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Les commentaires de ikant



  • ikant 31 août 2016 11:54

    Les accusations récurrentes, à l’égard des français, de racisme et de xénophobie ne sont que des sophismes. Des attaques ad-hominem qui consiste à discréditer des arguments adverses, sans les discuter eux-mêmes, mais en s’attaquant à la personne qui les présente.

    Les français de souche ou d’origine étrangère (ainsi que les immigrés légaux) ne sont ni racistes, ni xénophobes ni islamophobes. Ils sont simplement anti-immigrationnistes. L’anti-immigrationnisme est la position la plus rationnelle qui soit compte-tenu de la situation économique et sociale du pays. 

    La position défendue par l’oligarchie vendue à la finance parasite internationale et soutenue par les idiots utiles gauchistes, qui consiste à faire venir et à accueillir toujours plus d’immigrés nouveaux dans un pays qui compte déjà plus 6 millions de chômeurs français ET immigrés, 8 millions de mal-logés, plusieurs millions d’allocataires des minima sociaux , etc... est un CRIME contre la nation et la démocratie. 

    Les français ainsi que les chrétiens en général sont parmi les moins racistes, les moins xénophobes et les moins communautaristes et les plus tolérants au monde ! Quand vous êtes musulman ou chinois en France, vous avez une chance de trouver du travail si vous êtes qualifiés. Par contre, quand vous êtes chrétien, essayez donc de vous faire embaucher dans un commerce tenu par des chinois ou des musulmans ? Les plus xénophobes ne sont pas ceux que les médias vendus désignent.



  • ikant 7 mars 2016 18:29

    Ne soyons pas naïf. Les chinois sont encore plus cyniques sur que les occidentaux



  • ikant 7 mars 2016 10:28

    Attention au brevet de naiveté ! ;)

    Le capital transfrontalier est le bras armé du nouvel impérialisme chinois. L’invasion de capitaux étrangers transfrontaliers dans un pays est toujours préjudiciable. Il détourne le peu de forces productives du pays pour l’export au détriment de l’économie vivrière. 

    La modernisation des infrastructures de l’Éthiopie réalisée par des ouvriers chinois avec des capitaux chinois va servir au pillage à grande échelle des ressources du pays. Cela profitera aux détenteurs des capitaux et à la bourgeoisie comprador du pays hôte coupable de trahison en bradant les ressources humaines et matérielles du pays à l’étranger. La dernière chose dont ont besoin les éthiopiens c’est d’un réseau d’autoroutes.

    Le cas de l’Éthiopie est malheureusement généralisable à toute l’Afrique ou le capital transfrontalier nomade, volatile et prédateur sévit avec férocité.
    A terme c’est exode rurale, explosion démographique, criminalité et émigration massive. 


  • ikant 14 août 2015 20:28

    @lsga


    La production de richesse a certes augmenté ces 30 derniers années mais ce n’est pas imputable au néo-libéralisme. Le néo-liberalisme a juste permis aux banques de s’approprier l’essentiel des profits au détriment des producteurs.
    La france des trentes glorieuses a connu également une forte croissance avec un système qui serait considéré aujourd’hui comme protectionniste.

    De plus la croissance de ces dernières années est à relativiser compte tenu de l’explosion démographique mondiale. Elle est à relativiser également si on tient compte des contre parties sacrificielles en terme d’endettement et de destruction environnementale.

    Le problème n’est pas la transformation de la bourgeoisie en bourgeoisie financière. La bourgeoisie a toujours été duale : une bourgeoisie entrepreneuriale et productive d’un côté et une bourgeoisie rentière et comprador de l’autre. 
    Le problème fondamental c’est l’appropriation de la création monétaire par les banques privées et l’asservissement de la classe productive (petit bourgeois compris) par la dette.
    Le problème de la création monétaire a d’ailleurs échappé a Marx. Nulle trace de création monétaire dans le capital.

    Vous êtes marxiste, bien à vous. Moi je suis proudhonien. De on point de vue le collectivisme (ou capitalisme d’état), c’est la mème chose que le capitalisme : l’appropriation des moyens de production par les banques (dissimulées derriere l’état).au détriment des propriétaires légitimes (les producteurs)

    Enfin la richesse est de moins en moins matérielle et de plus en plus immatérielle (capital humain, connaissance, logiciels, etc...)
     

     


  • ikant 14 août 2015 17:54

    @lsga
    Faux, ce qui a décuplé avec la mondialisation néo-libérale c’est la DETTE, cad l’endettement massif des producteurs.

    Pour soutenir cette dette, il faut que le PIB augmente. Au lieu de développer l’homme, on a contraint les producteurs au productivisme => destruction de l’environnement, gaspillage, putréfaction du corps social (écart entre riche e pauvres qui augmente).
    Si on inclut les coûts externes (social, environnemental) la mondialisation néo-libérale détruit de la richesse.
    Elle ne profite qu’aux parasites.



  • ikant 14 août 2015 17:21

    @Auteur

    Je suppose que vous faites référence à la théorie néo-classique des avantages comparatifs (de torrens repris par ricardo) ?
    Sauf que la libre circulation des capitaux et des travailleurs invalide cette théorie néo-libérale. 
    Sans contrôle des frontières (situation actuelle) et des mouvements de capitaux ,on aboutit à des producteurs pauvres incapables de consommer faute de pouvoir d’achat et des consommateurs à crédit et au chômage.
    Ce système ne profite en fait qu’aux détenteurs de capital apatride (essentiellement les banques).
    La domination de la finance nomade parasite sur le producteur enraciné.


  • ikant 13 août 2014 11:48

    @gidmoz

    << Il n’est pas tout a fait exact de dire que chaque unité de monnaie serait une promesse de production. Chaque unité de monnaie est une promesse de la banque qui a émis cette unité de monnaie. Et cette promesse n’est pas exactement une production >>

    Oui, la monnaie est une créance (promesse) de la banque qui a pour contrepartie une créance d’un producteur. La monnaie est donc une promesse de promesse sur une future production.

    Parfois la banque, pour limiter le risque sur la créance du producteur, prend une garantie sous forme de collatéral (hypothèques). En cas de défaut du producteur ce collatéral sera vendu.

    De la même façon, l’or, pendant un temps, a pu servir de collatéral aux créances de la banque mais aujourd’hui l’or a quasiment disparu des réserves bancaires.



  • ikant 12 août 2014 18:12

    @gidmoz

    Effectivement un producteur d’une valeur arbitraire de la communauté peut décider d’émettre sa propre monnaie basée sur sa production propre. Mais deux problèmes se posent (outre le privilège exorbitant de battre monnaie) :

    Le premier : rien ne dit que la valeur de sa production sera universellement reconnue par la communauté. car dans une communauté les valeurs ne s’échangent pas bi-lateralement mais circulairement (transitivement) (voir TRM : problème des 3 producteurs).

    Deuxièmement il ne produit certainement pas assez pour créer suffisamment de monnaie pour toute la production de la communauté. Donc il sera rapidement obligé d’émettre de la monnaie basée sur des promesses de production d’autres producteurs de la communauté.

    En fait c’est ce qu’il s’est passé au moyen-âge avec les orfèvres. Rapidement le stock d’or dont ils disposaient s’est avéré insuffisant pour monétiser l’ensemble de la production. Il a fallut donc emmètre une monnaie basée non plus sur de l’or mais sur une promesse de production. Lors d’une opération de crédit l’orfèvre émettait de la monnaie (promesse) basée sur une reconnaissance de dette d’un producteur. L’or est ainsi devenu un simple collatéral (garantie) jusqu’à disparaître complètement aujourd’hui.



  • ikant 11 août 2014 13:31

    @gidmoz

    A mon avis le free banking n’est pas souhaitable car la création monétaire ne peut être privatisée. C’est du crédit social et en tant que tel doit rester propriété de la communauté. Voici ma démonstration :

    A qui appartient la production ? Aux producteurs. Donc à qui appartiennent les promesses sur cette future production ? Aux producteurs également. Sachant que la monnaie est une promesse de promesse sur une future production, la création monétaire (le crédit social) appartient donc également aux producteurs. Par contre le service qui consiste à mettre à disposition des producteurs le crédit social peut être privatisé.

    C’est la clé : l’activité de crédit doit être séparée de celle de la création monétaire (qui appartient à la communauté et doit donc rester public).

    Qu’en pensez-vous ?



  • ikant 10 août 2014 18:13

    Exactement le problème est l’impérialisme de l’argent !



  • ikant 10 août 2014 10:40

    @gidmoz

    La banque n’a pas intérêt à dépenser les intérêts. mais à reprêter une partie des intérêts.

    Les intérêts sont ainsi réinjectées (en partie) dans le stock de créance afin de le faire croître de manière exponentielle.

    Les producteurs sont donc contraints d’emprunter les intérêts, jusqu’à ce que le montant remboursement dépasse celui des revenus.

    Votre modèle décrit une économie complètement statique. L’économie réelle est au contraire dynamique, en changement permanent, avec des effets d’accumulation et d’appauvrissement.

    @Sam D.

    Le fait de payer de payer les intérêts en une ou plusieurs fois ne change rien à l’affaire. Comme dit gidmoz la banque pourrait très bien dépenser la totalité des intérêts avant les remboursements (même si elle n’a pas intérêt). Il faut résonner en stock de créances et en variation nette. A chaque instant des créances arrivent à terme et sont remplacées par des nouvelles (rotation).

    Une banque n’est pas une entreprise classique. Le capital financier fonctionne différemment du capital productif.

    Vous avez raison sur la thésaurisation. N’importe qui peut thésauriser une partie des ses revenus et empêcher ainsi les remboursements. En fait c’est ce qui se passe avec les comptes épargnes qui sont de véritables “parking monétaires”. Mais il n y a pas d’intérêt à le faire car ce n’est pas rémunéré.

    @gidmoz

    La valeur de la monnaie n’a rien à avoir avec la quantité émise.

    Ce qui confère sa valeur à la monnaie c’est uniquement l’appréciation des produits qui sont valorisés dans cette monnaie.



  • ikant 9 août 2014 15:24

    @gidmoz

    La banque n’a pas intérêt à dépenser le montant intégral des intérêts dans l’économie. La seule façon de s’enrichir en dépensant c’est d’acheter du capital et le développer ce dont est incapable une banque.

    Ce que va faire la banque, c’est s’approprier le bien d’autrui en exploitant l’impossibilité de rembourser les intérêts qu’elle n’aura pas créer afin d’obliger le producteur à lui vendre le bien qu’elle convoite. Pour arriver à ses fins elle accusera le producteur, incapable de trouver quelque chose qui n’existe pas, de mauvaise gestion. Les exemples pullulent dans l’histoire.

    Donc, non, la banque n’a pas intérêt à monétiser complètement les intérêts dûs.

    Quand on dépense on ne s’enrichit pas sauf si on est un créateur et que l’on achète du capital productif pour le faire fructifier, ce dont est incapable un usurier.

    Encore une fois, la monnaie est une promesse de promesse à la production. La banque monétise les créances des producteurs. ou encore la contrepartie de la monnaie est le crédit à la production. Il n y a rien derrière la monnaie que le potentiel de travail et le génie créatif de la classe productive de la société.

    Donc la valeur de la monnaie n’est que peu lié à sa quantité (la TQM est fausse). Ce qui confère sa valeur à la monnaie c’est uniquement l’appréciation des produits qui sont valorisés dans cette monnaie.

    La valeur d’une promesse de patate (à fortiori d’une promesse de promesse) c’est la valeur de la patate et rien d’autre.



  • ikant 8 août 2014 14:26

    Je comprends votre argumentation. Dans un contexte de free banking et selon la doctrine libérale de l’efficience des marchés, une banque qui fait bien circuler sa monnaie de dépensant tous les intérêts dans l’économie devrait disposer d’un avantage concurrentiel.

    Seulement cela ne suffit pas. Dans une économie capitaliste, Une banque, pour survivre, doit aussi grossir, c-a-d accumuler du capital. Le capital d’une banque est constitué essentiellement d’une partie du stock de créances qu’elle possède à son actif (le crédit social qu’elle s’approprie). Ses revenus sont essentiellement constitués par les intérêts qu’elle perçoit sur ce stock. 

    Rappelons également qu’une banque n’a pas de capital productif (ou très peu) mais du capital financier. Il n’y a donc comme dans le cas d’une entreprise industrielle d’investissement productif qui ont pour effet de remettre en circulation une partie du résultat.

    Pour croître la banque doit augmenter ces actifs nets en mettant en réserve une partie de son résultat (constitué d’une partie du montant des intérêts perçus)

    Deux stratégies s’offrent à elle :

    Premièrement en cas de croissance de l’économie productive, la banque accorde de nouveaux crédits (dont le montant des intérêts) à la production. Les producteur sont donc contraints d’emprunter le montant des intérêts ce qui a pour effet de faire croître exponentiellement la dette.

    Enfin en cas de stagnation ou de récession, la banque s’approprie ou met en vente (destruction monétaire) les collatéraux qui garantissent les créances es producteurs qui sont incapables de payer les intérêts manquants.

    Dans tous les cas il n y jamais création intégrale du montant des intérêts.

    L’argument qui consiste à payer de l’or pour les intérêts est a mon sens irrecevable quand on connaît la vraie nature de la monnaie aujourd’hui.

    La monnaie bancaire est une créance de créance sur une production future (une promesse de promesse). La contre partie d’une créance bancaire négociable (monnaie bancaire) est une créance à la production. Ce qui fait la valeur d’une créance à la production (promesse) c’est a valeur du produit promis. Ce qui fait a valeur d’une promesse de patate c’est la valeur de la patate. Par conséquent ce qui fonde la valeur d’une créance de banque (monnaie), c’est la valeur de la créance à la production.

    L’or jadis comme la monnaie centrale aujourd’hui ne sont que des collatéraux (réserves, garanties) qui sont exigées par les banques en pus de la contre partie pour annuler le risque inhérent au crédit.



  • ikant 5 août 2014 21:58

    @gidmoz,

    Je crois bien avoir compris la métaphore de la banque sur l’île déserte avec un seul client. Mais je conteste le fait que la banque dépense ou investisse l’intégralité des intérêts.

    Que pensez-vous du raisonnement suivant ?

    Le but de toute activité capitalistique est l’accumulation : une partie du résultat est donc réinvestit en tant que capital nouveau.

    Ce qui se traduit dans le cas d’une banque par prêter à nouveau une partie du montant des intérêts.

    Une banque dans le cas général dégage un résultat positif (bénéfice). Ce résultat correspond à une partie des intérêts. Seulement contrairement à une entreprise classique, ce résultat ne correspond pas à des liquidités à l’actif de la banque, puisque les intérêts ne sont pas encaissés mais détruit en débitant le compte (au passif) de l’emprunteur.

    Le résultat est donc mis en réserve non pas sous forme de trésorerie (pas de liquidités), ni investit dans un quelconque actif productif (une banque n’a pas de capital productif) mais en s’appropriant une partie des collatéraux (hypothèques) qui garantissent le stock des créances que la banque possède à l’actif. Il n’y a donc jamais création du montant des intérêts.

    Comment croyez-vous que le crédit agricole a bâtit son immense fortune ? Et bien comme le faisait déjà les usuriers au moyen âge en expropriant de leur terre les paysans qui ne pouvaient payer les intérêts et pour cause : ils n’existent tout simplement as comme nous venons de le voir.

    Cordialement,



  • ikant 4 août 2014 18:53

    Cet article pose la bonne question… Mais selon moi les intérêts sont bel et bien manquants ! Voici ma tentative d’explication :

    @gidmoz, @Sam D.

    Les intérêts perçus sont purement et simplement démonétisés dans leur grande majorité.

    Une banque n’investit pas (ou peu) dans du capital technique car elle n’en a pas besoin. Son capital c’est le crédit social (les créances à la production) qu’elle s’est appropriée.

    Une partie des intérêts est effectivement dépensé en charges (salaires, dividendes, amortissements, etc..). Comme toutes les entreprises, elle doit dégager un résultat positif (bénéfice). Ce résultat elle ne l’investit pas en achetant des actifs réels, mais elle augmente ses fonds propres en s’appropriant une partie des créances qu’elle possède a l’actif et ce sans jamais créer de monnaie. C’est donc de la prédation pure et simple car de toute façon l’économie réelle est incapable, sur le long terme, de produire la valeur correspondant aux intérêts.

    Le principe fondamental du capitalisme c’est l’accumulation. Accumulation veut dire qu’une partie du résultat (bénéfice) est réinvestie en tant que capital nouveau, ce qui donne une croissance exponentielle du capital.

    Dans la sphère réelle, une croissance exponentielle du capital productif est impossible par construction( les arbres ne grimpent pas au ciel) Les périodes de récession succèdent aux périodes de croissance et aux longues périodes de stagnation, ce qui nous donne au mieux une croissance logarithmique sur le long terme.

    Le crédit social est un actif immatériel qui ne peut être approprié par des intérêts privés. De par sa nature immatériel il échappe totalement a la logique de l’accumulation capitalistique propre au capital matériel (métaphore de l’oeuf et de l’idée). Le crédit social doit donc être contrôlé par l’état et distribué sous forme de crédit mutuel financé par l’impôt. Le crédit social ne s’accumulant pas, sa gestion ne peut générer de bénéfices.

    C’est cette contradiction entre croissance financière exponentielle et croissance réelle logarithmique qui a l’origine des terribles crises qui déchirent l’humanité.

    L’avenir de la croissance est dans le capital immatériel (logiciels, arts, connaissance, etc) ou le partage est la règle. Cette contradiction n’a donc pas fini de s’accentuer.



  • ikant 14 janvier 2013 13:20

    Il est clair que le mariage gay a été fomenté dans les officines maçonniques, à la demande des plus hautes instances oligarchiques, avec comme objectif final la marchandisation du nourrisson. 

    A mon avis il s agit plus d’une secte que d’un ordre religieux puisqu’il ne s’agit pas d’un système de valeurs spirituelles et transcendantes mais d’un simple système de pensée spéculatif et matérialiste, c’est à dire un système dénué de valeurs, ou plutôt d’une inversion totale des valeurs. Rien de nouveau, cela s’appelle le Satanisme.


  • ikant 14 janvier 2013 12:27

    L’auteur croit-il sincèrement défendre les homosexuels en défendant le mariage gay, revendication supposée d’une communauté persécutée par une majorité d’homophobes fanatisés par une église pudibonde et réactionnaire ? 
    En fait l’auteur, par son argumentaire caricaturale et outrancier, alimente un piège dialectique bien connu qui le dépasse complètement.

    En psychologie collective cela s’appelle une régression émotionnelle au syndrome de persécution et cela fonctionne particulièrement bien avec les chrétiens. C’est à la base du communautarisme victimaire dont la civilisation occidentale souffre particulièrement depuis 40 ans.

    C’est une technique de manipulation couramment utilisée par l’oligarchie, pour empêcher le peuple d’être lucide et violer sa souveraineté : le diviser en le piégeant dans une dialectique passionnelle, régressive et outrancière, afin de faire passer ses intérêts propres au détriment du peuple.

    L’auteur a-t-il conscience que le mariage gay par la désacralisation de la famille, le remplacement de la filiation biologique et des parents par une cellule artificielle de simple éducateurs, crée le cadre juridique nécessaire à la généralisation de la procréation artificielle ? C’est à dire la marchandisation de la fonction naturelle de procréation et son accaparement par l’oligarchie bancaire internationale et son capital fictif.

    Le mariage gay n’est qu’un leurre : c’est une opération de diversion afin de dissimuler un plan oligarchique des plus pervers : la réduction à l’esclavage des peuples et cela passe par l’accaparement de cette fonction biologique naturelle et la marche forcée vers les pratiques eugéniques des plus sataniques.

    L’auteur sert d’idiot utile à l’oligarchie néo-libérale (qu’il déteste tant par ailleurs) en alimentant le piège dialectique infernale de ses réductions ad hitlerum, de son chantage à l’homophobie et son anti-cléricalisme inculte.



  • ikant 10 janvier 2013 13:18

    Le monde est en voie d’asservissement par une oligarchie. Au sommet de laquelle se trouve la secte talmudo-sioniste dont le système de pensée hyper-matérialiste et immorale ainsi que son corollaire de comportements déséquilibrés et hyper-spéculatifs, est à l’origine de la plupart des problèmes de l’humanité.


    Asselineau fait de bon diagnostics en matière politique et économique mais reste fragmentaire.
    Contrairement à A.S., il ne définit pas de système meta-physique global et synthétique (cosmique), dans lequel tout devient cohérent, pour expliquer ce qui se passe.


  • ikant 10 janvier 2013 10:12

    Magnifique et vibrant hommage à Alain Soral ! 

    Espérons que cela permette à certains de le découvrir en l’écoutant sur le fond sans préjugés.
    Alain Soral est aussi un meta physicien et seul un meta physicien peut parvenir à apprehender le monde de manière global et synthétique comme il le fait.


  • ikant 9 janvier 2013 11:49

    Il est vrai que nous sommes passé à côté de votre critique de la sainte famille.
    Si nous avons préféré répondre aux commentaires c’est peut être que sa réfutation parait évidente.
    Vous faites du littéralisme primaire. C’est une faute classique parmi les anticléricaux et les athées malhonnêtes. Vous prenez au pied de la lettre ce qui doit bien-sûr être interprété dans un contexte historique et culturel, symbolique et métaphorique pour révéler sa véritable signification.

    La sainte famille bien comprise est la sacralisation de la famille au sens traditionnel c’est à dire la famille idéale dans la symbolique chrétienne : un couple aimant avec un enfant chéri, vivant modestement et honnêtement de son travail, respectueuse des lois et des conventions sociales. Elle symbolise les vertus familiales pour les chrétiens.
    Vous voyez, rien de scandaleux dans cette définition !

    De plus vous faites un affreux contre sens en identifiant l’immaculée conception à l’insémination artificielle. Le dogme de L’immaculée conception de Marie, qui peut paraître suspecte vue sous l’angle d’un rationalisme étroit (mais là n’est pas la question), est une tentative de concilier la nature divine du christ avec la forme humaine prise par Jésus et de le libérer (ainsi que marie) du péché originel condition nécessaire à son rôle de sauveur de l’humanité.
    Rien à voir, donc, avec l’insémination artificielle..

    Nous sommes ici en présence d’un cas d’école de littéralisme primaire qui occulte à des fins politiques la véritable interprétation des textes anciens qui comporte nécessairement une dimension culturelle et traditionnelle.