à améliorer leur niveau de vie comme étant de leur seul fait, alors que tout est mis en œuvre, à tous les étages de la société, pour transférer les richesses des individus vers les oligarques.
6. La crise n’est pas un accident dans l’histoire de la dictature constitutionnelle, elle est pour les pays les plus avancés dans cette voie une étape franchie dans le transfert des richesses des individus vers les oligarques. Après avoir capté le maximum d’argent possible et avoir poussé les individus à s’endetter à long terme au-delà de ce qu’ils pouvaient payer, les oligarques doivent passer à un stade supérieur pour continuer à s’enrichir. Les oligarques vont maintenant accélérer la captation des richesses des états, et pousser les états à s’endetter à long terme au-delà de ce qu’ils peuvent payer, de façon à pouvoir profiter de cet argent sous forme de subventions diverses, de prêts, de défiscalisation, d’exonérations de charges, de baisse de TVA, etc.
7. Pour favoriser le transfert des ressources de l’état vers les oligarques, les dépenses des états doivent être réduites en supprimant les fonctionnaires et les services de l’état non indispensables à la conservation du pouvoir.
8. La dictature constitutionnelle crée de façon délibérée une stratégie de la tension sociale, en ne laissant à ses adversaires d’autres choix que l’humiliation ou la violence. En stigmatisant, criminalisant et manipulant la violence résiduelle, la dictature constitutionnelle peut ensuite légitimer un contrôle renforcé des individus et une réduction progressive des libertés. Cette stratégie est destinée à anticiper les risques de rébellion liés à la montée généralisée de la pauvreté, et aux noyaux de contestation qui ne manqueront pas de se créer devant le désespoir grandissant. En généralisant la violence policière et en la présentant comme normale (multiplication des gardes à vue et des procédures humiliantes, des coups, des bavures), en durcissant les peines de prison et les amendes on cherche également à faire peur aux individus, qui n’oseront plus se rebeller, de peur d’avoir affaire à une justice brutale et injuste.
9. Le tout numérique permet un fichage de toute la population et un contrôle généralisé de toutes les conversations téléphoniques, SMS, emails, sites internet. Tous les membres d’organisations hostiles au pouvoir sont filmés en détail par la police lors des manifestations. Il deviendra obligatoire d’installer un mouchard sur son ordinateur qui sera relié en direct et en permanence au pouvoir central. Toutes les procédures pénales possibles seront utilisées systématiquement pour décourager les individus ou organisations d’exprimer par quelque moyen que ce soit des idées contraires à celles de la dictature constitutionnelle, ou de mettre en cause l’un de ses responsables.
10. La dictature constitutionnelle, avec la complicité de ses médias relais, utilise ou crée en permanence des évènements pour faire diversion, empêcher que l’attention des individus se cristallise sur leur mécontentement personnel, et différer éternellement toute résolution possible des problèmes sociaux. Ces évènements renforcent et légitiment le rôle de la dictature constitutionnelle comme unique rempart entre l’individu et un monde extérieur caricaturé jusqu’à la paranoïa, d’où ne ressortent plus que des dangers potentiels.
Évènements positifs où la dictature est mise en valeur : sommets internationaux, visites du chef de l’état à l’étranger ou en province, mariages présidentiels ou oligarchiques, manifestations culturelles, vacances, interviews complaisantes, etc.
Évènements négatifs extérieurs à la responsabilité de la dictature et contre lesquels elle doit lutter en permanence : crise économique, insécurité, bandes, famines, épidémies, terrorisme, guerres, drogue, mafia, etc.
11. Quand le transfert intérieur des richesses est en passe d’être achevé et que la contestation ne peut plus être contenue par le contrôle policier, c’est alors à l’armée de prendre le contrôle du pays et d’éliminer durablement et de la façon la plus directe toute résistance. La dictature constitutionnelle rejoint alors toutes les dictatures du monde, mais nombreuses seront encore à ce moment les personnes qui penseront que ce qui est arrivé devait arriver, et qu’il n’y avait pas eu, à aucun moment, la possibilité de faire autrement.
12. Après avoir écrasé toute résistance intérieure et exploité toutes les ressources du pays, pour continuer à augmenter la richesse des oligarques, la dictature constitutionnelle se tournera alors inévitablement vers l’annexion d’autres états moins puissants militairement, de façon à s’en approprier les richesses.
*** 08SEP10 ***
Il ne s’agit pas de Droite ou de Gauche, de Capitalisme ou de Socialisme mais d’une mafia de crapules opportunistes qui s’entend en coulisses pour mettre la France en coupe réglée aux frais des contribuables qui n’ont que leur travail pour revenus.
Quand mettrons-nous enfin un terme à cette corruption gabegique généralisée de copains et de coquins ?
De 1789 à 1795, on en a raccourci des milliers d’une tête pour bien moins que ça !
*** 03SEP10 ***
Prévarication, forfaiture, fraude électorale, conflit d’intérêts, manipulation, trafic d’influence, corruption, détournement des deniers publics, multi-récidive de ce qui précède et de ce que j’oublie tant il y en a.
Quel délit d’Etat n’a pas commit le National Sarkozysm initié par son führer ?
L’Etat de mon pays patauge dans la fange des malversations et les crimes contre la Nation et l’Humanité.
Je voyage beaucoup et la honte me gagne de plus en plus souvent quand je présente mon passeport français et dois « m’avouer » national de cette pantalonnade de république et démocratie.
La France, on l’aime ou la quitte ? Je l’aime mais ce n’est pas à moi de la quitter !
*** 18AOU10 ***
C’est depuis qu’il est aux « affaires » (1993, ministère du budget) que Sarkozy s’emploie à braquer les Français les uns contre les autres : Riches contre pauvres, policiers contre citoyens, citadins contre ruraux, public contre privé, Nord contre Sud, centre villes contre banlieues, indigènes contre exotiques, chrétiens contre musulmans, travailleurs contre chômeurs, Blancs contre Noirs, imposables contre non-imposables, sédentaires contre nomades en stigmatisant tour à tour les uns contre les autres sous des prétextes tous plus fallacieux les uns que les autres.
Il exploite des épis-phénomènes (quand il ne les fomente pas !) qu’il amplifie d’une diatribe aussi simpliste que populiste et en jouant sur les émotions.
Tandis qu’il déstabilise les esprits dans une succession de tourbillons à faire perdre la tête à ceux qui en on encore une, il sabote l’Etat en le privant de moyens et pousse au naufrage à coups de déficits artificiels.
Quand la France sera à feu à sang, il fera son 18 brumaire pour nous sauver avec une dictature fasco - financo - policière dirigée en coulisse par ses commanditaires les copins - coquins - crapules du cac40 qui n’auront plus qu’a se baisse pour ramasser, qui les Transports (Bolléré), qui la Défense (Lagardère), qui les Energies (Total, Suez), qui les Télécom (Bouygues), qui la distribution (Arnault, Pinault).
*** 16AOU ***
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sarkozy-veut-la-guerre-civile-79783#forum2652908
*** 02AOU10 ***
*** 19JUL10 ***
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lumiere-sur-les-micro-partis-de-l-78613#forum2622243
Pour étayer mon propos :
1. La dictature constitutionnelle a pour objectif de mettre les ressources et les richesses d’un pays à la disposition d’un groupe d’individus restreint (oligarchie), au détriment de l’ensemble de la nation.
2. La dictature constitutionnelle utilise les institutions publiques (administration, justice, investisseurs institutionnels, médias…) en les mettant sous tutelle et en les détournant de leurs fonctions premières pour les mettre au service de cette oligarchie. C’est pour cela que la dictature constitutionnelle est dans un premier temps difficilement attaquable : elle reste dans le cadre de la loi, mais en la détournant de son esprit pour n’en retenir que la lettre, ce qui rend vain ou hypothétique toute poursuite. Les lois existantes sont complétées ou remplacées par d’autres lois plus favorables aux intérêts des oligarques.
3. La dictature constitutionnelle s’appuie également sur le réseau de médias des oligarques. Ceux-ci, bien qu’ayant des activités industrielles dans différents secteurs, contrôlent la quasi-totalité des médias privés, non pas uniquement pour gagner de l’argent, mais surtout pour ne pas laisser de place à un discours qui risquerait de remettre en cause la dictature constitutionnelle. Tout discours différent est aussitôt ridiculisé par l’ensemble des ténors du pouvoir en place. Par un martèlement du discours officiel permanent et étendu à tous les médias, l’individu finit par douter de ses propres pensées et n’ose plus remettre en question le discours universel de la dictature constitutionnelle. Profitant d’une couverture médiatique universelle, la dictature constitutionnelle peut mentir à tout instant, en toute occasion, et à tout propos, sans risquer d’être contredite. Les médias reprennent même les contre-vérités les plus grossières au premier degré, sans oser le moindre commentaire.
4. La dictature constitutionnelle s’attache à dissoudre, décrédibiliser ou à rendre impuissants tous les corps intermédiaires et de manière générale tout ce qui peut créer du lien social. L’individu doit se retrouver seul et isolé face au pouvoir.
5. La dictature officielle s’emploie à désespérer les individus. Toute possibilité d’amélioration des conditions de vie est présentée comme impossible. La dictature constitutionnelle présente la réussite des oligarques comme étant de leur seul fait personnel. Elle présente l’échec social des individus et leur incapacité à améliorer leur niveau de vie comme étant de leur seul fait, alors que tout est mis en œuvre, à tous les étages de la société, pour transférer les richesses des individus vers les oligarques.
6. La crise n’est pas un accident dans l’histoire de la dictature constitutionnelle, elle est pour les pays les plus avancés dans cette voie une étape franchie dans le transfert des richesses des individus vers les oligarques. Après avoir capté le maximum d’argent possible et avoir poussé les individus à s’endetter à long terme au delà de ce qu’ils pouvaient payer, les oligarques doivent passer à un stade supérieur pour continuer à s’enrichir. Les oligarques vont maintenant accélérer la captation des richesses des états, et pousser les états à s’endetter à long terme au delà de ce qu’ils peuvent payer, de façon à pouvoir profiter de cet argent sous forme de subventions diverses, de prêts, de défiscalisation, d’exonérations de charges, de baisse de TVA, etc.
7. Pour favoriser le transfert des ressources de l’état vers les oligarques, les dépenses des états doivent être réduites en supprimant les fonctionnaires et les services de l’état non indispensables à la conservation du pouvoir.
8. La dictature constitutionnelle crée de façon délibérée une stratégie de la tension sociale, en ne laissant à ses adversaires d’autres choix que l’humiliation ou la violence. En stigmatisant, criminalisant et manipulant la violence résiduelle, la dictature constitutionnelle peut ensuite légitimer un contrôle renforcé des individus et une réduction progressive des libertés. Cette stratégie est destinée à anticiper les risques de rébellion liés à la montée généralisée de la pauvreté, et aux noyaux de contestation qui ne manqueront pas de se créer devant le désespoir grandissant. En généralisant la violence policière et en la présentant comme normale (multiplication des gardes à vue et des procédures humiliantes, des coups, des bavures), en durcissant les peines de prison et les amendes on cherche également à faire peur aux individus, qui n’oseront plus se rebeller, de peur d’avoir affaire à une justice brutale et injuste.
9. Le tout numérique permet un fichage de toute la population et un contrôle généralisé de toutes les conversations téléphoniques, SMS, emails, sites internet. Tous les membres d’organisations hostiles au pouvoir sont filmés en détail par la police lors des manifestations. Il deviendra obligatoire d’installer un mouchard sur son ordinateur qui sera relié en direct et en permanence au pouvoir central. Toutes les procédures pénales possibles seront utilisées systématiquement pour décourager les individus ou organisations d’exprimer par quelque moyen que ce soit des idées contraires à celles de la dictature constitutionnelle, ou de mettre en cause l’un de ses responsables.
10. La dictature constitutionnelle, avec la complicité de ses médias relais, utilise ou crée en permanence des évènements pour faire diversion, empêcher que l’attention des individus se cristallise sur leur mécontentement personnel, et différer éternellement toute résolution possible des problèmes sociaux. Ces évènements renforcent et légitiment le rôle de la dictature constitutionnelle comme unique rempart entre l’individu et un monde extérieur caricaturé jusqu’à la paranoïa, d’où ne ressortent plus que des dangers potentiels.
Évènements positifs où la dictature est mise en valeur : sommets internationaux, visites du chef de l’état à l’étranger ou en province, mariages présidentiels ou oligarchiques, manifestations culturelles, vacances, interviews complaisantes, etc.
Évènements négatifs extérieurs à la responsabilité de la dictature et contre lesquels elle doit lutter en permanence : crise économique, insécurité, bandes, famines, épidémies, terrorisme, guerres, drogue, mafia, etc.
11. Quand le transfert intérieur des richesses est en passe d’être achevé et que la contestation ne peut plus être contenue par le contrôle policier, c’est alors à l’armée de prendre le contrôle du pays et d’éliminer durablement et de la façon la plus directe toute résistance. La dictature constitutionnelle rejoint alors toutes les dictatures du monde, mais nombreuses seront encore à ce moment les personnes qui penseront que ce qui est arrivé devait arriver, et qu’il n’y avait pas eu, à aucun moment, la possibilité de faire autrement.
12. Après avoir écrasé toute résistance intérieure et exploité toutes les ressources du pays, pour continuer à augmenter la richesse des oligarques, la dictature constitutionnelle se tournera alors inévitablement vers l’annexion d’autres états moins puissants militairement, de façon à s’en approprier les richesses.
Source : http://mobile.agoravox.fr/actualites/politique/article/la-dictature-constitutionnelle-en-55696
Malgré leur gravité, les affaires à la Karachi, Clearstream, Worth et autres déportations de minorités façon nazis ne sont que des pets de puces en comparaison de ce que nous prépare le petit père des peuples Hongrois.
Sarkozy est en guerre.
Il est en guerre contre la Démocratie, contre les Droits de l’Homme, contre le libre arbitre, contre l’esprit critique.
Il mettra la France à feux et à sang pour éliminer jusqu’au souvenir d’un seul contradicteur à son entreprise dictatoriale.
Les seconds couteaux Hortefeux, Besson et MAM ne sont que des épouvantails destinés à mettre en place les pièces d’un puzzle qu’il a dessiné. Il compte sur l’indolence et la docilité des Français pour, jour après jour, instaurer subrepticement et insidieusement une tyrannie qui n’est pas loin de l’accomplissement.
Sarkozy n’a que la taille de Napoléon. Même bodybuildé, il n’en aura jamais la carrure !
Et si la chasse aux Roms cachait un test de docilité et d’indolence des Français a supporter une dictature ?
Au point ou les Sarkozy, Hortefeux, Besson et autres MAM ont mit la Démocratie, la République, l’état de Droit et les Droits de l’homme, il n’y a plus beaucoup de pas à faire pour que la France tombe dans le despotisme.
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