Les commentaires de Jean Keim

Tout ce cirque n’est fait que de conventions économiques imposées par une minorité élitiste qui se fout complètement du sort des gens comme de leur première paire de chaussettes, ils ne méritent aucun égard, leurs agissements engendrent l’indigence tant matérielle qu’intellectuelle et même spirituelle.

Alors s’il faut dans un premier temps rembourser, si on faisait payer ceux qui jusqu’au jour d’aujourd’hui se sont bien gavés sur l’argent-dette, cet argent semblable à de la fausse monnaie, créé en qq. clics sur un clavier d’ordi et prêté, ce qui est quand même fort de café, avec intérêts...

Seulement nos modes de vie génèrent de la violence et la guerre, en fait il faut changer urgemment de civilisation et donc de paradigmes.

@Julian Dalrimple-sikes

Le bonheur me semble insaisissable, son ressenti laisse un vague souvenir qui est de fait devenu du plaisir ; le bonheur et le silence mental sont de la même nature, quand la pensée s’en empare, elle les détruits.

@Julian Dalrimple-sikes

<< l’analyse par la pensée a pris le dessus il y a des milliers d’années, car elle contient ses propres récompenses ... >>

La pensée ainsi utilisée procure effectivement des satisfactions ce qui renforce le processus, plaisir et bonheur ne sont pas incompatibles, seulement c’est l’UN ou l’AUTRE, mais pas les deux.

@Gollum

Puissiez-vous avoir raison, seulement la compétition économique à outrance ne disparaîtra pas pour autant, en l’état actuel, le poids lourd est les USA, avec les BRICS ce sera la Chine... faut-il développer ?

Je ne vois pas pourquoi la course aux profits et les dégradations sociales et environnementales qui en découlent s’arrêteraient.

Seule une nouvelle conscience plus vertueuse et donc plus lucide peut amener un changement profond.

@Jean Keim

D’ailleurs la raison d’être des BRICS+ est bien de supplanter le dollar en proposant une autre monnaie qui du point de vue des profits sera d’un rendement bien meilleur, le monde pour autant sera inchangé, il sera toujours aussi vénal, la meilleure preuve est que les dirigeants sortiront toujours des mêmes moules à penser.

Alors Trump, sbire du mal ou sbire du bien ? Qq. soit la réponse, il est avant tout un sbire, c’est-à-dire un homme de main exécuteur de basses œuvres qui lui sont dictées par son mode de penser, c’est tellement évident, c’est humain.

On n’en finira donc jamais avec cette affaire, il y a en qq. sorte le racisme ordinaire, visant l’arabe, le noir, le jaune, l’autochtone sauvage, pourquoi pas aussi aussi les E.T, les autres donc, et il y l’antisémitisme qui serait un racisme aggravé, comme si les juifs avait une place à part dans l’humanité, certains d’entre-eux vont même jusqu’à proclamer qu’ils sont le peuple élu par le dieu qu’ils ont inventé.

Il ne s’agit pas de prôner la tolérance qui est une chose affreuse tant elle est hypocrite, un truc du genre : « Bon ! Tu ne penses pas comme moi, mais je vais faire avec ».

Quand un enfant naît dans une culture qui est celle de son milieu, il sera embrigadé par les idées qui y ont cours ; né dans un autre milieu, il serait infesté par d’autres idées qui ne seront pas forcément religieuses ; voilà c’est extrêmement simple à comprendre, encore faut-il qu’il y ait une ouverture dans les consciences pour l’intégrer.

Pour en sortir il suffit simplement de (perce)voir le mécanisme mental qui est en activité : celui qui consiste à se croire différent des autres, en mieux bien sûr, ainsi que l’affirment les idéologies qui ont pignon sur rue et qui influencent les modes de penser.

Les livres consacrés comme la Bible ou le Coran, ne sont pas la cause première mais les conséquences d’un naufrage mental.

@JPCiron

Le monde judéo-chrétien n’est qu’un concept, c’est ce qu’une certaine élite et/ou certains intellectuels veulent nous faire croire, demandez à un quidam s’il se sent judéo-chrétien, il vous regardera avec des yeux gros comme des soucoupes.

En fait chaque être humain vit dans son monde intérieur voilà tout, et quand il en sort (un peu) il s’accroche à ce qu’il croit (re)connaître, c’est le grégarisme.

@JPCiron & Gollum

Soyons lucides, quand la fausseté et/ou les fariboles d’un livre, quel qu’il soit, sont perçues, son influence s’estompera, même si l’imprégnation est forte ; il faudra du temps, et pour certains s’affranchir de la barrière de la peur ; d’ailleurs je pense que la lecture du Tripitaka bouddhiste (que je n’ai pas lu), de la Bible, du Coran, etc. est instructive, aussi il ne s’agit que de présenter ces ouvrages pour ce qu’ils sont : ni plus ni moins qu’une forme de propagande, malgré tout ils peuvent receler quelques diamants...

Des naïfs pensent, espèrent que les BRICS+ vont assainir l’économie mondiale et la rendre plus vertueuse, seulement il y a aura toujours la course au profit, dollars ou BRIC+ peu importent, les mécanismes économiques spéculatifs toujours à l’œuvre créeront toujours les mêmes dégâts.

@Gollum

Un procès ? Mais ce serait anachronique ! Il suffit simplement de ne pas faire cas du livre et des autres de la même veine.

Des gens, on les appelle des financiers, ont le privilège effarant de transformer sur une clavier d’ordinateur un influx électronique en argent sous forme d’argent-dette, que l’emprunteur soit un pays, une entreprise ou un particulier ne change rien à l’affaire ; tout le reste n’est que la conséquence de cette chasse gardée.

Il y a des spectateurs, des joueurs et un ballon ; nous ne pouvons pas supprimer le ballon, il serait rapidement remplacé ; pas plus que nous ne pouvons espérer que les joueurs, prenant conscience de leur insignifiance, quittent la lice, la gamelle étant trop bien garnie ; alors il reste le choix d’être ou ne pas être spectateurs, notons que l’économie pourrait être substantielle, le montant d’un billet pouvant dépasser les 100 €.

Imaginons que les rencontres sportives n’attirent plus personne, imaginons que lors de ses déplacements, le roi et sa cours traversent des espaces urbains vides de tous quidams, comme le dit la chanson : rêver c’est déjà ça.

L’erreur fondamentale serait-elle donc de prendre pour argent comptant ce que notre mode de penser nous suggère ?

@Julian Dalrimple-sikes

<< Ce qui est le mode de fonctionnement de la pensée qui ne peut s’appliquer que à ce qui est pratique..ayant tué nos autres capacités elle essaye de les remplacer, ce qu’elle ne peut faire et applique des méthodes techniques là où tout sauf ça doit être utilisé.. >>

Oui la pensée doit se limiter au domaine du concret, cela vient du fait que la pensée ne peut exprimer exclusivement que du savoir, que des choses puisées dans des mémoires, avec le risque de prendre des vessies pour des lanternes et de se laisser éblouir pas les miroirs aux alouettes, le résultat est par exemple le pouvoir subjuguant des religions ; cependant il me semble que l’Intelligence puisse agir sur la pensée, la réciproque n’est pas vraie.

Il est question de l’Intelligence dans les Évangiles (et probablement dans d’autres sources également ?), il s’agit du Saint-Esprit qui ne peut se manifester que dans un esprit sain.

@Julian Dalrimple-sikes

Ce dernier commentaire résume bien la grande illusion de ‘’moi-je’’.

Merci.

@Eric F

<< cela ne peut être transposable à une humanité qui s’approche des 10 milliards. >>

Peut-être qui si, mais à des degrés divers, c’est une question d’état de conscience ; songeons que des centaines de millions de gens dans le monde se passionnent pour des choses sans importance comme le foot ou les jeux olympiques, d’autres pas milliards adhèrent aux fariboles de religions, alors il ne faut pas désespérer, à défaut de bonté, le bon sens peut gagner les esprits ; et j’ai foi en l’impondérable, notre espèce n’a pas émergé pour disparaître à cause d’un ‘’défaut de fonctionnement’’, la musique de Mozart est trop sublime, le message de Jésus trop essentiel.

@Julian Dalrimple-sikes

C’est effarant de penser que qq % impose sa loi à la multitude,

Il y a des points remarquables dans le cirque que nous vivons actuellement...

Quelques rares êtres humains ont un esprit sain, ils vivent naturellement dans la vertu, le mal n’a pas de prise sur eux.

Pourquoi ne les voit-on pas à l’œuvre ? Parce qu’ils sont rares, de plus l’ambition, la quête du pouvoir leur sont inconnus, ils ne sont pas dans la réaction.

Le bien n’est pas le contraire du mal, simplement le mal chasse le bien, quand le mal est en place, le bien est absent.

Depuis des milliers d’années, les êtres humains utilisent mal la pensée, au fil du temps le mauvais usage ne fait que s’accentuer, cela fait penser au Kali Yuga des Hindous.

Rien ne paraît changer pour une raison bien simple, si le mal fait usage de compromis, voire de compromissions, le bien est étranger à ces pratiques.

Je ne suis pas un illuminé, seulement j’observe que trop peu d’êtres humains comprennent voire perçoivent le rôle délétère joué par chacun de nos modes de penser, véritable ‘’potentat’’ qui nous mène par le bout du nez, on l’appelle également ‘’ego’’, quand par exemple deux personnes débattent, chacun des potentats affronte l’autre potentat et pourtant chacun affirme ce qu’il sait, tout en étant aussi inconsistant que l’autre.

Ce constat est destructeur, il cause des drames sans fin, et on n’en voit pas le bout, pas encore.

.@Eric F

Il est difficile de dire quand ça a commencé.

Il semblerait que les premiers hommes, (les chasseurs-cueilleurs ?) étaient plutôt solidaires, ils auraient pratiqués la collaboration, l’entraide et le partage avec l’ensemble des individus de leur groupe, ce qui me semble-t-il seraient incompatibles avec une hiérarchie forte, et donc une religion quelconque qui ne peut que reposer sur un meneur et ses sbires disciplinés.

Nous ne sommes pas des animaux, même si les mécanismes du vivant ont copié parmi les animaux les organes constitutifs de notre corps, à l’instar du requin et du dauphin qui présentent des similitudes morphologiques.

Autant se demander si la guerre (offensive ?) est légitime.

Autant se demander si la guerre est une façon de résoudre les problèmes.

Chaque guerre fait le lit de la suivante (... 1870,1914-18, 1939-45...).

Et un jour on se réveille et on comprend que la guerre est une entreprise économique, de même que l’on vend du McDo, du Coca-Cola, du rock’n’roll, des films, on vend également des fusils, des tanks, des missiles..., qui ne doivent pas rester à rouiller dans des arsenaux.

Ensuite on perçoit que la guerre ne peut avoir lieu que si et seulement si il se trouve des gens pour la faire.

Enfin surgit une ultime perception, la guerre prend naissance dans un mode de penser qui lui est favorable, que ce soit celui du financier, du politique, des labos, du fabricant, du vendeur d’arme, du militaire et/ou des belligérants,..., des quidams, cela ne change rien à l’affaire.